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Lac de Van

38° 38′ 00″ N, 42° 49′ 00″ E
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Pour les articles homonymes, voirVan.

Lac de Van
Image illustrative de l’article Lac de Van
Administration
PaysDrapeau de la TurquieTurquie
RégionAnatolie orientale
ProvincesBitlis,Van
Géographie
Coordonnées38° 38′ 00″ N, 42° 49′ 00″ E
TypeLac saléendoréique
OrigineNaturel
Superficie3 755 km2
Longueur120 km[1]
Largeur80 km[1]
Périmètre5 764 kmVoir et modifier les données sur Wikidata
Altitude1 640 m
Profondeur
 · Maximale
 · Moyenne

451 m[1]
162 m
Volume607 km3
Hydrographie
Bassin versant12 500 km2
AlimentationAnkyusner(d), Berkri(d), Garala(d),Hoşap Çayı, Delicav(d), Artske(d), Artshesh(d) et Gayl(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Émissaire(s)Aucun
Durée de rétention145 annéesVoir et modifier les données sur Wikidata
Îles
Île(s) principale(s)AkdamarAdirÇarpanakAtrek
Divers
Peuplement piscicoleDarekh
Géolocalisation sur la carte :Turquie
(Voir situation sur carte : Turquie)
Lac de Van
Lac de Van
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Lelac de Van oulac Van est le plus grandlac deTurquie et le deuxième plus grand lac d'Asie de l'Ouest (après lelac d'Ourmia). Il est situé dans le sud duhaut-plateau arménien dans l'est de laTurquie. Il s'agit d'unlac saléendoréique.

Toponymie

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Le lac de Van est appelé enturcVan Gölü, enarménienՎանա լիճ (Vana lič̣), enkurdeGola Wanê oubehra Wanê, enarménien classiqueԲզնունեաց ծով (Bznowneac̕ çov) etՌշտունեաց ծով (Ṙštowneac̕ çov), respectivement mer de Bznunik et mer de Rshtunik[2].

Dans l'Antiquité, il était appelé enlatinArsissa Palus et engrecThospitis.

Géographie

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Topographie

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Le lac de Van est situé à l’extrême est du pays, sur lehaut-plateau arménien, partagé entre la province deVan et celle deBitlis ; la ville deVan se trouve sur son rivage oriental. Le lac est entouré de hautes montagnes au sud, de plateaux et de montages à l'est et de volcans à l'ouest[3],[4]. Le lac de Van est située près de la frontière iranienne ; il présente des caractéristiques communes avec lelac d'Ourmia (salinité, climat, zone de hautes montagesendoréiques)[4].

Il fait 120 kilomètres de longueur pour 80 kilomètres de largeur et 171 mètres de profondeur moyenne, 451 mètres au maximum[1]. Sa superficie est de 3 755 km2 et son altitude de 1 640 mètres. Avec lelac Sevan et lelac d'Ourmia c'est l'un des trois grands lacs de l'ancienroyaume d'Arménie, surnommés les « mers d'Arménie ». Le lac de Van est le plus grand lac de Turquie et le second plus grand du Moyen-Orient[3]. C'est également le plus grandlac alcalin sur Terre[3].

Le lac de Van est situé dans la plus importante zone sismique de Turquie (qui s'étale de lamer de Marmara au lac de Van). Lerisque sismique y est donc élevé[5].

Le lac est entouré de zonesagricoles productrices defruits et decéréales.

Le lac compte quatre îles : Gadir (au nord),Çarpanak (à l'est), etAkdamar et Atrek (au sud)[3].

Akdamar

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Article détaillé :Akdamar.

Dans la partie méridionale du lac, sur la commune de Gevaș (à 44 km de Van, au pied du mont Artos), l'île se situe en plein lac, à entre 1 500 et 2 000 mètres du rivage. Desbacs motorisés fonctionnent pour les touristes. L’île est déserte et profite d’unmicroclimat (la température du lac est de variation lente), la dotant d'une végétation arbustive et florale qui débute avant les autres au printemps. L’île fut un temps le siège du royaumearménienArçrouni deVaspourakan, puis un centre cultuel de formation du clergé chrétien ainsi que le siège d'uncatholicossat.

  • Vue du lac aux abords de l'île.
    Vue du lac aux abords de l'île.
  • Le lac vu de l'île.
    Le lac vu de l'île.
  • Le lac vu du ferry-boat.
    Le lac vu du ferry-boat.
  • Vue d'altitude sur le lac et l'étang de Van.
    Vue d'altitude sur le lac et l'étang de Van.

L’unique monument est l'église arménienneSainte-Croix d'Aghtamar, achevée au début duXe siècle sous le règne du roi arménienGagikIer de Vaspourakan, par l’architecte Manuel[6].

  • L'église.
    L'église.
  • Clocher.
    Clocher.
  • Absidiole.
    Absidiole.
  • Façade.
    Façade.

Forteresse de Van

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Article détaillé :Forteresse de Van.
La forteresse de Van.

Forteresse située sur le rivage est du lac de Van, elle se situait à proximité deTushpa, la capitale du royaumeUrurtu (IXe siècle -VIIe siècle av. J.-C.). Cette fortification a été construite à cette époque. Elle est ensuite passée entre les mains des Arméniens, des Romains, des Perses achéménides et sassanides, des Arabes, des Seldjoukides, des Ottomans et des Russes. On y retrouve une inscription attribuée àXerxès le Grand, roi de la Perse achéménide, datant duVe siècle av. J.-C.

Hydrologie

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Image satellite en fausses couleurs du lac de Van.

C'est unlac de soude,salé,endoréique qui reçoit l’eau de nombreux petits cours d’eau qui descendent des montagnes environnantes.

Son eau est donc fortementalcaline (pH de 10[3]) et salée (salinité de 23 g/kg[7]). Elles sont riches encarbonate de sodium et en autressels, qui sont extraits par évaporation et utilisés commedétergents. Cela retarde le développement de glace à sa surface durant l'hiver[3]. L'eau du lac gèle difficilement[3], malgré les hivers très froids propres à l'Anatolie intérieure[8]. L'eau n'est pas potable et n'est pas adaptée à l'irrigation[3]. Seules deux espèces endémiques de poisson y vivent.

Le lac reçoit entre 300 et 400 mm de précipitations par an[4].

Le niveau de l'eau a fortement évolué au cours de l'histoire du lac de Van en raison du changement climatique, d'éruptions volcaniques et de l'activité tectonique[3]. On peut observer sur le rivage sud des terrasses à 110 m au-dessus du niveau actuel du lac et des traces d'érosion de la pierre montrant que le niveau de l'eau a historiquement été plus élevé qu'il ne l'est actuellement[8].

Environnement, faune et flore

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Le plateau de l'Anatolie est caractérisé par des hivers difficiles et des étés très secs. On y relève des vents violents et secs et des tempêtes de grêle. Cet environnement a permis le développement autour du lac de Van d'une flore de steppe.

La végétation y est assez riche, cependant les spécimens les plus rares se cachent dans les falaises et crevasses qui les protègent des intempéries et leur apportent une irrigation optimale[8]. La flore du lac de Van a fait l'objet de différentes études par des botanistes.

Les sédiments du lac ont permis d'étudier le changement climatique ayant eu lieu dans la zone[9].

Le lac de Van accueille le plus grand dépôt demicrobialite « dépôt sédimentaire rocheux ou benthique constitué de boue carbonatée qui se forme par l'intermédiaire de microbes » au monde[10].

Le bassin endoréique du lac, composé des cours d'eau qui l'alimentent, abrite plusieurs espèces de poissons, pour la plupartendémiques. On y trouve toutefois des populations introduites, comme destruites arc-en-ciel d'Amérique du Nord ou destruites communes d'Europe, toutes deux observées dans le Sapur, un cours d'eau alimentant le lac par le sud-ouest[11]. Leurs introductions respectives, accidentelles, seraient toutes deux liées au développement de la pisciculture dans la région. Ces deux espèces ne cohabitent cependant pas et occupent des portions différentes du Sapur : les truites communes vivent dans la portion supérieure du cours d'eau, à environ 5 km de son embouchure sur le lac ; les truites arc-en-ciel vivent dans sa portion intermédiaire, entre 1 et 3 km[11].

Certaines espèces d'ablettes sont endémiques du bassin du lac de Van, comme ledarekh (Alburnus tarichi), ou son cousinAlburnus timarensis. Alors qu'Alburnus timarensis ne se trouve que dans les eaux vives de la rivièreKarasu, un affluent du lac, le darekh est présent dans tous les cours d'eau du bassin[12]. Si le lac est l'habitat principal du darekh, celui-ci migre vers ces cours d'eau pour pondre entre début mai et mi-juin ; il se retrouve alors, dans la Karasu, ensyntopie avecAlburnus timarensis, les deux espèces cohabitant sur les 20 premiers kilomètres de la rivière[12] . De même, on retrouve à cette période le darekh sur le premier kilomètre du Sapur. Sa zone de répartition s'y arrête alors au contact de celle des truites arc-en-ciel, sans que l'on sache si cette limite est due à la présence de ce poisson carnivore ou à la pollution du cours d'eau par un abattoir voisin[11].

Le darekh est la seule espèce native présente dans le Sapur[11]. On trouve dans les autres cours d'eau du bassin des populations de trois autres espèces natives : deuxcyprinidés (Barbus lacerta etCapoeta damascina) et uneloche de pierre,Oxynoemacheilus ercisianus[13].

Le lac de Van en lui-même est peu propice aux espèces poissonneuses ; le darekh a longtemps été considéré comme le seul poisson du bassin capable de vivre dans ses eaux saumâtres. Toutefois, une population d'Oxynoemacheilus ercisianus y a également été découverte en 2018[14],[13]. Isolée des populations présentes dans les cours d'eau du bassin, ses individus semblent y vivre de façon permanente. Ils présentent ainsi un certain degré d'adaptation à la vie lacustre, leurs nageoires étant placées plus en arrière que chez leurs congénères des cours d'eau du bassin[13]. On les trouve dans les cavités poreuses du microbialite, au sein de structures en forme de tour de plusieurs mètres de haut. Observés en bien plus grand nombre durant la nuit, ces individus semblent présenter une activité principalement nocturne[13].

En dehors de ces deux poissons, le lac abrite 103 espèces dephytoplanctons et 36 espèces dezooplanctons[14].

Les abords du lac sont le berceau duturc de Van ou « chat nageur » qui a la particularité d'aimer l'eau.

Histoire

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Le lac de Van est un des lacs sacrés du peuple arménien. Il est en effet à l'origine de la légende deDavid de Sassoun, selon laquelle la mère de David serait tombée enceinte après avoir bu trois gorgées d'eau du lac. Le lac de Van voit son niveau baisser considérablement par la sécheresse qui s'installe auXe siècle en Anatolie.

Le débouché du lac a été obstrué à une certaine période duPléistocène, lorsque descoulées de lave venant du volcanNemrut ont bloqué le débouché ouest vers la plaine deMuş. Aujourd’hui dormant, le Nemrut est proche de la rive ouest du lac et un autrestratovolcan dormant, leSüphan Dağı, domine le côté nord du lac.

Le lac de Van a été compris dans le territoire du royaumeUrartu entre leXIe et leVIIe siècle av. J.-C. Ce royaume s'étendait sur les territoires actuels de la Turquie, de l'Arménie, de l'Iran et au nord de la Syrie et de l'Irak. AuxXe – XIe siècle, le lac a été au centre du royaume arménien duVaspurakan.Actuellement[Quand ?], la zone autour du lac de Van est peuplée principalement de Kurdes, d'Arméniens et d'une minorité de Turcs.

Le château sous les eaux

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Une équipe de plongeurs a (re)découvert en 2016 un site archéologique au large de la ville d'Adilcevaz : un mur d'environ un kilomètre de long, qui s'enfonce dans les profondeurs du lac depuis le port de la commune[15]. Immergées à plus de dix mètres de profondeur, les portions subsistantes s'élèvent jusque trois à quatre mètres de hauteur[16]. Elles seraient maintenues en très bon état grâce aux eaux alcalines du lac[17],[16].

L'équipe à l'origine de la découverte, menée par le photographe sous-marin Tahsin Ceylan, a émis l'hypothèse d'unchâteau bâti entre lesIXe et VIe sièclesav. J.-C. sous l'Urartu[15],[16],[17]. Leur analyse s'appuyait sur l'utilisation de pierres de taille (utilisées dans la région principalement par les Urartéens)[15],[17], dans l'une desquelles figurait un lion taillé (un motif populaire chez eux)[15]. Pour Tahsin Ceylan, il revenait cependant aux seuls archéologues de trancher sur l'origine du site ; l'équipe de plongeurs n'en contenait aucun, contrairement à ce qui a pu par la suite être affirmé dans les journaux[15].

Justement, selon plusieurs archéologues, cette structure serait en réalité plus récente et daterait du Moyen Âge[15]. La technique d'assemblage des pierres ne correspond en effet pas à celle des Urartéens, qui n'utilisaient aucun matériau pour les relier[15]. SelonPaul Zimanski, expert du royaume Urartu, il est probable que des pierres de taille d'anciennes constructions datant de l'époque du royaume Urartu aient été réutilisées pour bâtir un nouvel édifice au Moyen Âge. Des recherches archéologiques complémentaires seraient ainsi nécessaires[15].

Si la découverte de Tahsin Ceylan et son équipe a relancé l'intérêt pour ce site, plusieurs publications des années 1950 et 1960 semblent l'avoir déjà mentionné. En particulier, un article de 1958 évoque vers cet endroit un « château médiéval » construit en réutilisant des blocs de pierre taillés par les Urartéens il y a 3000 ans. Un rapport de 1959 mentionne quant à lui dans le lac un « mur postérieur à l'époque ururtéenne » sur lequel figure une inscription vieille de 2 700 ans. Dans ce texte figurent deux personnages urartéens : un roi dénomméRusa et le dieuHaldi[15].

Tourisme

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Lieu de villégiature près d'Edremit.
Coucher de soleil sur le lac vu du ferry-boat.

C’est un lieu de villégiature principalement régional. Des plages de sable, bien desservies par les transports et accessibles par une route circulaire, sont fréquentées dès la mi-mai. Le lac de Van est situé à 19h de busd'Ankara et à 25hd'Istanbul. La gare ferroviaire la plus proche se situe àTatvan. L'aéroport le plus proche est celui de Van Ferit Melen.

L’eau claire et d’une haute densité est agréable pour la baignade. Les bords sont souvent peu profonds. Les principales localités sont reliées également par de petits bateaux. Unferry-boat fait la traversée de Van àTatvan.

Le lac de Van dans la culture artistique

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Une partie de l'action du livreDélivrance (Mutluluk) deZülfü Livaneli, célèbre auteur turc, a lieu dans un village rural sur les berges du lac de Van. Ce roman a été adapté enfilm en 2007.

La scène finale du filmAurore sur le Lac de Van deArtak Igityan, réalisateur arménien, se déroule sur les berges du lac de Van.

Les héros du romanLoin d'Alexis Michalik se rendent sur les rives du lac à la recherche d'une tombe familiale.

Notes et références

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  1. abc etd(en) E.T. Degens, H.K. Wong, S. Kempe et F. Kurtman, « A geological study of Lake Van, eastern Turkey », dansInternational Journal of Earth Sciences, vol. 73.2 (juin 1984), Springer[lire en ligne (page consultée le 5 avril 2008)].
  2. (en) Robert H. Hewsen,Armenia: A historical Atlas, The University of Chicago Press, Chicago et Londres, 2001(ISBN 0-226-33228-4),p. 17.
  3. abcdefgh eti(en) « Lake Van | lake, Turkey », surEncyclopedia Britannica(consulté le)
  4. ab etcJ.Gabert, « G. Schweizer, Sur la géomorphologie de l'Anatolie orientale et de l'Iran du nord-ouest »,Méditerranée,vol. 31,no 4,‎,p. 79–80(lire en ligne, consulté le)
  5. (en) John Kolars, « Earthquake-Vulnerable Populations in Modern Turkey »,Geographical Review,vol. 72,no 1,‎(lire en ligne, consulté le)
  6. Jannic Durand, Ioanna Rapti et Dorota Giovannoni (dir.),Armenia sacra — Mémoire chrétienne des Arméniens (IVe – XVIIIe siècle), Somogy / Musée du Louvre, Paris, 2007(ISBN 978-2-7572-0066-7),p. 130.
  7. (en) YamaTomonaga, Matthias S.Brennwald, David M.Livingstone et OlgaKwiecien, « Porewater salinity reveals past lake-level changes in Lake Van, the Earth’s largest soda lake »,Scientific Reports,vol. 7,no 1,‎,p. 313(ISSN 2045-2322,DOI 10.1038/s41598-017-00371-w,lire en ligne, consulté le)
  8. ab etc(en) P. H.Davis, « Lake Van and Turkish Kurdistan: A Botanical Journey »,The Geographical Journal,vol. 122,no 2,‎,p. 156–165(ISSN 0016-7398,DOI 10.2307/1790844,lire en ligne, consulté le)
  9. (en) LuciaWick, GenryLemcke et MichaelSturm, « Evidence of Lateglacial and Holocene climatic change and human impact in eastern Anatolia: high-resolution pollen, charcoal, isotopic and geochemical records from the laminated sediments of Lake Van, Turkey »,The Holocene,vol. 13,no 5,‎,p. 665–675(ISSN 0959-6836 et1477-0911,DOI 10.1191/0959683603hl653rp)
  10. (en) « Lake Van, Turkey », surearthobservatory.nasa.gov,(consulté le)
  11. abc etd(en) CüneytKaya, « The First Record and Origin of Salmo trutta Populations Established in the Upper Tigris River and Lake Van Basin, Eastern Anatolia (Teleostei: Salmonidae) »,Journal of Anatolian Environmental and Animal Sciences,vol. 5,no 3,‎,p. 366–372(DOI 10.35229/jaes.777575,lire en ligne, consulté le)
  12. a etb(en) MahmutElp, MüfitÖzuluğ, FazılŞen et JörgFreyhof, « Validation of Alburnus timarensis from the Lake Van basin, eastern Anatolia (Teleostei: Cyprinidae) »,Zoology in the Middle East,vol. 59,no 3,‎,p. 235–244(ISSN 0939-7140 et2326-2680,DOI 10.1080/09397140.2013.841430,lire en ligne, consulté le)
  13. abc etd(en) MustafaAkkuş, MustafaSarı, F. GülerEkmekçi et BaranYoğurtçuoğlu, « The discovery of a microbialite-associated freshwater fish in the world’s largest saline soda lake, Lake Van (Turkey) »,Zoosystematics and Evolution,vol. 97,no 1,‎,p. 181–189(ISSN 1860-0743 et1435-1935,DOI 10.3897/zse.97.62120,lire en ligne, consulté le)
  14. a etb(en) « New fish species found in Turkey's Lake Van », surHürriyet Daily News(consulté le).
  15. abcdefgh eti(en) OwenJarus, « The True Story Behind Turkey's Ancient 'Underwater Castle' », surLive Science,(consulté le)
  16. ab etc« Un château vieux de 3000 ans découvert dans un lac en Turquie »,Le Figaro,‎(lire en ligne, consulté le)
  17. ab etc(en) « Ancient castle studied in Lake Van », surHürriyet Daily News(consulté le)

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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v ·m
> 10 000 km2
> 1 000 km2
> 50 km2
superficie inconnue
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