La commune de Pfastatt s'étend de part et d'autre de la colline du Haulacker, appelée à tort la dernière colline desVosges, car on ne trouve nigrès nigranit dans le sol ou le sous-sol local. Il s'agit, en réalité, d'une colline d'origine éolienne, formée delœss et deglaise. Le versant Ouest de cette colline est à rattacher géologiquement aubassin potassique. Le versant Est s'ouvre sur laplaine d'Alsace. LaDoller et ses affluents, leDollerbaechlein et leSteinbaechel, traversent Pfastatt.
La commune est desservie par l'autoroute A36 (axeBelfort-Mulhouse17) qui permet de gagner l'EuroAirport en 30 minutes, et par le réseau de bus de l'agglomération mulhousienne (lignes 23, 12 et 61) qui permet de rejoindre la gare centrale deMulhouse et celle deLutterbach.
Statistiques 1991-2020 et records MULHOUSE (68) - alt : 245m, lat : 47°45'00"N, lon : 7°17'19"E Records établis sur la période du 01-01-1955 au 04-01-2024
Au, Pfastatt est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18].Elle appartient à l'unité urbaine de Mulhouse[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant20 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 5],[19],[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6],[20]. Cette aire, qui regroupe132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (61,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (55,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :zones urbanisées (45 %), forêts (21,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (16,6 %), zones agricoles hétérogènes (13,2 %),terres arables (3,2 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Le nom Pfastatt (Pfoscht en alsacien) apparaît sous la forme Pfaffen Statten au cours duXIIIe siècle, ce qui pourrait se traduire par « l'emplacement des prêtres »[24], mais la colline du Haulacker est habitée depuis l'Antiquité et le nom actuel serait en réalité lié à uneremotivation assez tardive. En effet, en 790, le site s'appelleFindstatinse, germanisation du locus celte vindo- (blanche) -ialos (la clairière), autrement dit : la clairière blanche[25].
Durant l'Époque gauloise, lesSéquanes occupent la colline du Haulacker. La rue de la République est une voie de communication importante reliantIllzach aux Vosges.
Selon Jean-Georges Samacoitz[26], Pfastatt aurait été le site de l'affrontement entreJules César et le GermainArioviste, relaté au début de laguerre des Gaules (Bataille de l'Ochsenfeld). Les Romains installeront, après la conquête de la Gaule, un poste d'observation et des écuries sur la colline du Haulacker. De nombreux vestiges datant de cette époque ont été découverts entre 1912 et 1939.
En 728, Pfastatt est mentionné comme un hameau rattaché à l'abbaye deMurbach. C'est en 1270 que les chevaliers de Hus reçoivent le village de Pfastatt desHabsbourg. Ils bâtissent un château au lieu-ditPfastatt le Château.
En 1454, quatre ans après que le théologien Jean Vinetti ait fait entrer la sorcellerie, la femme Kelling est condamnée pour sorcellerie[27].
La presse d'impression sur étoffes, vestige de l'usine Texunion.
En 1628, durant laguerre de Trente Ans, le village est détruit par le feu. En 1753, sur décision de l'évêque de Bâle, Pfastatt devient une paroisse à part entière (elle était précédemment rattachée à Lutterbach)[28]. Auguste Lalance[29], Henry Haeffely et Gustave Schaeffer fondentles Établissements d'impression, de teinture et de blanchiments de Pfastatt, dans l'enceinte de l'ancien château en 1870.
Le, les ouvriers de l'usine Haeffely se mirent en grève pour réclamer une augmentation de salaire. Ils ne gagnaient que 2 francs (l'équivalent actuel de 20 euros) par jour pour onze heures de travail. Le patron - et châtelain - de Pfastatt leur avait répondu qu'ils devaient faire des heures supplémentaires et fit appel aux soldats pour garder l'usine. Le procureur impérial écrivit "La grève est le résultat d'une transformation latente qui s'est opérée peu à peu dans l'esprit des ouvriers. (...) Aujourd'hui la rupture est consommée. Il y a deux classes en présence." (Source Archives départementales du Haut-Rhin,La révolution industrielle en Alsace)
Durant laSeconde Guerre mondiale, l'occupant allemand lance une action de défrancisation de la commune, avec comme première mesure l'interdiction de l'usage de la langue française dans la vie publique, voire privée. Les noms des rues principales de la commune changent : la rue de la république devient la rue Adolph Hitler et la rue de Richwiller la Hermann-Goering Strasse. Les livres français sont ramassés et brûlés. La communauté juive est expulsée, ses locaux sont pillés. En, 27 familles connues pour leurs sentiments patriotiques sont envoyées vers la « France de l'intérieur ». Ces brimades ont pour effet d'accélérer la structuration d'un réseau de résistance (le réseau Wodli), actif jusqu'à la libération[30].Le, après deux mois de combats acharnés, Pfastatt etLutterbach sont libérés par le23e RIC.
Plus récemment, le, la fermeture de l'usineDMC - Texunion de Pfastatt (311 salariés) laisse unefriche industrielle de 33 ha[31].
En 2004, la réhabilitation de lafriche industrielle laissée par Texunion débute. LeDomaine de la Cotonnade devrait à terme permettre à la commune d'accroître sa population de 25 %.
Le, vers 19 heures, un incendie se déclare à l'hôpital de Pfastatt. Le bilan est lourd (quatre morts).
L'endettement de Pfastatt au peut s'évaluer à partir de trois critères : l'encours de la dette[Note 14], l'annuité de la dette[Note 15] et sa capacité de désendettement[Note 16] :
Sur les 30 dernières années, la commune a été frappée par 3 évènements reconnus comme catastrophes naturelles : du 09/04/1983 au 10/04/1983 des inondations et coulées de boue[40], du 25/12/1999 au 29/12/1999 des inondations, coulées de boue et mouvements de terrain[41] et le 15/11/2012[42].
Tout comme les autres communes de la couronne mulhousienne, Pfastatt connaît un risque sismique modéré.
Enfin parmi les risques technologiques, la gare de marchandises de Mulhouse Nord située en partie sur le ban communal sert au transport de matières dangereuses issue ou à destination des industries chimiques de la région ce qui a entraîné la mise en place d'un plan de prévention. Les autres risques ne concernent qu'une partie du ban communal : lebarrage de Michelbach sert de réservoir d'eau potable pour toute l'agglomération et sa rupture pourrait inonder les quartiers de la Cotonnade et du Fehlaker, riverains de laDoller. La colline du Haulacker est traversée par d'anciennes galeries qui ne sont plus toutes entretenues. En 2016, l'une d'elles est à l'origine d'un fontis qui amène la municipalité à réaliser d'importants travaux routiers dans le quartier de la tuilerie[43]. De même, Les quartiers ouest de la ville sont en limite dubassin potassique. Tous ces risques font l'objet d'un plan de prévention.
Du Plan d'Occupation des Sols (POS) au Plan Local d'Urbanisme (PLU)
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].
En 2022, la commune comptait 10 275 habitants[Note 17], en évolution de +8,15 % par rapport à 2016 (Haut-Rhin : +0,66 %,France horsMayotte : +2,11 %).
La vitalité économique de la commune dépend depuis toujours de celle deMulhouse,ville-centre de l'unité urbaine du même nom.Ainsi, sous l'Ancien Régime, de nombreux Pfastattois partageaient leurs journées entre la culture des champs et le tissage et « exportaient » leur production à Mulhouse où elle était imprimée et commercialisée par lesdrapiers locaux. Le Seigneur de Pfastatt savait en outre se montrer très tolérant lorsqu'il s'agissait d'accueillir des minorités religieuses capables d'enrichir son domaine. AuXIXe siècle, Pfastatt devient un centre de production textile (et le restera jusqu'à la fermeture des usines Texunion), ce qui favorise l'installation de l'industrie chimique (siteRhodia fermé en 2008) et électrique et mécanique. La zone d'activité située sur les rives de la Doller accueille aujourd'hui des PME. L'entreprise la plus importante estPlastic Omnium Clean Energy Systems (équipementier automobile fournissant les usinesStellantis de Mulhouse et Sochaux, ainsi que l'usineRenault-SOVAB de Batilly). On compte également deux entreprises dans le domaine de l'alimentaire: la biscuiterie Albisser (PME fondée en 1946) qui a réalisé en 2016 un chiffre d'affaires d'1,2 million d'euros[48] et le fabricant de confitures Beyer, installé à Pfastatt, depuis 1992 (fondé en 1921 à Mulhouse)[49].
Pfastatt est rattachée à l'Académie de Strasbourg. En 2009, ce sont 1078 élèves qui sont scolarisés dans l'une ou l'autre écoles de la commune.
Pfastatt dispose de 3 écoles maternelles (Fehlacker, J.J. Walz et école maternelle du centre), de 2 écoles primaires (Fehlacker et école du centre) et d'un collège (CollègeKatia etMaurice Krafft)[50].
Une centaine d'enfants suivent l'enseignement bilingue proposée par la commune de la petite section de maternelle au CM2. Les adolescents souhaitant poursuivre dans cette voie sont ensuite scolarisés àLutterbach. L'école primaire du centre dispose d'unechorale depuis de nombreuses années. Le collège a ouvert en 2009-2010 une sectionJSP (jeunes sapeurs-pompiers).
Depuis 1987, la halte garderie la Ribambelle accueille les enfants entre 10 semaines et 4 ans. 20 places sont réservées à un accueil régulier (type crèche), 10 places à un accueil temporaire sur réservation.
La commune dispose d'une vie locale plutôt riche dans ce domaine compte tenu de sa taille et compte plus d'une cinquantaine d'associations et d'organisations aux centres d'intérêt très divers, parmi lesquels :
La Bobine centre culturel (danse, théâtre, gymnastique, yoga, poterie, peinture, accueil péri-scolaire et centre de loisirs)[51] ;
l'office municipal des sports et des loisirs (stages multi-sport durant les vacances scolaires, fête de la musique,, marché aux puces, concerts de jazz en été) ;
la société Espérance (musique et une équipe de Gymnastique Rythmique de niveau national) ;
le club de Karaté DO et de Taï Jitsu ; le club de judo ;
la société d'arboriculture qui gère le verger école ;
le basketball, le handball (HBC Pfastatt), le volleyball (VBC), le football (FCP) ;
l'amicale des donneurs de sang (qui organise une collecte tous les 2 mois) ;
l'association des pêcheurs à la ligne ;
les mercredis des neiges (journées de ski en saison et bourse aux vêtements en novembre) ;
les jardins collectifs Schoff ;
l'association générale des familles (Bourses de vêtements et de jouets et aides aux adhérents dans leurs démarches administratives) ;
…
Pfastatt possède une bibliothèque municipale et une ludothèque, mais aussi des carnavaliers qui maintiennent la tradition des cliques : les Spackwagges et les « D’Pfâscht Trummler ». Le festival de théâtre Môm'en Scène est organisé tous les ans par la MJC pour les comédiens de 6 à 20 ans vers la mi-juin : durant 3 jours, plus de 40 représentations sont données sur la commune par près de 200 comédiens.
Outre la paroisse catholique Saint-Maurice (rue Neuve), on trouve à Pfastatt une communautémennonite[52] et sonéglise évangélique (rue de l'étang). Une communauté juive s'était installée à Pfastatt, à la suite de l'interdiction faite aux juifs de résider à Mulhouseintra-muros. Cette communauté y avait construit une maison de retraite et une synagogue. La synagogue a été détruite à la fin de la2e guerre mondiale.
La chapelle réformée Saint-Marc (située à la limite de Pfastatt sur le ban communal de MulhouseBourtzwiller) a accueilli les protestants réformés jusqu'en juin 2022, avant que la paroisse ne rejoigne la Dynamique mulhousienne[53].
L'hôpital de Pfastatt comprend trois pôles d'activités cliniques : - un pôle de médecine polyvalente comptant un plateau médico-technique (polyclinique et radiologie) et une consultation de la douleur ainsi qu'un service de médecine polyvalente à orientation gériatrique, - un pôle degériatrie(service desoins de suite et de réadaptation, un hôpital de jour de gériatrie et une équipe mobile de soins palliatifs) - un pôle d'addictologie clinique. Il gère également un établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) réparti sur deux sites : le Home Haeffely et les Roseaux. (Home Haeffely voisin qui doit son nom à l'un des fondateurs de l'ancienne usine textile de la commune). Il comprend également une Pharmacie à Usage Intérieur.L'amicale des donneurs de sang organise tous les 2 mois (en général le mardi après-midi) une collecte à la salle culturelle du foyer Saint-Maurice.
La tentative d'implanter un marché hebdomadaire à côté de la mairie s'est soldée par un échec. Une fois l'an, la municipalité organise une grande brocante qui n'est ouverte qu'aux non professionnels. Parmi les autres manifestations annuelles, on peut citer le marché de Noël qui se tient chaque année aux abords du foyers Saint-Maurice et la « Zwatschgawayafast »[54] du mois de septembre dont 2009 marquait la trentième édition. Enfin, le foyer Saint-Maurice accueille régulièrement des bourses où l'on vend des articles d'occasion (vêtements, périculture, articles de sport d'hiver).
Recyclage : Jusqu'en 2019[55], il n'y avait pas de collecte sélective sur la commune. En revanche, les habitants pouvaient apporter volontairement le papiers, le PET et le verre dans l'un des nombreux points tris. De plus, ils ont accès à ladéchèterie de la rue de la ferme ouverte du lundi au samedi et aux autres déchèterie du SIVOM de l'agglomération mulhousienne. Jusqu'en 2010, des bennes réparties sur la commune permettaient aux habitants de se débarrasser des encombrants. Malheureusement, l'attitude peu scrupuleuse de certains (dépôts de produits polluants et dangereux tel l'amiante, des vieux pneus, des bonbonnes de gaz)[56] a eu raison de ce service. En 2020, la collecte des recyclés représente un tonnage annuel de 599 tonnes soit de 62,5 kg par habitant[55].
unchêne remarquable : cet arbre âgé de plus de 200 ans est situé dans le bois deNonnenbruch, sur le ban communal de Pfastatt[58] ;
les caves à champagne : ces galeries ont été creusées à l'origine par lesbrasseurs deLutterbach dans la colline du Haulacker. Elles servirent à affiner du moût de raisin entre 1870 et 1914, puis d'abris pour la population durant laseconde Guerre mondiale. Très instables, elles ont été partiellement cartographiées depuis 2002 et ne sont pas ouvertes au public ;
un calvaire daté de1886 à l'angle de la rue de la Plaine et de la rue deRichwiller, avec une inscription en allemand (un autre témoin de la période1870-1918 où l'Alsace avait été annexée par l'Empire allemand).
L'ornithologue et militant associatif Daniel Daske (1940-2019), fondateur de laFédération des conservatoires d'espaces naturels et son épouse la dessinatrice naturaliste Christiane Boeglin Daske (1937-2019) ont habité Pfastatt jusqu'à leur décès[59]. Le 22 février 2022,un tilleul est planté dans le parc du Général-de-Gaulle pour leur rendre hommage[60].
↑Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:05 TU à partir des 670 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/12/1967 au 01/04/2024.
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Mulhouse comprend une ville-centre et19 communes de banlieue.
↑La « section de fonctionnement » est constituée des dépenses courantes et récurrentes nécessaires au bon fonctionnement des services municipaux et à la mise en œuvre des actions décidées par les élus, mais sans influence sur la consistance dupatrimoine de la commune.
↑Les « charges de personnel » regroupent les frais derémunération des employés par la commune.
↑Les « dépenses d’équipement » servent à financer des projets d’envergure ayant pour objet d’augmenter la valeur dupatrimoine de la commune et d’améliorer la qualité des équipements municipaux, voire d’en créer de nouveaux.
↑Les « remboursements d'emprunts » représentent les sommes affectées par la commune au remboursement du capital de la dette.
↑L'« encours de la dette » représente la somme que la commune doit auxbanques au de l'année considérée
↑L'« annuité de ladette » équivaut à la somme des intérêts d'emprunts de la commune et du montant de remboursement du capital au cours de l'année
↑La « capacité dedésendettement » est basée sur le ratio suivant défini par la formule :ratio =encours de la dette⁄capacité d'autofinancement. Ce ratio montre, à un instant donné, le nombre d'années qui seraient nécessaires au remboursement des dettes en considérant les ressources de Pfastatt.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Base de données du ministère du Budget, relative aux comptes des communes
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑a etb« Haeffely, Henri (1816-1877) »,correspondancefamiliale.ehess.fr, Compléments historiographiques, Biographies, H (mis à jour le 20 septembre 2016).
↑a etbNotice NetBDA HAEFFELY Henri, suralsace-histoire.org, Fédération des Sociétés d'Histoire et d'Archéologie d'Alsace.
↑La ville est rattachée à Mulhouse par les autorités d'occupation.
↑Notice NetBDA LICHTLÉ André, suralsace-histoire.org, Fédération des Sociétés d'Histoire et d'Archéologie d'Alsace.