Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Jean Oberlé

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet articlene cite pas suffisamment ses sources().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant lesréférences utiles à savérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique :Quelles sources sont attendues ?Comment ajouter mes sources ?

Cet article est uneébauche concernant unpeintrefrançais.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations desprojets correspondants.

Consultez la liste destâches à accomplir enpage de discussion.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirOberlé.

Jean Oberlé
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Naissance
Décès
Nom de naissance
Jean Michel Yves Oberlé
Nationalité
Activité
Distinction

modifier -modifier le code -modifier WikidataDocumentation du modèle

Jean Oberlé, né le àBrest et mort le àParis[1], est unpeintre etillustrateurfrançais.

Biographie

[modifier |modifier le code]

Jean Oberlé illustra une vingtaine d'ouvrages contemporains et travailla pour différents journaux ou magazines parisiens, dontLe Crapouillot, de façon assez importante. Il illustre par exemple en 1924Le Prix Lacombyne[2] deRenée Dunan, dont il publie la même année un portrait dans l'hebdomadaire illustréLe Carnet de la semaine[3].

Il rencontra tous ceux qui comptaient dans leMontparnasse desannées 1920 (Portrait parJules Pascin, 1924[réf. nécessaire]). Une profonde amitié le liait àMax Jacob, dont il peint le portrait à plusieurs reprises.

Il obtient leprix Blumenthal en 1934.

En 1940, il se trouve à Broadcasting House avecJean Marin etPaul Gordeaux quand legénéral de Gaulle prononce en leur présence l'appel du 18 juin. Pendant laSeconde Guerre mondiale, il est l'un des animateurs de l'équipe de laFrance libre àRadio Londres. Créateur de multiples slogans, on lui doit le fameux :« Radio Paris ment, Radio Paris ment, Radio Paris est allemand[Notes 1] ». A la Libération, de retour en France il est faitchevalier de la Légion d'honneur (il était déjà chevalier de l'Ordre de la Couronne de Belgique) par décret du 23 avril 1946[4].

Illustrateur plein de fantaisie et d'à-propos, il fut l'une des figures de l'après-guerre.

Il a été le compagnon de la parfumeuseGermaine Cellier (elle vivait dans son appartement du 19rue de Lille)[5].

Il fait partie du comité de rédaction de l'hebdomadaireBref, créé par l'équipe française de laBBC, reconstituée à cette occasion, dont le premier numéro parait le. Sa photographie, comme celle d'autres collaborateurs, apparaît en quatrième de couverture des trois premiers numéros. Il y collabore aussi bien comme illustrateur que comme journaliste[6].

Jean Oberlé repose aucimetière de Vaucresson dans lesHauts-de-Seine[7].

Œuvres

[modifier |modifier le code]

Publications

[modifier |modifier le code]
  • Images anglaises, ou l'Angleterre occupée, Hachette, 1942 ;
  • Jean Oberlé vous parle…, souvenirs de cinq années à Londres, avec sept dessins de l'auteur, La Jeune Parque, 1945 ;
  • Jean Dorville, Éditions GalerieLucy Krohg, 1946 ;
  • Pages choisies de Pierre Bourdan, introduction de Jean Oberlé, Magnard, 1951 ;
  • Utrillo Montmartre, Hazan, 1956 ;
  • La vie d'artiste (souvenirs)", illustrations de l'auteur, Denoel, 1956.

Ouvrages illustrés

[modifier |modifier le code]

Théâtre

[modifier |modifier le code]
Costumes et décors

Collections publiques

[modifier |modifier le code]
En Belgique
En France

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Articles dansBref

[modifier |modifier le code]

Hommages

[modifier |modifier le code]

En 2000, larue Jean-Oberlé dans le19e arrondissement de Paris prend son nom. Il existe également une rue Jean Oberlé àBrest.

Notes et références

[modifier |modifier le code]
Notes
  1. Ce slogan est quelquefois erronément attribué à tort àPierre Dac (qui l'a chanté sur laBBC), àE. L. T. Mesens ou àMaurice Van Moppès.[réf. nécessaire]
Références
  1. Acte de décès (avec date et lieu de naissance) à Paris15e, n° 705, vue 14/31.
  2. JeanOberlé,Le prix Lacombyne, Éditions Mornay,coll. « La Collection originale »,(lire en ligne)
  3. Le Carnet de la semaine,(lire en ligne)
  4. Dossier consultable sur la base Léonore (cote 19800035/432/57806).
  5. Martine Azoulai,« Germaine Cellier, le sens de la formule »,Vanity Fair n°14, août 2014, pages 104-111.
  6. Philippe Le Port et Cyrille Chaigneau, « Jean Oberlé »Accès libre, surLes Vaisseaux de Pierres. Exploration des imaginaires autour et sur les mégalithes de Carnac et d’ailleurs,, mis en ligne le 8 janvier 2023.(consulté le)
  7. Cimetières de France et d'ailleurs

Liens externes

[modifier |modifier le code]

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Jean_Oberlé&oldid=223601472 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp