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Femme

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Page d’aide sur l’homonymie

Cet article concerne les définitions biologique et sociologique de la femme. Pour l'être humain, voirHomo sapiens. Pour les autres significations, voirFemme (homonymie).

Lareine de Saba,Vénus,Jeanne d'Arc,Eva Perón,Marie Curie,Indira Gandhi,Vénus de Willendorf,Wangari Muta Maathai,Mère Teresa,Grace Hopper, Mamechiho, unegeisha,paysannetibétaine,Marilyn Monroe,Oprah Winfrey,Aung San Suu Kyi,Joséphine Baker,Isis,Laverne Cox,ÉlisabethIre, unemèrequechua.

Unefemme est unêtre humain desexe ou degenreféminin. Avant l'âgeadulte, au stadeinfantile, on parle defille. Il arrive cependant que le mot s'utilise indépendamment de l’âge.

Son sexe est généralementdéterminé génétiquement par une paire dechromosomes sexuels composée de deuxchromosomes X. L'embryon est cependant physiologiquement indifférencié jusqu'à la septième semaine de grossesse. À partir de la huitième semaine, commence la différenciation des gonades et desorganes génitaux internes puis desorganes externes au cours du troisième mois de vie fœtale. Lamaturité sexuelle féminine (capacité à se reproduire) est bornée par les étapes de laménarche et de laménopause. La période de gestation, d'une durée de neuf mois environ, est appelée « grossesse ».

Anatomiquement, la taille et la masse musculaire des femmes sont en moyenne inférieures à celles des hommes, et leurvoix plus aigüe ; mais la différence anatomique principale concerne lebassin, plus large en moyenne, probablement du fait d'unehistoire évolutive facilitant l'accouchement. Avec lapuberté, ledimorphisme sexuel matérialisé par lescaractères sexuels secondaires (notamment lesseins) s'accentue.

L'espérance de vie des femmes est plus élevée que celle deshommes, mais leur espérance de vie en bonne santé est similaire.

Laplace des femmes dans la société, tant en public qu'en privé, a beaucoup évolué au cours de l'histoire et en fonction des civilisations. La plupart desmythes etreligions voient dans la femme la compagne de l'homme, destinée à lui donner des enfants. Les rôles de lavierge, symboliquement associée à lapureté, et de lamère, associée au caractère protecteur et nourricier, y sont vus très positivement. Le rôle de laséductrice, incarnation de la tentation, est en revanche lié à des représentations culturelles plus ambivalentes voire négatives.

Lesdifférences comportementales entre hommes et femmes relèvent de laféminité et de lamasculinité et sont l'objetd'études sociales. La réalité, l'ampleur, et le caractèreinné ou acquis de nombreuses différences sont sujets à de nombreux débats.

Terminologie

Dessin d'une femme sur lesplaques de Pioneer.

Une femme est l'être qui, dans l'espècehumaine, appartient ausexeféminin[1],[2],[3] — dans le langage courant, il est relatif à l'être concerné d'âgeadulte, à la différence du termefille[2]. Le terme « femme » est également utilisé par certainssociologues et courantsféministes pour désigner un individu de sexe masculin ouintersexe s'identifiant comme degenre féminin[4],[Note 1],[Note 2]. Cette définition ne fait pas l'unanimité et est critiquée par de nombreuses féministes qui considèrent que« la catégorie "femme" est fondée sur une différence biologique irréductible[7],[8]. »

Lesubstantiffémininfemme estissu dulatinclassiquefemina[1],[2],[9] dont l'étymologie a étédiscutée. Les grammairiens latins rapprochaientfemina defemen (« cuisse »[9]) ou defemur[10])[11]. Mais il s'agit d'uneétymologie erronée. Leslinguistes considèrent aujourd'hui quefemina est unparticipe[12] présentpassif[13],[14],[15]. Il a d'abord signifié « femelle » puis « femme, épouse » et a concurrencémulier (« femme ») etuxor (« épouse »)[2].

Enfrançais,femme estattesté dès la fin duXe siècle ; d'après leTrésor de la langue française informatisé, sa premièreoccurrence se trouve dans laPassion de Clermont[1],[2].

Le termefille désigne la femme à ses stadesinfantile etpubère[2].

Biologie

La femme présente toutes lescaractéristiques biologiques propres àson espèceex. : unebipédie, unpouce opposableetc. –, tout en présentant des traits spécifiques, liés audimorphisme sexuel, qui ladistingue de l'homme. Cette distinction est déterminée par l'analyse des caractères sexuels, dont la variabilité est liée à lagénétique et auxchromosomes humains. Aux caractères sexuels primaires concernant lesystème reproducteur, s'ajoute l'observation descaractères sexuels secondaires, physiques ou comportementaux, qui s'affirment à lapuberté. Laprocréation humaine implique l'ensemble des organes sexuels primaires et se matérialise chez la femme par des étapes commençant à l'ovulation et se finissant avec lesevrage de son descendant.

Différenciation sexuelle

Articles détaillés :Système XY de détermination sexuelle etComparaison biologique entre la femme et l'homme.

Dans l'espèce humaine, le sexe génétique des individus est déterminé par la23e paire de chromosomes ou chromosomes sexuels, dont les deux possibilités sont XX (féminin) et XY (masculin). Pour le sexe féminin, la paire de chromosomes sexuels XX est constituée à lafécondation par l'union d'unovule maternel, qui est toujours porteur d'unchromosome X, et d’unspermatozoïde paternel, qui est porteur ici d'un chromosome X également[16].

Jusqu'à la septième semaine de développement, l'embryon humain mâle ou femelle est morphologiquement indifférencié. À 4 semaines apparait la crête génitale, qui est une première ébauche de gonades (organes de reproduction) encore indifférenciées à ce stade[17].Entre 4 et 5 semaines lescanaux de Wolff et à 6 semaines, lescanaux de Müller se développent pour former deux types de canaux déférents dont chaque sexe, sous l'action de ses hormones caractéristiques, n'en développera qu'un type au détriment de l'autre : les canaux de Wolff pour les embryons masculins, les canaux de Müller pour les embryons féminins[18]. Lescrêtes mammaires se développent dans les deux sexes au cours de la7e semaine de la vie embryonnaire et portent 5 à 7 paires de bourgeons mammaires qui se résorbent à la8e semaine, sauf la4e paire dans la région thoracique qui formera lesmamelons dans les deux sexes.

Chez les embryons de sexe féminin, la transformation des gonades indifférenciées enovaires a lieu entre 8 et 10 semaines de développement embryonnaire. C'est la différenciation ovarienne. Les follicules ne se formeront qu'après la naissance. Les ovaires produisent desœstrogènes. C'est cette hormone qui va maintenir les canaux de Müller[19], et les amener à se transformer peu à peu enoviductes[20]. Les canaux de Wolff, eux, dégénèrent par l'absence detestostérone[20],[21] et la différenciation est favorisée par legène DAX1, qui inhibe les caractères masculins[19].Les canaux de Müller se modifient pour former, dans leur partie supérieure, les trompes de Fallope, dans les segments moyens, deux cornes utérines qui se souderont en un utérus unique au4e mois de l'embryon. Dans le segment inférieur, les deux canaux fusionnent pour constituer le canal utéro-vaginal et le renflement postérieur, le tubercule de Müller, constitue le col de l'utérus alors que la cavité du vagin se forme. Chez le fœtus féminin, les orifices génital et urinaire sont distincts. Les organes génitaux externes féminins se forment au cours du3e mois de la vie fœtale.

À la naissance, la structure de la glande mammaire est inachevée et comporte une ramification de canaux galactophores primordiaux. L'arrêt du fonctionnement placentaire s'accompagne d'une suppression des œstrogènes maternels qui provoque de manière transitoire, dans les deux sexes, un état congestif des seins et une sécrétion lactée[22]. À ce stade, les glandes mammaires n'évoluent plus chez le garçon. Chez la fille, elles restent au repos jusqu’à la puberté, où leur évolution amène le développement desseins.

Caractères primaires

Article connexe :Système reproducteur (§ Appareil génital de la femme).
Organes génitaux internes
Article détaillé :Appareil reproducteur féminin.

L'appareil génital interne féminin se compose duclitoris (qui dispose de larges racines internes)[23], duvagin, de l'utérus, destrompes utérines et desovaires[24]. Ses fonctions sont très différentes de celles de l'appareil génital masculin : il permet la migration desspermatozoïdes du fond du vagin jusqu’à la trompe utérine, puis la migration de l’embryon jusqu'à la cavité utérine et enfin l'implantation de l’embryon et son développement dans l’utérus jusqu'à l'accouchement. Toutefois, il existe des similitudes avec l'appareil masculin, notamment en ce qui concerne la production et le transport desgamètes depuis les gonades, la production deshormones sexuelles et le rôle dans l'excitation sexuelle et l'orgasme[25].

S’étendant de l’utérus à la vulve et situé entre lavessie et l’urètre en avant et lerectum en arrière, le vagin est un conduit musculo-membraneux[25] mesurant environ huit centimètres[26]. Il reçoit lepénis et l'éjaculat lors des rapports sexuels[24]. Le vagin est très élastique et extensible, puisqu'il s'agrandit considérablement lors de l'accouchement[24]. Sa sensibilité est sujette à une grande variabilité individuelle[25] ; elle est plus importante dans sa partie inférieure et dépend des muscles dupérinée[25].

L'utérus est l'organe de lanidation et du développement dufœtus. Il est composé de trois couches musculaires lisses et l'intérieur comprend l'endomètre, soumis auxvariations menstruelles. L'utérus est en forme de cône, la pointe du bas formant lecol de l'utérus — qui mène au vagin — et les extrémités latérales supérieures débouchant sur lestrompes utérines ou trompes de Fallope[27]. Le col de l'utérus secrète laglaire cervicale produite par les glandes du canal cervical en période pré-ovulatoire.

La taille de l'utérus varie entre l'enfance, la puberté, la grossesse — où il s'adapte à la taille du fœtus — et la ménopause[24].

Les deux trompes utérines conduisent l'ovule de l'ovaire jusqu'à l'utérus. C'est également dans cet organe que se produit lafécondation. Elles sont souvent représentées symétriques, en forme de cornes recourbées vers la partie inférieure du corps, bien que la dissymétrie soit fréquente[28]. Les deux ovaires produisent les ovules et sécrètent une partie des hormones sexuelles[29].

Organes génitaux externes
Représentation artistique de 1850, à propos de l'auto-examen féminin.
Article détaillé :Vulve.

Située entre les faces internes des cuisses, la vulve forme une fente qui s'étend du bas du ventre à 3 cm en avant de l’anus[30]. La vulve contient l'ensemble desorganes génitaux externes de la femme[31]. Elle est constituée dumont de Vénus, desgrandes et despetites lèvres enserrant l'entrée duvagin, de la partie externe duclitoris et duméat urinaire[30].

Les grandes lèvres forment les replis externes de la vulve. Leur face externe est recouverte de poils, tandis que la face interne est glabre, de couleur rosée et humide[25]. Les petites lèvres, situées à l'intérieur des grandes, sont aussi glabres, rosées et humides : elles ont un aspect demuqueuse bien qu'il s'agisse depeau[31]. À l'avant, les petites lèvres forment deux replis autour de la partie externe dugland du clitoris : leprépuce et le frein. Levestibule, à l'intérieur des petites lèvres, se compose duméat urétral et des orifices duvagin avec l'hymen, desglandes de Bartholin et desglandes de Skene qui produisent lessécrétions vaginales[25].

La vulve est richement vascularisée, innervée et comporte un grand nombre derécepteurs sensoriels, la sensibilité étant la plus fine au niveau du clitoris[31].Dutissu érectile est présent sur le clitoris, les petites lèvres et lesbulbes du vestibule[31][réf. à confirmer] et des zones semi-érectiles sur les grandes lèvres[25].

Le clitoris est un organe de l'appareil reproducteur féminin dont la partie visible se situe au sommet despetites lèvres ; il forme une proéminence d’environ 0,7 à1 centimètre de diamètre, et s’avère être la conjonction, en profondeur, de deux racines de dix centimètres qui entourent levagin et l’urètre. Cet organe joue un rôle important dans l’excitation sexuelle et lecomportement de reproduction, en particulier en favorisant le développement de la motivation sexuelle et de la jouissance.

Période de maturité sexuelle

Lamaturité sexuelle d'une femme, période de la vie pendant laquelle elle a la capacité de se reproduire, est bornée par les étapes de lapuberté et de laménopause. Elle commence à l'adolescence[32], à notre époque de façon de plus en plus précoce[33], pour se terminer entre 45 et 55 ans[34].

Caractères secondaires

Article connexe :Caractère sexuel secondaire (§ Dans l'espèce humaine).
Anatomie

Avant la puberté, la masse grasse et la masse maigre (qui comprend les tissus non adipeux, la masse osseuse et la masse musculaire) sont quasiment équivalentes dans les deux sexes. Après la puberté, chez la femme, la masse osseuse représente 2,7 à 3 kg (homme : 4,5 à 5 kg), la masse musculaire 20 à 25 % de la masse corporelle (homme : 45 à 50 %) et la masse graisseuse 26 à 28 % de la masse corporelle (homme : 14 %)[35].

En moyenne, les femmes ont unestature, une masse et une puissance musculaire inférieure à celle deshommes. Leursystème pileux est en général moins développé. L'anatomie de la femme présente aussi de nombreuxcaractères sexuels secondaires :seins proéminents même en dehors des périodes degestation et d'allaitement,rapport taille/hanches prononcé, ettessiture de lavoix plus aigüe.

Bassin
Article détaillé :Bassin.
Bassin d'homme (à gauche) et de femme (à droite).

Lesquelette de la femme est généralement plus petit que celui de l'homme, mais il n'y a pas de différences fondamentales entre les deux sexes, hormis la forme dubassin[36]. Pour les deux sexes, celle-ci est avant tout adaptée à labipédie, mais, pour la femme, permet également l'accouchement[37]. Le sexe est souvent aisément identifiable à la forme du bassin : c'est un indicateur de diagnostic sexuel pour lamédecine légale et l'archéologie[37].

Le diamètre latéral dupetit bassin s'est agrandi au cours de l'histoire évolutive de la lignée humaine, pour suivre l'augmentation du volume du crâne : s'il est de 99,1 mm chez lesaustralopithèques, il augmente peu à peu depuisHomo habilis jusqu'àHomo erectus, dont le diamètre du pelvis couvre celui de l'humain moderne[38].

Le bassin de la femme est plus léger, plus large et plus fin que celui de l'homme. Lesdétroits inférieur etsupérieur sont plus grands[37]. L'angle subpubien, formé par les deux branches ischio-pubiennes à la jonction avec lasymphyse pubienne, est d'environ 75°[39] tandis que chez l'homme, il est rarement supérieur à 60°. Toutefois, les trois formes les plus courantes de bassin (androïde, gynécoïde et anthropoïde) peuvent être partagées chez l'un ou l'autre sexe[37].

Seins
Article détaillé :Sein.
Anatomie du sein.

Lesseins des femmes sont plus développés que ceux des hommes. Implantés entre la3e et la6e côte, les seins reposent sur legrand pectoral[40]. Richement vascularisés, ils sont essentiellement composés detissu adipeux. Souvent asymétriques[25], ils ont des dimensions et des formes différentes selon les individus, qui dépendent de lagénétique et de ladiététique[40].

Les seins s'accroissent à lapuberté par le développement du système glandulaire et l'apport detissu adipeux. Chez la plupart des femmes, la taille des seins augmente durant lecycle menstruel et durant la grossesse. Lorsqu'une femme a eu plusieurs enfants, les seins sont plus volumineux et pendants. Chez une femme âgée, le sein rétrécit, du fait de l'atrophie des glandes mammaires et de la diminution du tissu adipeux[40].

L’aréole est une zone circulaire, pigmentée et en relief qui contient quinze à vingtglandes sébacées. Lemamelon se situe dans l'aréole et contient lescanaux galactophores. Cette zone est fortementinnervée et donc sensible[25]. Lors de l'allaitement, les glandes sébacées produisent une huile qui protègent le sein du mâchonnement et les glandes mammaires sécrètent lelait[40].

Autres
Article connexe — notion désuète :Caractère sexuel tertiaire.
Santé

Les femmes ont uneespérance de vie plus élevée que celle des hommes. En 2010, dans les pays de l'Union européenne, les femmes vivent en moyenne3,5 ans de plus que les hommes, l'écart variant entre les pays, de1,9 an enGrèce à5,3 ans enEstonie. Toutefois l'espérance de vie en bonne santé est en Europe quasiment identique, avec des écarts entre hommes et femmes de 0,2 à0,8 ans en moyenne, en faveur des femmes[41].

Il nait légèrement moins de femmes que d'hommes (environ104 garçons pour100 filles). Ce phénomène est appelésurmasculinité à la naissance.

Sens

La sensibilitéolfactive est meilleure pour les femmes que pour les hommes, notamment pour les femmes en âge de procréer[42]. L'olfaction évolue au cours decycle menstruel et est le plus fort durant l'ovulation[42]. Lors de la grossesse, de nombreux témoignages font état de l'accroissement de la sensibilité de l'odorat, toutefois, plusieurs études ne sont pas parvenues à prouver une hyperosmie lors de la grossesse[43].

Psychomotricité

Selon certaines études[44], les femmes présenteraient desaptitudes psychomotrices différentes de celles des hommes : elles seraient notamment plus aptes à maîtriser les subtilités dulangage et auraient plus d'adresse manuelle, tandis que les hommes seraient plus performants en matière d'orientation dans l'espace et de raisonnement logique[45],[46]. Ces études sont sujettes à des critiques portant notamment sur les tailles d'échantillonsstatistiquement trop restreints.

Il existe d'autres études démontrant quant à elles, l'absence dedimorphisme sexuelcognitif[47].

Reproduction

Cycle menstruel

La femme est féconde dès laménarche, qui survient en général vers l'âge de onze ans, jusqu'à laménopause qui survient, elle, vers la cinquantaine, et qui estpropre à l'espèce humaine. Lecycle ovarien dure environ28 jours, et est marqué par lesmenstruations. Contrairement à la plupart des espèces deprimates, il n'existe pas dechaleurs, et la période de meilleure fécondité n'est donc pas décelable par lesmâles. Cependant, il est avéré que lecomportement sexuel des femmes, notamment lors de la recherche d'un partenaire sexuel, est sensiblement différent pendant l'œstrus. L'attirance sexuelle augmente avec l'âge, ainsi que lamaturité sexuelle[48].

Fécondation

Articles détaillés :Fécondation humaine etEmbryogenèse humaine.

Grossesse

Femme enceinte depuis 26 semaines.
Article détaillé :Grossesse.

Lagestation chez la femme est appeléegrossesse, et dure neuf mois. Une femme gravide est dite enceinte. La grossesse est le plus souvent mono-embryonnaire. En France, entre 1995 et 1996, unaccouchement sur 70 donne lieu à desnaissances multiples,jumeaux ou triplés[49]. Laparturition, quant à elle, est appelée accouchement. L'accouchement s'effectue le plus souvent dans la douleur, en raison du volume de la boîte crânienne de l'enfant. Leplacenta est éliminé[50].

Article connexe :Grossesse transgenre.

Accouchement

Article détaillé :Accouchement.

Allaitement

Femmeallaitant sonnourrisson.
Articles détaillés :Allaitement etLactation.

La lactation humaine est liée à la maternité. En fin de grossesse, les cellules mammaires évoluent en cellules sécrétoires, entamant la phase colostrale (lactogénèse de stade I) qui perdure deux ou trois jours après la naissance. Elle est suivie par la montée laiteuse, déclenchée par la chute du taux des hormones placentaires qui installe la phase lactée (lactogénèse de stade II). La production de lait augmente et s'adapte aux besoins de l'enfant[51].

Sevrage

Article détaillé :Sevrage (alimentation).

La femme dans la société

Articles détaillés :Condition féminine etRôle social.

Sociétés contemporaines

Données socio-démographiques

Taux de féminité
Article détaillé :Sex-ratio.
Sexe majoritaire dans la population totale par pays en 2015. Source :ONU[52].
  • Population féminine plus importante
  • Populations masculine et féminine équivalentes
  • Population masculine plus importante
  • Données manquantes
Développement
Article détaillé :Indice de développement humain.

Les femmes sont en général plus durement touchées que les hommes par les problèmes de développement. LeProgramme des Nations unies pour le développement (Pnud) mesure cela avec deux indices composites de développement humain :

  • l'ISDH, indicateur sexo-spécifique de développement humain ;
  • l'IPF, indicateur de la participation des femmes.

Dans son rapport[53] paru en2005 sur l'état de la population mondiale, leFonds des Nations unies pour la population (UNFPA) dresse une liste de chiffres montrant l'inégalité dont font l'objet les femmes par rapport aux hommes dans le monde. Parmi tous ces chiffres, on peut noter celui du nombre de femmesanalphabètes,600 millions, soit le double de celui des hommes.

En 2014, deux tiers des analphabètes adultes dans le monde sont des femmes. Plus de trois quarts des 758 000 000 analphabètes dans le monde se trouvent enAsie du sud et enAfrique subsaharienne[54].

Dans la sphère publique

Droits et citoyenneté
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Articles détaillés :Droits des femmes,Chronologie des droits des femmes autres que le suffrage etInégalités homme-femme.
Articles connexes :Mariage,Union civile,Filiation,Filiation naturelle etFiliation légitime.

Les femmes ont acquis bien après les hommes et à des périodes différentes suivant les pays, un statut de citoyenne à part entière. Ainsi ledroit de vote leur a été reconnu pour la première fois en1869 dans leWyoming,1893 enNouvelle-Zélande, en1907 enFinlande russe (où pour la première fois elles peuvent aussi être élues), en1918 auCanada (au niveau fédéral, les provinces ayant déjà accordé le droit de vote au niveau provincial entre 1916 et 1922 mais seulement en 1944 au Québec),1919 enAllemagne et 25 ans plus tard en1944 enFrance. Depuis lesannées 1960, le mouvement féministe a fortement contribué à faire inscrire dans le droit civil l'égalité entre hommes et femmes[55].

Dans un grand nombre[Combien ?] de pays du monde, les femmes et les hommes ont légalement les mêmes droits et donc théoriquement accès aux mêmes fonctions et positions. Le passage réel d'une égalité théorique à une égalité factuelle constitue un sujet de débat, en raison entre autres d'une persistance d'unedivision sexuée du travail[55].

Divorce

Les femmes sont plus susceptibles de demander ledivorce que les hommes, elles sont à l’origine de près de trois quarts des divorces contentieux. Dans plus de 80 % des cas, ce sont les femmes qui obtiennent la garde des enfants. En France, dans les deux tiers des cas, la résidence du ménage est attribuée à la femme[56].

Représentation politique
Articles détaillés :Féminisme etIntersectionnalité.
Articles connexes :Antiféminisme etÉgalitarisme.

Selon le rapport annuel d'Oxfam sur les inégalités mondiales de janvier 2020, 18 % des ministres et 24 % des parlementaires dans le monde sont des femmes[57].

Domaines socio-professionnels
Deux femmes agenouillées au bord d’une rivière, lavant du linge.
Les Lavandières, activité traditionnellement associée aux femmes, parDaniel Ridgway Knight vers 1898.
Une femme en uniforme de pilote devant le cockpit ouvert d'un avion de chasse
En Occident, depuis leXXe siècle de plus en plus de femmes exercent des métiers autrefois réservés aux hommes.
Article connexe :Travail des femmes.

Depuis leXIXe siècle[58][réf. à confirmer] et jusqu'à aujourd'hui, les professions se sont asexuées même si des différences subsistent et que les salaires ne sont pas les mêmes[réf. nécessaire]. Les femmes occupent majoritairement des emplois dans lesecteur tertiaire (services), notamment dans des postes relationnels ou touchant aux fonctions domestiques (cuisine, ménage, soins, garde etéducation des enfants)[réf. nécessaire].

Inégalités face à l'emploi et aux salaires
Article détaillé :Inégalités de revenus salariaux entre hommes et femmes.

Les femmes et les hommes sont inégaux devant lesemplois et lessalaires. En moyenne, les femmes ont unrevenu inférieur à celui des hommes dans tous les pays du monde. L'indice d'égalité salariale développé par leforum économique mondial est inférieur à 1 pour l'ensemble des pays du monde[59],[60].

Les recherches menées aux États-Unis montrent qu'il reste un écart salarial de 7 % qui ne peut pas être causé par le nombre d'heures travaillées, le métier, le niveau d'étude ou le secteur d'emploi[61]. Par exemple en France, les salaires sont en moyenne plus faibles que ceux des hommes[62] et selon l'observatoire de l'IESF, les femmesingénieures sont en moyenne payées 2 000 € annuels de moins que leurs homologues masculins à la sortie de l'école en 2016, cet écart s'agrandissant au cours de la carrière[63]. Au Royaume-Uni, les femmestradeurs bien qu'ayant le mêmesalaire que les hommes, reçoivent deux fois moins debonus qu'eux[64].

Dans les entreprises, les femmes sont de moins en moins présentes à mesure que l'échelon hiérarchique augmente[65]. Par exemple, en France et en Allemagne, 70 % des chefs d'entreprise sont des hommes[66]. Bien que les inégalités salariales sont en grande partie explicables par des différences de postes, d'expérience et de volume horaire[67], les femmes restent moins payées que les hommes après ajustement de ces variables[67],[61]. C'est particulièrement vrai pour les postes les plus qualifiés, que ce soit en raison d'une solidarité masculine ou de la division familiale du travail[68].

La persistance d'un choix de métiers différents entre homme et femme, ainsi que la prise de congés parentaux et de temps partiels plus importante chez les femmes lorsqu'un couple a un enfant, sont des facteurs eux-mêmes analysés comme résultants de normes sociales sexistes[69].

Après trente-quatre ans d'existence de laloi pour l'égalité professionnelle, la France se classe, en 2017,129e sur 144 pays en matière de réduction des inégalités salariales, les femmes gagnant environ 25 % de moins que les hommes et un écart salarial inexplicable d'environ 10 % persistant entre une femme et un homme possédant un contrat, un diplôme, une expérience et des responsabilités identiques. De nombreuses femmes sont encore l'objet dediscriminations à l'embauche, lors du renouvellement d'uncontrat à durée déterminée, à leur retour decongé de maternité ouparental[70] mais également du fait de leurgrossesse comme le montre l'exemple desmatermittentes, « inemployables » et sansrevenus durant huit semaines[71].[pertinence contestée]

Plus largement, les hommes détiennent 50 % de richesses de plus que les femmes dans le monde, selon le rapport annuel d'Oxfam sur les inégalités mondiales de janvier 2020[57].

Politique
une femme blonde en vert au milieu d'hommes en costume sombre
Angela Merkel (en vert), seule femme parmi les chefs d'État et de gouvernement duG8, le 7 juin 2007.
Articles connexes :Liste de dirigeantes politiques,Liste des femmes les plus puissantes du monde selon Forbes etListe de femmes monarques.

Avant même qu'elles n'obtiennent le droit de vote, certaines femmes étaient déjà actives politiquement, en particulier lessuffragettes, et au sein desmouvements socialistes (Flora Tristan,Clara Zetkin,Rosa Luxemburg,Alexandra Kollontaï).

Dans le domaine politique, la seconde moitié duXXe siècle a vu des femmes occuper des postes de premier plan, avec par exempleGolda Meir, première ministre d'Israël,Margaret Thatcher, première ministre du Royaume-Uni,Angela Merkel devenue chancelière ouTarja Halonen, présidente de Finlande, et auPakistan en1988,Benazir Bhutto devient la première femme à devenir chef de gouvernement dans un pays musulman. Elles restent cependant largement minoritaires dans les différentes instances du pouvoir[72].

Sciences
Articles détaillés :Place des femmes en sciences etPlace des femmes en médecine.

En science, les femmes sont moins présentes que les hommes. Par exemple, seuls 3 % des détenteurs deprix Nobel sont des femmes[73]. Les historiensMargaret W. Rossiter,Londa Schiebinger etYaël Nazé ont mis en lumière les inégalités entre les hommes et les femmes dans les milieux scientifiques. Margaret Rossiter a développé les concepts de ségrégations hiérarchique et territoriale[74] comme l'effet Matilda — par lequel les contributions des femmes scientifiques sont dévaluées, puis attribuées à des collègues masculins — et l'effet de harem[75],[76].

Attirer davantage de filles et de femmes dans l’éducation et les carrières liées aux sciences permettrait de progresser vers une plus grande égalité des genres. Les filles sont souvent élevées pour croire que les sciences sont des matières « masculines » et que les aptitudes féminines dans ce domaine sont intrinsèquement inférieures à celles des hommes. Cela peut saper la confiance en soi de filles, leur intérêt et leur inclination à étudier les matières desSTEM[77].

Le manque d’intérêt des filles pour l’étude des sciences signalé dans divers contextes est souvent considéré comme lié à une inégalité dans l'accès et l’expérience d’activités éducatives liées aux sciences au domicile ou dans d’autres environnements[78]. Selon l’étude PISA 2012, les garçons avaient plus de chances que les filles de participer à des activités extrascolaires se rapportant aux sciences, telles que le visionnement d’émissions de télévision sur les sciences, la visite de sites web sur les sujets scientifiques ou la lecture d’articles sur les sciences dans des journaux ou des magazines. Les familles aux ressources limitées n’ont peut-être pas les moyens, le temps ou les contacts nécessaires pour promouvoir l’apprentissage par leurs enfants des mathématiques et des sciences. Cela a été documenté comme un facteur affectant la participation des filles aux programmes d’ingénierie en République de Corée et aux États-Unis, entre autres contextes[79],[80].

Sport
Un groupe de coureuses en 2010.
Podium dufootball féminin :Brésil (or),États-Unis (argent) etCanada (bronze) lors desJeux panaméricains de 2007, àRio de Janeiro.
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Article détaillé :Sport féminin.

Certaines disciplinessportives, comme les sports de ballons, sont organisées sans mixité[81]. Pour les disciplines pratiquées à la fois par des hommes et par des femmes, la règle courante consiste à comparer les performances des femmes exclusivement entre elles. Dans la plupart des compétitions mixtes, telles que le marathon, où les hommes et les femmes sont ensemble, les organisateurs appliquent cette règle de comparaison entre hommes d'un côté et entre femmes d'un autre : cette pratique peut provoquer des problèmes d'équité si une concurrente bénéficie de la présence de "lièvres" masculins à ses côtés. Les disciplines qui ne réservent aux femmes aucune catégorie particulière et, donc où la performance de chacun est comparée sans distinction homme/femme, sont peu nombreuses ; la plupart des sports hippiques, la course automobile et la voile appartiennent à ce dernier type de discipline.

Dans le sport professionnel, les salaires et les primes des femmes sont le plus souvent inférieurs à ceux des hommes : le sport masculin étant plus diffusé dans les médias et suscitant donc plus de revenus. Lefootball et lecyclisme sont des exemples frappants. Les principales disciplines qui comptent des femmes comme athlètes de renommée internationale sont l'athlétisme, la gymnastique, la natation, le tennis, le patinage artistique et la voile.

Dans le monde échiquéen, des prix spéciaux sont souvent attribués aux femmes ; parfois, les catégories sont distinctes, ou bien les joueurs/joueuses sont ensemble mais les classements sont distincts. Ceci est dû à une volonté d'encourager la participation féminine dans une activité notoirement masculine, encouragement dont les effets ont pu être constatés. Cependant ce système de récompenses est souvent compris comme s'adaptant à une différence de capacités entre hommes et femmes (et peut être parfois adopté pour ce motif). La seule mesure en faveur de la mixité qui n'encourt pas cette supposition est le quota : une équipe de division trois ou plus doit présenter au moins une femme. Si cette femme est le plus souvent au dernier échiquier, c'est dû à la faible population de joueuses laquelle induit une faible population de fortes joueuses. Là encore, ce fait est souvent perçu comme le signe de la supériorité des capacités masculines.

Dans la sphère privée

Droits familiaux et sexuels
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Articles connexes :Sexualité féminine etRévolution sexuelle.

Des droits et devoirs familiaux différents sont attribués traditionnellement en fonction du sexe. Dans les pays où la polygamie est autorisée[Note 3], celle-ci est presque toujourspolygyne.

L'activité sexuelle et amoureuse des femmes est discriminée en rapport à celle des hommes, ce qui constitue undouble standard. En effet, l'un des clichés les plus frappants concerne la discrimination sur l'âge des partenaires, la femme ayant socialement injonction à être (ou au minimum à paraître) plus jeune que son compagnon, ce qui est constitutif d'une discrimination importante.

Violences
Articles détaillés :Violence conjugale etViolence contre les femmes.

Si les femmes sont globalement moins exposées aux assassinats que les hommes, dans la sphère familiale et conjugale les statistiques s'inversent, et en 2014 elles représentent 75 % des victimes dans le monde[82].

Selon les pays, la violence conjugale touche entre 15 % et 70 % des femmes[83].

En France
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Articles connexes :Chronologie du statut des femmes etDiscrimination des femmes en France.

En France, entre 2010 et 2012, une étude de l'Insee et de l'ONDRP sur les Français de 18 à59 ans montre que 201 000 femmes et 74 000 hommes déclarent avoir été victimes deviolences conjugales[84]. Letaux de plainte pour les violences conjugales est de 16 % pour les femmes et 7 % pour les hommes[84], le plus faible taux de plainte des hommes s'explique par unbiais culturel, les hommes n'osant pas porter plainte contre leur conjointe[85].

83 000 femmes et 13 000 hommes sondés déclarent avoir été victimes deviols et le taux de plainte est de 11 % pour les femmes et un taux non significatif pour les hommes[84],[86]. En dehors du ménage, les femmes sont plus exposées aux violences sexuelles que les hommes (0,6 % des femmes pour 0,2 % des hommes en moyenne entre 2012 et 2016[87], soit trois fois plus[86])[87].

Selon le rapport d'enquête « Cadre de vie et sécurité » 2017, en moyenne entre 2012 et 2016, les femmes sont plus concernées par les violences au sein du ménage que les hommes : en moyenne, chaque année entre 2012 et 2016, 1,1 % des femmes âgées de 18 à75 ans déclarent avoir subi des violences tandis que cette proportion est de 0,6 % des hommes du même âge[88]. Leconjoint est l'auteur dans 59 % des cas des violences physiques et dans 61 % des cas des violences sexuelles subies au sein du ménage[88].

Périodes de guerre

Femme en pleurs devant son mari tué
Des femmes vétéranes des forces armées lors d'une cérémonie commémorative.
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Articles détaillés :Femmes pendant la Première Guerre mondiale,Femmes pendant la Seconde Guerre mondiale etFemmes dans la Résistance intérieure française.

De nombreuses femmes dans le monde sont victimes de la guerre : victimes de la violence, déplacées, détenues, veuves, séparées de leurs proches et plus spécifiquement victimes de viols. Si la guerre et la violence, aujourd’hui, n’épargnent personne, les hommes, les femmes, les garçons et les filles sont touchés de façons différentes[89].

L’impact de la guerre sur les femmes dépend en grande partie de la mesure dans laquelle leur sécurité personnelle est touchée, des moyens qu’elles ont pour assurer leur survie et celle de leur famille, des éventuelles blessures ou pertes qu’elles subissent et, en pareil cas, de la manière dont elles en sont affectées. Leur sort résulte aussi, souvent, de ce qui est arrivé aux hommes de la famille.

En effet, par exemple pendant laPremière Guerre mondiale, les femmes françaises ont été appelées par le gouvernement pour assurer les tâches masculines puisque les hommes sont partis au combat. Elles ont assuré les récoltes des champs, elles ont travaillé également dans les usines d'armement (les munitionnettes) afin de contribuer à l'effort de guerre. Elles jouaient également le rôle de soutien moral auprès des troupes en étant marraine de guerre. Les femmes s'engagent comme infirmières, elles sont conductrices de tramway. Certaines sont même au combat comme lesamazones russes. À la suite de ces différents rôles, les femmes souhaitent avoir le droit de vote et leur émancipation. Elles obtiendront seulement le droit de vote en 1944 pour la France, de même que pour le Québec. Au retour des hommes traumatisés, l'émancipation de la femme semble difficile car ils préfèrent une femme consolatrice[90].

La protection des femmes en temps de guerre est consacrée par ledroit international humanitaire (DIH), qui lie aussi bien lesÉtats que les groupes d’opposition armés. Cette branche du droit, dont les quatreConventions de Genève de 1949 et leurs deux protocoles additionnels (Protocole I,Protocole II) du, protège les femmes en tant que personnes civiles et que combattantes capturées ou blessées. Nombre de ses règles relèvent dudroit coutumier et ont donc force obligatoire pour les parties à un conflit que celles-ci aient ratifié ou non les traités pertinents.

Histoire de la condition féminine

Articles connexes :Histoire des femmes,Histoire des femmes (historiographie) etHistoire du genre.

C'est à partir de la prise de conscience de l'inégalité de condition et de statut social entre les hommes et les femmes auXXe siècle, que s'est développée l'étude de la place des femmes dans les différentes cultures, aux époques contemporaine et antérieures. Les mouvementsféministes etégalitaristes combattent les inégalités de droits et de statuts entre les hommes et les femmes. Plusieurs chercheurs ont tenté, notamment à partir des années 1970, de lutter contre ce qu'ils percevaient comme un biaissexiste dessciences sociales, par exemple enhistoire et ont montré l'absence desfemmes en tant qu'objet d'étude[91],[92],[93],[94],[95],[96],[97]Interprétation abusive ?. D'aprèsMicheline Dumont, l'historiographie aurait un biais d'exclusion des femmes[98].

Antiquité

Lors des guerres des civilisations proche-orientales, quelques femmes souveraines se sont investies dans les actions militaires et les femmes de cours, possession du vaincu, étaient considérées commebutin de guerre. Les femmes du peuple subissaient les exactions de guerre, dont les déportations, comme le reste de la population[99].

Grèce
Articles détaillés :Place des femmes en Grèce antique etPlace des femmes à Sparte.
Scène familiale degynécée,lébèsnuptial à figures rouges, v. 430 av. J.-C.,Musée national archéologique d'Athènes.

Les filles, n'étant pas formées à l'art de la guerre ne pouvaient donc pas défendre la cité. Considérées comme moins utiles que les garçons, elles étaient plus souventexposées qu'eux, c'est-à-dire abandonnées dans la nature, ou vendues commeesclaves (Stobée[100] rappelle la formule : « Un garçon, on l'élève toujours, même si on est pauvre ; une fille, on l'expose, même si on est riche. ») Dans les cas où elles étaient élevées, elles bénéficiaient de moins de soins et d'attention.

La misogynie est courante et les femmes sont éloignées de la vie intellectuelle de la cité. Sémonide d'Amorgos dit d'ailleurs que« c'estZeus qui a créé le mal suprême : les femmes », faisant référence aumythe dePandore. On trouve, cependant, quelques exceptions, notamment à l'école pythagoricienne qui avait en son sein lamathématicienne,médecin etphilosopheThéano[101].

De plus, à Sparte les femmes sont considérées, sinon comme égales des hommes, du moins comme jouant un rôle primordial dans la Cité. Ainsi reçoivent-elles une éducation fondée sur l'apprentissage de la musique et de la danse, mais ayant aussi pour but de développer leur solidité physique : course à pied, lancer du disque et du javelot. Il n'est pas rare de voir des femmes monter à cheval et, à l'instar des hommes, une partie de leur formation (l'Agôgè) inclut des activités de lutte. LesSpartiates considéraient en effet que seules des femmes solides et vigoureuses pouvaient donner naissance à de futurs grands soldats, et cela conformément à la structure belliciste de leur société[réf. nécessaire].

DansLysistrata, unecomédie de411 av. J.-C.,Aristophane imagine les femmes faisant une« grève du sexe », afin de raisonner leurs maris et établir la paix entre les cités :« Pour arrêter la guerre, refusez-vous à vos maris. »

Rome
Article détaillé :Place des femmes dans la Rome antique.

ÀRome, le statut civil de la femme est initialement déterminé par son rôle par rapport aux hommes :

  1. puella,virgo (jeune fille) : la fille reçoit essentiellement une instruction domestique ; elle porte, comme le garçon,une bulle qu'elle abandonne le jour de son mariage ;
  2. uxor,conjux (épouse) : les filles semarient à partir de 14 ans environ, puis de plus en plus tôt au cours des siècles (vers 12 ans à la fin de l'Empire romain d'occident)[102] ; la femme est considérée comme une mineure qui passe par le mariage de l'autorité du père à celle de son mari ; il convient cependant de remarquer que ce statut est aussi celui de la plupart des hommes de la maison, soumis à l'autorité du patriarche ;
  3. matrona,materfamilias (mère de famille) : en tant que mère, la femme est gardienne du foyer.

LeCode de Théodose comporte plus de deux cents lois détaillant le statut de la femme au Bas-Empire romain[103],[104].

Perse
Article détaillé :Histoire des femmes en Iran.

Lezoroastrisme affirme l'égalité entre hommes et femmes. Il y a peu de sources sur la place des femmes dans la Perse antique mais les tablettes élamites retrouvées àPersépolis montrent cependant qu'elles travaillaient au même titre que les hommes et recevaient le même salaire. À noter aussi que sous la dynastie sassanide deux femmes sont brièvement montées sur le trône.

Moyen Âge

Article détaillé :Femmes au Moyen Âge.

Symbolique de la femme

Ève, figure biblique de lamère de l'humanité, s'apprête à succomber aupéché originel et à en provoquer les conséquences.

Dans les religions

Les déesses mères

Article détaillé :Déesse mère.
LaVénus de Willendorf.
La déesseIshtar debout sur un lion tenant un arc de la Mésopotamie du Sud, Iraq, daté entre leXIXe et le XVIIe siècle av. J.-C.

De nombreusesstatuettes féminines, nomméesVénus, ont été retrouvées en Europe et au Proche-Orient et datées duPaléolithique supérieur. Ces statuettes présentent généralement des proportions exagérées du ventre, des fesses, des seins et de la vulve. Du fait de l'absence d'écriture, le fait qu'elles soient l'objet d'unculte est débattu par la communauté scientifique.Marija Gimbutas plaide cependant pour l'apparition dans une société indo-européenne primitive d'un culte de ladéesse mère. Les proportions exagérées sont très certainement reliées à lafécondité et aux mystères de lagénération de la vie[105].

De nombreuses religions ont unedéesse mère associée à lafertilité :Déméter dans lamythologie grecque et son pendantromainCérès,Devî, divinité indienne ou encoreIsis dans lamythologie égyptienne[105]. EnMésopotamie, bien avant les cultes romains et grecs on trouve le culte d'Innana ou Ishtar, déesse guerrière, de l'amour et de la sexualité, octroyant également le pouvoir de régner[106].

Religions antiques

À partir de l'utilisation des métaux, la société s'oriente vers une organisationtripartite« prêtre, guerrier, producteur »patriarcale[107]. Les déesses s'effacent devant les dieux, qui deviennent de plus en plus nombreux[105]. Les déesses représentent l'amour (par exempleAphrodite) ou le foyer commeFrigg, bien qu'il subsiste des figures féminines aux rôles guerriers tellesArtémis ouAthéna[107]. Elles sont fortement associées à lasexualité, sont souvent en couple, parfoisincestueux commeIsis etOsiris et les temples antiques sont des lieux deprostitution dès leIIIe millénaire av. J.-C.[107]. On retrouve toutefois dans de très nombreuses cultures et religions l'archétype d'une Déesse-mère, ou Grande-mère,« femme maternelle et bienfaisante » :Astarté,Isis, Dea, Syria, Mâyâ,Mari, Marica,Magna Mater (Cybèle), Anaïstis,Aphrodite ,Rhéa,Déméter, Myriam,Chalchiuhtlicue ou Shing-Moo[108] ou encoreGuanyin.

Religions contemporaines

La plupart des religions contemporaines possèdent un livre sacré (Bible,Coran,Mahabharata...). Les femmes sont rarement présentes dans les textes : 80 % des personnages de la Bible sont des hommes, trois sourates sur 114 ont partiellement ou totalement pour objet une femme dans le Coran et un livre sur dix-huit du Mahabharata est consacré à la femme[109]. Cette sous-représentation s'explique souvent par les thèmes guerriers abordés qui laissent peu de place aux femmes[109].

La représentation féminine ne ressort donc que par les récits populaires, tels le culte desicônes de lareligion orthodoxe ou les célébrationshindoues autour deShiva. Les religions qui n'admettent que l'« écriture officielle », comme l'islam, lejudaïsme ou leprotestantisme, accordent aux femmes un rôle mineur[109].

Judaïsme
Article détaillé :Niddah.

Lejudaïsme assigne des rôles précis aux hommes et aux femmes, en particulier chez lesjuifs orthodoxes : les femmes n’ont généralement pas accès aurabbinat et sont perçues comme« impures » pendant leur périodemenstruelle. Lesrelations sexuelles horsmariage sont prohibées et les couples doivent se soumettre aux règles de laniddah (« lois de la pureté familiale »). Ledivorce et larépudiation sont permis mais découragés. L’avortement est autorisé dans les cas suivants : si le fœtus met en danger la vie de la mère, le fœtus est mal formé, ou que la mère soit incapable mentalement d'assumer la grossesse. Lacontraception n'est tolérée que dans certains cas et pour une durée définie. Lapolygamie, traditionnellement permise, est interdite depuis leXIe siècle.

Christianisme
Église catholique
Article détaillé :Place des femmes dans l'Église catholique.

Avec la mise en valeur de laVierge Marie, lechristianisme va progressivement renverser les valeurs attribuées à la sexualité des femmes. Il faudra dix siècles pour que les déesses du plaisir charnel laissent la place à lachasteté et à l'amour spirituel de Marie[107].

L'Église catholique n’admet pas la confusion des rôles masculin et féminin[110],exclut les femmes de l'ordination, ne reconnaît pas ledivorce (sauf dans de rares cas[Note 4] et assimile le remariage à l'adultère[Note 5]), ne permet ni lasexualité en dehors de l’union du couple, ni l’avortement, ni lacontraception par des méthodes non naturelles. Elle a dès l'origine proscrit lapolygamie et larépudiation qui étaient des pratiques courantes dans le monde antique, et elle est soumise en son sein même aux questions duféminisme chrétien.

Protestantisme

Leprotestantisme prône le sacerdoce universel et donc celui des femmes. Néanmoins les libertés et interdits décrétés par la religion concernant les femmes varient très fortement selon les courants protestants, du plus libéral jusqu'au plus orthodoxe.

Islam
Hina Rabbani Khar, ministre des affaires étrangères duPakistan de 2011 à 2013.
Article détaillé :Place des femmes dans l'islam.

L'islam n’admet pas la confusion des rôles masculin et féminin, ni lasexualité en dehors de l’union du couple. Cette religion offre la possibilité dedivorce sous certaines conditions[Note 6]. L'homme musulman a le devoir de protéger son épouse et de lui laisser libre choix de ses activités. La femme a le droit de travailler ou de divorcer sans le consentement de son époux[Note 7]. La femme est perçue comme « impure » en période de menstruation et pour « soulager » ce phénomène biologique elle est interdite de prière. L'islam permet l'avortement dans certaines situations précises, quand par exemple la conservation dufœtus met la vie de la mère en danger. Lapolygamie est permise par le Coran à la condition que la femme soit consentante et que l'homme ne privilégie aucune de ses femmes ; il devra leur donner de l'argent et s'occuper d'elles de manière strictement égale, il ne pourra avoir que quatre épouses au plus et sous le consentement de ses premières épouses.

Bouddhisme

Kannon (et tous ses alias en Asie) est l'archétype de la Mère miséricordieuse[111].

Le BouddhaSakyamuni a donné aux femmes la pleine ordination. Cependant, au fil du temps, le nombre de nonnes s'est moins développé que celui des moines dans les paysbouddhistes. Ainsi, auTibet, elles étaient 27 000 avant l'invasion chinoise de1959[112] alors qu'il y avait environ 592 000 moines[113].

Par contre, les femmes laïques ont joué un grand rôle au Tibet par le fait que Padmasambhava - le fondateur du bouddhisme tantrique au Tibet - et son équipe ont fondé la communauté rouge, donc monastique composée de moines et de nonnes, et la communauté blanche formée de laïcs tant hommes et femmes. Les femmes et les hommes de cette communauté blanche pouvaient se marier, et devenir lamas. Parmi les nombreuses femmes dont s'honore le bouddhisme tibétain, citons Yeshe Tsogyal, Jomo Manmo, Nigouma, Matchik Labrön et Ashi Khandro. Il y a eu aussi des lignées familiales de maîtres à disciples, voire de mère à fille. Les maîtres femmes ont surtout existé au sein de l'école nyingma, et moins dans les écoles sakya et géloug.

Dans les arts

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Littérature

Catégorie connexe :Personnage de fiction féminin.
Articles détaillés :Représentation de la femme dans Les Fleurs du mal etPouvoir des femmes.

Cassandre etHélène sont deux figures féminines de lamythologie grecque.Rosalinde est un personnage duthéâtre deWilliam Shakespeare présent dans uneintrigue jouant de l'ambiguïté entre sexes,Mademoiselle de Maupin reprendra ce thème à l'époque moderne.Madame Bovary est le personnage d'unromanréaliste qui a été accusé d'immoralité et d'obscénité à sa parution en 1857[114].

Arts visuels

La représentation de la femme dans lesarts visuels est le reflet despudeurs et destabous imposés ou des audaces permises dans les sociétés humaines selon les époques et les cultures :

Sculpture
Peinture et dessin

Architecture

Dans les cultures préhistoriques, les formes architecturales sont inspirées des femmes, la forme primitive essentielle étant la « grotte-utérus »[118],[119]. AuIer siècle av. J.-C.,Vitruve fait les liens entre l'ordre ionique et les proportions féminines — le diamètre de la colonne ionique correspondant à un huitième de sa hauteur — , tandis que l'ordre corinthien « représente la délicatesse d’une jeune fille, à qui l’âge rend la taille plus dégagée et plus susceptible de recevoir les ornements qui peuvent augmenter la beauté naturelle »[118],[120]. Plus récemment, une symbolique féminine a été identifiée dans « les espaces et les caractéristiques architecturauxutérins – grotte, salle, formes organiques, l’englobant, l’accueillant »[118],[121].

Dans la philosophie

Articles détaillés :Philosophie féministe,Théorie féministe etDifférentialisme.
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Le sujet a été l'objet des réflexions de philosophes ou écrivains[122][réf. incomplète] :

  • Denis Diderot : « Il n’y a que les femmes qui sachent aimer ; les hommes n’y entendent rien » ;
  • Sigmund Freud : « Après trente ans passés à étudier la psychologie féminine, je n’ai toujours pas trouvé de réponse à la grande question : Que veulent-elles au juste? » ;
  • Honoré de Balzac : « La femme est une lyre qui ne livre ses secrets qu’à celui qui sait en jouer » ;
  • Simone de Beauvoir : « On ne naît pas femme : on le devient. Aucun destin biologique, psychique, économique ne définit la figure que revêt au sein de la société la femelle humaine ; c'est l'ensemble de la civilisation qui élabore ce produit intermédiaire entre le mâle et le castrat qu'on qualifie de féminin. » ;
  • Emmanuel Kant : « Par le mariage la femme devient libre, par lui, l’homme perd sa liberté » ;
  • Victor Hugo : « Une moitié de l’espèce humaine est hors de l’égalité, il faut l’y faire rentrer : donner pour contrepoids au droit de l’homme le droit de la femme ».

Dans la psychologie

Dans la culture populaire

Symbolisme

Symboles de Vénus et Lilith.

Desastres ont reçu des symboles liés à la femme, c'est le cas deVénus, une planète dusystème solaire nommée d'après la déesse romaine de l'amourVénus. Un astre fictif nomméLune noire est associé àLilith, potentielle première femme d'Adam et démon de la nuit[réf. souhaitée].

Mythes et légendes

Articles détaillés :Papesse Jeanne,Femme biche,Femme-cygne etSorcellerie.

Figures populaires

Articles détaillés :Femme à chats,Femme fatale etSuper-héroïne.

Notes et références

Notes

  1. « Elle est de tous les événements mondains et est élue Femme de l'année par la société scandinave de New York[5]. »
  2. « Surgeons are becoming more capable of constructing artificial genitalia, but these “add-ons” do not change the biological sex of the recipients, who are no more capable of playing the reproductive roles of the opposite biological sex than they were without the surgery[6]. »
  3. La polygamie n'existe plus de nos jours que dans quelques rares sociétés comme lesGuanches auxîles Canaries, ainsi que dans des peuples minoritaires ou aux faibles effectifs (comme auMali). Voir les articlesPolygamie etPolyandrie
  4. Dans le catéchisme de l'Église catholique, au numéro 2383, on lit en effet« La séparation des époux avec maintien du lien matrimonial peut être légitime en certains cas prévus par le Droit canonique (cf. ⇒ CIC, cann. 1151-1155). Si le divorce civil reste la seule manière possible d’assurer certains droits légitimes, le soin des enfants ou la défense du patrimoine, il peut être toléré sans constituer une faute morale ».
  5. L’Église catholique romaine ne reconnaît ni ledivorce, ni larépudiation, sauf en cas d'adultère, conformément aux textes néotestamentaires (Mt 19. 9;Mc 10. 2-12;Lc 16. 18). Le remariage n'est possible qu'après le décès du conjoint.
  6. Le divorce en islam, Coran S.65:1-7 ou S.2:226/30.
  7. Sourate 4 verset 34

Références

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    Voir :ÉricMacé, « Ce que les normes de genre font aux corps/ Ce que les corps trans font aux normes de genre »,Sociologie,vol. 1,no 4,‎,p. 497(ISSN 2108-8845 et2108-6915,DOI 10.3917/socio.004.0497,lire en ligne, consulté le).
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Sources

Voir aussi

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Bibliographie

Articles connexes

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