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Elle a appliqué les découvertesarchéologiques duXIXe siècle à l'interprétation de lareligion grecque antique d'une façon qui est devenue standard. Elle introduit la notion sociologique dans l'analyse de la mythologie grecque en soulignant le rôle des pratiques rituelles. Elle insista sur le rôle des femmes dans les rituels pré-olympiens. Elle milita pour que les femmes soient reconnues dans le monde universitaire et politique et s'engagea dans le mouvement en faveur du vote féminin[2].
C’est elle qui propose la clé d’interprétation pour la fête athénienne desarrhéphories, interprétation depuis retenue par la communauté historienne[3].
Sandra J. Peacock,Jane Ellen Harrison: The Mask and the Self. Halliday Lithograph Corp.: West Hanover, MA. 1988(ISBN0-300-04128-4)
Annabel Robinson,The Life and Work of Jane Ellen Harrison. Oxford:Oxford University Press, 2002(ISBN0-19-924233-X)La première biographie complète, avec des citations complètes de sa correspondance personnelle.
Camille Barnard-Cogno, « Jane Harrison (1850–1928), between German and English Scholarship »,European Review of History, Vol. 13, Issue 4. (2006), pp. 661–676.
Jessie G. Stewart,Jane Ellen Harrison: a Portrait from Letters 1959Un mémoire basé sur sa volumineuse correspondance avecGilbert Murray.