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Ourasi

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Ourasi
Image illustrative de l’article Ourasi

RaceTrotteur français
PèreGreyhound (TF)
MèreFleurasie (TF)[1]
Père de mèreRemember (TF)
Sexemâle
Robealezan foncé
Naissance
Pays de naissanceDrapeau de la FranceFrance
Mort(à 32 ans)
ÉleveurRaoul Ostheimer
PropriétaireRaoul Ostheimer
EntraîneurJean-René Gougeon
DriverJean-René Gougeon
Record1'11"5
Nombre de courses86
Nombre de victoires58 (22 places)
Gains en courses21 782 895 FRF (5 787 715,2 EUR2023)[2]
Principales victoiresPrix d'Amérique
Prix de France
Prix de Paris
Prix René Ballière
Prix de l'Atlantique
Grand critérium de vitesse de la Côte d'Azur
Critérium des Jeunes
Critérium des 5 ans
Prix de l'Étoile
Prix de Sélection
Elite-Rennen
Grosser Preis von Bild
Grand Prix d'Oslo
Aby Stora Pris
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Ourasi, surnommé« Le Roi Fainéant », est untrotteur françaisalezan foncé né le et mort le, quadruple vainqueur duPrix d'Amérique. Il a été élu meilleur trotteur français de tous les temps par le journalL'Équipe en 2006. Son flegme et sa nonchalance en piste sont devenus légendaires et lui ont conféré un charisme très particulier, faisant de lui le trotteur le plus populaire de l'histoire des courses.

Carrière

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Jeunesse et débuts

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Ourasi est né au haras de Saint-Georges, àSaint-Étienne-l'Allier, dans l'Eure, petit élevage normand appartenant à Raoul Ostheimer. Arrivant après Leurasie, Meurasie et Neurasie, Raoul Osteimer décide que le premier poulain de Fleurasie se nommera Ourasi[3]. Raoul Ostheimer ne fonde guère d'espoirs sur ce poulain qui lui parait paresseux et lourdaud[4]. Le haras traverse alors une passe économique difficile, et Ourasi est le seul poulain de l'année. À l'automne de ses deux ans, Ourasi commence sa carrière, entraîné et drivé par Raoul Ostheimer, qui est sourd et quasi-muet

Les débuts d'Ourasi ne sont pas convaincants : il se qualifie laborieusement avec Raoul Ostheimer fin sur l'hippodrome d'Argentan. L'année 1983 se révèle être un tournant dans la vie de poulain : Raoul et Rachel Ostheimer décident de confier le cheval àJean-René Gougeon, l'un des plus grands drivers français. Ce dernier est détenteur d'un palmarès éloquent : il a précédemment remporté le Prix d'Amérique (avecRoquépine etBellinoII). AvecJean-René Gougeon, Ourasi découvreVincennes, et s'impose à sa quatrième tentative, dans un prix de série. Malgré le fait qu'il n'ait encore jamais affronté les meilleurs de ses contemporains, il est engagé dans leCritérium des Jeunes, et à la surprise générale, le remporte avec classe au début del'année 1983.

Ourasi enchaîne les victoires aux niveaux classique et semi-classique, tandis qu'affluent des offres d'achat toujours plus mirobolantes que ses propriétaires refusent les unes après les autres. Ils décident de le confier à plein temps à Jean-René Gougeon qui est bientôt surnommé« Le Pape de Vincennes »[5]. Ce dernier doit composer avec le caractère très particulier du cheval[6] : dominateur et conquérant en courses, mais avare de ses efforts à l'entraînement. Cette nonchalance qui est la sienne parfois jusque dans l'aire de départ, voire pendant l'épreuve, où il semble ne s'intéresser à la compétition qu'à quelques centaines de mètres du but, participe à la légende d’Ourasi, et lui vaut un surnom : « le Roi fainéant ».

Au cours de l'année 1983, Ourasi bataille ferme contre ses adversaires qui lui disputent le titre de meilleur3 ans. S'il s'impose deux fois, il doit se contenter du premier accessit dans les quatre autres courses auxquelles il participe, dont leCritérium des 3 ans en fin d'année, où Orco, son rival d'alors, le devance. Cette rivalité est cependant de courte durée, car Orco ne se remet pas de ses luttes contre Ourasi et bientôt disparaît de la scène[7]. L'année 1984 voit Ourasi s'imposer dans deux semi-classiques. Il rate cependant ses rendez-vous les plus importants :4e duPrix de Sélection, distancé dans leCritérium des 4 ans,5e dans leCritérium Continental. À ce moment-là, Ourasi n'est pas encore considéré comme un grand champion...

La consécration

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Ourasi au haras de Gruchy en.

C'est en 1985 qu’Ourasi, alors âgé de cinq ans, passe la vitesse supérieure. Il réalise une saison hors normes : neuf victoires et quatre places en treize sorties, et si lePrix de Sélection lui échappe à nouveau (il termine 3e), il remporte leCritérium des 5 ans. Désormais leader de sa génération, Ourasi se présente en fin d'année face aux chevaux d'âge dans les préparatoires auPrix d'Amérique, où il s'annonce comme favori.Début 1986, après une victoire dans lePrix de Belgique, il remporte pour la première fois cette grande épreuve du trot, avec un record à la clé(1 min 16 s 6) devant le champion « Mon Tourbillon », qui est désormais l'un de ses plus sérieux rivaux.

En 1986, Ourasi demeure invaincu en14 courses, portant son invincibilité à522 jours et22 courses, et se forge un palmarès hors du commun :Prix de France,Prix de Sélection,Grand Critérium de Cagnes,Prix de l'Atlantique etc. Sa première incursion à l'étranger est une réussite, le cheval s'imposant en Allemagne dans l'Elite-Rennen. En, sa prestation dans lePrix René Ballière reste comme l'une de ses courses les plus légendaires : enfermé à la corde durant tout le parcours par un peloton entièrement ligué contre lui, il se dégage à quelques mètres du poteau, et au prix d'une accélération foudroyante vient surclasser « Mon Tourbillon » et « Noble Atout ». Il estinvincible. La série se poursuit durant l'hiver, et Ourasi accomplit l'exploit de remporter les quatre épreuves préparatoires duPrix d'Amérique, les « 4 B » (Prix de Bretagne, duBourbonnais, deBourgogne, deBelgique). En, il s'impose une deuxième fois dans le Prix d'Amérique. Parti à la cote improbable de 1,10 (1 franc de gain pour10 francs de mise), qui fait trembler lePMU, Ourasi s'illustre encore une fois,Jean-René Gougeon ayant voulu faire plaisir au public en lui offrant une spectaculaire envolée dans la ligne droite.

En 1987, Ourasi reste invaincu jusqu'en juin (2e duPrix René Ballière) portant son total à22 victoires consécutives et se succédant à lui-même au palmarès des plus grandes épreuves du calendrier. À la fin del'année 1987, contre le souhait de Rachel Tessier, Raoul Ostheimer décide de syndiquer le cheval en40 parts de 600 000 francs, ce qui porte sa valeur à24 millions, soit le record mondial à l'époque pour la syndication d'un trotteur. Il en conserve20 parts, tandis que les autres sont vendues en un temps record, parfois au-dessus du prix affiché. Contestant la vente et revendiquant des droits sur la propriété du cheval, Rachel Tessier intente une action en justice, mais est finalement écartée de l'entourage d’Ourasi[8] : elle ne reverra plus durant15 ans[réf. souhaitée] le cheval qu'elle a élevé avec son ex-mari.

En 1988, Ourasi remporte quinze de ses dix-sept sorties, et se produit une nouvelle fois à l'étranger, dans leÅby Stora Pris, en Suède. Il gagne un troisièmePrix d'Amérique, rejoignant au « panthéon des courses »Uranie,Roquépine etBellinoII, les trois seuls triples lauréats de la course.L'année 1988 est aussi marquée par l'aventure américaine du March of Dimes, et un combat « mythique » contre l'AméricainMack Lobell. Le vainqueur de ce combat doit en effet se voir octroyer une « suprématie mondiale ».

Le « match du siècle »

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En 1988, le crack américainMack Lobell, également surnommé « Mighty Mack » fait une première incursion, victorieuse, en Europe, en remportant l'Elitloppet en Suède. « Mighty Mack », le premier cheval à être descendu sous la barre mythique de1 min 10 s au kilomètre (en 1987, il a réalisé un temps sur unmile correspondant à1 min 9 s 7 au kilomètre), est alors considéré auxÉtats-Unis comme un champion hors normes, qui n'a pas d'adversaire à sa mesure. Seul Ourasi, qui cette année-là vient de s'adjuger un troisièmePrix d'Amérique, peut lui contester le titre de meilleur trotteur du monde. Mais les deux champions n'évoluent pas dans la même sphère : Mack Lobell se cantonne à l'exercice du sprint sur piste plate, s'aventurant peu au-delà du mile, tandis que son rival français a fait de Vincennes, et de sa piste infernale pour les bolides américains (en raison de la montée et des distances des grandes épreuves, 2 100 m au minimum), sa « forteresse imprenable ». Si les rares incursions à l'étranger d’Ourasi sont couronnées de succès (toujours sur 2 100 m), et si son aptitude au mile a été prouvée dans leGrand critérium de vitesse de la Côte d'Azur, qu'il a remporté quatre fois, aucune confrontation avec la star américaine ne se profile. Chuck Sylvester et John Campbell, l'entraîneur et le driver de « Mighty Mack », clament de leur côté que leur champion est le meilleur au monde, et qu’Ourasi ne saurait rivaliser avec lui. Tout au long del'année 1988, ils font monter la pression, accusant l'entourage d’Ourasi, qu'ils surnomment « the French poltron », de craindre la confrontation sur la piste. Le défi est lancé, mais pour l'entourage de Mack Lobell, pas question de régler cette affaire de suprématie sur terrain neutre, encore moins à Vincennes. Les Américains imposent donc leurs conditions : le match doit se dérouler à domicile, dans les circonstances les plus avantageuses pour leur cheval — sur 1 609 mètres[9], piste plate. À Ourasi de cumuler les handicaps : un long voyage, et des conditions de course qui ne lui sont pas familières, lui qui n'a jamais quitté l'Europe. Malgré la flagrante iniquité du challenge,Jean-René Gougeon relève le défi, et en est organisé àPhiladelphie leMarch of Dimes Trot - « le match du siècle ».

Faire s'affronter ces deux chevaux seuls pour les départager n'a pas de sens. Est donc constitué dans une course dotée de 600 000 dollars, un plateau exceptionnel réunissant autour des deux cracks les meilleurs chevaux d'Amérique du Nord (Sugarcane Hanover, Napoletano, Scenic Regal...), ainsi que le Suédois Callit. La course déchaîne les passions, en raison de la rivalité entre les deux chevaux, sans doute parmi les tout meilleurs de l'histoire des courses. L'épreuve a lieu le[10]. Elle est à la hauteur des espérances, réservant un final complètement inattendu. Mack Lobell prend rapidement les choses en main, voulant s'imposer à la manière des forts, comme à son habitude. Son départ canon lui permet de se porter très vite en tête, tandis qu’Ourasi pointe à neuf longueurs à la fin du premier tournant, mal loti avec sonno 7 derrière l'autostart. Mais dans la ligne d'en face, le Français passe tout le peloton en revue pour se porter à la hauteur de son rival à l'amorce du dernier tournant. La ligne droite finale se résume à un duel à couteaux tirés entre les deux cracks, l'Américain à la corde, flanqué à son extérieur par Ourasi qui peu à peu grignote du terrain : tout comme les spectateurs présents sur l'hippodrome, les deux drivers, Gougeon et Campbell, ne se préoccupent que de leurmano a mano, oubliant qu'ils ne sont pas seuls en piste. Quand finalement Ourasi « terrasse » Mack Lobell, il n'a pas course gagnée pour autant : un troisième larron, Sugarcane Hanover[11], que tout le monde a oublié, surgit du dos d’Ourasi et vient remporter la course sur le fil[12].

Suite et fin de carrière

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Ourasi est considéré comme l'un des meilleurs trotteurs de l'Histoire[2]. Début 1989, il est âgé de près de neuf ans et n'a pas faibli. Il s'apprête à disputer son quatrièmePrix d'Amérique, et en cas de victoire, signerait là un exploit unique. De retour des États-Unis, il a remporté les trois préparatoires qu'il a disputés, et personne ne l'imagine rater son « rendez-vous avec l'histoire ».

Pourtant avant la course, en ce dernier dimanche de janvier, rien ne se passe comme d'habitude. Ourasi est en effet un cheval au caractère bien particulier et requiert une préparation très méticuleuse. Du fait de ses multiples victoires, Ourasi est alors au faîte de sa gloire et de sa popularité. Le présidentFrançois Mitterrand assiste à la course[2]. Il est vrai qu'Ourasi possède un statut de « star » et il attire autour de son box une nuée de journalistes comme Vincennes en a peu connu. Or, quelques jours plus tôt, il souffre de petits soucis au niveau des reins, et juste avant la course, dans un environnement stressant, n'a pu uriner comme il en a l'habitude. Le détail a son importance et signifie que le cheval n'est pas au mieux. Alors que personne ne peut l'imaginer battu, Ourasi ne peut faire mieux que troisième, derrière la jumentQueila Gédé et derrièrePotin d'Amour, ce qui provoque une stupéfaction générale. Dans la foulée, Ourasi perd son complice de toujours : victime d'un infarctus,Jean-René Gougeon raccroche définitivement à61 ans, et c'est son frère Michel-Marcel dit « Minou » qui prend sa relève au sulky du crack.

Un mois plus tard, Ourasi rassure en s'adjugeant lePrix de Paris. Le« Roi Fainéant » s'arroge ensuite trois autresGroupe 1, dont leGrand Prix d'Oslo en Norvège. Néanmoins, il a neuf ans et l'âge de la retraite approche. LePrixd'Amérique 1990 sera forcément son dernier, puisqu'il aura alors atteint dix ans, âge limite pour que les trotteurs puissent se présenter à cette course. La victoire d'Ourasi est très attendue afin de conclure sa carrière en apothéose et devenir le cheval le plus titré de l'histoire. C'est chose faite le, après une préparation plus prudente qu'à l'accoutumée : « le Roi Fainéant » l'emporte tranquillement devant un public galvanisé par ce moment épique. Ourasi entre dans l'histoire. Il vient de briser le record du Prix d'Amérique en1'15"2[13].

Palmarès

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 Europe

Drapeau de la FranceFrance

Drapeau de l'AllemagneAllemagne

Drapeau de la NorvègeNorvège

Drapeau de la SuèdeSuède

Drapeau des États-UnisÉtats-Unis

Retraite

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brève description pouvant remplacer l'image
La photo officielle des30 ans du Crack.

Dans la foulée Ourasi entame une carrière d'étalon au haras d'Aunou-le-Faucon[14] (Orne), pour laquelle il est très attendu. Son prix de saillie est fixé à 90 000 francs, un record à l'époque. Mais au grand dam de ses propriétaires, Ourasi s’avère très peu fertile, ne donnant que huit poulains la première année, pour cent trente juments saillies, venues de France, de Scandinavie ou des États-Unis. On fait venir des spécialistes du monde entier, mais rien n'y fait : en dix ans, il ne donne que trente-huit poulains, et parmi eux aucun n'est devenu un champion à sa hauteur, son produit le plus riche étant le mâle « Émir des Fresnaux », né en 1992, ne totalisant que 337 866 € de gains[15].

Définitivement retiré de la monte, il passe ses jours au haras de Gruchy dans leCalvados à quelques kilomètres deBayeux. Il y est retraité depuis 1990 et y reçoit de nombreux visiteurs. Ces derniers n'hésitent pas à lui ramener pommes et carottes (coupées en rondelles)[14] qu'Ourasi aime mais doit manger avec grande modération malgré une gourmandise certaine. Il fête le ses31 ans, l'équivalent de100 ans pour un homme. En effet, la durée de vie moyenne d'un cheval de compétition est de25 ans. Ourasi vit paisiblement auprès de deux vaches qui partageaient son « territoire »[16]. Des fans du monde entier viennent régulièrement saluer le crack[17], qui se voit sacré « Trotteur du Siècle » parL'Équipe en 2006. Ourasi meurt le samedi, à presque33 ans, au haras de Gruchy, en Normandie[18].

Statue

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Le dimanche fut inaugurée la statue d'Ourasi sur l'hippodrome de Vincennes, réalisée par le sculpteurArnaud Kasper.

Origines

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Le père d’Ourasi, Greyhound (qu'il ne faut pas confondre avec un grand champion américain de l'entre-deux guerres), est un honorable compétiteur, se plaçant au niveau semi-classique. Mort après trois années de monte, il n'a guère le temps de s'imposer au haras, où il est assez attendu, eu égard à ses belles origines, puisqu'il est issu d'un croisement entre l'excellent étalon Ura, lui-même issu du championCariocaII et de la mythiqueGélinotte (double lauréate duPrix d'Amérique), et de Strada, fille du crackJamin (également deuxPrix d'Amérique à son actif).
Quant à sa mère Fleurasie, bien qu'elle ait pour ascendants quelques grands noms de l'élevage français (AtusII,CariocaII,HernaniIII et Euripide), sa lignée maternelle n'est pas des plus belles. Retirée au haras après une carrière de courses passée inaperçue, elle va toutefois s'y faire remarquer : en effet, outre le cheval du siècle, elle donne naissance à une autre championne,Vourasie dont le père n'est autre que le grand étalon « Fakir du Vivier ». Vourasie, petite sœur d’Ourasi s'illustre à trois reprises sur le podium duPrix d'Amérique, même si elle ne parvint pas à le remporter. Elle s'octroie, de plus, unPrix de France, et surtout gagne la « bagatelle » de troisPrix de Paris. On note enfin, dans le pédigrée d’Ourasi, la double consanguinité surCariocaII (3 × 4) etHernaniIII (4 × 4).

Origines deOurasi[19], mâle,alezan foncé.
Père
Greyhound
UraCariocaIIMousko Williams
Quovaria
GélinotteKairos
Rhyticère
StradaJaminAbner
Dladys
EtchidaHernaniIII
Trita
Mère
Fleurasie
RememberAtusIIHernaniIII
Juignettes
BredouilleQuirogaII
Stèle
Tania du MontL'XCariocaII
Uvette
MoniquaIIEuripide
Igra

Notes et références

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  1. Pédigrée de Fleurasie.
  2. ab etcMatin Plus, 7 avril 2010,p. 13.
  3. Homéric 2000,p. 39.
  4. Homéric 2000,p. 105.
  5. Le Parisien, 28 janvier 2010,p. 23.
  6. Libération, 30 janvier 1999.
  7. Homéric 2000,p. 156.
  8. Article duMonde, 13 avril 1989.
  9. Homéric 2000,p. 323.
  10. Homéric 2000,p. 321.
  11. Homéric 2000,p. 331.
  12. (en) [vidéo] ustrotting, « Sugarcane Hanover -- 1988 March of Dimes Trot », surYouTube, (consulté le)
  13. Homéric 2000,p. 355.
  14. a etbLe Parisien, 27 janvier 2010,p. 25.
  15. « Classement par gain - Étalon Ourasi », surtrot-pedigree.fr(consulté le).
  16. « À 31 ans, Ourasi le trotteur duXXe siècle, a toujours bon pied et bon œil », surlepoint.fr, Le Point(consulté le).
  17. « À 31 ans, Ourasi est toujours aussi fringant », surfrancesoir.fr(consulté le).
  18. « Le cheval du siècle Ourasi est mort », surlepoint.fr,.
  19. « Trot-pedigree.fr - Ourasi »(consulté le)

Bibliographie

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Annexes

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Articles connexes

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