Pour les articles homonymes, voirHorizon.
Ne doit pas être confondu avecHorizon des évènements.
Encosmologie, l'horizon cosmologique est la limite de l'Univers observable depuis un point donné (en général laTerre). Il correspond à la limite d'où aucun signal, de quelque nature qu'il soit, ne peut être reçu du fait du caractère fini de lavitesse de la lumière et de l'expansion de l'Univers[1]. Il est aussi connu, à la suite deWolfgang Rindler[2], comme l'horizon des particules.
Il est distinct de l'horizon des événements, défini comme la surface de l'espace-temps séparant les événements qui ont pu, peuvent ou pourront nous faire parvenir un signal de ceux qui ne le pourront jamais, et de lasphère de Hubble, parfois appeléehorizon de photons, qui est la surface d'espace-temps au delà de laquelle lesobjets astronomiques ont unevitesse de récession plus grande que celle de la lumière.
Selon le contexte, l'horizon cosmologique correspond soit à la limite d'où unrayonnement électromagnétique peut être issu, soit à la limite d'où un signal de quelque nature que ce soit (neutrinos ouondes gravitationnelles) peut être reçu. En pratique, les moyens d'observation actuels (2016) détectent difficilement les neutrinos. Quant aux ondes gravitationnelles, la première observation directe date de par les scientifiques des projetsLIGO etVIRGO[3], et leur signature implique des mesures d'une telle précision qu'il faudra encore du temps pour les observer, particulièrement lesondes gravitationnelles primordiales. Plus généralement, unmodèle cosmologique donné peut, ou non, contenir un tel horizon, c'est-à-dire des régions inaccessibles à l'observation d'un observateur donné.
En pratique, les signaux les plus lointains que nous recevons viennent dufond diffus cosmologique. Ce rayonnement emplit tout l'Univers ; la région d'où est issu le rayonnement que nous détectons est alors appeléesurface de dernière diffusion. Les modèles cosmologiques utilisés de nos jours, fondés sur lemodèle standard de la cosmologie et leséquations de Friedmann, indiquent que la surface de dernière diffusion se trouverait actuellement à environ45 milliards d'années-lumière de l'observateur.
C'est ce chiffre qui définit généralement la distance de l'horizon cosmologique.
L'horizon cosmologique est défini par analogie à l'horizon terrestre. De même que la courbure de laTerre limite la vision de celle-ci depuis un point fixe sur sa surface, la taille de l'Univers et lavitesse de déplacement de la lumière, puis son affaiblissement progressif (même avec la présence delentilles gravitationnelles), font qu'il est impossible de voir certains objets célestes (galaxies etamas de galaxies dans ce cas) trop éloignés.
D'après lemodèle standard, l'âge de l'Univers est d'environ13,7 milliards d'années. Par conséquent il ne nous est possible de voir que les objets dont la lumière aura voyagé pendant moins de13,7 milliards d'années. L'Univers est ainsi partagé entre une partie visible (la plus proche) et une partie invisible (la plus éloignée), la limite entre les deux zones constituant l'horizon cosmologique. Au contraire de celles de la partie visible, les galaxies situées dans la partie invisible sont trop lointaines pour que leur lumière ait eu le temps de parvenir jusqu'à nous. D'autre part, ledécalage spectral modifiant très fortement la nature des émissions lumineuses lointaines et affaiblissant davantage les plus fortes longueurs d'onde dont l'énergie est moindre, il est très difficile de concevoir des instruments adaptés à l'observation fidèle des objets très lointains.
Cette définition de l'horizon cosmologique ne dépend donc pas de l'histoire de l'expansion de l'Univers, mais laposition actuelle de cet horizon en dépend. Toujours pour un âge de 13,7 milliards d'années, si l'Univers n'était pas enexpansion, la limite de visibilité d'unphoton atteignant laTerre se situerait à13,7 milliards d'années-lumière. Cependant, du fait de l'expansion de l'Univers, l'objet de l'horizon cosmologique qui a émis ce photon s'est éloigné pendant la durée du voyage de sa lumière : il est donc situé aujourd'hui à plus de13,7 milliards d'années-lumière de nous. Remarquons toutefois que le photon reçu n'aura voyagé que pendant13,7 milliards d'années, ce qui constituera finalement une mesure utile de ladistance de l'horizon cosmologique (c'est en quelque sorte une « distance temporelle »). Enfin, à la suite dudécalage spectral et de la modification progressive, lors de leur cheminement, des émissions lumineuses lointaines, on peut aussi admettre que cet horizon cosmologique correspond aux« mourantes lueurs » des plus lointains objets observables : quel que soit le modèle cosmologique retenu, il existera donc souvent un horizon cosmologique.
Il est délicat de définir des distances en cosmologie, car elles varient au cours du temps par suite de l'expansion de l'Univers (elles augmentent lentement). De plus, le concept de distance dépend beaucoup du moyen de calcul utilisé. Ainsi, les notions dedistance angulaire (utilisant la dimension apparente d'un objet de taille connue) ou dedistance de luminosité (utilisant leflux lumineux reçu d'un objet de luminosité connue) sont souvent différentes de ladistance de Hubble, laquelle dépend seulement du décalage spectral de la lumière reçue. Quand on parle de la distance de l'horizon, on entend donc la distance séparant un observateur donné de la position de l'objet le plus lointain qu'il puisse observer, cette distance étant rapportée à sa position actuelle, c'est-à-dire à l'époque où son temps cosmique est le même que celui de l'observateur. Même en négligeant le fait que la vision est bornée à lasurface de dernière diffusion, les concepts de distance de luminosité ou de distance angulaire sont inadaptés pour les objets les plus lointains, car la lumière provenant de ces objets est trop faible et trop altérée par l'important décalage spectral : on recherchera d'abord ladistance de Hubble.
La distance de l'horizon se calcule suivant une formule du type
oùc est lavitesse de la lumière, et correspondent respectivement à l'époque d'émission du signal le plus distant détectable et l'époque actuelle, et où la fonction donne ledécalage vers le rouge d'un signal reçu aujourd'hui après avoir été émis au tempst. Une façon intuitive d'interpréter ce résultat est de dire qu'un photon parcourt la distance entre les instants et, mais que cette distance s'est aujourd'hui allongée d'un facteur du fait de l'expansion de l'Univers. Pour des époques récentes, est proche de 1, car les distances n'ont pas beaucoup bougé depuis lors, mais est significativement plus grand pour les époques plus anciennes.
Dans le cadre d'un modèle d'univershomogène etisotrope, on peut décrire celui-ci à l'aide d'unemétrique dite deFriedmann-Lemaître-Robertson-Walker. L'élément de longueur associé à cette métrique s'écrit
où représente la variation temporelle des distances cosmologiques (c'est lefacteur d'échelle) et correspond, au facteur près, aux coefficients de la métrique des sections spatiales de l'univers. Celles-ci peuvent êtreeuclidiennes,sphériques ouhyperboliques, ce que l'on peut écrire sous la forme compacte
où les coordonnées des sections spatiales sont notées χ, θ et φ. Les deux dernières correspondent aux coordonnées angulaires habituelles descoordonnées sphériques usuelles, alors que χ correspond à une coordonnée radiale qui tient compte de la nature (euclidienne ou non) des sections spatiales. La fonction s s'écrit
Le paramètreK décrit donc la nature des sections spatiales. QuandK est nul, les sections spatiales sont euclidiennes et la coordonnée χ s'identifie à la coordonnée radiale habituelle (en général notéer).
Dans cette métrique, les objets astrophysiques sont essentiellement immobiles, au sens où leurs coordonnées χ, θ, φ ne changent pas au cours du temps (omission faite de leurmouvement propre éventuel, mais celui-ci est négligeable à l'échelle cosmologique). La coordonnéet est appeléetemps cosmique. Elle représente le temps mesuré par un objet immobile par rapport aux autres coordonnées. Il est commode d'effectuer un changement de variable, où le temps cosmique est remplacé par une quantité η, appeléetemps conforme, selon
Le facteur d'échelle peut alors être exprimé indifféremment en fonction det ou de η (avec bien sûr des formes fonctionnelles différentes). L'élément de longueur se réécrit alors
Larelativité restreinte enseigne que l'élément de longueur associé à la trajectoire d'un photon est nul. Si on considère la trajectoire d'un photon émis en un point dans la direction de l’origine du système de coordonnées, les coordonnées θ et φ sont en prime constantes. On a donc immédiatement
Ainsi l'intervalle en termes de temps conforme entre émission et réception du photon correspond à la variation de la coordonnée χ le long de la trajectoire. Un objet situé à la coordonnée χ est distant à l'instant de
Pour que cet objet ait pu émettre de la lumière que nous recevons, il faut que l'intervalle en temps conforme entre émission et réception du signal soit égal à χ. La distance qui nous sépare d'un objet dont on reçoit la lumière est donc
En utilisant la formule reliant le temps conforme au temps cosmique, on trouve
l'intégrale étant prise entre les instant d'émission du signal (noté) et de réception, soit aujourd'hui (). On a donc
On peut en toute généralité définir ledécalage vers le rouge par le rapport entre les distances entre deuxgalaxies lointaines à une époque donnée et aujourd'hui, selon la formule
écriture qui signifie que l'on relie l'âge de l'universt à une époque donnée au décalage vers le rouge, que l'on observe aujourd'hui, d'un signal émis à cette époque, cette relation étant pour l'heure indéterminée. Finalement, on obtient
Pour calculer cette quantité, il faut connaître la relation, c'est-à-dire la relation entre le décalage vers le rouge de la lumière émise par un objet et l'âge de l'Univers à l'époque où celui-ci a émis le rayonnement reçu aujourd'hui. En d'autre terme, il faut connaître la relation entre le facteur d'échelle et le temps cosmique. Cette relation est établie par leséquations de Friedmann dont c'est précisément l'objet. On trouve alors, sous certaines hypothèse, la relation suivante :
où représente l'actueltaux d'expansion de l'Univers (laconstante de Hubble) et les différentes quantités Ω correspondent auxparamètres de densité des différentes espèces présentes dans l'Univers, à savoir rayonnement et particules de masse nulle (r), matière non relativiste (matière baryonique etmatière noire, m) etconstante cosmologique (Λ), mesurés aujourd'hui.
Partant de l'expression
on effectue un changement de variable, où l'on remplace le tempst par le facteur d'échellea, en utilisant la formule donnant le taux d'expansionH de l'univers,
d'où
On obtient alors
le taux d'expansion étant alors vu non pas comme une fonction du tempst, mais du facteur d'échellea. On définit ensuitex comme le facteur d'échelle normalisé à aujourd'hui, à savoir
En notant la valeur actuelle du taux d'expansion, on a
la borne d'intégration correspondant à la valeur dex à l'époque. Les équations de Friedmann permettent de relier le taux d'expansion aux densités d'énergiedu contenu matériel de l'univers selon (voirÉquations de Friedmann)
la constante κ étant laconstante d'Einstein. Les densité d'énergie des espèces concernées sont des fonctions du temps, et donc du facteur d'échelle. Pour une espèce dont le rapport de lapression à la densité d'énergie est, la densité varie en fonction du facteur d'échelle selon (voirÉquation de conservation (cosmologie))
Sans perte de généralité, on peut donc écrire les densités fonction des densités d'énergie actuellesselon
la quantité étant une constante ou une fonction du temps (ou dex, ce qui revient au même).
En définissant ladensité critique actuelle par
il vient, en divisant par,
les quantité étant les paramètres de densité actuels, définis par le rapport. En évaluant cette équation aujourd'hui (où et), il vient
On a ainsi
pour finalement obtenir
La quantitéD recherchée s'exprime donc selon
Dans le cas où le contenu matériel de l'univers se réduit à de la radiation (pression égale à un tiers de la densité d'énergie,), de la matière non relativiste (pression négligeable,) et une constante cosmologique (pression opposée à la densité d'énergie,), alors on retrouve bien
Lemodèle standard de la cosmologie bâti à partir de l'ensemble des observations cosmologiques (et compatibles avec elles) indique que ladensité d'énergie sous forme de rayonnement est négligeable devant les autres formes (matière eténergie noire), ce qui équivaut à dire que le terme peut être négligé. De plus, le modèle exclut une valeur notable de lacourbure spatiale, ce qui signifie que la somme des paramètres de densité vaut 1. Finalement, il reste donc
La quantité est appeléerayon de Hubble. Avec la valeur communément admise de 70kilomètres parseconde et parmégaparsec pour la constante de Hubble, le rayon de Hubble est d'environ 14 milliards d'années lumière[4]. Le terme dans l'intégrale ne peut être calculé analytiquement, mais une intégration numérique peut être effectuée sans difficulté en prenant pour la valeur communément admise d'environ 0,3. L'on trouve alors que l'intégrale est légèrement supérieure à 3, que la borne d'intégration soit de 0 (on considère la distance maximale parcourue par tout signal émis depuis leBig Bang) ou d'un millième (correspondant à un photon dufond diffus cosmologique, émis lors de larecombinaison). Finalement, on retrouve bien la valeur de l'ordre de 45 milliards d'années-lumière annoncée plus haut.
Dans le cas où l'univers possède la densité critique et n'est composé que d'une espèce, dont le rapport de la pression à la densité d'énergie estw, on a
Cette intégrale peut être évaluée selon plusieurs cas
On a immédiatement
l'égalité ci-dessus étant une approximation, car on n'a pas tenu compte de la valeur exacte de la borne inférieure (prise à 0 ici alors qu'elle pourrait être prise à une valeur légèrement positive). Dans ce cas, la taille de l'horizon correspond exactement au rayon de Hubble.
On a désormais
Dans ce cas, la taille de l'horizon correspond exactement au double du rayon de Hubble.
Plus généralement, on a, dans le cas oùw est constant et supérieur à,
D'une manière générale, plus l'équation d'état est « dure » (c'est-à-direw grand), plus la taille de l'horizon est faible en unité du rayon de Hubble. Ceci peut être rendu plus explicite en utilisant la relation existant entre âge de l'Universet rayon de Hubble. Leséquations de Friedmann indiquent que
En combinant ces deux derniers résultats, il vient
Ce résultat tend vers quandw tend vers l'infini. Cela s'interprète par le fait que cette limite correspond en fait au cas idéalisé où la matière tend à être incompressible (une variation de pression arbitrairement grande donnant lieu à une petite variation de densité, ce qui est le cas si est grand car alors). Dans ce cas, une telle matière a tendance à arrêter sa phase d'expansion le plus rapidement possible (elle s'oppose à une variation de son volume), ce qui fait que la phase d'expansion qui suit immédiatement le Big Bang s'arrête très vite, et que l'expansion tend à cesser. Dans un tel cas, on est dans une situation identique à celle de l'espace de Minkowski où au bout du temps on peut recevoir des signaux distants de. À noter cependant que le cas esta priori physiquement irréaliste, car l'équation d'état estacausale : lavitesse du son dans un tel fluide, donnée par dépasse celle de la lumière. À l'inverse, l'intégrale diverge quandw tend vers la valeur -1/3 (voir ci-dessous).
L'univers de Milne correspond à un espace vide de matière. Dans ce cas, tous les paramètres de densité sont nuls, ce qui formellement, du point de vue des équations de Friedmann, peut s'interpréter comme un univers ayant la densité critique et un paramètre d'équation d'étatw égal à –1/3. Il vient
La primitive à calculer donne un logarithme. Il faut ici prendre soigneusement en compte la valeur de la borne inférieure. Si cette borne est nulle (), alors l'intégrale est infinie. Ce résultat tend à indiquer qu'il n'y a pas alors d'horizon, c'est-à-dire que toute région de l'univers est accessible à l'observation. Ceci peut se comprendre en remarquant que l'univers de Milne peut être vu comme une portion de l'espace de Minkowski, avec une origine d'où sont issues les particules fictives qui marquent l'expansion de l'univers en se déplaçant à vitesse constante (voirUnivers de Milne). Dans un tel cas, toutes leslignes d'univers de ces particules fictives s'intersectent les unes les autres à l'origine et sont donc toutes dans lecône de lumière passé des unes et des autres, ce qui fait que la totalité de l'univers est nécessairement observable. Si par contre on met une borne inférieure non nulle à l'intégrale, on impose de ne recevoir que des signaux dont le décalage vers le rouge n'excède pas une certaine valeur, c'est-à-dire issues de particules dont la vitesse n'excède pas non plus une certaine valeur. Dans ce cas, seule une portion finie de cet univers est effectivement accessible.
Dans le cas où le paramètre de l'équation d'état est inférieur à –1/3, l'intégrale diverge également pour une borne inférieure nulle
Il n'y a donc pas d'horizon cosmologique dans un tel espace, et en particulier pour l'univers de de Sitter.
Ces résultats, en particulier le fait que l'univers possède un horizon quand le paramètre de l'équation d'étatw est toujours supérieur à –1/3 s'avère être un cas particulier desthéorèmes sur les singularités deStephen Hawking etRoger Penrose. La contrainte imposée àw est en effet équivalente à lacondition forte sur l'énergie, supposée pour permettre la validité de ces théorèmes. Une autre conséquence est que l'univers est alors, dans le cadre de larelativité générale, nécessairement issu d'unesingularité gravitationnelle[5]. Il est cependant relativement avéré aujourd'hui que la condition forte sur l'énergie n'a pas forcément été respectée dans l'Univers primordial (voir ci-dessous). Dans ce cadre, le fait que l'Univers observable s'étende sur une région finie ne préjuge pas du fait qu'il soit issu d'une singularité.
En observant l'Univers le plus loin possible dans deux directions opposées, on voit des régions séparées du double de la taille de l'horizon. Ces deux régions n'ont par définition pas eu la possibilité de communiquer entre elles. Il serait dans ce cas logique de s'attendre à ce que ces régions possèdent des propriétés différentes. Observationnellement il n'en est rien. Ce fait observationnel est connu sous le nom deproblème de l'horizon. La solution au problème de l'horizon s'obtient en considérant un scénario dans lequel la taille de l'Univers observable (délimité par la limite de lasurface de dernière diffusion, et en tenant compte de la borne inférieure d'intégration non nulle,) ne correspond pas du tout à la taille réelle de l'horizon, considérée en prenant une borne d'intégration nulle (ou arbitrairement petite, si l'on considère, par exemple, que les lois de la physique, telles que nous les connaissons, commencent à être valables au sortir de l'ère de Planck). Pour ce faire, l'on est amené à considérer un scénario où l'évolution dutaux d'expansion de l'Univers est significativement différente à des époques anciennes (correspondant aux petites valeurs dex dans l'intégrale). Les scénarios sont amenés alors à considérer des situations où l'expression, proportionnelle au rapport du taux d'expansion à l'époque où le facteur d'échelle étaitx fois plus petit qu'aujourd'hui au taux d'expansion actuel, doit être remplacé par une expression qui tend vers 0 (ou en tout cas est très petite) quandx tend vers 0. Cela peut se produire si la matière qui existe à cette époque possède un paramètrew inférieur à –1/3.
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