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Louis X

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LouisX
Illustration.
Titre
Roi de France

(1 an, 6 mois et 7 jours)
Couronnement en lacathédrale de Reims
PrédécesseurPhilippeIV
SuccesseurJeanIer(indirectement)
Roi de Navarre
LouisIer

(11 ans, 2 mois et 3 jours)
Couronnement en lacathédrale de Pampelune
PrédécesseurJeanneIre etPhilippe Ier
SuccesseurJeanIer(indirectement)
Comte de Champagne

(9 ans, 7 mois et 27 jours)
PrédécesseurJeanneIre etPhilippeIV
SuccesseurIncorporation audomaine royal
Biographie
DynastieCapétiens
Date de naissance
Lieu de naissanceParis (Royaume de France)
Date de décès (à 26 ans)
Lieu de décèsChâteau de Vincennes (Royaume de France)
Nature du décèsPneumonie
SépultureNécropole royale de la basilique de Saint-Denis
PèrePhilippeIV
MèreJeanneIre
Grand-père paternelPhilippeIII
Grand-mère paternelleIsabelle d'Aragon
Grand-père maternelHenriIer
Grand-mère maternelleBlanche d'Artois
FratriePhilippeV
CharlesIV
Isabelle de France
Robert de France
Conjoint
EnfantsJeanneII
Deuxième conjoint
Enfants avec le2e conjointJeanIer(posthume)
HéritierJeanIer(posthume)
ReligionCatholicisme
RésidenceChâteau de Vincennes

Louis XLouis X
Monarques de France
Monarques de Navarre
Comtes de Champagne
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Louis X[1] né le àParis, mort le àVincennes, estroi de Navarre etcomte de Champagne de1305 à 1316 sous le nom deLouis Ier etroi de France de1314 à 1316, douzième de la dynastie dite desCapétiens directs. Il est le fils aîné du roi de FrancePhilippe IV le Bel et de la reineJeanne Ire de Navarre.

Louis fut surnommé « leHutin », non parce qu'il fut querelleur ou batailleur, mais parce que son avènement fut marqué par un temps de tumulte (hutin)[réf. nécessaire], notamment l'hostilité de la noblesse aux réformes fiscales et de centralisation lancées parEnguerrand de Marigny,Grand chambellan de France, sous le règne de son père. L'oncle de Louis — Charles de Valois, chef du parti des grands féodaux — convainc son neveu de faire exécuter Marigny. Louis autorise lesserfs à racheter leur liberté — ce qui constitue le premier pas vers l'abolition du servage — et réadmet lesJuifs de France dans le royaume.

En 1305, Louis épouseMarguerite de Bourgogne, avec laquelle il a une fille,Jeanne, qui deviendra reine deNavarre en 1328. Marguerite, plus tard convaincue d'adultère, meurt en prison, Louis reconnaissant sa fille comme légitime[2]. En 1315, Louis épouseClémence de Hongrie, en l'église de Saint-Lyé dans l'Aube, qui donne naissance àJean Ier le Posthume quelques mois après la mort du roi. La mort de Jean conduit à une succession disputée du trône de France.

Jeunesse

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Roi de Navarre

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La famille dePhilippe IV le Bel avec son frère et ses enfants : de gauche à droite,Charles, comte de la Marche,Philippe, comte de Poitiers,Isabelle, reine d'Angleterre, Philippe IV, le roi Louis Ier de Navarre (couronné et vétu en rouge, auxarmoiries de Navarre) et futur Louis X de France, et enfinCharles, comte de Valois.

Louis, né àParis le, est le fils aîné du roi de FrancePhilippe IV le Bel et de la reine de NavarreJeanne Ire[3]. Le, à la mort de sa mère, il hérite de la couronne deNavarre et ducomté de Champagne sous le nom de Louis Ier. La Navarre est administrée localement par un gouverneur nommé par le roi de France. Philippe le Bel, qui maintient ses fils sous sa dépendance et son strict contrôle selon les habitudes héritées dePhilippe Auguste, n'autorise Louis à se rendre en Navarre qu'en pour s'y faire couronner par l'assemblée des nobles, lesCortes. Louis part pour la Navarre avec son épouse,Marguerite de Bourgogne, et une forte délégation de nobles français dirigée parGaucher V de Châtillon, connétable de France, etRobert VI, comte d'Auvergne et de Boulogne. Les époux sont tous deux[réf. nécessaire] couronnés àPampelune, le, roi et reine de Navarre. Lors de son séjour en Navarre Louis Ier obtient la fin de larébellion du vicomte de Soule Auger III contre l'autorité du roi d'Angleterre.Édouard Ier venant de mourir, la Soule est alors livrée au nouveau roiÉdouard II, tandis qu'Auger III est nommé seigneur héréditaire de Rada en Navarre etalférez (connétable) de ce royaume. Louis retourne alors en France pour assister le àBoulogne-sur-Mer au mariage de sa sœurIsabelle avec Édouard II, cérémonie célébrée en présence de cinq rois et trois reines[Note 1].

Mariages

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Le, Louis a épousé Marguerite de Bourgogne, fille du ducRobert II de Bourgogne et d'Agnès de France, dernière fille du roi de FranceLouis IX ; Marguerite est donc la cousine germaine du père de Louis, Philippe le Bel. De ce mariage, il n'a eu qu'une fille,Jeanne, née en 1312. Avant son premier mariage, Louis a eu une fille illégitime prénommée Eudeline, qui devient plus tard nonne, puis abbesse ducouvent des Cordeliers de Paris[1]. À la Pentecôte de 1313, Louis, ses frères, leurs épouses et de nombreux nobles prennent la croix[4]. Au début de l'année 1314, Marguerite est impliquée dans l'affaire de la tour de Nesle : elle est convaincue d'adultère avec le chevalierPhilippe d'Aunay, sous le témoignage de la reine d'Angleterre,Isabelle, fille de Philippe IV le Bel et sœur de Louis[5]. Ses deux belles-sœursJeanne etBlanche de Bourgogne — épouses respectives des frères cadets de Louis,Philippe de Poitiers etCharles de la Marche — sont, elles aussi, arrêtées[6]. Marguerite et Blanche sont déclarées coupables et condamnées à être emprisonnées à vie dans la forteresse deChâteau-Gaillard, tandis que Jeanne parvient plus tard à prouver son innocence auprès de son époux.

Louis est sacré roi de France aux côtés de sa seconde épouse Clémence de Hongrie.

Le, Philippe IV meurt. Louis lui succède sur le trône, mais refuse de reprendre auprès de lui son épouse, Marguerite. Cette dernière meurt le à Château-Gaillard, sans doute de froid, même si la légende prétend qu'elle a été étranglée sur ordre de Louis X pour lui permettre de se remarier[7]. Le, Louis X épouse en secondes nocesClémence de Hongrie, fille deCharles d'Anjou, dit « Charles Martel »,roi titulaire de Hongrie, et deClémence de Habsbourg. Clémence est par ailleurs la nièce par alliance deCharles de Valois, oncle et puissant conseiller de Louis. Quelques jours plus tard, le, Louis X est sacré roi de France àReims aux côtés de sa nouvelle épouse.

Règne

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Sceau du roi Louis X.

Bien que Louis X n'ait régné qu'un an et demi (de à), on peut noter certains éléments de sa politique. Succédant à Philippe IV le Bel, il doit faire face aux révoltes suscitées par la politique de son prédécesseur et menées par les barons, qu'il calme par des concessions. Louis tente d'accroître les revenus royaux et amorce plusieurs réformes, dont la libération desserfs et l'autorisation desJuifs à retourner en France.

Les ligues des grands féodaux

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Isolé dans un conseil étroit, Louis X doit chercher l'appui de ses frères, Philippe de Poitiers et Charles de la Marche. Les trois frères, dont la descendance est douteuse depuis l'affaire de la tour de Nesle, n'ont pas d'héritier mâle, et leurs épouses sont en prison pour leur inconduite. Charles de Valois est tout-puissant et il a trois fils (dont l'aîné est le futurPhilippe VI de Valois) ; il est un de ceux qui entendent revenir sur les décisions prises par les conseillers honnis de Philippe IV, issus pour la plupart de la haute bourgeoisie. En conséquence, Louis X s'allie à Philippe de Poitiers en échange de l'héritage ducomté de Bourgogne. Philippe IV avait acheté les droits de laComté Franche àOthon IV de Bourgogne en échange d'une alliance matrimoniale : les deux filles d'Othon ont épousé respectivement Philippe de Poitiers et Charles de la Marche, mais en acceptant de perdre leurs droits de succession sur le comté de Bourgogne. Ainsi, l'aînée, Jeanne II de Bourgogne, a conservé la jouissance et le titre du comté, tandis que sa cadette, Blanche, a reçu en compensation une dot de 20 000 marcs d'argent. Selon le testament de Philippe IV, le comté doit revenir à la couronne si Philippe de Poitiers et Jeanne de Bourgogne n'ont pas de fils. Philippe de Poitiers monnaye son appui en exigeant que son épouse, Jeanne, puisse léguer le comté de Bourgogne à sa fille aînée – en plus de l'Artois, qui lui vient de sa mère,Mahaut. Cet accord, par lequel Louis X paye la stabilité de son début de règne, amènera toutefois, sous le règne deLouis XI, la difficile succession de laBourgogne et de l'Artois, réunies entre les mains desHabsbourg par mariage, et, sousLouis XIV, laguerre de Dévolution de l'Artois et de la Franche-Comté.

Afin d'apaiser les nobles normands turbulents, Louis X leur confère plusieurs privilèges dans laCharte aux Normands, octroyée le. Miniature duXIVe siècle.

La fronde menée par les nobles est soutenue par le peuple, opprimé par les taxes et les impôts. Elle fait de nombreuses victimes, notammentEnguerrand de Marigny (qui est pendu),Pierre de Latilly etRaoul de Presles (qui sont torturés). Louis X renonce à les défendre, tant la parole du roi est devenue inaudible. La monarchie subit un véritable recul pendant son court règne, surtout dans le domaine fiscal : le roi ne peut plus lever d'impôts indirects puisque la noblesse veut battre sa propre monnaie, et les provinces, bien que fidèles à la couronne, sont rebelles à de nouvelles taxes. Ne pouvant briser la résistance des nobles, Louis X choisit de négocier. Avec habileté, il met les abus sur le compte des officiers royaux et joue sur les particularismes locaux. Il octroie ainsi, durant toute l'année 1315, une série dechartes provinciales qui ont pour fonction de répondre aux attentes de la population. Lesbaillis etsergents royaux intervenant dans tout lecomté d'Amiens ainsi que dans celui deVermandois, au mépris des droits du comte, ont interdiction, surordonnance de Louis X, d'exercer leurs prises, ajournements et autres faits de justice. Il répond donc aux attentes des ligues nobiliaires en garantissant leursprivilèges, leurs droits de haute justice (y compris celui de port d'armes) à travers ces chartes provinciales destinées à satisfaire les différentes requêtes nobiliaires dans les provinces du royaume. D'autres chartes régionales de ce type ont été certainement concédées dans les mêmes conditions. Ces ordonnances, qui redonnent un certain pouvoir auxnobles et à l'aristocratie ainsi que les droits et prérogatives qu'ils avaient perdus sous Philippe IV, contribuent à affaiblir le pouvoir royal, au détriment de l'idée d'unité souveraine qu'ont menée les prédécesseurs de Louis X.

Réforme du servage et rappel des Juifs

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Illustration de l'édit de 1315 de Louis X interdisant l'esclavage sur lesol de France[8].

Par une ordonnance du3 juillet 1315[9], et moyennant finances, Louis X abolit leservage au sein du royaume de France. Arguant que tous les hommes sont nés libres, il déclare que les serfs français sont donc libérés – bien que chaque serf doive acheter sa liberté[10]. Une commission est constituée pour entreprendre la réforme, qui établit lepeculium, ou valeur, de chaque serf[11]. Pour les serfs appartenant directement au roi, tout lepeculium revient à la couronne ; pour les serfs appartenant à des sujets du roi, le montant doit être partagé entre la couronne et le seigneur féodal concerné[11]. En l'occurrence, tous les serfs ne sont pas prêts à payer de cette manière et, en temps voulu, Louis déclare que les biens de ces serfs seront de toute façon saisis, et que les profits vont payer l'expédition militaire en Flandre[12].

Louis X remet un diplôme aux Juifs, qu'il réadmet en France sous des conditions strictes. Peinture duXIVe siècle.

Louis X est également responsable d'un changement clé dans la politique envers lesJuifs. En 1306, son père, Philippe IV, avait expulsé la minorité juive de toute la France, un événement « bouleversant » pour la plupart de ces communautés[13]. Louis a commencé à reconsidérer cette politique, motivé par les revenus supplémentaires qui pourraient être apportés à la couronne si les Juifs étaient autorisés à revenir[13]. En conséquence, il émet, le, une charte qui autorise le retour des Juifs dans le royaume, bien que celui-ci soit soumis à des conditions particulières. En effet, les Juifs ne sont réintégrés en France que pour une durée de douze ans, après quoi l'accord pourra être résilié. Ils doivent porter un brassard en tout temps, ne peuvent vivre que dans les zones où il y a eu des communautés juives auparavant, et doivent initialement être privés d'usure[14]. C'est la première fois que les Juifs de France sont couverts par une telle charte, et Louis X prend soin de justifier sa décision en se référant à la politique de son ancêtreLouis IX, à la position du papeClément V et à un argument selon lequel le peuple de France aurait demandé le retour des Juifs. Pour les Juifs, le résultat de ce rappel est moins satisfaisant que pour le roi, car ils dépendent directement de sa juridiction pour le droit de résidence et de protection[13].

La campagne de Flandre

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Louis X guerroie dans le comté de Flandre, où il cherche à obtenir une solution militaire au problème flamand persistant. Dessin duXVe siècle.

Louis X poursuit les efforts de son prédécesseur pour trouver une solution militaire au problème épineux ducomté de Flandre. AuXIVe siècle, le comte de Flandre règne sur un« État immensément riche »[15], qui jouit d'une existence largement autonome en marge du royaume de France. Les rois de France prétendent exercer leursuzeraineté sur la Flandre, mais avec peu de succès jusque-là[15]. Philippe IV a tenté d'affirmer la suzeraineté française, mais son armée, commandée parRobert II d'Artois, a été vaincue àCourtrai en 1302[15] et, malgré une victoire à labataille de Mons-en-Pévèle, deux ans plus tard, la situation reste profondément instable.

Louis X mobilise une armée le long de la frontière flamande le, mais la situation française devient rapidement tendue par l'absence de combats et l'enlisement de l'ost royal dans laLys en crue. Le roi doit alors rebrousser chemin piteusement. En représailles, Louis interdit les exportations de céréales et d'autres matériaux vers la Flandre. Cette mesure s'avère difficile à faire respecter, et le roi doit faire pression sur les officiers de l'Église dans les régions frontalières, ainsi que surÉdouard II d'Angleterre, pour soutenir ses efforts pour empêcher les navires marchands espagnols de commercer avec les Flamands sous embargo[16]. Un résultat non escompté de cet embargo est le développement des activités de contrebande, ce qui réduit l'avantage — et par conséquent le montant — du commerce, conformément aux restrictions royales dans la région frontalière. Louis X est également contraint de réquisitionner directement de la nourriture pour ses forces, ce qui entraîne une série de plaintes de la part des seigneurs locaux et de l'Église[17].

Mort et succession

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Au début du mois de, Louis X boit du vin glacé, alors qu'il s'est échauffé lors d'une partie dejeu de paume àVincennes, et est peu après pris d'un malaise. Louis meurt le, d'unepleurésie ou d'unepneumonie[18], bien que des rumeurs d'empoisonnement aient circulé. En raison des circonstances de sa mort, Louis X devient le premier joueur de paume identifié dans l'Histoire[18]. Il est inhumé dans lanécropole royale de la basilique de Saint-Denis le 7 juin. Notons que faute de pape, il ne put obtenir d'autorisation dedivision corporelle.

Avant de mourir, peut-être pris de remords de ne pas être intervenu, il fait dédommager les enfants d'Enguerrand de Marigny, qu'il n'avait pas pu sauver, et fait rendre à Raoul de Presles les biens dont celui-ci a été spolié.

Enceinte, la reine Clémence donne naissance, le, à un fils,Jean Ier le Posthume. Celui-ci meurt au bout de quatre jours de règne. La question d'une éventuelle illégitimité de la princesseJeanne, issue de la première union de Louis, à la succession au trône de France se pose à la noblesse française. En effet, l'absence d'héritier mâle direct ne s'est encore jamais produite au cours dumiracle capétien. La succession à la couronne française, préalablement élective, s'était faite peu à peu par l'usage. Selon le « principe de la masculinité » qui régit alors les fiefs, la noblesse française préfère offrir le trône au frère de Louis X,Philippe V le Long, qui était déjà régent depuis la mort de Louis.

Ascendance

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Ascendance de Louis X de France
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
32=56.Philippe II de France
 
 
 
 
 
 
 
16=28.Louis VIII de France
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
33=57.Isabelle de Hainaut
 
 
 
 
 
 
 
8.Louis IX de France
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
34=58.Alphonse VIII de Castille
 
 
 
 
 
 
 
17=29.Blanche de Castille
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
35=59.Aliénor d'Angleterre
 
 
 
 
 
 
 
4.Philippe III de France
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
36.Alphonse II de Provence
 
 
 
 
 
 
 
18.Raimond-Bérenger IV de Provence
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
37.Garsende de Sabran
 
 
 
 
 
 
 
9.Marguerite de Provence
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
38.Thomas Ier de Savoie
 
 
 
 
 
 
 
19.Béatrice de Savoie
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
39.Marguerite de Genève
 
 
 
 
 
 
 
2.Philippe IV de France
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
40.Alphonse II d'Aragon
 
 
 
 
 
 
 
20.Pierre II d'Aragon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
41.Sancha de Castille
 
 
 
 
 
 
 
10.Jacques Ier d'Aragon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
42.Guilhem VIII de Montpellier
 
 
 
 
 
 
 
21.Marie de Montpellier
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
43.Eudoxie Comnène
 
 
 
 
 
 
 
5.Isabelle d'Aragon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
44.Béla III de Hongrie
 
 
 
 
 
 
 
22.André II de Hongrie
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
45.Agnès d'Antioche
 
 
 
 
 
 
 
11.Yolande de Hongrie
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
46.Pierre II de Courtenay
 
 
 
 
 
 
 
23.Yolande de Courtenay
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
47.Yolande de Hainaut
 
 
 
 
 
 
 
1. Louis X de France
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
48.Henri Ier de Champagne
 
 
 
 
 
 
 
24.Thibaut III de Champagne
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
49.Marie de France
 
 
 
 
 
 
 
12.Thibaut Ier de Navarre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
50.Sanche VI de Navarre
 
 
 
 
 
 
 
25.Blanche de Navarre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
51.Sancha de Castille
 
 
 
 
 
 
 
6.Henri Ier de Navarre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
52.Guy II de Dampierre
 
 
 
 
 
 
 
26.Archambaud VIII de Bourbon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
53.Mathilde Ire de Bourbon
 
 
 
 
 
 
 
13.Marguerite de Bourbon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
54.Guigues III de Forez
 
 
 
 
 
 
 
27.Alix de Forez
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
55.Alix de Sully
 
 
 
 
 
 
 
3.Jeanne Ire de Navarre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
56=32.Philippe II de France
 
 
 
 
 
 
 
28=16.Louis VIII de France
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
57=33.Isabelle de Hainaut
 
 
 
 
 
 
 
14.Robert Ier d'Artois
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
58=34.Alphonse VIII de Castille
 
 
 
 
 
 
 
29=17.Blanche de Castille
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
59=39.Aliénor d'Angleterre
 
 
 
 
 
 
 
7.Blanche d'Artois
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
60.Henri Ier de Brabant
 
 
 
 
 
 
 
30.Henri II de Brabant
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
61.Mathilde de Boulogne
 
 
 
 
 
 
 
15.Mahaut de Brabant
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
62.Philippe de Souabe
 
 
 
 
 
 
 
31.Marie de Souabe
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
63.Irène Ange
 
 
 
 
 
 
 

Références culturelles

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Louis X est un personnage majeur de la série de romansLes Rois maudits deMaurice Druon. Il est interprété parGeorges Ser dans l'adaptation télévisée de 1972 et parGuillaume Depardieu danscelle de 2005.

Dans son poème humoristiqueLes belles familles, paru en 1946 dans le recueilParoles,Jacques Prévert cite tous lesrois de France prénommés Louis, mais ne cite le surnom que d'un seul d'entre eux : « Louis X dit le Hutin »[19].

Louis X est également l'un des personnages du film muetBuridan, le héros de la tour de Nesle (1923), dePierre Marodon, adapté du roman éponyme deMichel Zévaco.

Notes et références

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Notes

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  1. Mis à part évidemment le marié Édouard II, les sept autres personnalités royales présentes aux noces sont le roi Philippe IV le Bel, son fils aîné Louis Ier de Navarre, sa sœur Marguerite de France — fraîchement veuve d'Édouard Ier d'Angleterre —, sa belle-mèreMarie de Brabant — reine douairière de France de par son mariage avecPhilippe III le Hardi —, le roiAlbert Ier de Germanie et son épouseÉlisabeth de Tyrol et, enfin, le roiCharles II de Naples.

Références

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  1. a etbGénéalogie de Louis X de France sur le site Medieval Lands.
  2. ed. A. Diverrès,Chronique métrique attribuée à Geoffroy de Paris, Strasbourg, Publications de la Faculté des Lettres de l’Université de Strasbourg,, v. 7711.
  3. Baynes,p. 18.
  4. Gaëlle Audéon,Philippe le Bel et l’Affaire des brus, 1314, Paris, Editions L’Harmattan,, 260 p.(ISBN 978-2-34320371-3), pp. 110-114.
  5. Drees,p. 398.
  6. Jim Bradbury,The Capetians: Kings of France 987-1328, (Hambledon Continuum, 2007), 277.
  7. MauriceDruon,Les rois maudits : roman historique, Le livre de poche, 1970-1977(ISBN 978-2-253-00306-9,OCLC 15320495), Tome 2 : La reine étranglée.
  8. « Esclavage et traite des êtres humains - L'esclavage dans l'Europe médiévale (610-1492) - Herodote.net », surwww.herodote.net(consulté le)
  9. Louis X de France, royaume de France et Eusèbe Jacques de Laurière (dir.), Lettres portant que les serfs du Domaine du Roy seront affranchis, moyennant finance, Imprimerie nationale, (notice BnF no(BNF 36046172)), p. 583,
    Recueil général des anciennes lois françaises,vol. 3,no 494,p. 102.
  10. Bishop,p. 296.
  11. a etbStephen,p. 377.
  12. Jeudwine,p. 18.
  13. ab etcChazan,p. 79.
  14. Chazan,p. 79-80.
  15. ab etcHolmes,p. 16.
  16. Kulsrud,p. 212.
  17. Jordan,p. 169–170.
  18. a etb(en) HeinerGillmeister,Tennis : A Cultural History, Londres, Leicester University Press,, 452 p.(ISBN 978-0-7185-0147-1), p.17-21.
  19. Texte du poème Les belles familles, sur le site www.wikipoemes.com.

Annexes

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Sources imprimées

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Louis X
Précédé parSuivi par
Philippe IV

Roi de France
1314-1316
Jean Ier

Roi de Navarre
1305-1316

Comte de Champagne
1305-1316
v ·m
Mérovingiens
Carolingiens,Robertiens etBosonides
Capétiensdirects
Valois
Bourbons
BonaparteNapoléon Ier (1804)
Bourbons
OrléansLouis-Philippe Ier (1830)
BonaparteArticle de qualitéNapoléon III (1852)
v ·m
Royaume de Pampelune
Iñiguez
Jiménez
Aragon
Jiménez
Blason de Navarre
Royaume de Navarre
Jiménez
Champagne
Capétiens
Évreux
Trastamare
Foix
Albret
Bourbon
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