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Marcus Junius Brutus

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Pour les articles homonymes, voirIunius Brutus.

Marcus Junius Brutus
Buste en marbre de Marcus Junius Brutus.
Fonctions
Magistrat monétaire(en)
- av. J.-C.
Triumvir monetalis
Sénateur romain
Préteur urbain
Questeur
Gouverneur romain
Préteur
Biographie
Naissance
Décès
Époque
République romaine tardive(en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Famille
Junii Bruti(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Père
Marcus Junius Brutus(en) ou Quintus Servilius Caepio(en) (père adoptif et oncle maternel(en))Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Fratrie
Junia Secunda (sœur utérine)
Junia Tertia (sœur utérine)
Marcus Junius Silanus (frère utérin)
Junia Prima(d) (sœur utérine)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoints
Claudia Pulchra maior(d)(jusqu'en)
Porcie(de à av. J.-C.)Voir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Calpurnius Bibulus(d) (beau-fils)
Decimus Junius Brutus AlbinusVoir et modifier les données sur Wikidata
Gens
Statuts
Patricien(d),nobilitasVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Parti politique

modifier -modifier le code -modifier WikidataDocumentation du modèle

Marcus Junius Brutus Cæpio, ditBrutus, né vers85 av. J.-C. àRome et mort le àPhilippes, est unsénateur romain,juriste etphilosophe de la fin de laRépublique romaine, fils deServilia, la maîtresse deJules César, auquel il porta le dernier coup, en le poignardant le

Brutus possède à la fois l'image dutraître par excellence, pour sa participation à la mort dudictateur romain, qui lui avait pardonné son adhésion au parti dePompée, et celle d'un homme vertueux, qui préféra toujours le salut de la République au sien.

Plutarque dresse de lui un portrait tragique et vertueux, constatant que « même ceux qui lui veulent du mal pour ce qu'il conjura à l'encontre de César, s'il y a eu aucune chose généreuse faite en toute la conjuration, l'attribuent à Brutus »[1].

Biographie

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Origine

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Brutus prétend descendre deLucius Junius Brutus qui, en-509, après leviol deLucrèce, renverse le dernierroi de Rome,Tarquin le Superbe, et, de ce fait, fonde laRépublique romaine. Bien quePlutarque ait rapporté et approuvé cette ascendance traditionnelle, il énonce aussi une origine plus prosaïque : selon certains, il est issu d'une « maison populaire », Junius Brutus n'ayant pas eu de descendance, car il a lui-même fait périr ses enfants[1].

Son père légitime est Marcus Junius Brutus[2], partisan deMarius, et sa mèreServilia Cæpionis, demi-sœur deCaton d'Utique. Il naquit en 85 av. J.-C. et tient de son oncle, qui l'adopte, son deuxièmecognomen deCæpio[réf. nécessaire]. Contrairement à une idée répandue et à une rumeur rapportée parPlutarque, Brutus n'a jamais été adopté parJules César[2]. L'hypothèse selon laquelle il serait le fils naturel de Jules César, affirmée parPlutarque, est généralement rejetée par les historiens modernes[2].« Il a successivement un père légitime (M. Junius Brutus) et un père adoptif (Q. Servilius Cæpio), ainsi que deux beaux-pères (Ap. Claudius Pulcher, M. Porcius Cato), le second ayant également joué auprès de lui le rôle de père nourricier »[2].

Jeunesse

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Brutus passe une grande partie de sa jeunesse en Grèce à étudier la philosophie.

Il est envoyé à Chypre en -58/-57 avecCaton d'Utique (Marcus Porcius Cato), son oncle, qui l'élève, pour organiser l'annexion de l'île. Brutus y fait preuve de bonté envers la ville deSalamine de Chypre qui ployait sous les dettes. Il revient à Rome enrichi et commence soncursus honorum. Il obtient en -53 laquesture enCilicie où il s'enrichit encore plus. Sa conduite est ensuite dénoncée parCicéron.

Larépublique agonisante est l'objet d'une lutte entreJules César d'une part, et leSénat, sous la protection dePompée, de l'autre. Brutus suit le parti dePompée dans laguerre civile (bien que Pompée ait fait exécuter son père lorsque Brutus était enfant), pensant que c'était dans ce parti qu'il serait le plus utile à Rome, et combat César à labataille de Pharsale (-48). Choisissant d'oublier cet épisode, César, qui, d'après Plutarque, le considérait comme son propre fils[3], l'appelle auprès de lui après sa victoire, et le comble de faveurs. César lui fait gravir les échelons ducursus honorum traditionnel. Il est nommé gouverneur deGaule cisalpine pour -46/-45, puispréteur urbain pour l'année -44, préféré alors à son concurrent,Caius Cassius Longinus, lui aussi futur assassin de César, qui est nommé préteur pérégrin. Ces faveurs « intéressées » ne l'empêchent pas de garder ses idéaux vertueux et républicains.

Assassinat de César

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Assassinat de César parVincenzo Camuccini.
Articles détaillés :Assassinat de Jules César etTu quoque mi fili.
Denier à l'effigie de Brutus et d'Ahala. Date : 54av. J.-C. Description avers : tête nue et barbue de Brutus l'ancien à gauche. Description revers : tête nue et barbue d'Ahala à droite.

Devenupréteur, son tribunal est constamment couvert de lettres lui enjoignant d'être digne du nom de Brutus, son aïeul revendiqué, qui avait mis fin à la période royale de Rome, tandis qu'on soupçonne César de vouloir se faire proclamer roi. Restant fermement républicain malgré les faveurs de César, il participe à l'organisation de l'attentat contre le dictateur avecCassius Longinus,Publius Servilius Casca,Cimber Tillius etDecimus Junius Brutus Albinus, autre ami de César. Les conjurés font valoir la fidélité de Brutus aux idéaux de ses ancêtres.

Aux Ides de Mars, il est présent au Sénat et donne un coup de poignard à César, mais refuse que les conjurés assassinent égalementMarc Antoine. César, au moment de mourir, le voyant au nombre des conjurés, se serait alors écrié engrec « καὶ σύ, τέκνον » (« Kaì sú, téknon », enlatin « Tu quoque mi fili »), signifiant « Toi aussi, mon fils[4] ».

Lutte contre lestriumvirs, bataille de Philippes et mort

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Après ce meurtre et sous la pression des partisans de César, Brutus se réfugie sur leCapitole avec les conjurés et finit par rejoindre Athènes, puis sa province de Crète. Contrairement à Cassius, il fait preuve de clémence et de modération pendant les sièges de villes en Orient, en tentant notamment de protéger les édifices. Poursuivi parMarc Antoine qui veut venger à la fois la mort de César et celle de son propre frère, Caius Antonius, assassiné sur les ordres de Cassius et Brutus en représailles de la mort de Cicéron (43), il rejointCassius. La bataille décisive les oppose à Marc Antoine etOctave dans la plaine dePhilippes, dans la province deMacédoine. Dans un premier temps, les troupes de Brutus s'emparent du camp d'Octave, tandis qu'Antoine massacre les légions de Cassius qui, persuadé de la défaite de Brutus, se suicide.

À nouveau vaincu trois semaines plus tard par Antoine (et Octave dans une moindre mesure), Brutus se suicide. On dit qu'il se serait écrié en mourant, le 23 octobre42 av. J.-C. : « Vertu, tu n'es qu'un mot ! » ; mais ces paroles de désespoir n'ont rien d'historique[5]. En apprenant la nouvelle, sa veuve,Porcia, la fille deCaton d'Utique, se serait suicidée en avalant des charbons ardents, mais ce point est discuté.Robert Garnier a composé une tragédie sur ce sujet :Porcie (1568). La dépouille de Brutus est envoyée à ses vainqueurs.

On peut dire que sa mort marque définitivement la fin de la République. Octave et Antoine affirment leur pouvoir avant de se déchirer eux-mêmes.

Activité littéraire

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Brutus cultive un très grand intérêt pour les lettres et la philosophie. On l'a souvent considéré comme un adepte dustoïcisme, mais il se situe en réalité davantage dans l'héritage dePlaton et de l'Académie et peut y puiser des raisons d'intervenir contre César[6].

Il compose un éloge de son oncle et beau-pèreCaton d'Utique et d'autres ouvrages qui ne nous sont pas parvenus, en particulier unDe virtute et unDe patientia - il ne reste toutefois de lui que quelques lettres àCicéron et àAtticus. Cicéron lui a dédié plusieurs de ses traités philosophiques :Paradoxes des stoïciens,De finibus bonorum et malorum,De Natura Deorum, lesTusculanes[7], et de ses traités sur l'art oratoire :De claris oratoribus etOrator ad Brutum.Plutarque a écrit saVie.

La mort de Brutus

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Le dernier discours de Brutus

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Brutus s'exprimant à ses troupes, pour la dernière fois :

« Ce m'est une très grande joie, en cet instant, de constater que je n'ai été trahi par aucun de mes amis. Si j'avais des reproches à faire, je n'en ferais qu'à la Fortune. Non pour moi, mais pour ma patrie. Car je m'estime, pour ma part, plus heureux que nos vainqueurs. Dans le passé comme aujourd'hui, oui, je suis plus heureux qu'ils ne le seront jamais.

Je laisserai au moins une réputation de vertu. De cela, ils ne triompheront jamais par les armes. Et tout leur argent ne parviendra pas à la ternir cette vertu. Ils ne pourront empêcher la postérité de voir en eux des individus méchants et injustes, qui auront mis à mort des hommes de bien, loyaux et justes, dans le but d'usurper un pouvoir auquel ils n'avaient aucun droit.

 »

— Plutarque,Vie de Brutus LX, 52.

Sa mort vue par les historiens de l'Antiquité

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La mort de Brutus a été relatée par les historiens de l'Antiquité :

« Renonçant à sauver sa vie et croyant indigne de lui d’être pris, il se réfugia, lui aussi, dans la mort. Après s’être écrié, comme Hercule : « malheureuse vertu ! tu n’étais qu’un mot ; je te cultivais comme une réalité, et tu étais l’esclave de la fortune » ; […] Il pria un de ceux qui se trouvaient avec lui de le tuer. »

— Dion Cassius, 47, 49

« […] puis il se retira à l’écart avec deux ou trois personnes seulement, dont Straton. Il l'avait connu en étudiant la rhétorique. Il approcha le plus près de lui, et prenant son épée à deux mains par le manche, il se laissa tomber de son haut sur la pointe, et il se tua ainsi. »

— Plutarque,Vie de Brutus, 63

« Lors Brutus se retournant vers ses amis, leur parla ainsi :« Puis qu’il en est donc ainsi, je ne suis plus utile en quoi que ce soit à ma patrie. » Alors il appela un de ses principaux amis, nommé Straton, et il le pria de vouloir avancer sa mort. Et voyant que ce Straton temporisait et voulait le persuader d'adopter de meilleures pensées, il appela l’un de ses esclaves pour exécuter ce projet. Alors Straton lui dit :« En donnant ce dernier ordre, tu ne manqueras pas davantage d'un ami que d'un esclave ! » Et aussitôt, il lui fit passer son épée à travers le corps, sans que Brutus se retirât ni ne remuât. »

— Appien, 4, 17

Personnage littéraire

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Marc Aurèle rend hommage à Brutus

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« De Sévère : l'amour de la famille, de la vérité et de la justice, et grâce à lui la découverte de Thraséas, Helvidius, Caton, Dion et Brutus, la notion d'un gouvernement démocratique, fondé sur l'égalité et le droit d'expression, et d'un empire respectant par-dessus tout la liberté de ses sujets ; mais aussi le culte constant et régulier de la philosophie, la bienfaisance, la libéralité, l'espérance et la foi en l'amitié, la franchise envers ceux qu'il désapprouvait et la transparence envers ses amis, qui n'avaient jamais à s'interroger sur ce qu'il voulait. »

Marc Aurèle,Écrits pour lui-même, 14.

  • L'empereurMarc Aurèle fut stoïcien, il semble associer ici Dion à Brutus, tous deux platoniciens, comme l'avait fait avant lui Plutarque[8].

LaDivine Comédie, de Dante

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Dans laDivine Comédie,Dante accompagné deVirgile, descend auxEnfers, qu'il dépeint comme organisé en différents cercles. Le premier cercle accueille les auteurs de crimes dont la gravité est jugée moindre, jusqu'au neuvième cercle, où sont punis les traîtres. Trois traîtres sont dans la gueule deLucifer :Judas Iscariote, traître envers Jésus, donc traître suprême, Brutus etCassius, traîtres enversJules César, donc envers l'autorité impériale.

Tragédies françaises

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Brutus apparaît dans trois tragédies humanistes françaises :

Shakespeare

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Brutus apparaît dans la pièce deWilliam Shakespeare,Jules César, voici un extrait de Brutus s'expliquant devant le peuple romain :

« BRUTUS : S'il y a parmi vous quelque vrai ami de César, eh bien, qu'il sache que l'amour que Brutus portait à César n'était pas moindre que le sien. Et s'il me demande pourquoi Brutus s'est dressé contre César, voici ma réponse : je n'aimais pas César moins, j'aimais Rome davantage. Préférez-vous César vivant et mourir esclaves ? ou César mort, et tous vivre libres ? César m'aimait et je le pleure. Il connut le succès, je m'en réjouis. Il fut vaillant, je l'honore. Mais il fut ambitieux et je l'ai tué. Pour son amitié, des larmes. Pour sa fortune, un souvenir joyeux. Pour sa valeur, du respect. Et pour son ambition, la mort. Qui parmi vous est assez vil pour accepter d'être esclave ? Si un tel existe, qu'il parle. Car lui, je l'ai offensé. Qui est assez grossier pour ne pas désirer d'être un Romain ? Si un tel être existe, qu'il parle. Car lui, je l'ai offensé. Qui est abject au point de n'aimer son pays ? Si un tel homme existe, qu'il parle. Car lui, je l'ai offensé. Je m'arrête et j'attends.

TOUS : Personne Brutus, personne !

BRUTUS : Alors, je n'ai offensé personne. Je n'ai rien fait à César que vous ne feriez à Brutus[9]. »

Astérix le Gaulois

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Dans la bande dessinéeAstérix, Brutus estprésenté comme le fils adoptif et unique héritier de César. César lui lance très souvent « Tu quoque mi fili » ou « Toi aussi, mon fils » dans des circonstances dont la légèreté contraste avec les circonstances historiques de cette phrase — comme, par exemple, aller déjeuner dansLa Zizanie[10] —. DansLes Douze Travaux d'Astérix, on peut voir Brutus siéger avec les conseillers de César et « jouer » constamment avec un couteau. Jules César finit par lui dire : « Brutus ! Cesse de jouer avec ce couteau ! Tu finiras par blesser quelqu'un ! » (il se blesse effectivement lui-même). Il est le principal antagoniste dansLe Fils d'Astérix, où il veut enleverl'enfant en question et finit par brûler le village des irréductibles. Son physique change au fil des cinq albums où il apparaît : dansAstérix gladiateur, il a un visage carré qui s'allonge dansLa Zizanie etLe Devin ; et enfinLe Fils d'Astérix le présente sous les traits deTony Curtis.

Il est interprété dans les adaptations au cinéma de cette série successivement parDidier Cauchy,Victor Loukianenko etBenoît Poelvoorde.

Annexes

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Arbre généalogique

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v ·m
Famille desIunii Bruti
Articles détaillés :Iunius etIunius Brutus.

Monarchie romaine : famille patricienne

République romaine : famille plébéienne

 
 
Salonia (2)
 
Caton
l'Ancien
 
Licinia (1)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Marcus Porcius
Cato Salonianus
 
Marcus Porcius
Cato Licinianus
 
 
 
 
 
 
 
Marcus Livius
Drusus
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Marcus Porcius
Cato (2)
 
 
 
 
 
 
 
Livia Drusa
 
 
 
 
 
Quintus Servilius
Caepio
(1)
 
 
 
 
 
Marcus Livius
Drusus
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Atilia (1)
 
Caton
d'Utique
 
Marcus Junius
Brutus (1)
 
Servilia
Caepionis
 
Decimus Junius
Silanus (2)
 
Servilia
la Jeune
 
Quintus Servilius
Caepio
 
Marcus Livius
Drusus Claudianus
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Marcus Porcius Cato
 
Porcia
Catonis
 
 
 
Marcus Junius
Brutus
 
Junia
Prima
 
Junia
Secunda
 
Marcus Aemilius
Lepidus
 
Junia
Tertia
 
Gaius Cassius
Longinus
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
une descendante de
Pompée etSylla
 
Marcus Æmilius
Lepidus Minor
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Manius Aemilius
Lepidus
 
Aemilia
Lepida II
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Légende :

(1) : premier époux ou épouse
(2) : second époux ou épouse
pointillés : fils adoptif
italique : assassin de César

Œuvres

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  • Traité de la Vertu de Marcus Junius Brutus (ce manuscrit n'a pu être retrouvé)

Bibliographie

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Film

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Jeu-vidéo

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Dans le jeu vidéoAssassin's Creed: Brotherhood figure une petite histoire annexe sous la forme d’une énigme du manuscrit de Romulus écrite par Brutus qui révèle que César était en réalité un pion de l'Ordre des Anciens et que Brutus et les conspirateurs ont été membres du Liberalis Circulum. Plus tard DansAssassin's Creed Origins, Brutus et Cassius font partie des premiers assassins entrainés par Aya et participent à l’assassinat de Jules César.

Notes et références

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  1. a etbPlutarque,Vie de Marcus Brutus, I.
  2. abc etdMarine Bretin-Chabrol, « Tu quoque, mi fili ! Pourquoi les Français croient-ils que Brutus était le fils de César ? »,Transtext(e)s Transcultures,no 8,‎(lire en ligne, consulté le).
  3. Plutarque,Vie de Brutus, 5
  4. Suétone,Vie de César, LXXXII, 3lire en ligne la traduction sur Remacle.org.
  5. De même que « les mœurs ne sont que des mots ».
  6. Plutarque,Brutus II, 2« Parmi les philosophes grecs, aucun en vérité, ne lui était inconnu ou étranger, mais il avait un culte particulier pour les platoniciens. Il n'appréciait guère ce qu'on appelle la Nouvelle Académie et la Moyenne Académie ; il restait attaché à l'Ancienne Académie » (tr. fr. A.-M. Ozanam, Gallimard, Paris, 2001, p. 1 786) ; voir D. Sedley, « The ethic of Brutus and Cassius »,Journal of Roman Studies, 87, 1997, p. 41-53.
  7. Cicéron (trad. José Kany-Turpin, préf. Pierre Pellegrin),Les Académiques, Flammarion, 2010(ISBN 978-2-0812-2402-5), p. 293, note 27.
  8. P. Hadot éd., Marc Aurèle,Ecrits pour lui-même, I, Les Belles Lettres, CUF, Paris, 1998, pp. CLXX-CLXXIV et 30-31.
  9. William Shakespeare,Jules César, Acte III, scène 2.
  10. Asterix.com.

Annexes

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Liens externes

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v ·m
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