Le village médiéval surplombe les boucles de laMoselle, paysage remarquable et protégé en tant quesite naturel inscrit depuis 1967.
D’après les donnéesCorine land Cover, le ban communal de 2 527 hectares comprend en 2011, seulement moins de 10 % de terres arables et de prairies, près de 64 % de forêt, 5 % de surfaces en eau et 11 % de zones industrielles et urbanisées[1].
Le territoire est arrosé par laMoselle et sa canalisation.
L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend trois ZNIEFF detype 1[Note 3] :
Située sur un coteau sec surplombant lavallée de la Moselle, à l'ouest de la commune, cette ZNIEFF de 7,75 hectares[26], remarquable par sespelouses calcaires, abrite de nombreuses espèces protégées ou peu communes.
Lesespèces déterminantes sont celles qui justifient le classement et la protection du Saut du Cerf en tant que ZNIEFF, elles sont au nombre de 23 (22 si sources postèrieures à 2000)[26].
On y trouve également des espèces d'orthoptères déterminantes comme leCriquet des genévriers (Euthystira brachyptera) et laDecticelle grisâtre (Plactycleis albopunctata).
Située sur les hauteurs de la route de Pompey, et d'une surface de 99,61 ha, laZNIEFF de la forêt de Chênot-Hazotte est partagée entrePompey et Liverdun. Ainsi, seul un cinquième de sa surface environ est située sur le territoire de la commune[28]. De fait, il est possible que les espèces listées ci-dessous ne soient pas localisées directement à Liverdun, mais dans unécosystème situé en partie sur son territoire.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (71,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,6 %), zones urbanisées (11,5 %),terres arables (10,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,5 %), eaux continentales[Note 8] (5,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %)[34]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Le lotissement Toulaire est un ensemble de 318 pavillons situé au nord de la commune, sur le plateau.
En 1957, l’armée américaine, qui occupait labase aérienne 136 Toul-Rosières (distante de seulement quelques kilomètres de la commune de Liverdun et fermée en 2004), a fait construire cette résidence pour y loger son personnel d’encadrement. Le nom Toulaire correspond du reste à la contraction de « Toul air base ».
Après le départ des soldats en 1966, l’ensemble immobilier a été mis en vente au début des années 1970.
La conceptionà l'américaine des constructions, tant dans leur aspect extérieur (grandes maisons de plain pied), que dans l’aménagement intérieur (grandes baies vitrées,cuisines intégrées, chauffage au sol, etc.), mais également la situation à proximité de la forêt et la végétation diversifiée et très présente (conifères, peupliers…) dans la résidence, confère à Toulaire une apparence exotique.
Lagare de Liverdun se trouve sur la ligne Paris - Strasbourg et est desservie par la ligneT.E.RMétrolor numéro 29 : Nancy - Bar-le-Duc - Paris et la ligne numéro 07 : Nancy - Toul - Neufchâteau.
Le nom de la localité est attesté sous les formesLiberdunum en 894 / 984[35] ;Burgum de Liverduno en 1108-1127 ;Leverdun en 1274 ;Luverdun en 1334 ;Luverdunum en 1402 ;Leverdung en 1500 ;Lubverdun en 1542 ;Luverdhung en 1550 ;Liverdung en 1551 ;Luverdung en 1571[36].
Il s'agit d'une formation toponymique gauloise ou gallo-romaine en-dunum[35] (comprendre gauloisdunon) « forteresse »[35] puis « colline, mont » ; Liverdun est effectivement située sur une hauteur dominant laMoselle. Le premier élémentLiver (<Liber-) est plus obscur, peut-être du nom de personne latinLiber[35].
Même si les traces archéologiques les plus anciennes sont aujourd'hui enfouies sous les murs et les rues de la vieille ville (tout comme à Toul), la présence humaine sur le ban communal de Liverdun est soupçonnée ou attestée en de multiples lieux (Bois de Natrou, lieu-dit la Garenne, Ru(pt) Chaudron) à différentes époques.(Age du fer, époque romaine et Moyen Âge)[37]
H. Lepage cite notamment la découverte, au lieu-ditChâtillon ou Chatrons, d'un tumulus et de tombesmérovingiennes dont un sépulcre a été donné aumusée lorrain de Nancy[37]
Le premier acte authentique confirme une donation de la ville par Othon 1er à l’évêché de Toul en 960[38]. L'historien Henri Lepage[37] esquisse une histoire rapide de la commune à partir de la reprise du site castral :« AuXIIe siècle, le château, qui existait déjà et qui se trouvait alors bâti à l'extrémité nord de la ville, était abandonné et en ruines depuis longtemps même, il servait de retraite aux bandits qui désolaient la province. L'évêque de Toul,Pierre de Brixey, voulant remédier à cet état de choses, rétablit la forteresse et l'agrandit en bâtissant au sud du château, une enceinte nouvelle comprenant tout le petit plateau bordé d'escarpements. », qui se conclut par la destruction du château en 1467 et il précise :« La forteresse, à la suite de ce désastre, ne fut point relevée, quoique, dans la suite,Louis XIII eut donné l'ordre de la rebâtir; mais on n'a ni réparé, ni entretenu les importants débris du Moyen Âge restés debout. » Liverdun a été la résidence d'été des évêques deToul[37].
Après la construction de la voie de chemin de fer Paris-Strasbourg inaugurée le en même temps que lecanal de la Marne au Rhin, Liverdun devient le lieu touristique par excellence pour les Nancéiens. On la surnomme alors le petit Deauville.
Lors de l'incendie duchâteau Corbin, le, le lieutenant des pompiers Charles Nicolas Frustin dirige les opérations afin de limiter l'incendie dans un périmètre restreint vu la proximité des proches habitations.
En 1868,Alfred Nobel en quête de capitaux et de débouchés recherche un partenaire industriel et financier. Il trouve la société Barbe, père, fils etCie, maîtres de forges à Liverdun (à l'époque département de la Meurthe).Paul François Barbe (1836-1890), investit 200 000 francs dans le capital de la société Nobel sous réserves d'obtenir les autorisations nécessaires pour fabriquer dès l'automne 1871 de la dynamite pour la région Alsace-Lorraine et l'exporter vers la Belgique. La fabrique de dynamite avait été installée par MM. Barbe et Smitt dans trois logements vides des cités de la Croisette. Par la suite Monsieur Barbe délocalise le site de Liverdun pour créer une dynamiterie en Espagne àGaldácano dans une ancienne de poudrerie et en confie la direction à Monsieur Combermale, ancien sous-directeur de de la dynamiterie dePaulilles. Cette usine est mise service avec du personnel de la fabrique de Liverdun dont Auguste Marchal (directeur du site de Liverdun puis à Galdácano jusqu'en 1904, époux de Marie-Thérèse Barbe) et Joseph Emile Depardieu, ce dernier restera en Espagne et fonda une famille. Les forges de Liverdun ont été rachetées en 1881 par moitié par les maîtres de forges dePompey et le reste par la Société anonyme des forges de Champigneulles créée pour la circonstance.
Élection municipale de 2020[42] – 4 700 inscrits, 1 805 votants, 61,60 % d'abstention, 1 757 exprimés ; liste Sébastien Dosé (DVG), 1 182 voix soit 67,27 % et 25 sièges, liste Patrick Koch (DIV), 575 voix soit 32,72 % et 4 sièges.
Élection municipale de 2014[43] – 4 610 inscrits, 2 779 votants, 39,72 % d'abstention, 2 649 exprimés ; liste Jean-Pierre Huet (DVG), 1 397 voix soit 52,73 % et 22 sièges, liste Patrick Koch (SE), 1 252 voix soit 47,26 % et 7 sièges.
Élection municipale de 2008[44] – 4 492 inscrits, 2 875 votants, 36,00 % d'abstention, 2 811 exprimés ; liste Jean-Pierre Huet (DVG), 1 469 voix soit 52,26 % et 23 sièges, liste Joël Wallon (DVD), 905 voix soit 32,19 % et 4 sièges, liste Patrick Koch (SE), 437 voix soit 15,55 % et 2 sièges.
Élection municipale partielle de 2007[45] – 4 422 inscrits, 2 156 votants, 51,24 % d'abstention, 2 096 exprimés ; liste Jean-Pierre Huet (DVG), 1 171 voix soit 55,87 % et 23 sièges, liste Joël Wallon (UMP), 925 voix soit 44,13 % et 6 sièges.
Élection municipale de 2001 – 4 365 inscrits, 2 638 votants, 39,56 % d'abstention, 2 480 exprimés ; liste Didier Bianchi (PS), 1 353 voix soit 54,56 % et 23 sièges, liste de droite, 1 127 voix soit 45,44 % et 6 sièges.
Élection municipale de 1995 –à compléter ; victoire liste Didier Bianchi (PS).
Élection municipale partielle de 1992[46] – 4 182 inscrits, 2 888 votants, 30,49 % d'abstention, 2 668 exprimés ; liste Armand Rémy (UDF), 1 394 voix soit 52,24 % et 22 sièges, liste Didier Bianchi (PS), 1 274 voix soit 47,75 % et 7 sièges.
Élection municipale de 1989 – 4 075 inscrits, 2 949 votants, 27,63 % d'abstention, 2 863 exprimés ; liste Ghislaine Millard (PS), 1 478 voix soit 51,62 % et 22 sièges, liste Armand Rémy (UDF), maire sortant, 1 385 voix soit 48,37 % et 7 sièges.
Entre 1941 et 1945, pendant l'occupation, des maires ont été nommés par la préfecture. D'après les comptes rendus des conseils municipaux, on trouve Charles Millot jusqu’à sa démission le puis Édouard Monchablon jusqu'au, date où Georges Sognet (SFIO) est rétabli maire pour organiser les prochaines élections.
L'entrée du château Corbin.
Par arrêté préfectoral de la préfecture de la région Grand-Est en date du 9 décembre 2022, la commune de Liverdun a intégré l'arrondissement de Nancy au 1er janvier 2023[56].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[60].
En 2022, la commune comptait 5 656 habitants[Note 9], en évolution de −6,4 % par rapport à 2016 (Meurthe-et-Moselle : −0,13 %,France horsMayotte : +2,11 %).
E. Grosse[64] indique dans son ouvrage, vers 1836 : « Territ. : 1813 hect., dont 1473 en forêts, 280 en terres arables, 3o en prés et 20 en pâtis, jardins, etc. » Le village a donc eu une traditionagricole.
Liverdun est connue pour ses « Madeleines de Liverdun », de la biscuiterie Chenel qui a été reprise en par Vincent Ferry de l'entreprise meusienne "Clair de Lorraine" située àVoid Vacon qui commercialise les produits du terroir.
Un camping de près de 200 emplacements situé dans le lit de la Moselle engendre la fréquentation de nombreux étrangers nord-européens en transit et de d'habitants des communes alentour qui y déposent leurs caravanes pour les beaux jours.
La boucle de la Moselle est fréquentée par de nombreux visiteurs du dimanche à la recherche de loisirs au bord de l'eau.
Un office de tourisme sert de relais d'information pour toute l'intercommunalité du Bassin de Pompey (communauté de communes du Bassin de Pompey). Depuis 2014, la CCBP ayant repris la compétence tourisme, l'Office s'intitule maintenant Accueil Touristique du Bassin de Pompey.
Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[65]), la commune deLiverdun était majoritairement orientée[Note 10] sur lapolyculture et le poly -élevage (auparavant même production ) sur une surface agricole utilisée[Note 11] d'environ 105 hectares (inférieure à la surface cultivable communale) en légère augmentation depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 116 à 92 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 4 (4 en 1988) exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 8 unités de travail[Note 12]. (4 auparavant).
Entrée de l'usine des Pompes Noël.Wagonnet sur la D90.Réhabilitation de l'ancienne usine Lerebourg.
Cours de la Moselle canalisée,tunnel de 388 mètres sous la ville, écluse[66].
Unpont canal qui fut détruit lors du passage à la Moselle en grand gabarit pour les péniches, le canal est en partie comblé à la suite de ce choix industriel (relier les usines deNeuves-Maisons) et d'infrastructure.
Une ancienne mine de fer ouverte en 1861 sur le lieu-dit La Croisette, desservie par deux galeries dites Saint-Paul et Sainte-Barbe[67]. Les galeries de mine sont bouchées en 1892, une commémoration en est donnée le long de la routeD 90 (route de Frouard, juste avant le pont fauché par un camion inattentif qui convoyait une grue) par un wagonnet sur rail. Une forge et des hauts fourneaux seront installés en 1865 et 1866[68]. Le site est mis à l'inventaire du Patrimoine industriel en 1995[69].
Une briqueterie créée par la famille Labesse s'installera de l'autre côté de la route et du canal en 1888[70].
Une cité ouvrière (rue de Châtillon) est construite en 1866, elle comprenait 86 logements à l'origine.
C'est dans cette cité que sera ouverte la fabrique de dynamite dirigé par Auguste Marchal, marié à M.T. Barbe, cousine germaine de Paul Barbe.
Une fonderie établie de 1891 à 1892 pour Nicolas Noël, fabricant de pompes, dont l'usine parisienne, qui datait de 1866, avait été expropriée au moment de la construction du boulevard Parmentier en 1871. Elle se trouve actuellement rue Nicolas-Noël.
Une usine de colle, acquise en 1919, par Eugène Lerebourg[71], apparenté au fabricant de conservesWilliam Saurin, qui la transforme en conserverie de fruits, confiserie et usine de confitures.
CONFISERIE CHOCOLATERIE BREBION : entreprise en activité depuis 45 ans, spécialisée dans la fabrication et la distribution de confiserie partout en France mais également à l'étranger : chocolat noir, blanc, au lait, chocolat en poudre, chocolat granulé, pâte de cacao, mies de chocolat, confiserie enrobée...
C.F.S.I. : entreprise spécialisée dans le domaine de la formation en sécurité et incendie, formations proposées en entreprises pour salariés d'entreprises, formation des personnels de sécurité, apprentissage des gestes et techniques de sauvetage en cas de sinistre, apprentissage des gestes de premier secours, etc.
The Peggy Brewing : micro-brasserie artisanale française, bières Crafts et originales.
Lamaison du gouverneur pendant les Fêtes médiévales de 2023 à Liverdun.La maison canoniale rue st-Pierre pendant les Fêtes médiévales de 2023 à Liverdun.
Belles façades de maisons à arcades rue de l'Église et place de la Fontaine dont :
la maison appelée Maison Benoît du nom de son propriétaire au moment de la protection en1926, au 4 rue de l'église[73], ayant une niche avec la statue de la Vierge encastrée dans la façade également inscrite au titre desmonuments historiques par arrêté du[74].
Liverdun est surtout connue pour ses "Véritables madeleines de Liverdun" produites dans le village depuis 1870[86]. La recette de ces fameuses pâtisseries a subi plusieurs modifications mais a toujours été gardée secrète. Le, lors du salon de l'agriculture, la fabrique de madeleines Chenel est rachetée par la société Clair de Lorraine[87].
Saint Euchaire, saintCéphalophore martyrisé par décapitation àPompey revient à Liverdun, la tête sous le bras, pour rendre son âme à Dieu.
Paul Barbe (1836-1890), maître de forges à Liverdun.
L. Herbier, instituteur à Liverdun en 1888 et auteur de la monographie pour l'exposition universelle de 1889. La qualité et la quantité d'informations contenues dans ce document sont remarquables. Il est également l'un des contributeurs au dictionnaire "le patois lorrains" deLucien Adam.
D'argent à la branche de chêne de sinople, posée en pal, englantée de gueules.
Détails
Ces armoiries se trouvent sur un registre d'inventaire des archives de la ville et chastellenie de Liverdun, prévôté seigneuriale dépendante de l'évêché et comté de Toul. En effet, Liverdun était une des premières places fortes du domaine de l'évêque de Toul :La porte inexpugnable de tout leur évêché ainsi qu'il est dit dans la charte de 1186. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Le HBC Liverdun 89 est créé en 1989 par une bande de copains. Le club joue dans la salle de l'espace loisirs de la Champagne. Il veut fédérer un esprit familial et convivial dans le sport.
Ajourd'hui le HBC Liverdun 89 est en entente avec l'ES Custines Handball pour les catégories U15, U18 et Seniors dont l'équipe fanion évolue en Honneure Régionale en 2024-2025.
« Liverdun », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, surgaleries.limedia.fr
↑Les ZNIEFF detype 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF detype 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Nancy comprend une ville-centre et27 communes de banlieue.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
↑Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
↑Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
↑"Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes :carte de Cassini (XVIIIe siècle),carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑plaquettecircuit touristique de la Ville Haute, du point d'accueil du Bassin de Pompey, 2021.
↑Almanach Vermot 2008 et « Une guerre de trente ans en Lorraine », page 369 de Philippe Martin, Professeur d'histoire moderne à l'Université de Nancy 2.
↑E. Grosse (abbé),Dictionnaire statistique du Département de la Meurthe : contenant une introduction historique sur le pays, avec une notice sur chacune de ses villes, bourgs, villages, hameaux, censes rivières, ruisseaux, étangs et montagnes, Creusat,(OCLC669189596,lire en ligne),p. 177.