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Jean-Pierre Ricard

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Pour les articles homonymes, voirRicard (homonymie).

Jean-Pierre Ricard
Image illustrative de l’article Jean-Pierre Ricard
Jean-Pierre Ricard en 2006.
Biographie
Nom de naissanceJean-Pierre Bernard Ricard
Naissance(80 ans)
Marseille (France)
Ordination sacerdotale
parGeorges Jacquot
Cardinal de l'Église catholique
Créé
cardinal
par le
papeBenoît XVI
Titre cardinaliceCardinal-prêtre deSaint-Augustin
Évêque de l'Église catholique
Ordination épiscopale
parRobert Coffy
Dernier titre ou fonctionArchevêque émérite
deBordeaux et Bazas
Archevêque deBordeaux et Bazas
(Primat d'Aquitaine)
PrécédentPierre EytJean-Paul JamesSuivant
Évêque deMontpellier, Agde, Lodève, Béziers et Saint-Pons-de-Thomières
PrécédentLouis BoffetGuy ThomazeauSuivant
Évêque coadjuteur
deMontpellier, Agde, Lodève, Béziers et Saint-Pons-de-Thomières
Évêque auxiliaire deGrenoble
Évêque titulaire dePulcheriopolis
Précédent Andrzej SuskiMichel PollienSuivant
Autres fonctions
Fonction religieuse

Blason
« Propter Evangelium »
« À cause de l'Évangile »
(it) Notice surwww.vatican.va
(en) Notice surwww.catholic-hierarchy.org
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Jean-Pierre Ricard, né le àMarseille dans lesBouches-du-Rhône, est uncardinal français,archevêque émérite deBordeaux depuis le. Il a été, entre autres fonctions, président de la Conférence des évêques de France de 2001 à 2008. Il est interdit de ministère public par ledicastère pour la Doctrine de la foi au printemps 2023 à la suite de son« comportement répréhensible avec une jeune fille de 14 ans ».

Biographie

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Études

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Jean-Pierre Ricard fait ses études secondaires aulycée Saint-Charles, puis aulycée Périer deMarseille, avant d'être élève une année enlettres supérieures (hypokhâgne) aulycée Thiers durant l'année 1961-1962.

Il entre à18 ans augrand séminaire de Marseille où il poursuit sa formation jusqu'en 1964.

En 1964, il fait une année deservice national au titre de lacoopération àBamako, auMali, puis il entre auséminaire des Carmes, àParis.

De 1965 à 1970, il poursuit ses études dethéologie à l’Institut catholique de Paris, où il obtient unelicence de théologie en 1969, et unehabilitation au doctorat[Quoi ?] l’année suivante.

Prêtre et ministères

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Il est ordonné prêtre le àMarseille. Il est vicaire à Marseille à la paroisse Sainte-Émilie-de-Vialar de 1970 à 1975.

De 1975 à 1981, il est au service de l’enseignement religieux et de la formation des prêtres et des laïcs. Il devient responsable du Centre de culture religieuse du Mistral.

De 1975 à 1985, il est délégué épiscopal auprès des séminaristes.

De 1984 à 1988, il devient délégué adjoint à l’œcuménisme, puis vicaire épiscopal de Marseille-Sud, puis secrétaire général du Synode diocésain de Marseille (1988-1991).

De 1988 à 1993, il estvicaire général ducardinalCoffy, archevêque de Marseille.

Évêque

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Il est nomméévêque auxiliaire deGrenoble avec le titre d'évêquein partibus dePulcheriopolis le par lepapeJean-PaulII. Le de la même année, il est consacré évêque par lecardinalCoffy, assisté deLouis Dufaux, évêque de Grenoble, et parJacques Fihey, évêque deCoutances et Avranches. Le,Jean-PaulII le nomme évêque coadjuteur deLouis Boffet, évêque deMontpellier, auquel il succède dès le mois de septembre.

Après cinq ans à Montpellier, il devientarchevêque de Bordeaux etévêque de Bazas le.

Le, il devient membre de laCommission pontificaleEcclesia Dei, où il est chargé des milieux religieux qui souhaitent conserver la liturgie antérieure auconcile Vatican II[1]. Le de la même année, il devient membre de laCongrégation pour la doctrine de la foi, où il côtoie lecardinal Ratzinger, futurBenoît XVI.

En 2005, il participe au synode à Rome sur l’eucharistie.

Conférence des évêques de France

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Avant sa nomination comme évêque, il devient membre épiscopal de la commission des migrants de 1990 à 1993.

Une fois nommé évêque, il devient membre de la commission des ministères ordonnés et évêque accompagnateur du comité national dudiaconat de 1994 à 1996.

L’année suivante et pendant un an, il est membre de la commission pour l’unité des chrétiens, et devient en 1997 le président de la région apostolique Provence-Méditerranée.

En 1997, il devient membre du conseil permanent. Il est élu vice-président de laConférence des évêques de France en 1999, puis président le, et réélu en 2004. Il devient aussi membre de la commission pour l’information et la communication et de laMission de France.

Le, il est élu membre du comité Études et Projets de la Conférence des évêques de France, pour un mandat de trois ans[2], et réélu à ce poste en 2011[3].

Le, lors de l'assemblée plénière des évêques de France à Paris, il est nommé président du conseil pour l'enseignement catholique[4].

Il participe les et à la convention nationale de l'Enseignement catholique, au cours de laquelle est remis le nouveau statut de l'Enseignement catholique en France[5].

Le, lepape François accepte sa démission, pour raison d'âge (75 ans), de sa charge pastorale d'archevêque du diocèse de Bordeaux. ll devient archevêque émérite du diocèse de Bordeaux. Il rejoint sa région natale et se met au service dudiocèse de Digne.

Le cardinal Ricard lors d'une célébration dans le diocèse de Bordeaux, en 2006.

Cardinal

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Il est créécardinal par le pape Benoît XVI auconsistoire du avec le titre decardinal-prêtre deSaint-Augustin.

Il est vice-président duConseil des conférences épiscopales européennes (CCEE) de 2006 à 2011.

En, il rencontre le patriarcheAlexis II de Russie, à l'occasion de la première visite d'un primat orthodoxe russe en France[6].

Le, il est nommé membre pour cinq ans du conseil pour l'économie[7].

Le, il est choisi par le pape François pour diriger lesFoyers de charité de manière temporaire, alors que l'organisation est en crise depuis les révélations d'abus de son fondateurGeorges Finet[8]. Invoquant des raisons de santé, il renonce à cette mission un mois plus tard, le[9].

En 2023, en dépit de son retrait du ministère public, il est toujours cardinal électeur (votant pour l'élection du pape en cas de conclave), une responsabilité qui lui incombe jusqu'à ses80 ans, le 25 septembre 2024[10]. Il ne peut plus depuis participer aux votes du prochain conclave.

Participation au conclave de 2013

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En, à la suite de la renonciation deBenoît XVI au ministère de Pierre, il participe auconclave à Rome qui aboutit à l'élection du papeFrançois. Il publie à cette occasion plusieurs messages et réactions, tant sur ses impressions durant le conclave[11] que sur l'élection du cardinal Jorge Mario Bergoglio[12].

Fermeture du Séminaire Saint-Joseph

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En, il annonce« non sans un pincement de cœur » la fermeture du grand séminaire Saint-Joseph de Bordeaux pour la rentrée de, le nombre de candidats n'étant plus suffisant[13]. Le cycle de formation pour l'archidiocèse reste néanmoins toujours ouvert, les séminaristes étant envoyés dans les séminaires de Toulouse, Paris et Rome.

Délégué pontifical pour les Foyers de charité

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Le, à la suite d'affaires d'abus sexuels auxFoyers de charité, le Vatican le nomme délégué pontifical pour les Foyers de charité, afin de « gouverner l’association de manière temporaire »[8].

Abus sexuel sur une mineure

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Pour un article plus général, voirAbus sexuels sur mineurs dans l'Église catholique en France.

Le, alors que se tient l'assemblée plénière de laConférence des évêques de France àLourdes – un an après la remise durapport Sauvé – Jean-Pierre Ricard adresse un communiqué aux évêques de France[14], dans lequel il reconnaît « s'être conduit de façon répréhensible avec une jeune fille de14 ans » quand il était prêtre àMarseille. Dans ce communiqué, il « demande pardon » à la victime, à sa famille, et aux personnes qui seraient blessées par ces révélations[15],[16],[17]. Jean-Pierre Ricard assure que les faits se sont produits« il y a 35 ans »[18], alors qu’il était prêtre à Marseille, dans la paroisse deSainte-Marguerite (9e)[19],[20],[21]. La victime affirme avoir envoyé une lettre de signalement au pape François et n’aa priori pas obtenu de réponse de Rome[22].

Dans un communiqué du, le parquet de Marseille annonce avoir ouvert une enquête préliminaire[19],[20],[21] pour « agression sexuelle aggravée afin de vérifier dans un premier temps la nature exacte des faits dénoncés ainsi que leur datation » et déterminer s’il y a d’autres éventuelles victimes du cardinal[20]. Le parquet a aussi fait savoir queJean-Philippe Nault, ancien évêque deDigne – où s'est retiré Jean-Pierre Ricard –, avait saisi la justice le en transmettant une lettre des parents de la victime, écrite le, après la nomination de Jean-Pierre Ricard comme délégué pontifical pour enquêter sur des affaires d'abus au sein desFoyers de Charité (affaireGeorges Finet). À la suite de ce courrier, Jean-Pierre Ricard aurait reconnu, auprès de Jean-Philippe Nault, avoir« embrassé » la victime[18]. Le délai entre la réception de la lettre et le signalement (plus de huit mois entre et) serait dû au fait que Jean-Philippe Nault n'aurait appris la minorité de la victime au moment des faits qu'en[21].

À la suite de cette révélation, de nombreuses associations se sont indignées tandis que, dans un communiqué, l'archevêque de Bordeaux,Jean-Paul James, a quant à lui exprimé sa« grande compassion à la personne victime concernée »[23]. La victime du cardinal Jean-Pierre Ricard s’est confiée auprès de la présidente de la Conférence des religieux et religieuses de France,Véronique Margron, qui a fait savoir qu'elle a vécu un« traumatisme d’une grande violence ». Selon elle, il est« moralement impensable » que Jean-Pierre Ricard conserve le titre de cardinal et prévient que« des mesures disciplinaires seront prises à Rome à son encontre »[24].

Le, leVatican annonce l'ouverture d'uneenquête préliminaire (investigatio prævia) sur cette affaire[25] en parallèle de l'enquête en France[26].

Jean-Pierre Ricard est placé en garde à vue en, il avoue« avoir embrassé la jeune fille, l’avoir enlacée et caressée par-dessus les vêtements, sans rapport sexuel ». Selon la victime, ces agressions ont duré trois ans. Confronté à celle-ci,« il a demandé pardon ». Toutefois, l'enquête est classée sans suite pour prescription, les faits reprochés datant de la fin des années 1980[27],[28]. Au printemps 2023, le Vatican sanctionne néanmoins Ricard, qui est interdit de tout ministère public[29] pendantcinq ans, sauf dans son diocèse de domicile : lediocèse de Digne. L'évêque de ce diocèse,Emmanuel Gobilliard, indique néanmoins :« Je ne suis pas d’accord pour que le cardinal Ricard célèbre dans le diocèse de Digne pour l’instant, je le lui ai dit, je souhaite que la sanction soit appliquée aussi chez nous. Mais si demain il déménage dans un autre diocèse et obtient l’accord de l’évêque pour reprendre du service, je ne pourrai pas l’en empêcher car l’exception prévue par la sentence romaine s’applique au diocèse de domicile du cardinal, pas à l’Église de Digne ». Jean-Pierre Ricard reste toutefois cardinal[30].

Points de vue du cardinal Ricard

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Embryon humain

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Après que l’Union européenne a donné son accord à l'exploitation desembryons, le cardinal Ricard déplore[31], le :« la mise en place du processus de réduction de l’embryon humain à l’état de moyen, ce qui constitue une grave transgression éthique. Nous devons redire que l’embryon humain ne peut être considéré comme un simple matériau de laboratoire. « Tout embryon est déjà un être humain. Il n’est donc pas un objet disponible pour l’homme. Il n’est pas possible de décider d’un seuil au-delà duquel l’embryon serait humain et en deçà duquel il ne le serait pas. » »[32].

Libéralisation de la messe tridentine

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Jean-Pierre Ricard.
Le cardinal Ricard assistant aux ordinations à l'Institut du Bon-Pasteur en 2007.

Dans un communiqué du, le cardinal Ricard défend la vision du pape et appelle à « la communion fraternelle dans l’Église implique vérité, accueil de l’autre et réconciliation »[33]. Il s’explique plus longuement dans une interview[34]. Le, une convention est signée entre l’Institut du Bon Pasteur et l’archevêque de Bordeaux[35].

Le, le cardinal Ricard assiste aux ordinations célébrées dans le rite tridentin par le cardinalDarío Castrillón Hoyos à l’Institut du Bon-Pasteur en l’église Saint-Éloi de Bordeaux.

À la suite de la publication dumotu proprioSummorum Pontificum, le cardinal Ricard, membre de laCommission pontificale Ecclesia Dei, défend la position du pape dans un entretien au journalLa Croix[36], en affirmant que« ces deux formes (de rite) ne sont pas en concurrence l'une de l'autre. »

Distinctions

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Jean-Pierre Ricard est :

Notes et références

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  1. « France: Le pape nommeMgr Ricard membre de la Commission pontificale "Ecclesia Dei" »,Cath.ch,‎(lire en ligne, consulté le)
  2. « [https://eglise.catholique.fr/espace-presse/communiques-de-presse/367827-elections-au-cours-de-lassemblee-et-nomination-dun-porte-parole/Elections au cours de l’assemblée et nomination d’un porte-parole] », surÉglise catholique en France,(consulté le).
  3. « Elections lors de l’Assemblée Plénière des évêques de France », surÉglise catholique en France,(consulté le).
  4. « Assemblée plénière 2013. Résultats des élections – communiqué de presse »,Conférence des évêques de France,‎(lire en ligne)
  5. [1]
  6. Interview sur le site de Radio Vatican, 3 octobre 2007
  7. (it)Salle de presse du Saint-Siège, « Comunicato della sala stampa della santa sede », surpress.vatican.va,(consulté le)
  8. a etbJuliette Paquier, « Les Foyers de charité placés sous la gouvernance d’un délégué pontifical »,La Croix,‎(lire en ligne, consulté le)
  9. Mélinée Le Priol, « Les Foyers de charité placés sous la gouvernance d’un délégué pontifical Foyers de charité :Mgr Dubost succède au cardinal Ricard comme délégué pontifical »,La Croix,‎(lire en ligne, consulté le)
  10. Odile Riffaud, « Abus sexuels - Le cardinal Jean-Pierre Ricard suspendu de ministère public : ce qui étonne dans la décision du Vatican »,RCF,‎(lire en ligne, consulté le)
  11. Impressions d'un conclave, le 22 mars 2013
  12. Message aux girondins à l'occasion de l'élection du pape François, le 15 mars 2013
  13. Gauthier Vaillant, « Le séminaire de Bordeaux ferme, faute de candidats »,La Croix,‎(lire en ligne, consulté le)
  14. « Conférence de presse - Lutte contre les abus - Conférence des évêques de France »(consulté le)
  15. Matthieu Lasserre, « Abus sexuels dans l’Église : onze évêques français mis en cause, dont le cardinal Jean-Pierre Ricard »,La Croix,‎(ISSN 0242-6056,lire en ligne, consulté le)
  16. BernadetteSauvaget, « Violences sexuelles : 8 évêques français dont un cardinal «mis en cause» pour abus »,Libération,‎(lire en ligne, consulté le)
  17. « Violences sexuelles : l’Eglise à nouveau dans la tourmente après les confessions du cardinal Ricard »,Le Monde.fr,‎(lire en ligne, consulté le)
  18. a etb« Abus sexuels dans l'Église: la victime du cardinal Ricard a vécu "un traumatisme d'une grande violence" »,BFMTV,‎(lire en ligne, consulté le)
  19. a etb« Abus sexuels : le parquet de Marseille ouvre une enquête sur le cardinal Jean-Pierre Ricard », surMarsactu(consulté le)
  20. ab etc« Violences sexuelles dans l’Eglise : une enquête préliminaire ouverte à la suite des aveux du cardinal Ricard »,Le Monde.fr,‎(lire en ligne, consulté le)
  21. ab etcCamille Lecuit, Cyriac Zeller et Antoine Pasquier, « AffaireMgr Ricard : une enquête ouverte, de nouveaux éléments connus »,Famille Chrétienne,‎(lire en ligne, consulté le)
  22. « Le pape François a-t-il lu la lettre de la victime du cardinal Ricard envoyée il y a cinq ans ? »,Famille Chrétienne,‎(lire en ligne, consulté le)
  23. « Violences sexuelles dans l'Eglise : l'ancien évêque de Bordeaux reconnaît une "attitude répréhensible" sur une mineure, dix autres personnes "mises en cause" », surFranceinfo,(consulté le)
  24. Marianne Lecach, « Abus sexuels dans l’Église catholique : la victime du cardinal Ricard témoigne », surlejdd.fr,(consulté le)
  25. « Le Vatican annonce une enquête préliminaire », AFP/Libération.
  26. « Affaire du cardinal Ricard: le Vatican annonce une enquête »,La Croix,‎(ISSN 0242-6056,lire en ligne, consulté le)
  27. « L'enquête pour "agression sexuelle" visantMgr Ricard classée pour prescription par le parquet de Marseille »,France 3,‎(lire en ligne, consulté le)
  28. « Violences sexuelles dans l’Eglise : l’enquête visant le cardinal Jean-Pierre Ricard classée sans suite pour cause de prescription »,Le Monde.fr,‎(lire en ligne, consulté le)
  29. Bernadatte Sauvaget, « Visite du pape à Marseille : Jean-Marc Aveline, un cardinal en pleine ascension »,Libération,‎(lire en ligne, consulté le)
  30. Héloïse de Neuville, « Abus sexuels : le cardinal Ricard interdit de ministère public sauf dans son diocèse »,La Croix,‎(lire en ligne, consulté le)
  31. Article de l'agence de presse ZENIT
  32. « Eglise catholique en France », surÉglise catholique en France(consulté le)
  33. Texte du communiqué
  34. Jean-Marie Guénois, « Dossier. Le Vatican et les intégristes. Entretien. Cardinal Jean-Pierre Ricard : « Il n'est pas facile d'accueillir de nouveaux venus » »,La Croix,‎(lire en ligne, consulté le)
  35. Sophie de Ravinel, « Premières ordinations de prêtres chez les traditionalistes de l'Institut du Bon-Pasteur »,Figaro,‎(lire en ligne, consulté le)
  36. Michel Kubler, « Entretien. Cardinal Jean-Pierre Ricard, président de la Conférence des évêques de France. « Je dis aux catholiques : ne vous inquiétez pas ! » »,La Croix,‎(lire en ligne, consulté le)
  37. Décret du 13 juillet 2010 portant promotion et nomination

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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