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Perruche à collier

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Psittacula krameri

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Pour les articles homonymes, voirPerruche à collier (homonymie).

Page d’aide sur l’homonymie

Ne doit pas être confondu avecPerruche alexandre.

Psittacula krameri
Description de cette image, également commentée ci-après
Couple de perruches à collier (le mâle est à droite).
Classification COI
RègneAnimalia
EmbranchementChordata
ClasseAves
OrdrePsittaciformes
FamillePsittacidae
GenrePsittacula

Espèce

Psittacula krameri
(Scopoli,1769)

Statut de conservationUICN

( LC )( LC )
LC :Préoccupation mineure

LaPerruche à collier (Psittacula krameri) est uneespèce de grandesperruches originaire d'Asie et d'Afrique. Elle est aussi aujourd'hui acclimatée à l'Europe de l'Ouest.

Elle est souvent élevée en captivité commeanimal de compagnie et pour la beauté de son plumage. Elle est considérée comme l'un desoiseaux parleurs les plus habiles. Elle est d'ailleurs bien connue enEurope depuis l'Antiquité et leMoyen Âge, où elle fait partie des plus anciens oiseaux de compagnie, comme sa cousine laPerruche alexandre. Elle est souvent représentée dans l'art européen, depuis lesmosaïques romaines jusqu'auxpeintures de la Renaissance en passant par lesenluminures médiévales.

On trouve désormais des populationsférales (en liberté) dans les zones urbaines duRoyaume-Uni, deFrance, deBelgique, desPays-Bas, d'Espagne, duPortugal, d'Allemagne et d'Italie.

Dénominations

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Cette espèce porte lenom normalisé de perruche à collier en référence à la bande colorée de plumes, noire dans le cou et rouge sur la nuque, que les mâles ont.

Sonnom scientifique,Psittacula krameri, est composé dunom générique,Psittacula, et d'uneépithète spécifique,krameri. Ce dernier fait référence au naturaliste allemandWilhem Heinrich Kramer.

Caractéristiques

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Un oiseau bien vert avec un bec bien rouge.
Une perruche à collier femelle enBade-Wurtemberg.

La Perruche à collier mesure une quarantaine de centimètres de long, pour une envergure de plus ou moins 50 cm et une masse entre 90 et 145 g. C'est une espèce de perruche très répandue dans le monde.

Elle possède unplumage à prédominance verte. La queue est longue et présente des nuances bleu azur à métallique. Le ventre et le dessous des ailes sont jaunâtres à verdâtres, parfois un peu jaune crème. Une ligne noire relie lacire (base du bec) aux yeux. La mandibule supérieure du bec est rouge, alors que l'inférieure est noire.

Elle se distingue bien de laPerruche alexandre, par sa taille nettement moins grande, et par son bec, beaucoup moins puissant relativement à la taille de sa tête.

Il existe undimorphisme sexuel :

  • Le mâle se distingue par un collier noir qui s'étend du bec au cou ainsi que par une mince bande rouge sur la nuque[1] ;
  • La femelle et les juvéniles des deux sexes (jusqu'à l'âge de 3 ans) sont souvent plus clairs et ont une queue plus courte ; ils ne présentent pas de collier ou alors un simple ombrage gris et des bandes claires sur la nuque (toujours de même couleur mais de teintes plus pâles que le plumage environnant).

Écologie et comportement

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Alimentation

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La perruche à collier se nourrit essentiellement defruits et degraines. Elle est opportuniste. EnAfrique, son alimentation est basée sur les fruits (comme ceux desFicus et desbaobabs, lesfigues, lesmangues et lesgoyaves) et les graines.

En Europe, l'espèce préfère les milieux urbains où la température est plus élevée et où elle peut trouver sa pitance (fruits, graines, pousses) en particulier dans les mangeoires à oiseaux. On ne lui impute donc pas pour l'instant de préjudices important aux récoltes en Europe[2]. Elle est par contre considérée comme un fléau pour les récoltes de céréales et de fruits en Asie[3].

En captivité, la nourriture préférée de cet oiseau est constituée par des végétaux variés (amandes,arachides,baies,céréales, fleurs comestibles, fruits, germes de graines et/ou delégumineuses, légumes, légumineuses très cuites, noix, pâtes alimentairesal dente,quinoa,riz, verdure…).

Reproduction

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Perruche à collier à l'entrée de son nid (Parc national de Ranthambore).
Œufs dePsittacula krameri -Muséum de Toulouse.
Perruche à collier femelle.
Mâle et femelle devant leur nid.

Lanidification est dite cavernicole, ce qui signifie que les pontes se font dans des anfractuosités, souvent dans desarbres creux. Les vieuxplatanes sont souvent utilisés. Les couvées sont de 2 à 6 œufs qui sont incubés 21 jours. Les jeunes, en général 2 à 3, sont nourris au nid pendant environ quarante jours[3].

Longévité

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L'espérance de vie est de trente ans environ en captivité[réf. nécessaire].

Comportement

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Photo d'une perruche en vol. Elle tient un épi dans son bec.
Une perruche à collier en vol

Le vol est rapide et direct, associé avec des cris lors des vols en groupe.

Les perruches à collier sontgrégaires lors de leurs périodes d'alimentation et de reproduction. Elles se rassemblent à la tombée du jour sur un arbre dortoir pour y passer la nuit. Au petit matin elles s'envolent pour se nourrir. Lors de la période de reproduction (mars-avril), le dortoir est en général abandonné au profit des sites de reproduction jusqu'à l'automne.

La gamme de cris émis est assez distinctive. Ils sont aigus, et ce sont surtout des sifflements[4] :kyii ;kiiik ;kiii-ah ;kiii-ak ;trriit. On dit qu'elle siffle ou jacasse.

Habitat et répartition

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Perruche à collier àSyon Park (Londres).
Perruche à collierPsittacula krameri borealis mâle àJaipur (Inde).

La perruche à collier habite naturellement les savanes arborées et les zones cultivées tropicales d'Afrique et d'Asie. Elle est sédentaire.

Expansion

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La perruche à collier a été introduite en Europe et en Amérique à partir de son aire de répartition naturelle. Des populationsférales existent dans toute l'Europe de l'Ouest et notamment enAngleterre[5], en Espagne, en Italie, en Allemagne, aux Pays-Bas[6] et en France[2]. Elles sont récemment signalées en Afrique du Nord auMaroc dans un jardin public deRabat[7].

ÀBruxelles, à titre d'exemple, la population des perruches à collier est évaluée à plusieurs milliers d'individus et est en pleine expansion[8]. L'origine de la population bruxelloise remonte à 1973-1974. Une quarantaine de perruches à collier s’envole du zoo deMeli Park Heysel. Quarante ans plus tard, elles se sont reproduites et leur nombre est évalué à plus de 8 000 individus[9]. Elle est également présente enÎle-de-France depuis plusieurs années, passant de 1 100 individus en 2008 à plus de 5 000 en 2016[10], notamment dans les parcs et jardins ; elles ont d'abord été signalées près des aéroports d'Orly etCharles-de-Gaulle, par lesquels elles sont probablement arrivées[11],[12],[13]. On les trouve aussi dans lemidi de la France[14],[15] ainsi que dans d'autres villes françaises comme dans la banlieue deLille[16] ou àNancy[17].

Au début des années 2000, certains spécialistes se sont inquiétés de la concurrence avec les espèces aviaires locales telles que lemoineau domestique, lasittelle torchepot et l'étourneau sansonnet[18] dont les habitudes de nidification sont similaires, ou avec des espèces de chauve-souris telle lagrande noctule[19]. Il a été reporté plusieurs cas en Île-de-France où les perruches pourraient avoir attaqué des écureuils roux[20] mais la confirmation scientifique de ces cas et de leur caractère répété n'a pu être démontrée. En raison de ces inquiétudes et de son expansion cette perruche est parfois considérée comme uneespèce invasive[21],[22],[23] et en France, elle est considérée comme uneespèce exotique envahissante[24].

Face à ces inquétudes, une vaste étude scientifique publiée en 2019 a conclu, qu'en Europe, la concurrence de cette perruche sur les autres oiseaux est en réalité très relative[25] et le magazineReporterre estime qu'il n'y a pas lieu de la qualifier d'espèce invasive[26]. Il n'en est toutefois pas de même dans certaines îles tropicales à l'écosystème fragile, où les perruches représentent un danger pour les espèces locales. Les Seychelles ont conduit avec succès un programme d’éradication par tir[27].

Classification

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L'espècePsittacula krameri est subdivisée en quatre sous-espèces très proches morphologiquement mais ayant des aires de répartition différentes

En Afrique

  • P. k. krameri, communément appelée perruche à collier-africaine nominale (Scopoli, 1769) localisée du Sénégal à l'Ouest de l'Ouganda et au Sud du Soudan ;
  • P. k. parvirostris, communément appelée perruche à collier-abyssinienne (Souance, 1856) localisée de l'Est du Soudan au Nord de l'Éthiopie et en Somalie.

En Asie

  • P. k. borealis, communément appelée perruche à collier-boréale alias de Neumann (Neumann, 1915) localisée de l'Est du Pakistan jusqu'au Myanmar ;
  • P. k. manillensis, communément appelée perruche à collier-indienne (Bechstein, 1800) localisée au Sud de l'Inde et au Sri Lanka.

Les différences morphologiques entre sous-espèces sont mineures et concernent la taille de l'oiseau, celle de son bec et la couleur de ce dernier.

Perruche mâle sauvage.

Aviculture

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Les perruches à collier sont très appréciées des éleveurs. Elles sont robustes et faciles à élever. Ces perruches sont essentiellement de la sous-espèceP. k. manillensis, plus rarementP.k. borealis etP. k. krameri. Les perruches à collier implantées en Europe sont très probablement des perruches d'élevage libérées ou échappées. De nombreusesmutations de la couleur du plumage ont été sélectionnées : lutino, bleu, bleu turquoise, albinos, crème-ino, cinnamon, lacewing, buttercup[28]

  • Exemples de mutations de couleurs par élevage
  • Mutation bleue.
    Mutation bleue.
  • Femelle vert-turquoise et mâle turquoise chrysope (mutations rares).
    Femelle vert-turquoise et mâle turquoise chrysope (mutations rares).
  • Femelle lutino et mâle cinnamon turquoise (juvéniles).
    Femelle lutino et mâle cinnamon turquoise (juvéniles).
  • Mâle albinos.
    Mâle albinos.
  • Mâle sauvage.
    Mâle sauvage.
  • Femelle sauvage.
    Femelle sauvage.

Aspects culturels

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Inde

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Tout comme la proche perruche Alexandre, la perruche à collier est une espèce présente dans les cultures dumonde indien, où elle est notamment levâhana du dieu de l'amour, du désirKâma, ainsi que de sa parèdreRati[29],[30]. Dans le sud-est de l'Inde, l'oiseau accompagne lesreprésentations des déessesMinakshi etKamakshi, tutélaires des villes deMadurai et deKanchipuram, et ceux de la sainte et poétessevishnouïte duVIIe siècle ouVIIIe siècleAndal[29],[31].

LeTemple de Minakshi abrite dans son enceinte unmandapa appeléகிளிக்கூண்டு மண்டபம் (Kil̤ikkūṇḍu maṇḍapam) ou « Pavillon de la cage à perruche », réputé pour avoir abrité des colonies de perruches répétant le nom de la déesse[29]. Les dévots avaient coutume d'offrir des perruches au sanctuaire jusqu'en 2005, lorsque ce dernier, sous la pression des organismes de défense desdroits des animaux, libère les oiseaux captifs et s'engage à mettre fin à cette pratique[32]. Letemple de Sri Ranganathaswamy àSrirangam a également dans son enceinte un mandapa du nom deகிளி மண்டபம் (Kil̤i maṇḍapam) ou « Pavillon de la perruche ». Ce dernier tient son nom d'un mythe sur l'histoire du sanctuaire, qui aurait été un moment perdu, enseveli sous les sables duCauvery, jusqu'au jour où un roichola, intrigué par les cris d'une perruche psalmodiant le nom deRanganatha et la grandeur de sa demeure, fut attiré en ces lieux et finit par identifier et reconsacrer le temple[33],[34].

Une perruchetireuse de cartes, chez un praticien deParrot astrology à Serangoon Road,Singapour.

Dans cette même région (Tamil Nadu etAndhra Pradesh), la perruche à collier est une des espèces plébiscitées par desdiseurs de bonnes aventures pratiquant leகிளி ஜோசியம் (Kil̤i josiyam) ouచిలక జ్యోతిష్యం (Cilaka jyotiṣyaṃ) ou « Astrologie de la perruche », qui consiste en une sorte detarot divinatoire tiré par l'oiseau[35],[36]. Cette pratique connue en anglais commeParrot astrology, a été répandue par les communautés émigrées sud-indiennes dans lemonde malais[37],[38], où une perruche nommée Mani the parakeet est particulièrement célèbre pour ses prédictions lors de lacoupe du monde de football de 2010[39].

La perruche à collier est l'oiseau d'État de l'Andhra Pradesh[40].

Europe de l'Ouest

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La Dame et la perruche dans la tenture duGoût (Série deLa Dame à la licorne).

La perruche à collier était un oiseau de compagnie élevé et prisé en Europe depuis l'Antiquité grecque et romaine, où l'on trouve aussi laperruche alexandre, mais aussi durant tout leMoyen Âge. Elle fait partie des oiseaux les plus souvent représentés dans l'art européen antique et médiéval. Elle conserve une popularité particulière à la fin du Moyen Âge et à laRenaissance[41],[42],[43]. Ainsi on retrouve de nombreuses illustrations et mentions de cette espèce, fortement assimilée auPapegau et désignée en tant que tel[41],[42],[43].

Très présentes dans les enluminures médiévales, on peut remarquer par exemple quatre illustrations de perruches à collier dansLes Grandes Heures du duc de Berry, dont deux « jaunes », c'est-à-dire d'oiseau ayant la mutation lutino[43]. Le ducJean de Berry aurait été en possession de pareil spécimen dans saménagerie[43].

La perruche à collier a été identifiée parFriedmann au centre de la composition du tableauLa Vierge au chanoine Van der Paele du peintreprimitif flamandJan van Eyck[30]. L'habilité desperroquets à parler et leur provenance exotique, ont eu une résonance dans la symbologie artistique chrétienne de l'Occident, où ils sont devenus représentatifs de l'Immaculée Conception. Celle-ci s'étant faite à travers l'Annonciation, par les paroles de l'ange Gabriel, dans unOrient mythique, laTerre sainte[44].

Parmi le cycle des tapisseries deLa Dame à la Licorne, la tenture du Goût présente une perruche verte, identifiée par De Gendt comme une perruche à collier[45], posée sur la main de la Dame, qui lui porte pitance.

Le roiFrançois Ier est représenté en compagnie d'une perruche à collier mâle dans sonportrait en Saint Jean-Baptiste, peint parJean Clouet vers 1520. Une femelle de l'espèce apparaît également dans un portrait deMarguerite de Navarre réalisé autour de 1530 également par Clouet. La Perruche à collier semble avoir été privilégiée parmi les derniersValois[46].

Références

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  1. « Perruche à collier - Psittacula krameri », suroiseaux.net(consulté le).
  2. a etbBertrand Bollenbach,AFP,« Année après année les perruches à collier conquièrent l'Europe », surlepoint.fr,(consulté le).
  3. a etbClergeau P., Vergnes A., Delanoue R. (2009) La perruche à collierPsittacula krameri introduite en île-de-France: distribution et régime alimentaire.Alauda (Revue internationale d'Ornithologie) 77(2):121-132.
  4. « Perruche à collier Psittacula krameri - Rose-ringed Parakeet », suroiseaux.net(consulté le).
  5. BBC2 The Great British Parakeet Invasion, 28 février 2008.
  6. Voir surcityparrots.org.
  7. (en) Pedro Fernandes, « Parrots in urban parks of Rabat », surmagornitho.org,.
  8. [PDF] Voir suraves.be etecolonews.blog.fr. A. Weiserbs (2009). « Oiseaux communs de Bruxelles » - Evolution 1992-2008. Oiseaux de Bruxelles n° 1. Aves, Liège.
  9. Kirk D., « La Belgique compte plus de 8.000 perruches à collier »,Le Soir,‎(lire en ligne).
  10. Clément Pétreault, « Les perruches à collier colonisent la région parisienne »,Le Point,‎(lire en ligne)
  11. « Les perruches ont colonisé les parcs »,Le Parisien, 11 août 2009.
  12. [PDF]Brochure de l’Observatoire départemental de la biodiversité urbaine (ODBU) avec l’aide du Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN)et du département de la Seine-Saint-Denis, 1 mars 2009
  13. Clergeau P., Vergnes A., Delanoue R. (2009) « La perruche à collierPsittacula krameri introduite en île-de-France : distribution et régime alimentaire »,Alauda (Revue internationale d'Ornithologie) 77(2):121-132.
  14. Dubois P.J., Le Maréchal P., Oliosa G., Yésou P.Nouvel Inventaire des oiseaux de France. Ed Delachaux et Niestlé, Paris 2008(ISBN 2603016229)
  15. Flitti A., Kabouche B., Kayser Y., Olioso G.,Atlas des oiseaux nicheurs de Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ed Delachaux et Niestlé, Paris 2009(ISBN 2603016229)
  16. « La perruche à collier : gourmande, exotique et pacifique envahisseuse »,La Voix du Nord, 6 décembre 2008.
  17. « Perruches dans la ville »,Vosges matin, 18 juillet 2013 (consulté le 28 mai 2017).
  18. « Les invasions sauvages »,Sciences et Avenir, 4 février 2008.
  19. Piero Genovesi, « Les oiseaux de ravage »,Courrier International,no 1513,‎,p. 41
  20. « Seine-et-Marne : Béatrice vient au secours des écureuils attaqués par les perruches », surgoogle.com(consulté le).
  21. Clergeau P. (2009) « Les villes terres d'accueil, La conquête des espèces », dossier N° 65, oct-déc 2009,Pour la Science.
  22. [PDF]DAISIE site web (Inventaire européen des espèces invasives, commission européenne
  23. [PDF]Dubois, P.J. (2007), « Les oiseaux allochtones en France: statut et interactions avec les espèces indigènes »,Ornithos 14(6):329-364.
  24. OFB & UICN France, « Psittacula krameri », surBase d’information sur les espèces exotiques envahissantes. Centre de ressources Espèces exotiques envahissantes,(consulté le).
  25. (en) White RL, Strubbe D, Dallimer M, Davies ZG, Davis AJ.S, Edelaar P, Groombridge J, Jackson HA, Menchetti M, Mori E, Nikolov BP, Pârâu LG, Pečnikar Živa F, Pett TJ, Reino L, Tollington S, Turbé A, Shwartz A (2019) « Assessing the ecological and societal impacts of alien parrots in Europe using a transparent and inclusive evidence-mapping scheme »,NeoBiota 48: 45-69
  26. « Non, la perruche à collier n’est pas un fléau »,Reporterre,‎(lire en ligne)
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  45. Anne-MarieDe Gendt, FlorenceBouchet (dir.) et Anne-HélèneKlinger-Dollé (dir.),Penser les cinq sens au Moyen âge: poétique, esthétique, éthique,Classiques Garnier,coll. « Rencontres »,, 351 p.(ISBN 978-2-8124-3683-3,OCLC 949810509), « Le contrôle des sens dans le cycle de La Dame à la Licorne »
  46. JoanPieragnoli,La cour de France et ses animaux:XVIe – XVIIe siècles, Paris,PUF,coll. « Le Nœud gordien »,, 370 p.(ISBN 978-2-13-074950-9,OCLC 960813821), « Chapitre liminaire - Le bestiaire de la cour »,p. 48

Voir aussi

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Dickcissel d'Amérique mâle perché sur un poteau métallique, chantant cou tendu et bec ouvert.

Chants et appels

Perruche à collier. :

Liens externes

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Bibliographie

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