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Lamicronutrition est le domaine de la nutrition qui implique les micronutriments. Cette pratique demédecine complémentaire propose de modifier son régime alimentaire ou d'y adjoindre des suppléments alimentaires en vue d'une meilleure santé ou de meilleures performances.
L’Afssa estime que : La « micronutrition » n’est pas actuellement un concept défini sur le plan scientifique et ne bénéficie pas d’une reconnaissance officielle des institutions compétentes[1]
Les aliments ingérés par les humains apportent :
Ces micronutriments sont indispensables à la bonne assimilation, à la bonne transformation, à la bonne utilisation des macronutriments.
Les micronutriments ne peuvent pas être fabriqués par l’organisme et doivent impérativement être apportés par une alimentation variée, équilibrée et de bonne qualité.
À la fin du siècle dernier, les scientifiques ont découvert que certaines pathologies humaines sont liées à des carences nutritionnelles en vitamines, probiotiques, acides gras, métalloïdes, qu'ils ont appelé micronutriments: la micronutrition était née.
Pour fonctionner correctement l'organisme dans sa totalité et pour chaque organe a besoin quotidiennement de l'apport de ces nutriments contenus dans l'alimentation; qu'ils soient en déficit ou en excès, le mécanisme s'enraye et des symptômes peuvent apparaitre.
Chaque organisme est différent et utilise les micronutriments selon son fonctionnement personnel.
Le conseil est donc également individualisé.
Diagnostiquer le déficit ou l'excès dû à l'alimentation.Les corriger et apporter les micronutriments nécessaires pour un équilibre optimal; anti-oxydants et antivieillissement, probiotiques nécessaires au bon fonctionnement intestinal, acides gras essentiels, vitamines et bien d'autres molécules.
Les laboratoires faisant la promotion de la micronutritionprétendent que celle-ci s'applique dans plusieurs domaines médicaux[3] :
Paragraphe sans fondementDe nombreuses études[réf. nécessaire] ont en effet montré qu’une alimentation riche en micronutriments contribue à diminuer les risques decancers, maladies cardio-vasculaires (infarctus, accident vasculaire cérébral), maladies inflammatoires, métaboliques (obésité[4][source insuffisante], diabète,dyslipidémie), ostéoporose, et dégénératives,maladies d'Alzheimer, Parkinson, et autres…).
La formation des pharmaciens est très variable dans le domaine de la nutrition ; enFrance, une seule faculté, Dijon, possède un service dédié. Un rapport publié par l'Académie nationale de médecine suggère que l’enseignement soit coordonné par des enseignants spécialistes de la question. En France, les officinaux restent trop dépendants des sociétés commerciales pour leur formation continue, alors nécessairement biaisée[5] :