Le Perreux constitue avec Saint-Mandé, Vincennes, Nogent-sur-Marne, Marolles-en-Brie, Saint-Maur-des-Fossés, Bry-sur-Marne, Santeny et Rungis la partie huppée du Val-de-Marne. En 2016, la commune faisait partie des 2 % des communes au revenu médian par habitant le plus élevé[2].
Statistiques 1991-2020 et records NEUILLY-SUR-M. (93) - alt : 45m, lat : 48°51'37"N, lon : 2°32'58"E Records établis sur la période du 01-01-1981 au 03-12-2023
Au, Le Perreux-sur-Marne est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant407 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 2],[10],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].
La commune ne respecte pas ses obligations issues de l'article 55 de laloi SRU qui lui imposent de disposer d'au moins 25 % delogements sociaux. Ce taux n'était que de 10,87 % des résidences principales en 2018, puis de 10,94 % en 2019. De ce fait, la ville est astreinte au paiement d'une pénalité financière de 1 100 000 € en 2021[13]. Le préfet a pris un arrêté de carence de la municipalité en la matière, estimant insuffisant ses efforts pour respecter ses obligations[14]. De ce fait, c'est le préfet qui délivre lespermis de construire des projets de plus de quatre logements et exerce ledroit de préemption urbain[15].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Perreux-sur-Marne en 2019 en comparaison avec celle du Val-de-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion derésidences secondaires et logements occasionnels (1,8 %) supérieure à celle du département (1,8 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 62,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (63,9 % en 2014), contre 45,1 % pour le Val-de-Marne et 57,5 pour la France entière[I 4].
Situé au cœur du Perreux, Le Parc est un lotissement privé d'une centaine de pavillons. Ce quartier cossu est sécurisé et l'entrée des voitures est régulée.
Il existe une quarantaine de rues, pour une distance d'environ 16 kilomètres[16], aménagées avec des signalisations « pistes cyclables » qui sont partagées avec les voitures. Pour répondre aux différentes attentes en matière de stationnement, la ville propose une offre diversifiée : parkings souterrains ou en surface, voirie, abonnements, zonage, arrêts minute...
En projet
Attendue à l’horizon 2030, la ligne de métro 15 Est desservira 12 communes de deux départements (Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne). Elle reliera 12 gares (dont celle de Nogent-Le Perreux) entre Saint-Denis Pleyel à Champigny Centre, en 25 minutes. Chacune des gares sera en connexion avec un autre mode de transport (RER, métro ou tramway) et la fréquentation journalière y est estimée entre 340 000 et 470 000 voyageurs. Ce tronçon vise à désaturer les réseaux de transports en commun déjà existants et à desservir efficacement des territoires deproche couronne.
La gare deNeuilly-Plaisance, desservie par laligne A est située à proximité du nord-est de la ville, et notamment du quartier des Joncs-Marin.
Enfin àVal de Fontenay, gare qui se situe également à proximité des limites communales au nord-ouest, convergent le RER A et le RER E. Ce pôle devrait également être considérablement renforcé par l'arrivée de la ligne 15 du métro, et potentiellement de laligne 1 du métro et de laligne 1 du tramway.
Intimement lié à l'histoire de Nogent, le Perreux est un fief dépendant de l'abbaye de Saint-Maur dont un cartulaire mentionne pour la première fois l'existence en 1284. En 1492, les moines de ladite abbaye essaieront d'en récupérer les droits de haute, moyenne et basse justice. Jeanne Baston, femme de Jean l'Épervier, saisit la justice. Les moines seront déboutés par le parlement de Paris en 1500.
En 1760, Robert Millin, écuyer, secrétaire du roi, maison et couronne de France, et receveur général des domaines du duc d'Orléans, achète le domaine.Son fils, Jérôme-Robert sera en 1794 l'une des innombrables victimes de l'accusateurFouquier-Tinville. Il tombera sous la guillotine en place publique, alors que son propre fils, Alexandre Millin, lieutenant général, se bat pour les armées de la République.Ce dernier et son frère se font restituer le domaine en triste état sous le Directoire, mais ne tardent pas à le revendre. Il faut dire à leur décharge que leur père avait déjà subi avant la Révolution de sérieux revers de fortune.
Le domaine est alors morcelé. Nicolas Louis François de Neufchâteau achète le château et le parc. Le reste des terres, possession des familles Pantigny et de Beaufranchet est converti en lotissements vers 1860 afin de tirer parti de l'expansion que connaît Nogent grâce à la construction de la ligne de chemin de fer Paris-Mulhouse.Commencés dès 1854, les travaux nécessitent la construction d'unviaduc. La frontière est née, Le Perreux va prendre son essor. Vers 1886, le nombre d'habitants du quartier du Perreux est aussi important que celui du vieux bourg de Nogent.La « guerre » entre les deux quartiers est menée par un adjoint au maire de Nogent : Henri Lhopital-Navarre. Le, la rupture est consommée, Navarre devient le premier maire du Perreux.
En effet, durant plusieurs semaines, des quartiers anciens et nouvellement urbanisés restèrent les pieds dans l'eau. Avec le développement de la ligne de chemin de ferParis-Bastille, et l'ouverture de la gare de Nogent-sur-Marne, la commune du Perreux, détachée de Nogent depuis 1887, connut un engouement certain de la part des Parisiens relativement aisés qui souhaitaient s'installer à la campagne, au moment des beaux jours. Ainsi, ils firent construire pavillons et villas, sur des terrains encore libres, mais inondables, notamment dans la partie sud, où les espaces étaient disponibles et proches de la gare.
Cette crue exceptionnelle de plusieurs semaines, en isolant encore un peu plus ces habitations, ne découragea pas les pillards, bien au contraire. La municipalité dut faire appel à des détachements dezouaves stationnés aufort de Nogent, pour maintenir un semblant de sécurité, alors que la neige tombait dans la région.
La présence dissuasive de ces militaires, équipés de leurchassepot, n'empêcha pas le vol de métaux. Il faudra pratiquement attendre la fin du mois de février, pour que la Marne retrouve son lit.
Aujourd'hui, de grands aménagements, tel le barrage-réservoir « Seine » près de Troyes, ou encore celui de « Marne » près de Saint-Dizier, doivent minimiser l'effet de cescrues centennales[17],[Note 4].
La crue de 1910
Inondation dans le quartier la Maltournée en 1910 (1).
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le, lamétropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée[21].
Laloi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (Loi NOTRe) prévoit également la création le d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exercent également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées.
La commune fait donc également partie depuis le de l'établissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois[22], créé par un décret du[23]. Le nouveau territoire regroupe 13 communes dont Le Perreux (Bry-sur-Marne, Champigny-sur-Marne, Charenton-Le-Pont, Fontenay-sous-Bois, Joinville-le-Pont, Maisons-Alfort, Nogent-sur-Marne, Saint-Mandé, Saint-Maur-des-Fossés, Saint-Maurice, Villiers-sur-Marne et Vincennes).
Le Conseil de territoire est composé de 90 conseillers de territoire élus, en leur sein, par les Conseils municipaux de chaque ville membre. 15 d’entre eux sont également conseillers métropolitains.
Lors du premier tour desélections municipales de 2014 dans le Val-de-Marne, la liste UMP-UDI menée par le maire sortantGilles Carrez obtient lamajorité absolue des suffrages exprimés, avec 8 363 voix (69,44 %, 35 conseillers municipaux élus dont 9 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[24] :
Lors du premier tour desélections municipales de 2020 dans le Val-de-Marne[25], la liste LR-SL menée par la maire sortante — qui avait succédé en 2016 àGilles Carrez — obtient lamajorité absolue des suffrages exprimés, avec 5 217 voix (66,34 %, 33 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant très largement les listes menées respectivement par[26] :
Pour les échéances électorales de 2007, Le Perreux-sur-Marne fait partie des 82 communes[27] de plus de 3 500 habitants ayant utilisé lesmachines à voter.Néanmoins, devant les longs temps d'attente engendrés par ce système, le maire d'alors a décidé de revenir au vote traditionnel dès le second tour.
La ville met à disposition de nombreux équipements sportifs qui accueillent les animations scolaires, les entrainements et les compétitions des associations sportives.
Complexe Adolphe Chéron. Le complexe se compose d’un terrain de football avec tribunes, d’une aire de saut en longueur, de 3 couloirs d’athlétisme, d’un gymnase, d’un stand de tir et d’une salle polyvalente à dominante escrime.
Espace de jeux multisports. Le territoire de la commune compte plusieurs espaces qui offrent la possibilité de pratiquer diverses activités. Le parc du Saut du Loup (4, rue d’Estienne d’Orves) est équipé d’un terrain pour pratiquer le football, le handball ou encore le basket. Accès libre de 9h à 18h en hiver et de 9h à 19h30 en été. L’espace basket (269, avenue du Général de Gaulle) comporte un panneau de basket et 1 but de handball. Enfin, avec son terrain de pétanque et son terrain multisports (basket et football), le Mail des Droits de l’Homme (28, rue Jules Ferry) permet de pratiquer diverses activités.
Salle d'activités physiques et sportives (APS). Le complexe se compose d’une salle de gymnastique au sol et avec agrès de 600m2 et d’une salle de gymnastique d’entretien de 140 m2.
Salle de sport du centre-ville. Salle polyvalente de 250 m2.
Salle omnisports du CdbM. Le Centre sportif des bords de Marne comprend une salle omnisports et une tribune de 464 places, deux dojos et un centre médico-sportif (sur rendez-vous).
Stade Léo Lagrange. Ce stade comporte 9 courts de tennis dont 6 recouvrables par bulles, un mur d’entraînement pour le tennis, un terrain de football et un « club house ».
Le Perreux possède un club de football jouant actuellement en District, au passé prestigieux :AS Le Perreux - Francilienne 94.
Le Perreux possède deux clubs de tennis : ALP créé en 1876, et le TCP. Henri Leconte y a tapé ses premières balles.
Le Perreux possède un club d'aviron, la SNP, la société nautique du Perreux.
Le Perreux possède un club de basket : ALPB jouant actuellement en District.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1891. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[45],[Note 6].
En 2022, la commune comptait 34 654 habitants[Note 7], en évolution de +2,74 % par rapport à 2016 (Val-de-Marne : +3 %,France horsMayotte : +2,11 %).
La Ville du Perreux-sur-Marne compte près de 350 commerçants, répartis sur 4 pôles d'attractivité économique (Le Centre-ville, Le pont de Mulhouse, le pont de Bry & les Joncs Marins).
Ces zones sont elles-mêmes portées par 4 associations de commerçants qui assurent des animations toute l'année en collaboration avec la Mairie.
Avec son marché du centre-ville les mercredi, vendredi et dimanche, la Ville bénéficie d'un dynamisme économique tout au long de l'année
Église Saint-Jean-Baptiste de style roman, architecte Allary 1889, maître-autel surmonté d'une fresque,Les anges adorant le Seigneur, réalisée en 1924 par le peintre Deteix. Les fonts baptismaux duXIIe siècle proviennent de l'ancienne église de Noisy-le-Grand
Stade de la Société d’Éducation physique alsacienne et lorraine de Paris édifié en plusieurs tranches de 1926 à 1961[47]
Plusieurs maisons Art nouveau, architecte : Nachbaur,XXe siècle
Maison, Art moderne, architecte : Tissoire, 1926-1939
Immeuble avec bow-windows, architecte : Léon Houdin, 1913
Immeuble avec bow-windows, architecte : Georges Malo, 1903
C'est dans cette ville que Henri Boursault a inventé le fromageDélice de Saint-Cyr, aussi appeléBoursault[48].
Une bibliothèque existait dans les locaux de la mairie depuis 1887. Une médiathèque a été créée en 1982, rénovée une première fois en 2004 puis, à nouveau, en 2017. LaMédiathèque actuelle propose des livres, de la presse mais aussi des DVD, des CD, des livres-audio, des vinyles de rock, des jeux vidéo, des jeux de société, des ressources numériques (plateforme départementale EURÊKA, Cafeyn, et Ma Petite Médiathèque en collaboration avec ARTE) ainsi qu'un programme d'animations pour tous les âges. Un jardin, une salle de travail de 40 places et un espace destiné aux tout-petits ont été créés à l'occasion de la reconfiguration de 2017. À la suite de la mise en place des bornes de libre-service de prêt et de retours en, les différents espaces ont été entièrement réaménagés. Le 27 octobre 2020, la Médiathèque a obtenu leGrand Prix Livres Hebdo 2020
Le Centre des bords de Marne[49], équipement à vocation artistique et culturelle a été construit en 1980. Depuis 1991, le projet artistique développé par l'équipe du CdbM (25 permanents) est conçu autour du spectacle vivant, du cinéma et de la photographie, avec une attention particulière pour la création contemporaine. Entre 2010 et 2012, les façades du CDBM ont été rénovées afin de les rendre plus esthétiques et pour réduire la consommation d'énergie[50].
Le Conservatoire est installé dans des locaux du centre-ville modernes et adaptés aux différentes activités. Il accueille plus de 600 élèves, musiciens et danseurs. L’année est ponctuée par plus d’une trentaine de manifestations (concerts, auditions, spectacles de danse, concerts commentés) qui, pour la plupart, ont lieu à L’Auditorium. L’enseignement de nombreuses disciplines y est proposé : danse classique et contemporaine (à partir de 4 ans), jardin musical (à partir de 4 ans), instruments à cordes et à vent, piano, clavecin, chant, accordéon, batterie, formation musicale. De nombreux ensembles accueillent les élèves pour participer à des pratiques collectives (orchestre, ensembles à cordes, ensembles à vent, musique de chambre, jazz, atelier d’art lyrique et chorale adulte).
France Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France Commission régionale Île-de-France, Nogent et Le Perreux : l’eldorado en bord de Marne : Inventaire général du patrimoine culturel, [région] Île-de-France, texte d’Isabelle Duhau avec la participation de Laurence de Finance, photographies de Stéphane Asseline et Laurent Kruszyk, avec la participation de Christian Décamps, [sous la direction de Dominique Hervier], Paris, APPIF, 2005, 144 pages, 30 cm,(ISBN2-905913-44-4).
Michel Giraud,Le Perreux-sur-Marne, cent ans d'histoire, 1987 (édition spéciale du Centenaire).
Michel Riousset,De Lagny à Charenton, les bords de Marne, du Second Empire à nos jours, 1985, éditions Amatteis.
Pierre Champion, Alexandre Salabert,Le Perreux-sur-Marne, notice historique, Le Perreux-sur-Marne, 1937.Logotype de la ville du Perreux-sur-Marne.
Jean-François Holvas, Seigneurie, seigneurs et château du Perreux, Le Perreux-sur-Marne, 1998.
Jean-François Holvas,Patrimoine du Perreux, Le Mée-sur-Seine, 1999.
Jean-François Holvas, Vincent Villette,Nogent-Le Perreux l’unité retrouvée, Le Perreux-sur-Marne, 2002.
Jean-François Holvas,Bateaux, trains et tramways : transports au PerreuxXIIIe – XXIe siècles, Le Perreux-sur-Marne, 2002.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et406 communes de banlieue.
↑Voir également les bases de données nationales du ministère de la Culture : Mérimée pour l'architecture, Palissy pour les objets mobilier et Mémoire pour l'iconographie[18].
↑a etbUne place de la ville porte le nom de ce maire
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑C. Dubois, « Logement social en Val-de-Marne: 10 villes sanctionnées : Le nombre de villes en constat de carence de logements sociaux en Val-de-Marne a augmenté depuis la dernière révision triennale. Cette année, dix villes sont épinglées contre sept il y a trois ans. Les mesures qui accompagnent ces décisions sont aussi plus contraignantes, avec pour la première fois une reprise de l’instruction des permis de construire dans quatre villes. Rappel historique, chiffres du logement social en Val-de-Marne et détails des mesures 2020 »,94Citoyens.com,(lire en ligne, consulté le).
↑Agnès Vives, « Logement social : quatre maires du Val-de-Marne perdent la main sur les permis de construire : Le préfet du Val-de-Marne reprend la main sur les permis de construire à Saint-Maur, Saint-Mandé, Le Perreux et Ormesson. Six autres villes y échappent mais sont carencées »,Le Parisien,(lire en ligne, consulté le).
↑Marion Kremp, « Le Perreux : la bataille des municipales se jouera sur le thème de l’urbanisation : La maire sortante Christel Royer (LR) se confrontera pour la première fois au suffrage universel. Face à elle, l’ancien opposant Marc Boniface (MoDem-LREM) et la liste de gauche d’Arnaud Dussud. Enjeu de campagne : la densification »,Le Parisien, édition du Val-de-Marne,(lire en ligne, consulté le).
↑« Michel Giraud est mort : L'ancien maire RPR du Perreux, considéré comme le père de la région Ile-de-France, est décédé dans la nuit de mercredi à jeudi. Hier, les réactions d'émotion étaient nombreuses »,Le Parisien, édition du Val-de-Marne,(lire en ligne).
↑L. P., « Le Perreux : Christel Royer, la première adjointe, devrait succéder Gilles Carrez »,Le Parisien, édition du Val-de-Marne,(lire en ligne)« Au Perreux elle était, du moins jusqu’à ce vendredi, adjointe au maire chargée des finances et de l’urbanisme. Dans son précédent mandat, elle avait pris en charge les affaires sociales, le personnel et l’administration communale. Ces derniers mois, la gestion du dossier du nouveau plan local d’urbanisme (PLU) avait fini de la faire connaître des Perreuxiens ».
↑Charlotte Thiede, « Val-de-Marne : Germaine Sablon, l’illustre résistante, a son école au Perreux : Figure de la Résistance et interprète du «Chant des Partisans» en 1943 à Londres, Germaine Sablon est sortie de l’ombre lors de l’inauguration du neuvième groupe scolaire du Perreux. Elle avait passé ses premières années dans la commune »,Le Parisien,(lire en ligne, consulté le)« Germaine Sablon est née le 19 juillet 1899 au 29, avenue des Fleurs. Connue pour avoir interprété le 30 mai 1943, à Londres « Le Chant des Partisans », elle ne reste que quelque temps au Perreux, une dizaine d’années vraisemblablement ».