Les articles sont richement illustrés par des gravures et photographies, et chaque publication contient un supplément artistique en pleine page, illustrant une œuvre récente de peintres contemporains, la plupart du temps académiques :
Gustave Goetschy reste directeur de la publication jusqu'à sa mort en[7]. Le titre est racheté en novembre suivant parAlfred Edwards, fondateur duMatin, et son beau-frère le docteurJean-Baptiste Charcot[8] qui nomment Émile Martel comme directeur de la publication etLionel Nastorg comme rédacteur en chef.
La dernière parution deParis-Noël date de. La première guerre mondiale met un terme définitif à sa publication.
Quelques bibliothèques conservent cette publication :
Labibliothèque municipale de Bordeaux conserve des exemplaires deParis-Noël (côte P 2091 Rés.) pour les années : 1885, 1886,1888, 1890, 1891, 1892, 1893, 1894, 1895, 1896, 1897, 1898, 1899, 1900 et 1901.
Labibliothèque Sainte-Geneviève, Paris, conserve des exemplaires deParis-Noël (côte FOL AE SUP 159 RES) pour les années : 1885,1886,1894.
« Paris-Noël », surCatalogue de la BNF pour les années 1885, 1894, 1897, 1902, 1908.
↑Acte de décès n° 1313 (vue 8/31). Archives en ligne de la Ville de Paris, état-civil du 7e arrondissement, registre des décès de 1902. L'acte précise qu'il était célibataire.
↑Gustave Goetschy,Catalogue des tableaux, aquarelles et dessins, armes de guerre, coiffures militaires et pièces d'armement provenant de l'atelier A. de Neuville : précédé d'une notice par Gustave Goetschy,, 106 p.(lire en ligne)
Il n'existe pas de site où l'on puisse consulter la revueParis-Noël en ligne. Ci-dessous une série de liens, nécessairement incomplets, vers un certain nombre de pages de la revue qui se trouvent surWikimédia Commons.