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Kim Shin-jo

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Kim Shin-jo
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Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 82 ans)
SéoulVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Formation
Séminaire théologique international Berea(en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Autres informations
Grade militaire
Conflit

modifier -modifier le code -modifier WikidataDocumentation du modèle

Kim Shin-jo (encoréen :김신조, né le àCh'ŏngjin et mort le àSéoul) est l'un des deux survivants duraid sur la Maison-Bleue en, lors duquel 31 membres de l'unité 124nord-coréenne sont envoyés enCorée du Sud pour assassiner leprésident sud-coréenPark Chung-hee[1].

L'autre survivant,Pak Jae-gyong, parvient à retourner au Nord, mais Kim Shin-jo est quant à lui capturé par les forces sud-coréennes. Il est interrogé pendant une année par les autorités avant d'être libéré. Après être devenu citoyen sud-coréen en 1970, ses parents et ses six frères et sœurs sont exécutés et ses proches sont purgés par les autorités nord-coréennes[2],[3],[4],[5].

Kim devient plus tard pasteur de l'église Sungrak Sambong dans leGyeonggi. Il se marie et a deux enfants[6].

Kim Shin-jo meurt âgé de 82 ans à Séoul le[7].

Galerie

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Notes et références

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  1. (en) Flora Lewis, « Seoul Feels a Cold Wind From the North »,New York Times,‎(lire en ligne).
  2. (en) Sunny Lee, « What would Jesus do to North Korea? »,Asia Times,‎(lire en ligne).
  3. (en) John M. Glionna, « The face of South Korea's boogeyman »,Los Angeles Times,‎(lire en ligne).
  4. (en) Sébastien Roblin, « How North Korea's Crazy Commandos Tried to Kill South Korea's President »,The National Interest,‎(lire en ligne).
  5. (en) Mac William Bishop, « North Korean ex-assassin recalls 1968, when the Korean cold war ran hot »,NBC News,‎(lire en ligne).
  6. (en) MarkMcDonald, « Failed North Korean Assassin Assimilates in the South »,The New York Times,‎(lire en ligne, consulté le).
  7. (en) « Ex-N. Korean commando Kim Shin-jo dies »,Yonhap News Agency,‎(lire en ligne)

Liens externes

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