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Georges Fenech

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Ne doit pas être confondu avecRoger Fenech.

Georges Fenech
Illustration.
Georges Fenech en 2011.
Fonctions
Député français

(5 ans)
Élection17 juin 2012
Circonscription11e du Rhône
LégislatureXIVe(Cinquième République)
Groupe politiqueUMP(2012-2015)
LR(2015-2017)
PrédécesseurRaymond Durand
SuccesseurJean-Luc Fugit

(5 ans, 9 mois et 8 jours)
Élection16 juin 2002
Réélection17 juin 2007
Circonscription11e du Rhône
LégislatureXIIe etXIIIe(Cinquième République)
Groupe politiqueUMP
PrédécesseurGabriel Montcharmont
SuccesseurRaymond Durand
Biographie
Nom de naissanceGeorges Vincent Antoine Fenech
Date de naissance(70 ans)
Lieu de naissanceSousse (protectorat de Tunisie)
NationalitéFrançaise
Parti politiqueRPR(jusqu’en 2002)
UMP(2002-2015)
LR(2015-2017)
ProfessionMagistrat
Juge d'instruction
Consultant
Députés du Rhône
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Georges Fenech, né le àSousse (Tunisie), est unmagistrat ethomme politiquefrançais, membre duRPR, de l'UMP puis desRépublicains.

Magistrat en Rhône-Alpes puis à Bobigny, il préside l'Association professionnelle des magistrats (APM) de 1996 à 1998 et dirige laMiviludes de 2008 à 2012. Il estdéputé de la11e circonscription du Rhône de 2002 à 2008 sous les couleurs de l'UMP et est réélu en 2012. Depuis 2017, il estconsultant pour la chaîne téléviséeCNews.

Biographie

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Enfance et jeunesse

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Son père, Fortuné Fenech, d'originemaltaise, gérait avec son frère Édouard une exploitation agricole de300 hectares d'oliviers dans la région deMahdia enTunisie. Georges naît àSousse le[1].

En 1963, la famille estrapatriée en France et elle achète àGivors un bar-restaurant. Son père devient par la suite ouvrier aux Câbles de Lyon àGerland (Lyon). Sa mère, Marie-Anne Stalio (1935-2010), était une Italienne deTunis. Elle a été chanteuse àLyon[2]. Georges a deux sœurs et une demi-sœur. Il est exempté deservice national commesoutien de famille[2].

Vie privée

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Georges Fenech a trois enfants de sa première femme, puis un quatrième avec sa deuxième femmeChristine Goguet, de qui il divorce en 2011.[réf. nécessaire]

Il a été brièvement le compagnon de la personnalité mondaine et télévisuelleHermine de Clermont-Tonnerre, morte accidentellement en juillet 2020[3].

Il est le cousin deRoger Fenech[4].

Magistrat

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Georges Fenech étudie auxlycées Ponsard àVienne et Parc Chabrières àOullins.

Il obtient unemaîtrise de droit à la faculté de droit deLyon (université Jean-Moulin), puis est admis à l'École nationale de la magistrature (ENM) en.

Son premier poste est au parquet duTGI deVienne (Isère) à partir de 1980, puis àPointe-à-Pitre de 1982 à 1984. Il est nomméjuge d'instruction à Lyon en 1984, avant d'être élevé au grade de premier juge d'instruction en 1994 toujours à Lyon. En 1992, Georges Fenech rend une ordonnance de non-lieu dans le cadre de l'assassinat du jugeFrançois Renaud[5]. Il instruit des affaires sensibles comme le financement illégal de la Fédération socialiste du Rhône à l'origine de la loi d'amnistie de 1988. Il instruit également le premier grand procès impliquant lascientologie à Lyon en 1994[6]. Cette enquête aboutit à un procès en 1996, au terme duquel plusieurs de ses dirigeants ont fait l'objet de condamnations[7]. Il se spécialise dans la lutte contre le trafic de stupéfiants et la délinquance des mineurs, et également dans les dossiers d'accidents médicaux.

Après avoir été brièvement procureur adjoint au TGI deBourg-en-Bresse de 1994 à 1995, Fenech est ensuite nommésubstitut général près lacour d'appel de Lyon, où il est chargé jusqu'en 2001 des affaires criminelles devant la cour d'assises. Il est nommé vice-procureur près le TGI deBobigny en 2002 quelques jours avant d'être élu député du Rhône. Il quitte la magistrature de 2002 à 2008, pour se consacrer à son mandat de député, date à laquelle son élection à la députation est invalidée par leConseil constitutionnel qui le condamne à une peine d'un an d'inéligibilité[8]. Il est alors réintégré à sa demande en qualité de président de laMission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires. Réélu député en 2012, il quitte la mission interministérielle et son état de magistrat.

Activité syndicale

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Georges Fenech a été président de l'Association professionnelle des magistrats (APM) de 1996 à 1998, syndicat de magistrats classé à l'extrême droite[9]. En 1998, il démissionne de l'APM à la suite de propos injurieux et antisémites envers leur collègueAlbert Levy[10] tenus par l'ancien président du syndicatAlain Terrail dans la revue de l'APM dont Georges Fenech est le responsable.

Poursuivi à ce titre devant le tribunal correctionnel, Georges Fenech est reconnu responsable en sa qualité de directeur de la revue le, mais dispensé de peine[11]. À la suite de cette démission, il crée un nouveau syndicat, leSyndicat indépendant des magistrats.

En marge de l'affaire des ventes d'armes à l'Angola, il est également mis en examen le pour recel d'abus de biens sociaux, à la suite du versement en 1997 à l'APM de 100 000 francs (15 000 €) par la sociétéBrenco[12]. Il est relaxé le[13].

Activités d'enseignement

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De 1985 à 1994, Georges Fenech a également étémaître de conférences à l'Institut d'études judiciaires de la faculté de droit Jean-Moulin à Lyon et à l'institut d'administration des entreprises (IAE), ainsi qu'aucentre de formation professionnelle des avocats à Lyon et à la faculté de médecine de Lyon (cours demédecine légale)[14].

Député du Rhône (2002-2008)

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Georges Fenech est élu député le16 juin 2002 dans la11e circonscription duRhône sous les couleurs de l'UMP, parti au sein duquel il exerce des fonctions de conseiller politique.

Georges Fenech participe à partir de à la commission d'enquête parlementaire concernant l'affaire d'Outreau. Il préside en 2006 laCommission d'enquête sur les sectes et les mineurs dont le rapport public, remis le, préconise 50 propositions afin de protéger « l'enfance en danger ». En 2005, Georges Fenech est chargé par le Premier ministreJean-Pierre Raffarin d'une mission d'étude sur lebracelet électronique mobile afin de renforcer la lutte contre larécidive. À son initiative est créé à l'Assemblée nationale le groupe d'études sur les sans-abri, dont il prend la présidence. Il est nommé rapporteur pour avis de la loi sur ledroit au logement opposable.

Au cours de son mandat, Georges Fenech est membre de lacommission des Lois constitutionnelles, de la Législation et de l'Administration générale de la République, juge suppléant de lacour de Justice de la République, secrétaire de l'Assemblée parlementaire de la francophonie et membre dugroupe d'études sur la question du Tibet.

Georges Fenech est réélu député le dans sa circonscription duRhône. Il est alors désigné rapporteur auprès de la ministre de la Justice,Rachida Dati, de la loi sur la rétention de sûreté, qui autorise à maintenir les grands criminels dans des établissements médico-socio-judiciaires tant qu'ils sont estimés toujours dangereux, bien qu'ayant purgé leur peine.

Invalidation de son élection de 2007 par le Conseil constitutionnel

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En, son élection de est invalidée et il est sanctionné d'un an d'inéligibilité par leConseil constitutionnel, en raison d'infractions au droit électoral liées à ses comptes de campagne. En effet, une dépense de 6 261 €, soit 8,17 % des dépenses engagées et 7,60 % du plafond légal, avait été payée directement par une militante UMP, en lieu et place de son mandataire financier[15].

Le Conseil constitutionnel a toutefois précisé, aux termes d'un communiqué de presse du, que ces dépenses de campagne avaient bien été déclarées dans le compte de campagne de Georges Fenech, puisque si elles n'avaient pas été réglées directement par le mandataire financier, elles avaient néanmoins été ensuite remboursées par lui. Le Conseil constitutionnel ajoutait qu'il n'y avait donc pas d'atteinte à la sincérité de son compte, mais que cette irrégularité formelle emporte automatiquement l'inéligibilité en application des termes des articlesL. 52-4 etL.O. 136-1 du code électoral[16].

S’estimant victime d’une procédure discriminante, Georges Fenech en appelle auprésident de la RépubliqueNicolas Sarkozy et auprésident de l'Assemblée nationaleBernard Accoyer, dénonçant« une intolérable atteinte au suffrage universel »[17], mais en vain, les décisions du Conseil constitutionnel n'étant susceptibles d'aucun recours, conformément au 3e alinéa de l'article 62 de la Constitution.

À la suite de cette invalidation, le Parlement a modifié la loi sur le financement des partis politiques pour retenir la notion de « bonne foi », afin d'éviter les sanctions automatiques sans prise en compte de l'honnêteté et de la sincérité des candidats.

Président de la Miviludes

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Le, Georges Fenech est réintégré dans la magistrature. Il est nommé premier substitut auprès de l'administration centrale du ministère de la Justice. Il y est mis à la disposition des services du Premier ministreFrançois Fillon, qui lui a confié une mission d'évaluation des dispositifs judiciaires de lutte contre les sectes[18].

Le, Georges Fenech est nommé président de laMission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) par décret du président de la RépubliqueNicolas Sarkozy[19]. Il est considéré comme un partisan de la « ligne dure » de lalutte anti-sectes dans la continuité de ses prédécesseurs Jean-Michel Roulet etAlain Vivien, ancien secrétaire d'État aux Affaires étrangères deFrançois Mitterrand[20]. Il est reconduit à ce poste en[21] puis est remplacé parSerge Blisko en 2012[22].

Sous sa présidence, cette mission interministérielle crée la Cellule d’assistance et d’intervention en matière de dérives sectaires (CAIMADES) et accroît ses actions en direction des mineurs et du monde professionnel[23]. En qualité de président, il est condamné à 1 000 € d'amende avec sursis le par la17e chambre du tribunal correctionnel de Paris pour diffamation contre l'association « Tradition Famille Propriété », visée comme organisme à caractère sectaire dans le rapport d'activités annuel de la Miviludes[24]. La cour d'appel de Paris déboute l'association TFP le. Mais la Cour de cassation a cassé cet arrêt le et renvoyé l'affaire devant la même cour d'appel autrement composée[25].

Le, la Cour d'appel de Caen condamne Georges Fenech pour atteinte à la présomption d'innocence à l'encontre d'une association de l'Église de Scientologie. Ses propos avaient été, selon la cour d'appel, exposés sans réserve ni précaution quant à la matérialité des faits et la source de ses informations, alors qu'il avait évoqué une affaire judiciaire en cours[26].

En, il accepte l'invitation qui lui est faite parMarlène Schiappa de faire partie du nouveau conseil d'orientation de la Miviludes[27].

Député du Rhône (2012-2017)

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Enjuin 2012, il est de nouveau élu député de la11e circonscription du Rhône avec 65,02 % des voix, loin devant le député sortantRaymond Durand qui était son suppléant en 2007[28],[29].

Georges Fenech est à nouveau membre de la commission des lois. Il est nommé président du Groupe d'étude sur les sectes à l'Assemblée nationale, membre de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales et de la commission d'enquête sur le rôle des renseignements français dans l'affaireMohammed Merah. Il est également vice-président des groupes d'amitié avec Malte et l'Arabie saoudite.

Le, il se déclare candidat à la primaireUMP pour la mairie de Lyon en vue desélections municipales de 2014[30]. Il se qualifie pour le second tour et bénéficie du ralliement des candidats éliminés au premier tour, l'ancienne secrétaire d'ÉtatNora Berra et l'ancien députéEmmanuel Hamelin, ainsi que le soutien de l'ancien maire de LyonMichel Noir, qui considèrent Georges Fenech comme le meilleur candidat pour battre le maire socialiste de Lyon,Gérard Collomb. Néanmoins, c'est le chef de l'opposition municipaleMichel Havard qui sort victorieux du scrutin au second tour en devenant le candidat de l'UMP pour les municipales à Lyon[31].

Le, il lance le mouvement politique Force d'Avenir afin de rassembler toutes les personnes qui l'ont soutenu durant la campagne des primaires et de soutenirMichel Havard.

En, il publie un livre,Lettre ouverte à Christiane Taubira, critiquant leprojet de réforme pénale de la garde des Sceaux. Le, il est élu conseiller municipal de Lyon dans le6e arrondissement.

Le, il prête serment pour devenir avocat, avant de rejoindre le cabinet deGilles-William Goldnadel[32].

Le,Nicolas Sarkozy, élu président de l'UMP, le nomme secrétaire national de l'UMP chargé de la justice[33].

Il soutientNicolas Sarkozy pour laprimaire présidentielle des Républicains de 2016. Dans le cadre de sa campagne, il est nommé orateur national chargé de la justice.

En, Georges Fenech est désigné pour présider la commission d'enquête parlementaire sur lesattentats de Paris[34]. Dans son rapport publié en, il prône notamment une refonte de ses services de renseignement, avec la création d'une agence nationale de lutte antiterroriste, rattachée au Premier ministre[35],[36].

Dans le cadre de l'affaire Fillon, Georges Fenech est le premier à estimer que « le résultat de la primaire est caduc » et que « la situation est très compromise à droite », 80 jours avant l'élection présidentielle de 2017[37]. Le, il appelle son camp à changer de candidat[38],[39],[40],[41]. Le, il appelle à parrainerAlain Juppé[42], et le, il parraine finalementFrançois Fillon[43]. Pour le second tour de l'élection présidentielle entreMarine Le Pen etEmmanuel Macron, il refuse le « front républicain »[44].

Il est candidat à sa réélection lors desélections législatives de 2017, mais est battu par le candidatLREMJean-Luc Fugit, réalisant un score de 45,29 % au second tour. Il rejoint alors comme consultant le cabinet PIMAN, société dont l’épouse de son adversaireJean-Luc Fugit est l’une des dirigeantes[45],[46] et qui intervient régulièrement à l’Assemblée nationale[47].

Consultant TV

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À la rentrée 2017, il devient consultant pour la chaineCNews sur les questions liées au terrorisme[48], puis sur toutes les questions concernant la sécurité en général[49].

Le au soir, en direct sur le plateau de CNews, en discussion avecPascal Praud, il déclare gagner 8000€ de retraite par mois en tant qu'ancien député (11 ans), et cumuler 4 autres retraites dont magistrat.

Publications

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  • Main basse sur la justice : Les années noires, de Mitterrand à aujourd'hui, Paris,Jean-Claude Lattès, 1997
  • Avec Philippe Petit,La moralisation des marchés publics, Paris,PUF, 1998
  • Une idée certaine de la France, Paris,France-Empire, 1998 (interview)
  • Face aux sectes : politique, justice, État, Paris,PUF, 1999
  • Tolérance Zéro. En finir avec la criminalité et les violences urbaines, Paris,Grasset, 2001
  • L'insécurité, Éditions des Syrtes, 2002
  • Un juge en colère. En finir avec le juge d'instruction, Éditions du Félin, 2005
  • Presse-justice : liaisons dangereuses, Paris, L'Archipel, 2007
  • La justice face aux dérives sectaires 2008 ;
  • Criminels récidivistes : peut-on les laisser sortir ?, Paris, Éditions de l'Archipel, 2009
  • Apocalypse : menaces imminentes ?, Paris,Calmann-Lévy, 2012
  • AvecAlexandre Malafaye,Propagande noire, Éditions Kero, 2013
  • Lettre ouverte à Christiane Taubira, First Document, 2014
  • Qui imagine le général de Gaulle mis en examen ?, First Document, 2017
  • Bataclan - L'enquête vérité: Par le président de la commission d enquête parlementaire sur les attentats de Paris, éditions Uppr, 2017
  • Gare aux gourous : Santé, bien-être, Paris-Monaco,Éditions du Rocher,(ISBN 2268103609).
  • Le Procès - Bataclan, Paris, Stade de France, Paris-Monaco, Éditions du Rocher, 2021
  • L'ensauvagement de la France : la responsabilité des juges et des politiques, Paris-Monaco, Éditions du Rocher, 224 p., 2023(ISBN 978-2-2681-0940-4)

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. RenéMayer,Français d'Afrique du Nord : ce qu'ils sont devenus, Saint-Cloud, René Mayer,, 438 p.(ISBN 978-2-9527573-1-7,lire en ligne),p. 169.
  2. a etbInterview sur Lyon People
  3. Marc Fourny, « Hermine de Clermont-Tonnerre : derniers adieux et ultimes révélations », surLePoint.fr,(consulté le)
  4. « Georges Fenech. « Je n’ai pas besoin de montrer mes quartiers de lyonnitude » - »,Lyonpeople.com,‎(lire en ligne, consulté le)
  5. « L'Humanité: Non-lieu dans l'affaire du juge Renaud »,.
  6. « Humanité: Vingt-trois scientologues devant les juges à Lyon »,.
  7. « Scientologie : prison ferme pour l’un des responsables », surwww.humanite.fr,.
  8. « Le Conseil constitutionnel annule l'élection du député UMP Georges Fenech »,Le Monde,‎(lire en ligne)
  9. Dominique Simonnot,« APM: retour de la droite judiciaire extrême. L'association se dote d'un nouveau bureau. »,Libération, liberation.fr, 19 décembre 1998.
  10. Catherine Coroller,« Fenech, nouveau pourfendeur des sectes à la personnalité controversée »,liberation.fr, 25 septembre 2008.
  11. Chronologie d’une procédure sans fin…,LDH Toulon, 13 octobre 2004.
  12. « Les hommes de l'Angolagate »,Le Monde du 12 janvier 2001.
  13. « Angolagate: relaxe de Georges Fenech »Le Figaro, 27 octobre 2009.
  14. « Mort d'Hermine de Clermont-Tonnerre : Georges Fenech, dernier élu de son cœur », surwww.purepeople.com(consulté le)
  15. « Décision n° 2007-4359 du 27 mars 2008 », Conseil Constitutionnel,(consulté le).
  16. Communiqué de presse du 27 mars 2008,Conseil Consstitutionnel.
  17. « L'élection du député UMP Georges Fenech annulée », surlefigaro.fr,.
  18. « L'ex-député Fenech, magistrat »,Le Figaro, 28 août 2008.
  19. « Georges Fenech nommé président de la Miviludes »,L'Express, 23 septembre 2008.
  20. La lutte anti-sectes est confiée à un partisan de la "ligne dure",Le Monde, 24 septembre 2008.
  21. N. S., « Georges Fenech reconduit à la tête de la Miviludes »,La Croix, 20 septembre 2011.
  22. « Serge Blisko à la tête de la Miviludes », surlefigaro.fr,.
  23. « Georges Fenech quitte la présidence de la Miviludes »,LyonCapitale.fr, 3 août 2012.
  24. « Le président de la Miviludes Georges Fenech condamné »,paristribune.info.
  25. Cour de cassation, criminelle, chambre criminelle, 16 septembre 2014, 13-85.061.
  26. Louis Laroque, « L'Église de scientologie gagne un procès face à Georges Fenech »,Le Point,‎(lire en ligne)
  27. « Covid-19 : face aux dérives sectaires, Marlène Schiappa « renforce » la Miviludes »,La Croix,‎(lire en ligne)
  28. Dalya Daoud, « Législatives 2012 Rhône : 11e circonscription », surRue89,
  29. Dans le Rhône, un suppléant s'accroche à son siège,Le Figaro, 6 juin 2012.
  30. Georges Fenech candidat à la mairie de Lyon,Le Progrès, 9 février 2013.
  31. « Primaires UMP à Lyon : Michel Havard sera le candidat aux municipales », inleparisien.fr, 9 juin 2013.
  32. « Georges Fenech, du rouge au noir »,Le Figaro, encart « Culture », mardi 30 septembre 2014, page 41.
  33. « Nominations », u-m-p.org, 9 décembre 2014.
  34. Georges Fenech préside la commission d'enquête sur les attentats de Paris
  35. Terrorisme : le rapport qui préconise la réorganisation totale des services
  36. Rencontre de l'Institut pour la Justice avec Georges Fenech, président de la commission d'enquête relative aux moyens mis en œuvre par l’État pour lutter contre le terrorisme depuis le 7 janvier 2015
  37. Affaire Penelope Fillon : sanction à venir pour Georges FenechRTL, 2 février 2017
  38. « La candidature de François Fillon est "très compromise", estime le député LR, Georges Fenech », surfrancetvinfo.fr,.
  39. « Affaire Fillon : ces élus de droite qui ont lâché leur candidat », surfrancetvinfo.fr,.
  40. « Penelope Fillon : sanction à venir pour Georges Fenech », surrtl.fr,
  41. « A droite, qui ne soutient plus ouvertement François Fillon? », surjdd.fr,
  42. « Georges Fenech (LR) appelle les élus à parrainer Juppé », Le Parisien, 2-3-2017
  43. « Présidentielle : et finalement, Georges Fenech a parrainé… François Fillon », Le Progrès, 14-3-2017
  44. « Fenech : "Je ne voterai pas Macron même si c'est la consigne" », bfmtv.com, 24 avril 2017.
  45. « Projet Arcadie », surProjet Arcadie(consulté le)
  46. « Intelligence artificielle : Georges Fenech DG de Law Suite by Piman », surmesinfos,(consulté le)
  47. Webmaster, « PIMAN Group présent à l'Assemblée Nationale », surPIMAN Group,(consulté le)
  48. AzizZemouri, « Georges Fenech, consultant "terrorisme" pour CNews »,Le Point,‎(lire en ligne, consulté le)
  49. « L’image du jour de Julien Bellver : Georges Fenech, l’homme à tout faire de CNEWS »,TF1, 5 février 2018

Liens externes

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