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Logique de description

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Leslogiques de description aussi appeléeslogiques descriptives (LD) sont une famille de langages de représentation de connaissance qui peuvent être utilisés pour représenter la connaissance terminologique d'un domaine d'application d'une manière formelle et structurée. Le nom de logique de description se rapporte, d'une part à la description deconcepts utilisée pour décrire un domaine et d'autre part à lasémantique basée sur la logique qui peut être donnée par une transcription en logique des prédicats du premier ordre. La logique de description a été développée comme une extension deslangages à cadres, une famille delangage de programmation pour l'intelligence artificielle, et desréseaux sémantiques, qui ne possédaient pas de sémantique formelle basée sur la logique.

Origine et applications

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Les logiques de description ont été conçues à partir des réseaux sémantiques de Quillian (ref) qui sont des graphes orientés étiquetés dans lesquels on associe des concepts aux nœuds et des relations aux arcs, et de la sémantique des cadres deMinsky (ref) où l'on a des concepts représentés par des cadres qui sont caractérisés par un certain nombre d'attributs (appelés aussi slots) qui contiennent de l'information sur leur contenu.

Les logiques de description forment une famille de langages de représentation de connaissances qui peuvent être utilisés pour représenter la connaissance terminologique d'un domaine d'application d'une façon structurée et formelle.Le nom « logique de description » peut être interprété de deux manières. D'une part, ces langages ont été élaborés pour écrire la « description » des concepts pertinents d'un domaine d'application. D'autre part, une caractéristique cruciale de ces langages est qu'ils ont unesémantique formelle définie enlogique du premier ordre (à la différence des propositions précédentes comme les cadres de Minsky). Dans ce sens, nous pouvons dire que les LDs ont une sémantique « descriptive » formelle.

Les logiques de description sont utilisées pour de nombreuses applications (voirInternational Workshop on Description Logics etWorkshop on Applications of Description Logics). Sans être exhaustifs, nous pouvons dire que ces applications font partie des domaines suivants :

Principe

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La plupart des logiques de description divisent la connaissance en deux parties :

  • les informations terminologiques: définition des notions basiques ou dérivées et de la façon dont elles sont reliées entre elles. Ces informations sont « génériques » ou « globales », vraies dans tous les modèles et pour tous les individus.
  • les informations sur les individus: ces informations sont « spécifiques » ou « locales », vraies pour certains individus particuliers.

Toutes les informations connues sont alors modélisées comme un coupleT,A{\displaystyle \langle T,A\rangle }, oùT{\displaystyle T} est un ensemble de formules relatives aux informations terminologiques (la T-Box) et oùA{\displaystyle A} est un ensemble de formules relatives aux informations sur les assertions (la A-Box).

Une autre manière de voir la séparation entre ces informations est d'associer la T-Box aux règles qui régissent notre monde (par exemple la physique, la chimie, la biologie, etc.), et d'associer les individus de notre monde à la A-Box (par exemple Jean, Marie, un chat, etc.).

Sémantique

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Les logiques de description utilisent les notions deconcept, derôle et d'individu. Un concept correspond à une « classe d'éléments » et est interprété comme un ensemble dans un univers donné. Les rôles correspondent aux « liens entre les éléments » et sont interprétés comme des relations binaires sur un univers donné. Les individus correspondent aux éléments d'un univers donné. La sémantique des logiques de description est définie comme suit :

Définition 1 :

SoitCON={C1,C2,}{\displaystyle CON=\lbrace C1,C2,\dots \rbrace } unensemble fini de concepts atomiques,ROL={R1,R2,}{\displaystyle ROL=\lbrace R1,R2,\dots \rbrace } un ensemble fini de rôles atomiques etIND={a1,a2,}{\displaystyle IND=\lbrace a1,a2,\dots \rbrace } un ensemble fini d'individus. SiCON{\displaystyle CON},ROL{\displaystyle ROL},IND{\displaystyle IND} sont disjoints deux à deux,S=CON,ROL,IND{\displaystyle {\mathcal {S}}=\langle CON,ROL,IND\rangle } est unesignature. Une fois qu'une signatureS{\displaystyle {\mathcal {S}}} est fixée, uneinterprétationI{\displaystyle {\mathcal {I}}} pourS{\displaystyle {\mathcal {S}}} est un coupleI=ΔI,I{\displaystyle {\mathcal {I}}=\langle \Delta ^{\mathcal {I}},\cdot ^{\mathcal {I}}\rangle }, où :

En d'autres termes, une interprétation de la logique de description n'est rien de plus qu'un modèle pour un type particulier de signature du premier ordre, où seuls les prédicats unaires et binaires sont autorisés, et où l'ensemble des symboles de fonction est vide.

Base de connaissances

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Typiquement, labase de connaissances standard utilisée par les logiques de description est définie de la manière suivante :

Définition 2 :

Étant donné un langage de descriptionL{\displaystyle {\mathcal {L}}} et une signatureS{\displaystyle {\mathcal {S}}}, une base de connaissancesΣ{\displaystyle \Sigma } dansL{\displaystyle {\mathcal {L}}} est une paireΣ=T,A{\displaystyle \Sigma =\langle T,A\rangle } telle que :

Les axiomes terminologiques ont été pensés à l'origine comme des définitions, et nombre de conditions plus restrictives leur ont été imposées. Les deux restrictions les plus importantes sont les suivantes :

Ces restrictions sont liées à l'idée de considérer les axiomes terminologiques comme des définitions de concepts.

Différentes logiques de description

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Les logiques de descriptions ont une base commune enrichie de différentes extensions (voir tableau ci-dessous). On peut dès lors avoir des concepts complexes composés de concepts atomiques, et de même pour les rôles.

LettreConstructeurSyntaxeSémantique
AL{\displaystyle {\mathcal {AL}}}nom de conceptC{\displaystyle C}CI{\displaystyle C^{\mathcal {I}}}
AL{\displaystyle {\mathcal {AL}}}nom de rôleR{\displaystyle R}RI{\displaystyle R^{\mathcal {I}}}
AL{\displaystyle {\mathcal {AL}}}top{\displaystyle \top }ΔI{\displaystyle \Delta ^{\mathcal {I}}}
AL{\displaystyle {\mathcal {AL}}}conjonctionC1C2{\displaystyle C_{1}\sqcap C_{2}}C1IC2I{\displaystyle C_{1}^{\mathcal {I}}\cap C_{2}^{\mathcal {I}}}
AL{\displaystyle {\mathcal {AL}}}quantificateur universelR.C{\displaystyle \forall R.C}{d1ΔId2ΔI.(RI(d1,d2)d2CI)}{\displaystyle \lbrace d_{1}\in \Delta ^{\mathcal {I}}\mid \forall d_{2}\in \Delta ^{\mathcal {I}}.(R^{\mathcal {I}}(d_{1},d_{2})\rightarrow d_{2}\in C^{\mathcal {I}})\rbrace }
C{\displaystyle {\mathcal {C}}}négation de concepts non nécessairement primitifs¬C{\displaystyle \neg C}ΔICI{\displaystyle \Delta ^{\mathcal {I}}\setminus C^{\mathcal {I}}}
U{\displaystyle {\mathcal {U}}}disjonctionC1C2{\displaystyle C_{1}\sqcup C_{2}}C1IC2I{\displaystyle C_{1}^{\mathcal {I}}\cup C_{2}^{\mathcal {I}}}
E{\displaystyle {\mathcal {E}}}quantificateur existentiel typéR.C{\displaystyle \exists R.C}{d1ΔId2ΔI.(RI(d1,d2)d2CI)}{\displaystyle \lbrace d_{1}\in \Delta ^{\mathcal {I}}\mid \exists d_{2}\in \Delta ^{\mathcal {I}}.(R^{\mathcal {I}}(d_{1},d_{2})\wedge d_{2}\in C^{\mathcal {I}})\rbrace }
N{\displaystyle {\mathcal {N}}}restriction de cardinalité(n R){\displaystyle (\geq n~R)}
(n R){\displaystyle (\leq n~R)}
{d1ΔI{d2|RI(d1,d2)}|n}{\displaystyle \lbrace d_{1}\in \Delta ^{\mathcal {I}}\mid \lbrace d_{2}\vert R^{\mathcal {I}}(d_{1},d_{2})\rbrace \vert \geq n\rbrace }
{d1ΔI{d2|RI(d1,d2)}|n}{\displaystyle \lbrace d_{1}\in \Delta ^{\mathcal {I}}\mid \lbrace d_{2}\vert R^{\mathcal {I}}(d_{1},d_{2})\rbrace \vert \leq n\rbrace }
Q{\displaystyle {\mathcal {Q}}}restriction de cardinalité qualifiée(n R.C){\displaystyle (\geq n~R.C)}
(n R.C){\displaystyle (\leq n~R.C)}
{d1ΔI{d2|RI(d1,d2),d2CI}|n}{\displaystyle \lbrace d_{1}\in \Delta ^{\mathcal {I}}\mid \lbrace d_{2}\vert R^{\mathcal {I}}(d_{1},d_{2}),d_{2}\in C^{\mathcal {I}}\rbrace \vert \geq n\rbrace }
{d1ΔI{d2|RI(d1,d2),d2CI}|n}{\displaystyle \lbrace d_{1}\in \Delta ^{\mathcal {I}}\mid \lbrace d_{2}\vert R^{\mathcal {I}}(d_{1},d_{2}),d_{2}\in C^{\mathcal {I}}\rbrace \vert \leq n\rbrace }
O{\displaystyle {\mathcal {O}}}un-de{a1,,an}{\displaystyle \lbrace a_{1},\dots ,a_{n}\rbrace }{dΔId=aiI~pour~un~ai}{\displaystyle \lbrace d\in \Delta ^{\mathcal {I}}\mid d=a_{i}^{\mathcal {I}}{\texttt {~pour~un~}}a_{i}\rbrace }
B{\displaystyle {\mathcal {B}}}role fillerR.{a}{\displaystyle \exists R.\lbrace a\rbrace }{dΔIRI(d,aI)}{\displaystyle \lbrace d\in \Delta ^{\mathcal {I}}\mid R^{\mathcal {I}}(d,a^{\mathcal {I}})\rbrace }
R{\displaystyle {\mathcal {R}}}conjonction de rôlesR1R2{\displaystyle R_{1}\sqcap R_{2}}R1IR2I{\displaystyle R_{1}^{\mathcal {I}}\cap R_{2}^{\mathcal {I}}}
I{\displaystyle {\mathcal {I}}}rôles inversesR1{\displaystyle R^{-1}}{(d1,d2)ΔI×ΔIRI(d2,d1)}{\displaystyle \lbrace (d_{1},d_{2})\in \Delta ^{\mathcal {I}}\times \Delta ^{\mathcal {I}}\mid R^{\mathcal {I}}(d_{2},d_{1})\rbrace }
H{\displaystyle {\mathcal {H}}}hiérarchie des rôlesR1R2{\displaystyle R_{1}\sqsubseteq R_{2}}R1IR2I{\displaystyle R_{1}^{\mathcal {I}}\subseteq R_{2}^{\mathcal {I}}}
R+{\displaystyle {\mathcal {R^{+}}}}transitivité des rôlesR+{\displaystyle R^{+}}Plus petite relation transitive contenantRI{\displaystyle R^{\mathcal {I}}}

L'une des premières logiques de description est le langageFL{\displaystyle {\mathcal {FL^{-}}}} [Brachman and Levesque, 1984], qui est défini comme une logique de description permettant l'utilisation des quantificateurs universels, de la conjonction, et des quantificateurs existentiels de la formeR.{\displaystyle \exists R.\top }. Le langageFL{\displaystyle {\mathcal {FL^{-}}}} a été proposé comme un formalisme pour la sémantique des cadres de Minsky. La conjonction de concepts est implicite dans la structure d'un cadre, qui requiert un ensemble de conditions pour être satisfait. La quantification des rôles permet de caractériser les slots.

La logiqueAL{\displaystyle {\mathcal {AL}}} [Schmidt-Schauss and Smolka, 1991] a étendu la logiqueFL{\displaystyle {\mathcal {FL^{-}}}} en y ajoutant la négation des concepts atomiques. Cette logique peut être considérée comme la logique de base des autres logiques de description.

Les logiques de description qui existent sont des combinaisons des différents éléments du tableau ci-dessus. Par exemple, si l'on rajoute la négation complèteC{\displaystyle {\mathcal {C}}} à la logiqueAL{\displaystyle {\mathcal {AL}}}, on obtient la logiqueALC{\displaystyle {\mathcal {ALC}}}.

Certaines logiques sont équivalentes, notammentALC{\displaystyle {\mathcal {ALC}}} etALUE{\displaystyle {\mathcal {ALUE}}}. Ces deux logiques augmentées parR+{\displaystyle {\mathcal {R}}^{+}}sont notéesS{\displaystyle {\mathcal {S}}}. Les langages utilisés parOWL en sont une extension, respectivementSHIF{\displaystyle {\mathcal {SHIF}}} pourOWL-Lite etSHOIN{\displaystyle {\mathcal {SHOIN}}} pourOWL-DL.

Inférences

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En LD, la notion d'inférence est décrite comme ci-dessous:

Définition 3 :

SoitI{\displaystyle {\mathcal {I}}} une interprétation etφ{\displaystyle \varphi } un axiome terminologique ou une assertion. AlorsI{\displaystyle {\mathcal {I}}} modéliseφ{\displaystyle \varphi } (notationIφ{\displaystyle {\mathcal {I}}\models \varphi }) si :

SoitΣ=T,A{\displaystyle \Sigma =\langle T,A\rangle } une base de connaissance etI{\displaystyle {\mathcal {I}}} une interprétation, alorsI{\displaystyle {\mathcal {I}}} est un modèle deΣ{\displaystyle \Sigma } (notation,IΣ{\displaystyle {\mathcal {I}}\models \Sigma }) si pour tousφTA,Iφ{\displaystyle \varphi \in T\cup A,{\mathcal {I}}\models \varphi }. Nous disons dans ce cas queI{\displaystyle {\mathcal {I}}} est un modèle de la base de connaissanceΣ{\displaystyle \Sigma }. Étant donné une base de connaissanceΣ{\displaystyle \Sigma } et un axiome terminologique ou une assertionφ{\displaystyle \varphi },Σφ{\displaystyle \Sigma \models \varphi } si pour tout modèleI{\displaystyle {\mathcal {I}}} deΣ{\displaystyle \Sigma } nous avonsIφ{\displaystyle {\mathcal {I}}\models \varphi }.

Tâches de raisonnement

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En LD, l'expressionraisonnement sur la T-Box fait référence à la capacité de réaliser des inférences depuis une base de connaissanceΣ=T,A{\displaystyle \Sigma =\langle T,A\rangle }T{\displaystyle T} est non-vide, et d'une manière similaire,raisonnement sur la A-Box est l'implication pour une A-Box non vide.

Définition 4 :

SoitΣ{\displaystyle \Sigma } une base de connaissances,C1,C2CON,RROL{\displaystyle C_{1},C_{2}\in CON,R\in ROL} eta,bIND{\displaystyle a,b\in IND}, nous définissons les tâches de déduction suivantes :

Les tâches de déduction de base peuvent être utilisées pour définir des tâches plus complexes. En particulier:

  • Recherche : étant donné un concept, trouver les individus mentionnés dans la base de connaissance qui sont des instances de ce concept.
  • Réalisation : étant donné un individu mentionné dans la base de connaissance, trouver le concept le plus spécifique, en accord avec les relations de subsomption, duquel l'individu est une instance.

La saturation de la A-Box sert à compléter les informations de la A-Box en accord avec les connaissances de la T-Box, on obtient donc:Définition 5 :

Étant donné une base de connaissanceT,A{\displaystyle \langle T,A\rangle }, nous disons queA{\displaystyle A} est saturé si pour chaque individuaIND{\displaystyle a\in IND}, concept atomiqueCCON{\displaystyle C\in CON} et rôleRREL{\displaystyle R\in REL}:

Exemple

SoitΣ{\displaystyle \Sigma } une base de connaissanceT,A{\displaystyle \langle T,A\rangle } où:

La formule deT{\displaystyle T} dit que les chevaux de sexe masculin sont des étalons, et la formule deA{\displaystyle A} dit que le chevalshadowfax est un étalon. La sémantique formelle que nous donnons dans la définition 3 nous permet de vérifier queΣ{\displaystyle \Sigma } a au moins un modèle (i.e., il est cohérent). Et à partir deΣ{\displaystyle \Sigma } nous pouvons déduire plusieurs informations, par exemple que le conceptCHEVAL{\displaystyle {\texttt {CHEVAL}}} est cohérent avecΣ{\displaystyle \Sigma } (il existe une certaine interprétation satisfaisantΣ{\displaystyle \Sigma } qui assigne une extension non-vide àCHEVAL{\displaystyle {\texttt {CHEVAL}}} :

ΣCHEVAL=˙{\displaystyle \Sigma \not \models {\texttt {CHEVAL}}{\dot {=}}\bot }

Notons qu'à cause des limitations syntaxiques dans la définition de base des assertions, il n'est pas possible de représenter les implications fortes (qui proviennent deT,A{\displaystyle \langle T,A\rangle }) telle que par exemple le fait que dans tous les modèles deT,A{\displaystyle \langle T,A\rangle }, l'extension deCHEVAL{\displaystyle {\texttt {CHEVAL}}} est non-vide:

Σ¬(CHEVAL=˙{\displaystyle \Sigma \models \neg ({\texttt {CHEVAL}}{\dot {=}}\bot })

AvecΣ=T,A{\displaystyle \Sigma =\langle T,A\rangle } comme connaissance de base on a la A-Box saturé :

A={shadowfax:ETALONCHEVAL}{\displaystyle A=\lbrace {\texttt {shadowfax}}:{\texttt {ETALON}}\sqcap {\texttt {CHEVAL}}\rbrace }

Références

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  • F. Baader, D. Calvanese, D. L. McGuiness, D. Nardi, P. F. Patel-Schneider :The Description Logic Handbook: Theory, Implementation, Applications.Cambridge University Press, Cambridge, UK, 2003.(ISBN 0-52178-176-0)
  • Marvin Lee Minsky.A Framework for Representing Knowledge. Report A.I MEMO 306, Massachusetts Institute of Technology, A.I. Lab., Cambridge, Massachusetts,. McGraw-Hil, P. H. Winston (Éd.), « Psychology of Computer Vision », 1975.

Voir aussi

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Liens externes

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