Louis II de Flandre (1330-1384), ditLouis II de Male, comte de Flandre (Louis II), comte de Nevers et de Rethel (Louis III) (1346-1384), comte de Bourgogne et d'Artois (Louis Ier, 1382-1384).
Devenu veuve en 1346, Marguerite est dotée d'un patrimoine encore modeste dispersé entre la Bourgogne, le Nivernais, la Champagne et la Flandre. Mais sa situation change totalement en 1361 à la mort de son petit neveu le ducPhilippe Ier de Bourgogne dont elle hérite des titres et des charges des comtés de Bourgogne et d'Artois[2].
↑Jean Baptiste Santamaria,Gouverner au féminin : Marguerite de France, comtesse d’Artois et de Bourgogne, Presses universitaires du Septentrion,(lire en ligne), Introduction
Pierre Gresser, « Les donations de bois en Franche-Comté sous Marguerite de France (1361-1382) »,Mémoires de la Société pour l'histoire du droit et des institutions des anciens pays bourguignons,vol. 56,,p. 63-105(résumé,lire en ligne).
Jean-Baptiste Santamaria,« La mise en défense du comté d’Artois sous Marguerite de France: 1361-1382 », dansAlain Marchandisse etBertrand Schnerb (dir.),Autour d’Azincourt : une société face à la guerre (v. 1370-v. 1420), Villeneuve-d'Ascq, Revue du Nord (hors série),(ISBN979-10-93095-09-7),p. 305‑331.
Louis Stouff, « Marguerite de France, comtesse de Flandre, d'Artois et de Bourgogne et sa ville d'Arbois au comté de Bourgogne : étude sur le gouvernement de cette princesse d'après le cartulaire de ses actes aux archives de la Chambre des comptes de Dijon et d'autres documents inédits, 1331-1382 »,Annales de Bourgogne,vol. 3,,p. 1-37(lire en ligne); Pièces justificatives, t. 3, p. 254-259 ; t. 4, 1932, p. 240-244 ; t. 5, 1933, p. 257-259.