Lumigny-Nesles-Ormeaux | |||||
La mairie. | |||||
![]() Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Provins | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Val Briard | ||||
Maire Mandat | Pascale Levaillant 2020-2026 | ||||
Code postal | 77540 | ||||
Code commune | 77264 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Luminiciens-Neslois-Ormeliens | ||||
Population municipale | 1 482 hab.(2022![]() | ||||
Densité | 41 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 44′ 15″ nord, 2° 57′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 82 m Max. 158 m | ||||
Superficie | 36,30 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Fontenay-Trésigny | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :Seine-et-Marne Géolocalisation sur la carte :Île-de-France | |||||
Liens | |||||
Site web | lumigny-nesles-ormeaux.fr | ||||
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Lumigny-Nesles-Ormeaux est unecommune française située dans ledépartement deSeine-et-Marne enrégionÎle-de-France.
Cette commune est située à l'est de Paris à une distance d'une cinquantaine de kilomètres. Elle est la plus étendue ducanton de Fontenay-Trésigny. Les coordonnées géographiques sont celles de Lumigny (butte de Lumigny 158 m).
Trois circuits pédestres de longueurs différentes permettent de visiter l'une ou l'autre des trois communes associées.
Crèvecœur-en-Brie | Mortcerf Hautefeuille | |
Marles-en-Brie | ![]() | Pézarches Touquin |
Fontenay-Trésigny | Bernay-Vilbert Rozay-en-Brie | Voinsles |
La commune est classée en zone desismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1]. L'altitude varie de 82 mètres à 158 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 118 mètres d'altitude (mairie)[2].
Le réseau hydrographique de la commune se compose de treizecours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 23,52 km[16].
Afin d’atteindre lebon état des eaux imposé par laDirective-cadre sur l'eau du, plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : leSDAGE, à l’échelle dubassin hydrographique, et leSAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources eneau superficielle etsouterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein dubassin Seine-Normandie[17].
La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le. Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : leru de l'Étang de Beuvron, laVisandre, l’Yvron, leBréon, l’Avon, laMarsange, laBarbançonne, leRéveillon[18]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[19].
Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Île-de-France etClimat de Seine-et-Marne.
En 2010, le climat de la commune est de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCNRS s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[20]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré et est dans la région climatiqueNord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[21].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,1 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 731 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[20]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune deMouroux à 11 km àvol d'oiseau[22], est de11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 721,3 mm[23],[24]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[25].
Leréseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué deZones spéciales de conservation (ZSC) et deZones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[27],[Carte 1] :
L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Lumigny-Nesles-Ormeaux comprend une ZNIEFF detype 1[Note 1],[30],[Carte 2], l'« Étang de Guerlande » (18,18 ha)[31], et une ZNIEFF detype 2[Note 2],[30], la « Forêt de Crécy » (6 897,74 ha), couvrant 17 communes du département[32].
Au, Lumigny-Nesles-Ormeaux est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[33].Elle est située hors unité urbaine[34]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[34]. Cette aire regroupe 1 929 communes[35],[36].
La commune compte127lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[37] (source : le fichierFantoir) dontChamplet,Rigny,la Fortelle,le Mée,la Bectarderie.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (65,3% ), forêts (27,1% ), zones agricoles hétérogènes (2,7% ), zones urbanisées (2,4% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1% ),eaux continentales[Note 5] (0,5 %)[38].
Parallèlement,L'Institut Paris Région,agence d'urbanisme de la régionÎle-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[39],[40],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
La commune disposait en 2019 d'unplan local d'urbanisme en révision[41]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de614 dont 93,8 % de maisons et 5,5 % d'appartements[Note 6].
Parmi ces logements, 90,9 % étaient des résidences principales, 5 % des résidences secondaires et 4,1 % des logements vacants.
La part desménagesfiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 83,2 % contre 15,1 % de locataires[42] dont, 0,2 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 1,8 % logés gratuitement.
On y accède soit par l'autoroute A4 puis la RD 231 directionProvins, soit par laroute nationale 4.
La commune est desservie par les lignes :
Il faut probablement rattacher le nomLumigny à la racinelum en ancien français, issu du latinlumen, luminis « lumière » : un tel nom ferait ainsi référence ou bien à la fonction du « luminier », qui est le clerc chargé d'éclairer l'église, ou bien à des activités en lien avec la confection de chandelles (le « lumignon », par exemple, étant la pièce de fer sur laquelle on fixait la chandelle)[43].
Formes anciennes de la localité deNesles-la-Gilberde : en 946Naslei[44], vers 1080Gilberto de Nivigella[45],[46], 1088G. de Nahella[46], v. 1132Neiella[46], 1180Nigella[46], 1201Gillebertus de Nigella,Gilebert de Nigelle[47], v. 1222de Naielle[46], 1246Nigella[48], 1270Nael,Neele[46], 1375Neelle lez Rozay[46], 1415Neele en Brie[46], 1499Nesle la Giberde lez Rozay[46], 1561Nesle-la-Gilberde[49], 1635Nesles-la-Gilberde[50], 1669Nesles[46], 1731Nêle la Gilberde[51], 1757Nesle-la-Gilberde[52], 1768Neele-la-Gilberde[53].
Nesles viendrait peut-être du bas latin*neviala/*noviala « terre nouvellement défrichée »[54]. Les formes anciennes deNesles sont peut-être à rapprocher denielle,neel,noielle,nelle, plante qui croît dans les blés, et dont la graine est noire et toxique[55]; du bas latinnigella, féminin substantivé du latinnigellus « noirâtre », dérivé diminutif deniger « noir »[56].La-Gilberde, bien que féminin, viendrait du prénom des seigneurs de Nesles vers 1201, et ne semble apparaître associé avecNesles qu'à la fin duXVe siècle[47].
Ormeaux, enfin, est le nom d'un lieu planté d'ormes.
Nesles est cité au début duIXe siècle (Naslei), comme appartenant au patrimoine d'une certaine Gisle (Gisla). Elle en fit don à l'abbaye deGembloux que venait de fonder son petit-filsSaint Guibert, donation entérinée en 946 par une charte d'OttonIer du Saint-Empire[57].
Le hameau de Rigny était le siège de lacommanderie de Rigny de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, fondée avant 1227[58],[59].
La commune de Lumigny-Nesles-Ormeaux résulte de l'association, le, des trois anciennes communes de Lumigny, Nesles-la-Gilberde et Ormeaux. Lumigny est le chef-lieu et Nesles et Ormeaux possèdent chacune une mairie annexe.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1996 | 1999 | Philippe Levaux | ||
1999 | 2001 | Thierry Fournier | ||
mars 2001 | mars 2008 | Thierry Fournier | ||
mars 2008 | juillet 2008 | Guy François | Divers gauche | |
août 2008 | mars 2014 | Pascale Levaillant | Divers droite | |
mars 2014 | janvier 2017 | Annie Jean | Divers gauche | |
janvier 2017 | 2020 | Pascal Seingier | Divers gauche | |
2020 | En cours | Pascale Levaillant[60] |
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. Laloi NOTRe de 2015 a accru le rôle desEPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au, mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au[61],[62].
En 2020, la commune de Lumigny-Nesles-Ormeaux gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[63].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[64]. Lacommunauté de communes Val Briard (CCVB) assure pour le compte de la commune leservice public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[63],[65].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à l'entrepriseVeolia, dont le contrat expire le[63],[66].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[67]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[68].
En 2022, la commune comptait 1 482 habitants[Note 8], en évolution de −3,14 % par rapport à 2016 (Seine-et-Marne : +3,92 %,France horsMayotte : +2,11 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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407 | 397 | 386 | 468 | 438 | 454 | 513 | 518 | 530 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
513 | 547 | 502 | 488 | 447 | 423 | 400 | 402 | 400 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
448 | 395 | 346 | 284 | 264 | 253 | 240 | 247 | 251 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
285 | 280 | 739 | 942 | 1 178 | 1 319 | 1 494 | 1 519 | 1 530 |
2021 | 2022 | - | - | - | - | - | - | - |
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1 497 | 1 482 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2017, le nombre deménagesfiscaux de la commune était de558, représentant 1 518 personnes et lamédiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 560 euros[71].
En 2017, le nombre total d’emplois dans la zone était de169, occupant736 actifs résidants.
Le taux d'activité de lapopulation (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 72,4 % contre un taux de chômage de 6,2 %.
Les 21,4 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,5 % de retraités ou préretraités et 5,1 % pour les autres inactifs[72].
En 2018, le nombre d'établissements actifs était de12 dont1 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres,2 dans la construction,4 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration,3 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien et2 étaient relatifs aux autres activités de services[73].
En 2019, 12 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont8individuelles.
Lumigny-Nesles-Ormeaux est dans lapetite région agricole dénommée la « Brie centrale », une partie de laBrie autour deMormant[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[74].
Si la productivité agricole de laSeine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de2 000 ha par an dans lesannées 1980, moins dans lesannées 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans lesannées 2010[75]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 26 en 1988 à 19 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de89 ha en 1988 à126 ha en 2010[74].Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Lumigny-Nesles-Ormeaux, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
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Dimension économique[74],[Note 10] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 26 | 19 | 19 |
Travail (UTA) | 53 | 47 | 34 |
Surface agricole utilisée (ha) | 2 316 | 2 278 | 2 388 |
Cultures[76] | |||
Terres labourables (ha) | 2 227 | 2 218 | 2 338 |
Céréales (ha) | 1 491 | 1 421 | 1 570 |
dontblé tendre (ha) | 1011 | 972 | 1091 |
dontmaïs-grain et maïs-semence (ha) | 363 | 172 | 152 |
Tournesol (ha) | 219 | ||
Colza etnavette (ha) | 115 | s | 266 |
Élevage[74] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 11]) | 267 | 86 | 3 |
À l'intérieur de l'église Saint-Pierre (1882-1884) on peut admirer une statue en pierre représentant une Vierge à l'enfant (XIVe siècle. M.H, une huile sur toile (Sainte Claire.M.H 1957) et dix grands vitraux historiés en l'honneur de la famille de Mun.
Château de lumigny (en ruine).
L'église Notre-Dame de l'Assomption (après leXIIe siècle et modifiée à plusieurs reprises) est située à l'extrémité du village à l'orée des champs. Sous le porche d'entrée se trouve une porte en bois peint et à l'intérieur de l'église un portail roman duXIIe siècle. La cloche date de 1624. Une pierre sculptée représentant le gril du martyre de Saint Laurent est intégrée dans le portail de la ferme située à gauche de l'église, vestige de l'ancien prieuré bénédictin auprès duquel était construite l'église.
Le petit trianon (propriété privée).
Le château de la Fortelle (détruit).
L'église Saint-Pierre (après leXIIIe siècle) plusieurs fois remaniée, ne serait que le bas-côté de l'édifice d'origine. Plusieurs statues sont visibles à l'intérieur : une Vierge à l'enfant (XVe siècle. Bois et plâtre polychrome), un Saint Pierre (XVe ou XVIe siècle. Pierre polychrome) et un Saint Maclou (XVe siècle. Bois et plâtre polychrome). On accède au clocher par un escalier extérieur couvert. La cloche date de 1765.
L'ancienne écuries du vieux Château.
Le, un tribunal dePortsmouth a condamné à de la prison ferme une conseillère municipale de Lumigny-Nesles-Ormeaux et son fils pour passage illégal d'immigrants, après la découverte de 16 ressortissantsvietnamiens dans leur véhicule à leur arrivée dans la ville[78]. Le, la condamnation a été réduite par laCour d'appel de Londres à deux ans de prison ferme[79].
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