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Imane Djamil, née le 29 février 1996, est une photographemarocaine.
Née en 1996, passionnée très tôt par la photographie, elle commence à réaliser des photos à 12 ans[1].
Elle crée un blog pour présenter ses créations, bloque une rue deCasablanca avec son mobilier à titre de performance, est repérée par des médias, reçoit des commandes et voit ses créations exposées. En 2014, à 18 ans, elle est ainsi la plus jeune photographe sélectionnée parJean-Hubert Martin et Moulim El Aroussi pour une exposition à l’Institut du monde arabe, à Paris, consacrée aux artistes du Maroc contemporain[2]. En 2021, elle est l’une des trois photographes qui se voit attribuer le prix Nouvelles écritures de la photographie environnementale, un prix initié par leFestival Photo La Gacilly et la revuefisheye, et participe à la18e édition de ceFestival Photo La Gacilly[3],[4]. Elle y expose un deuxième travail consacré à la ville marocaine deTarfaya, qu’elle a découverte par hasard en faisant la route deCasablanca àDakhla. Une ville marquée par une présence britannique puis espagnole, et aujourd’hui un peu abandonnée, avec des parties de plus en plus ensablées et une ancienne forteresse espagnole, Casa del Mar, en ruine, recouverte par le sel de l’Océan. Ces photographies, dans cette série comme dans d’autres, sont entre documentaire et fiction, à travers un assemblage narratif[5]