Mios se situe au sud-ouest du département de la Gironde et plus précisément dans le Val de l'Eyre, dans laforêt des Landes. Elle fait partie duparc naturel régional des Landes de Gascogne. La commune a la forme d’un fuseau allongé placé dans un axe approximatif sud-ouest/nord-est. Sa limite nord touche lelieu-dit deCroix-d’Hins, tandis que sa pointe sud-ouest passe près du lieu-dit Gare de Caudos sur la route menant àSanguinet. Environ vingt-huit kilomètres séparent ces deux extrémités. Sa largeur est estimée à huit kilomètres pour une superficie de 13 741 hectares. Cette grande superficie place la commune au premier rang ducanton de Gujan-Mestras. Son altitude varie de quatre à environ 65 mètres.
Les terres de la commune sont arrosées par l'Eyre et ses affluents, leruisseau de Lacanau et le ruisseau de la Surgenne, parfois nommé « Ruisseau de l'Île ».
Au, Mios est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8].Elle appartient à l'unité urbaine de Mios[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (84,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (34,9 %),terres arables (5,9 %), zones urbanisées (5,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), mines, décharges et chantiers (0,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %), prairies (0,2 %), eaux continentales[Note 3] (0,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Mios est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le, les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[17]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[18],[19].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mios.
Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie. 43,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 3 794 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 215 sont en aléa moyen ou fort, soit 58 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national auretrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site duBRGM[20],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national descavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].
La commune de Mios fait partie du pays de Buch, comme l’attestent les premières mentions de son nom au XIVe siècle : « Myos in Bogio » (c’est-à-dire « en Buch »). Le vocable qui la dénomme est naturellement bien plus ancien, remontant sans doute à l’époque gallo-romaine, où il désignait peut-être un certain « Minus ». Le « n »intervocalique aurait ensuite disparu.
La situation de Mios est celle d’un lieu carrefour, jumeau de celui de l’antique Boïos-Lamothe à son sud-est, à la fois terrestre et fluvial, puisque son site primitif est constitué par les bords de l’Eyre et ses affluents. Mios s’est en fait établi à un carrefour ancien entre un axebassin d’Arcachon-amont de l’Eyre et un autre Bordeaux-Sanguinet. C’est par ungué majeur, à l’emplacement du pont actuel, et par divers gués annexes qu’on franchissait le fleuve, aucun pont n’existant avant leXIXe siècle.
Au siècle dernier, des routesgoudronnées, nombreuses et en bon état, ont remplacé les trois grandes allées de terre qui étaient autrefois les seuls axes terrestres praticables se dirigeant vers Bordeaux et correspondant aux trois gués principaux. La première traversait l’Eyre au Pas de Caussat et reliait Lillet, Reganeau, La Lande etMarcheprime (Testarouch). La seconde venant deSalles passait par Calvin, Hourcet, le pont de Fort puis Lacanau de Mios. La troisième arrivait deLa Teste, suivant à peu près le tracé de l’ancienne voie romaine, franchissait l’Eyre et les marais de Pont Neau, puis Testarouch et Toctoucau.
La présence humaine à Mios est attestée de part et d’autre de l’Eyre depuis lechalcolithique, c’est-à-dire 6 000 à 7 000 ans avant notre ère, d’abord grâce aux recherches de Bertrand Peyneau[22], puis par des découvertes plus récentes. Elles indiquent que, de l’âge du bronze à l’âge du fer, les traces d’habitats et les sites funéraires se répartissent principalement le long des berges de la rivière, mais aussi de ses ruisseaux affluents, révélant un relatif éparpillement de l’occupation humaine qui, malgré l’importance du bourg actuel, est toujours d’actualité, comme le montre la présence de plusieurs quartiers bien distincts les uns des autres sur le territoire de la commune. Les principaux sont aujourd’hui : Lacanau de Mios, Lillet, et Petit Caudos.
Si les experts s’accordent sur l’existence d’une, voire de plusieurs, villas gallo-romaines, les emplacements n'ont toujours pas été retrouvés. Des éléments de fouilles épars – mosaïque, céramiques, monnaies – indiquent cependant l’existence d’un habitat gallo-romain lui aussi dispersé[23]. La pauvreté des sols, composés de landes et de marécages, n’a apparemment pas permis de constituer une aristocratie terrienne assez riche pour se doter (et doter Mios) de bâtiments en dur et aucun vestige significatif remontant aux époques antique et médiévale n'a été retrouvé.
La nature acide des sols a par ailleurs entraîné la disparition des éléments en bois, des métaux, des ossements qui pourraient être précieux pour l’archéologue.
Comme pour l’ensemble duPays de Buch, un grand vide historique a été constaté entre la fin de l’époque gallo-romaine (Ve siècle) et leMoyen Âge classique ; non pas que Mios fût déserté aux époques mérovingienne et carolingienne, mais faute de vestiges, sarcophages, armes, etc., et de sources épigraphiques ou de documents ecclésiastiques.
Même si le mode de vie gallo-romain a perduré au-delà de la fin de l’Empire, et en dépit du manque de traces dans les écrits ou dans les fouilles, les terres duPays de Buch n’ont pas dû connaître, jusqu’au Moyen Âge classique, une quiétude semblable à celle procurée par laPax Romana. En effet, enAquitaine, le long de laGaronne essentiellement, mais aussi sur les régions côtières, se sont succédé des passages de peuples ou de bandes tribales duVe au Xe siècle :Wisigoths,Francs,Arabes,Vikings.
Depuis les premières traces connues, l’activité agropastorale assez pauvre ne se distingue en rien de celle des communes avoisinantes. Le territoire, traversé par l’Eyre, bordé par les communes deSanguinet,Le Teich,Biganos,Cestas,Le Barp, etSalles, est essentiellement constitué d'une grande plaine au sol sablonneux et aride dont l’acidité ne favorise pas la culture de céréales, comme le froment, qui demande un sol riche, épais et plutôt calcaire. Par contre, les hommes y ont toujours trouvé du seigle et du millet et — après l'introduction de celui-ci en Europe — un peu de maïs, qui complétaient, avec les ruches, les ressources importantes de l’élevage de moutons et de vaches. Outre l’agriculture vivrière, les activités des habitants de Mios étaient tournées vers l’exploitation du bois et de ses dérivés :grumes,planches, piquets,charbon de bois,poix… Cette activité a duré de laprotohistoire jusqu’auxscieries et usines detérébenthine desXIXe et XXe siècles.
L’Eyre fut, depuis le début des activités humaines riveraines, un moyen de transport majeur qui permettait les échanges avec le bassin d'Arcachon (flottage du bois, batellerie) ou avec laGrande-Lande, car des traces portuaires ont pu être mises évidence sur ses rives. Mais les Miossais étaient aussi réputés depuis longtemps pour leurscharrois, menant leurs attelages par les voies difficiles de la lande, notamment vers Bordeaux, ou via un autre axe aujourd’hui disparu, le « chemin du sel », du Bassin à La Brède.
Le transport vers Bordeaux du charbon de bois et du petit bois destinés aux particuliers, artisans et commerçants représentait un volet important de l’activité. Ces produits servaient au chauffage, à la cuisson des aliments, aux fours de boulanger, mais aussi, pour le charbon de bois, à des applications artisanales sidérurgiques. Les muletiers transportaient aussi de la résine et de la poix vers le port de Bordeaux, ainsi que des victuailles diverses, volailles, denrées agricoles, miel.
Y avait-il une « mansio », un gîte d’étape, à l’époque gallo-romaine ?
Outre les indices épars indiqués par Bertrand Peyneau, où se trouvait l’habitat gallo-romain : villa, fermes, la ou les nécropoles, les lieux de culte ?
La période qui suit est un peu plus riche en renseignements et quelques seigneuries voient le jour, comme Certes, ou des établissements religieux mentionner leurs possessions, parmi lesquelles Mios. Si les principaux châteaux étaient àAudenge, à Lamothe, àLa Teste, ils laissent supposer l’existence de quelques ouvrages défensifs en terre, de moindre importance (mottes) sur la commune de Mios à partir desXIe – XIIe siècles, mais les Miossais devaient cependant assurer le service de garde ailleurs, àAudenge notamment. Il faut souligner que ces « gardes » dues aux seigneurs consistaient surtout à surveiller la mer, car du côté des terres, les landes et marécages protégeaient bien mieux que les modestes « castéras ».
À lafin du Moyen Âge, l’Aquitaine passe de la domination anglaise à celle des rois de France, mais, pour nos Gascons duPays de Buch et de la « petite mer », isolés au milieu de leurs landes souvent inondées, rien ne change vraiment. Les transporteurs de bois, de poix, de sel ou de poissons partis de Salles, de Mios ou des bords de la mer mettent toujours plusieurs jours par de mauvais chemins de sable pour rejoindre la grande ville de Bordeaux. Dans les hameaux, chacun vit pauvrement, en quasi-autarcie : de maigres troupeaux donnent le lait et la viande, et leur fumier, dans ces terres si pauvres, permet de cultiver le seigle pour le pain et la vigne pour le vin.
Les familles portent souvent les mêmes noms et, pour les différencier, beaucoup sont qualifiées par des sobriquets liés au lieu d’habitation, au métier ou à une particularité physique. Ces « chafres » pouvaient se transmettre sur plusieurs générations et sont souvent encore utilisés de nos jours.
La Révolution française permet le transfert de la propriété des terres cultivées, des seigneurs vers ceux qui les travaillent, et favorise l’émergence d’une bourgeoisie locale avide de changements grâce au libéralisme économique. Tout change avec la révolution industrielle, trop vite pour beaucoup qui n’acceptent que très difficilement ce passage de la vie agropastorale aux nouvelles activités et aux nouveaux moyens de transport. Les briqueteries et les forges exploitent les richesses locales et inaugurent le passage du travail de la terre à l’industrie naissante.
La loi de 1857 qui impose le drainage des Landes de Gascogne et l’implantation de la grande sylviculture bouleverse complètement la vie des habitants. Les bergers doivent laisser la place aux forestiers qui, après un travail très important de construction de routes et de creusement de fossés ou crastes, plantent et exploitent le pin maritime. Cet arbre qui a toujours existé sous forme de quelques « pignadars » permettait, déjà avant l’époque romaine, l’exploitation des bois résineux pour en extraire la poix très recherchée pour le calfatage des bateaux. Avec la plantation de cet immense massif de pins maritimes, l’exploitation du bois et de la résine se généralise et l’arrivée du chemin de fer permet de transporter toutes ces richesses entre leurs lieux de production et ceux de leur mise en valeur. Une grande quantité d’établissements industriels voient le jour : les scieries transforment le tronc brut en bois d’œuvre et de nombreuses distilleries de gemme se créent dans tout le territoire, le plus souvent en des endroits proches d’une station du chemin de fer. Le centre bourg de Mios voit ainsi l’établissement, rien qu’autour de la gare, de trois grosses scieries et de deux ateliers à gemme. C’est à Mios que, pour la première fois, les hommes fabriquent du papier à partir du bois de pin maritime. En 1884, la ligne des Chemins de fer économiques était en effet venue s’ajouter au réseau des « routes agricoles » décrété le1er août 1857 et construit par la Compagnie du Midi, permettant à nos populations de se déplacer plus facilement.
La commune de Mios a traversé l’Histoire en laissant des témoignages nombreux pour l’époque préhistorique, mais plus rares pour les périodes pastorales, marquées par l’exploitation des ressources de la forêt, de son bois et des pâturages. Elle est ensuite entrée tout doucement dans « l’ère moderne ».
« D’azur à un écureuil d’or rongeant une noisette du même. Au chef de gueules à trois coquilles de Saint-Jacques d’or et de sable posées en fasce, oreilles tournées vers le chef. »
On remarque, dans l'évolution de la population miossaise, une augmentation presque constante jusqu'à laPremière Guerre mondiale.À l'issue de la Grande Guerre, la population a chuté de près de 10 %. Une baisse quasiment continue marque l'entre-deux-guerres en raison du nombre de morts, mais également du manque de naissances, de l'exode rural qui a touché les campagnes à cette époque et de la fin de l'exploitation despins par lesgemmeurs.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[24],[Note 4].
En 2022, la commune comptait 11 756 habitants[Note 5], en évolution de +23,58 % par rapport à 2016 (Gironde : +6,91 %,France horsMayotte : +2,11 %).
Cette église, achevée en 1887 et non modifiée depuis, est venue remplacer la chapelle de Florence devenue trop petite. C’est Pierre Lalande, entrepreneur à Salles, qui fut chargé de la construction avec entre autres les matériaux de l’ancienne chapelle démolie. L’église Saint-Jean se compose d’un clocher octogonal, d’une nef d’environ 12 mètres prolongée par le chœur et terminée par une abside pentagonale. Une sacristie est accolée au chœur, côté sud. Les murs ainsi que le chœur, ont été entièrement peints par le décorateur Ricaud.
Bertrand Peyneau, né à Mios le et décédé le, est un docteur en médecine, maire de Mios de 1884 à 1919 et archéologue reconnu. Il a effectué de nombreuses fouilles dans la commune et a découvert notamment la cité gallo-romaine de Boïï en bordure de l’Eyre. Ses collections archéologiques ont été léguées au musée de la Société Scientifique d’Arcachon. Il a fait éditer en 1926 trois livres résumant le résultat de ses recherches, « Découvertes Archéologiques dans le Pays de Buch ».
François Bernardin Azaïs, né le à Saint-Pons dans l’Hérault et mort en 1966, entre au couvent à l’âge de quinze ans, Il est nommé vicaire en 1941 puis curé desservant Lacanau de Mios jusqu’en 1957. Le père Azaïs est unfrère capucin, membre de l’ordre des frères mineurs capucins (O.F.M.C.). En 1897, il part enÉthiopie rejoindre la mission dite des «Galla ». Missionnaire, il est chargé de la création d’uneléproserie avec l’aide deMonseigneur Jarosseau, mais également de la conversion de la population localeoromo. Après cette expérience, Azaïs est chargé de s’occuper de l’imprimerie de la mission. Il rédige et publie de nombreux articles sur la vie de la mission, mais aussi sur l’Église orthodoxe éthiopienne et la religion des « Galla ». Pendant ces dix-sept années passées comme missionnaire, de 1922 à 1926, Azaïs a également participé à des expéditions archéologiques enThrace et en Éthiopie.
Pierre Germain, né à Mios le et décédé le est undocteur en médecine et maire de Mios de 1925 à 1944. Éminent érudit, le docteur Germain est aussi amateur d’art et rencontre de nombreux artistes dans des disciplines aussi variées que la poésie, la littérature, la peinture, la sculpture. Grand collectionneur, sa maison est un véritable musée. Passionné d’astronomie, il fait construire l’observatoire et différents postes de mesures sur le lotissement qui porte aujourd'hui son nom.
Crée en 2000, le comité de jumelage entretient des échanges réguliers avec ses homologues, notamment durant les fêtes locales. Des cours d’espagnol sur trois niveaux sont proposés d’octobre à juin pour les Miossais volontaires.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑ArticleLa stèle de Mios, revue « Azur & Or » éditée par l'Association nationale des officiers de réserve de l'Armée de l'air (ANORAA), n° 214, septembre 2020, page 24.