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Piscop

49° 00′ 44″ nord, 2° 20′ 37″ est
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Piscop
Piscop
La mairie.
Blason de Piscop
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionÎle-de-France
DépartementVal-d'Oise
ArrondissementSarcelles
IntercommunalitéCA Plaine Vallée
Maire
Mandat
Christian Lagier
2020-2026
Code postal95350
Code commune95489
Démographie
GentiléPiscopiens
Population
municipale
737 hab.(2022en évolution de +6,66 % par rapport à 2016)
Densité181 hab./km2
Géographie
Coordonnées49° 00′ 44″ nord, 2° 20′ 37″ est
Altitude150 m
Min. 73 
m
Max. 195 
m
Superficie4,08 km2
TypeGrand centre urbain
Unité urbaineParis
(banlieue)
Aire d'attractionParis
(commune du pôle principal)
Élections
DépartementalesCanton de Domont
Législatives7e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Piscop
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Piscop
Géolocalisation sur la carte :Val-d'Oise
Voir sur la carte topographique du Val-d'Oise
Piscop
Géolocalisation sur la carte :Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Piscop
Liens
Site webhttps://www.piscop.fr/
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Piscop[pisko]Écouter est unecommune française située dans ledépartement duVal-d'Oise en régionÎle-de-France.

Géographie

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Description

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Piscop a conservé malgré la proximité deParis (moins de 15 km) et deSarcelles (3 km) un aspect très rural. Situé à flanc de coteau dominant laPlaine de France, le village est couronné par laforêt de Montmorency.

Communes limitrophes

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La commune est limitrophe deSaint-Brice-sous-Forêt,Écouen,Ézanville,Domont etMontmorency.

Rose des ventsDomontDomontÉzanville
Écouen
Rose des vents
Domont
Montmorency
N
O   Piscop   E
S
Saint-Brice-sous-ForêtSaint-Brice-sous-Forêt
  • Carte de la commune.
    Carte de la commune.
  • Occupation des sols.
    Occupation des sols.

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Île-de-France etClimat du Val-d'Oise.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCNRS s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[1]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre leclimat océanique et leclimat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,5 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 684 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune deBonneuil-en-France à 8 km àvol d'oiseau[3], est de12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 616,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Piscop est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7].Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant407 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 2],[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[9]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Lieux-dits, hameaux et écarts

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Plaque de cocher indiquant des hameaux de la commune.

La commune compte plusieurs hameaux et écarts : Blémur (ferme), Luat (château, institut d'enseignement secondaire), Château-Vert, Pontcelles…

Toponymie

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Pissecoc auxXIIe et XIIIe siècles[12].

Pissecoc est près d'un ru ; on a pensé que ce nom désignait ce cours de faible débit[12], le nom proviendrait du verbe « pisser » et de « coq »[13], littéralement « pisse coq » a pu, vraisemblablement, désigner un cours d'eau à faible débit[14].

Se prononce [piskoː]. Le -P final est dû à une interprétation par le latinepiscopus « évêque ».

Luat, attesté ainsi en 1249, vient de l'ancien françaishua, huat « hibou, milan »[15].

Pontcelles, attesté en 1354, vient de l'ancien françaisponcel « ponceau, petit pont »[15].

Histoire

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Composé de plusieurs hameaux, lefief est offert parClovis à l'évêqueRémi.

Un château (disparu) est édifié auXIIe siècle par le chevalier Anselme de Pissecoc, seigneur du lieuvassal desMontmorency.

AuXIVe siècle, les terres de Piscop sont partagées en plusieurs fiefs indépendants.

AuxXIXe et XXe siècles, des résidences secondaires sont bâties dans le village, mais la commune conserve, malgré la forte poussée de l'urbanisation connue par les communes voisines un aspect toujours villageois.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[16], la commune faisait partie du département deSeine-et-Oise. Laréorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département duVal-d'Oise et à sonarrondissement de Sarcelles après un transfert administratif effectif au.

Elle faisait partie de 1806 à 1967 ducanton d'Écouen de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, la ville intègre lecanton de Domont, puis, en 1985, réintègre lecanton d'Ecouen[17]. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Piscop fait partie duressort dutribunal d'instance deGonesse (depuis la suppression du tribunal d'instance d'Écouen en[18]), et de celui dutribunal judiciaire et dutribunal de commerce dePontoise[19],[20].

Rattachements électoraux

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Pour lesélections départementales, la commune est membredepuis 2014 d'un nouveaucanton de Domont.

Articles détaillés :Liste des cantons du Val-d'Oise,Conseil départemental du Val-d'Oise etListe des conseillers départementaux du Val-d'Oise.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de laseptième circonscription du Val-d'Oise.

Articles détaillés :Liste des circonscriptions législatives du Val-d'Oise etListe des députés du Val-d'Oise.

Intercommunalité

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Piscop était membre de lacommunauté de communes de l'Ouest de la Plaine de France, unétablissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par lecode général des collectivités territoriales.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la loiMAPAM du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, notamment en seconde couronne parisienne afin de pouvoir dialogier avec lamétropole du Grand Paris créée par la même loi, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le, lacommunauté d'agglomération Plaine Vallée dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[21]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
  Henri Étienne Metman Caissier de l'imprimerie royale
mai 1925 G. Hua  
Les données manquantes sont à compléter.
mars 20012008James Debaisieux  
mars 2008En cours
(au 14 juin 2021)
Christian Lagier Réélu pour le mandat 2020-2026[22],[23],[24]

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2022, la commune comptait 737 habitants[Note 4], en évolution de +6,66 % par rapport à 2016 (Val-d'Oise : +4 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
247253248296248263291297308
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
287307311326388360389335362
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
370387384382424476454428458
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620072012
474497522466664632682688736
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20172022-------
676737-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puisInsee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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On peut signaler :

  • Ruines de l'église : Piscop a été érigée en paroisse en1211 et disposait alors d'une chapelle. Une petite égliseRenaissance a été bâtie à son emplacement au cours duXVIe siècle, comportant unenef de quatretravées, unchœur en hémicycle et desbas-côtés, communiquant avec la nef par desarcadesplein cintre. Leclocher en bâtière se dresse au nord de la première travée de la nef. Il comporte quatre niveaux, et l'étage supérieur est percé sur chaque face de deux baiesabat-son plein cintre. Les autres baies sont également plein cintre. L'église est abandonnée en1806, puis finalement remise en état et utilisée de nouveau pour le culte à partir de1840. L'effondrement du toit en1955 met définitivement un terme à l'utilisation de l'église. Le clocher reste intact, mais seuls le mur nord de la nef, le mur du chœur et environ la moitié du mur sud de la nef subsistent. Ces vestiges ont bénéficié d'une restauration en1985 en vue de les pérenniser en l'état. Les arcades ont été bouchées pour des raisons de stabilité. Bien qu'incomplètes, les ruines gardent un intérêt artistique, notamment pour lesconsoles sculptées en têtes ayant jadis supporté lesarcs-doubleaux. Les noms des saints représentés sont gravés en dessous[28],[13].
  • Château du Luat[13]
  • Château-Vert
  • Château de Blémur
  • L'ancienne église.
    L'ancienne église.
  • Le château du Luat
    Le château du Luat

Piscop dans les arts et la culture

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Héraldique

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Blason de PiscopBlason
D'azur à la gerbe de blé d'or liée de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et406 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Références

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  1. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le)
  3. « Orthodromie entre Piscop et Bonneuil-en-France », surfr.distance.to(consulté le).
  4. « Station Météo-France « Le Bourget » (commune de Bonneuil-en-France) - fiche climatologique - période 1991-2020 », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le)
  5. « Station Météo-France « Le Bourget » (commune de Bonneuil-en-France) - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le)
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.fr,(consulté le)
  7. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  8. « Unité urbaine 2020 de Paris », surle site de l'Insee(consulté le).
  9. a etbInsee, « Métadonnées de la commune de Piscop ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », surle site de l'Insee(consulté le).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  12. a etbMarianne Mulon,Noms de lieux d’Île-de-France, Paris,Bonneton,, 231 p.(ISBN 2-86253-220-7).
  13. ab etcPaulineMathon, Jean-ClaudeCavard, DanielBaduel et ClaudeAdam, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Piscop »,Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions,vol. I,‎,p. 228-229(ISBN 2-84234-056-6).
  14. Stéphane Gendron, Les noms des lieux en France: essai de toponymie, page 234
  15. a etbFrançois Bousquet et Jacques Bousquet,Domont, histoire d'un village d'Ile-de-France, municipalité de Domont,, 439 p..
  16. Loino 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne,JORFno 162 du 12 juillet 1964,p. 6204–6209, fac-similé surLégifrance.
  17. a etbDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Décret du 15 février 2008 publié auJournal officiel du 17 février 2008
  19. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
  20. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
  21. « Les maires de Piscop », surfrancegenweb.org(consulté le).
  22. Réélu pour le mandat 2008-2014 :Site officiel de la préfecture du Val d‘Oise-liste des maires, 3 août 2009[PDF])
  23. Réélu pour le mandat 2014-2020 :« Les maires du Val-d'Oise »[PDF],Les élus du Val-d'Oise, Préfecture du Val-d'Oise,(consulté le).
  24. « Compte-rendu de séance du conseil municipal du mardi 28 mai 2020 - 20H »[PDF],Comptes-rendus des conseils municipaux, surpiscop.fr.
  25. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  28. MathieuLours, « Piscop - Notre-Dame-et-Saint-Gunifort »,Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France,‎,p. 214-215(ISBN 9782953155402).
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