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Emmanuelle Ménard

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Pour les articles homonymes, voirMénard.

Page d’aide sur la paronymie

Cet article possède unparonyme, voirEmmanuel Ménard.

Emmanuelle Ménard
Illustration.
Fonctions
Conseillère municipale deBéziers
En fonction depuis le
(4 ans, 10 mois et 18 jours)
Élection15 mars 2020
MaireRobert Ménard
Députée française

(6 ans, 11 mois et 19 jours)
Élection18 juin 2017
Réélection19 juin 2022
Circonscription6e de l'Hérault
LégislatureXVe etXVIe(Cinquième République)
Groupe politiqueNI
PrédécesseurÉlie Aboud
SuccesseurJulien Gabarron
Biographie
Nom de naissanceEmmanuelle Duverger
Date de naissance(56 ans)
Lieu de naissanceLille (Nord)
NationalitéFrançaise
Parti politiqueIndépendante
ConjointRobert Ménard
ProfessionJuriste
Journaliste
ReligionCatholicisme
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Emmanuelle Ménard, aussi connue sous son nom de naissanceEmmanuelle Duverger[n 1], née le àLille (Nord), est unejournaliste etfemme politiquefrançaise.

Mariée àRobert Ménard qu'elle rencontre en 2000, elle accompagne son parcours journalistique puis politique. Lors desélections législatives de 2017, elle est éluedéputée dans la6e circonscription de l'Hérault avec le soutien duFront national (FN), deDebout la France (DLF), deSouveraineté, identité et libertés (SIEL), duCentre national des indépendants et paysans (CNIP) et duMouvement pour la France (MPF). Depuis 2020, elle est égalementconseillère municipale deBéziers, dont Robert Ménard est maire, et conseillère communautaire deBéziers Méditerranée. En, elle est réélue députée sous l'étiquette « divers droite », bien que financièrement rattachée auRassemblement national pour l'année 2022. Elle siège commenon-inscrite.Elle est battue par le candidat investi par le RN,Julien Gabarron, lors desélections législatives de 2024.

Biographie

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Jeunesse et études

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Originaire duNord[1], Emmanuelle Duverger est issue d'une famille de quatre enfants[2]. Elle est la fille d'une femme au foyer devenue bibliothécaire et d’un cadre commercial dans le secteur pétrolier. Elle grandit dans un milieu declasse moyenne[3],[2].

Elle suit des études de droit à l'université Lille-II[2], puis à l'université Panthéon-Sorbonne[3].

Parcours professionnel

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Elle entre à laFédération internationale des droits de l'homme (FIDH), où elle devient responsable du secteur Afrique au milieu des années 1990, puis dirige le département Justice internationale[3],[4]. Elle participe notamment à la rédaction de l’argumentaire de la FIDH lors du procès du généralPaul Aussaresses, tout en jugeant« scandaleux de faire un procès à l’éditeur » ayant publié ses témoignages d'actes de torture lors de laguerre d’Algérie[3].

En 2000, elle rencontreRobert Ménard, alors président deReporters sans frontières (RSF), lors d'unsommet de la francophonie àBamako (Mali)[1]. Ils se marieront et auront une fille[4]. Ensemble, ils collaborent à l'écriture de plusieurs livres ;La Censure des bien-pensants (2003) etVive Le Pen (2011) ainsi qu'à la revue trimestrielleMédias[4] pour« donner la parole à des gens qui ne l'avaient pas forcément ailleurs »,comme l'humoriste antisémiteDieudonné et l'idéologue d'extrême droiteAlain Soral[réf. nécessaire]. Le magazine disparaît en 2012[2].

Elle quitte la FIDH en 2003, affirmant que celle-ci a peu apprécié la concurrence incarnée par Robert Ménard à la tête de RSF[3].

Rédactrice en chef du site internetBoulevard Voltaire, elle enseigne depuis 2014 à l'Institut des hautes études de journalisme deMontpellier, où elle donne desclasses de maître[3],[5]. Elle gère pendant un temps les éditions Mordicus[3] et publie le livre deBruno Gaccio etDieudonné, en 2010,Peut-on tout dire?, réponse au livre deRaoul Vaneigem,Rien n'est sacré, tout peut se dire, préfacé, en 2003, parRobert Ménard,critiquant laloi Gayssot et défendant la liberté d'expression des négationnistes[réf. nécessaire].

Elle incite son mari à se présenter auxélections municipales àBéziers[6]. Bien qu'elle n'ait aucun rôle officiel auprès de lui à la mairie, elle participe largement aux prises de décision de ce dernier, inspirant notamment l’installation d'une crèche dans l’hôtel de ville pour les fêtes de Noël en 2014[3].

À son tour influencée par son mari[6], Emmanuelle Duverger se porte candidate auxélections législatives de 2017 dans la6e circonscription de l'Hérault, avec le soutien duFront national (FN), deDebout la France (DLF), deSouveraineté, identité et libertés (SIEL), duCentre national des indépendants et paysans (CNIP) et duMouvement pour la France (MPF)[7],[8],[9]. À l'issue du second tour, elle l'emporte avec 53,49 % des suffrages[10]. Elle est la seule députée d'extrême droite élue lors de ces législatives qui n'a jamais eu de mandat auparavant[11] et qui n'adhère à aucun parti[12]. Elle prend alors publiquement le nom d'Emmanuelle Ménard[6].

À l'Assemblée, elle siège parmi lesnon-inscrits et à lacommission des Affaires économiques. Son rattachement au titre du financement de la vie politique est auFront national, devenu Rassemblement national[13].

Elle se distingue de la plupart des députés FN, dont certains la critiquent anonymement, par une plus grande activité à l'Assemblée[14],[12]. Après six mois de législature, elle est la47e députée la plus active selon le classement établi parCapital[15]. Après un an de législature,L'Opinion estime qu'elle« s’est imposée [...] comme l’une des figures les plus présentes dans l’hémicycle » :« Emmanuelle Ménard manque rarement une séance publique, nuits et week-end compris »[12]. Elle reconnaît qu'elle« essaie d'être sur tous les textes » mais que« c'est beaucoup de temps perdu » : sur 1 445 amendements qu'elle a proposés entre le début du mandat et la mi-juillet 2019, 11 ont été adoptés[6]. Elle reconnaît bénéficier de l'appui technique des services de la ville de Béziers pour préparer certains dossiers[6].

Figurant sur la liste de son mari pour lesélections municipales de 2020 à Béziers[16], elle est élue conseillère municipale et communautaire[17]. Il est annoncé avant l'élection qu'elle ne touchera pas d'indemnité pour ce mandat[18].

Lors desélections législatives de 2022, elle est candidate à sa succession et remporte l'élection au second tour avec 69,83% des suffrages exprimés[19]. Elle prend ses distances avec leRassemblement national[20],[21] et se présente sous l'étiquette « divers droite ». Le RN ne présente cependant pas de candidat face à elle[21]. Elle est battue lors desélections législatives de 2024 par le candidat RNJulien Gabarron[22].

Ligne politique

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Union des droites

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Elle indique avoir voté pourNicolas Sarkozy en2007 et2012, comme son époux[23].

Partisane de l'« union des droites » (c’est-à-dire entre la droite et leRassemblement national), elle applaudit parfois legroupe Les Républicains à l'Assemblée[24],[25] et met en avant ses convergences avecLaurent Wauquiez[26],[27].

En accord avecMarine Le Pen, elle prend contact, au début de la législature, avec les équipes deNicolas Dupont-Aignan et deJacques Bompard (qui laisse ensuite sa place à sa suppléante,Marie-France Lorho) afin de constituer ungroupe parlementaire[28]. En octobre 2017, elle participe au lancement des« Amoureux de la France », une plateforme dont Nicolas Dupont-Aignan est à l'initiative et destinée à rassembler les droites au-delà des clivages partisans[29]. En juillet 2018,L'Express indique que« les échanges sont fréquents » entre elle et Nicolas Dupont-Aignan : à l'occasion de l'examen deprojet de réforme constitutionnelle, ils cosignent ensemble une quinzaine d'amendements[30].

Elle est dépositaire des appellations « Union des droites » et « Quand on veut on peuple » auprès de l'Institut national de la propriété industrielle (INPI)[31].

Mœurs

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Mediapart affirme qu'elle« défend des positions trèsconservatrices sur la famille »[3]. Catholique pratiquante, elle est militante deLa Manif pour tous[32],[33] ; elle commande àFrigide Barjot l'ouvrageTouche pas à mon sexe !, paru en janvier 2013 chez Mordicus dans le contexte de la mobilisation contre lemariage homosexuel[3].Libération l'a décrite comme une« catholique militante proche de la nébuleuseCivitas »[34] ; elle dément une telle proximité, de même que celle qu'on lui prête avec l'institut de formation catholiqueICHTUS, et rejette le qualificatif d'intégriste[3],[32]. Elle indique avoir« le plus grand mal avec une bonne partie de ces prêtres biberonnés àVatican II », et présente l'Église contemporaine comme« une officine pro-migrants »[6]. Le couple Ménard est proche d'Antoine de Rochebrune, responsable de l'Opus Dei en France[32],[6].

Peu après son élection comme députée, elle déclare lors d'une interview que, selon elle, un enfant élevé par un couple homosexuel aura plus de« difficultés dès le départ », ce qui lui attire des critiques. Elle se défend alors d'êtrehomophobe et affirme qu'« il faut revenir à la nature, tout simplement, à mère Nature qui depuis une éternité, depuis le début de l'Humanité, a fait en sorte que pour faire un enfant, il faut une mère et un père, il faut un homme et une femme »[35].

Dans le même temps, elle salue le« symbole magnifique » que représenteSimone Veil, récemment décédée, qui« pourrait avoir sa place auPanthéon » selon elle. Elle estime cependant que l'esprit de laloi Veil sur l'IVG« n'est pas celui qu'elle souhaitait quand elle l'avait présentée en 1974 » et estime qu'« on a tendance à le généraliser, à le banaliser », appelant à proposer« toutes les solutions possibles et pas seulement l'IVG », aux femmes enceintes[36].

Elle est opposée à laprocréation médicalement assistée (PMA) pour les couples de lesbiennes et les femmes seules[36].

En mai 2018, elle s'oppose à la création d’une contravention d’« outrage sexiste » pour les faits deharcèlement dans l’espace public, regrettant « une chasse à l’homme » qui interdit « une certaine gauloiserie qui n’a rien de comparable à un harcèlement »[37].

Divers

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Comme son époux,Robert Ménard, elle défend laliberté d'expression selon une ligne très proche de celle dupremier amendement de la Constitution des États-Unis et souhaite notamment l’abrogation de laloi Gayssot[3].

Elle plaide pour unarrêt complet de l'immigration, en dehors desréfugiés[3]. En 2022, elle indique ne plus défendre la suppression de l’aide médicale d'État, après l'avoir demandée deux fois au début de son mandat de députée[38].

En février 2018, elle dépose, avecMarie-France Lorho, une proposition de loi visant à la reconnaissance officielle comme crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide lestueries commises en Vendée entre 1793 et 1794 ; il s'agit de la quatrième tentative de cet ordre depuis 2007[39],[40].

En mai 2018, elle dépose une proposition de loi visant l'interdiction despailles en plastique dans un souci de protection de l'environnement[41].

En juillet 2019, à l'occasion de sa venue à l'Assemblée nationale, elle déclare surTwitter queGreta Thunberg« mériterait une bonnefessée », ce qui conduit à la suspension de son compte[42],[43].

Ouvrages

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Auteur

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Éditrice

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Notes et références

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Notes

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  1. Elle a toujours fait usage du nom d'Emmanuelle Duverger dans sa vie publique (nom de plume, responsabilité légale du siteBoulevard Voltaire), jusqu'en 2017, année lors de laquelle elle est élue députée de la6e circonscription de l'Hérault sous le nom d'Emmanuelle Ménard.

Références

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  1. a etbM. C.,« Emmanuelle Duverger, une femme de tête » surL'Express, 16 octobre 2015
  2. abc etdTristan Berteloot,« Emmanuelle Ménard: extrême fonction » surLibération, 30 août 2017
  3. abcdefghijkl etmLoup Espargilière, « Emmanuelle Ménard, radicale-voltairienne tendance fusion des droites », surMediapart,(consulté le).
  4. ab etcOlivier Faye,« Emmanuelle Duverger, la tête pensante de Robert Ménard » surM, le magazine du Monde, 27 mai 2016
  5. Arnaud Gauthier,« Les confidences d'Emmanuelle Ménard, la femme du maire de Béziers » surMidi libre, 7 mars 2016
  6. abcdef etgAlexandre Sulzer et Quentin Laurent, « Emmanuelle et Robert Ménard : madame, monsieur député-maire », surleparisien.fr,(consulté le).
  7. Victor Dhollande-Monnier,« Emmanuelle Duverger, directrice de Boulevard Voltaire et femme de Robert Ménard, candidate aux législatives à Béziers » surLe Lab (Europe 1), 10 mai 2017
  8. Alexandre Decroix,« Béziers : qui est Emmanuelle Duverger, l'épouse de Robert Ménard candidate de l'extrême droite aux législatives ? » sur le site d'LCI, 11 mai 2017
  9. Marc de Boni, « Emmanuelle Ménard, l'autre femme forte de l'extrême droite à l'Assemblée », surlefigaro.fr,(consulté le).
  10. Législatives 2017 : Emmanuelle Ménard élue dans la 6e circonscription de l'Hérault surLe Parisien, 18 juin 2017
  11. Luc Rouban,« De la présidentielle aux législatives, les mirages du renouvellement », dansPascal Perrineau (dir.),Le Vote disruptif, Presses de Sciences Po,(ISBN 9782724621655,lire en ligne),p. 293.
  12. ab etcIvanne Trippenbach et Caroline Vigoureux, « Emmanuelle Ménard, la députée qui dérange les droites », surL'Opinion.fr,(consulté le).
  13. Sur le site de l'Assemblée nationale, voir la ligne « Rattachement au titre du financement de la vie politique » :Mme Emmanuelle Ménard - Hérault (6e circonscription).
  14. Marc de Boni, « Le FN accuse Rugy de l'empêcher de former un groupe à l'Assemblée », surlefigaro.fr,(consulté le).
  15. « Les députés d'En marche, cancres de l'Assemblée... Notre classement », surCapital.fr,(consulté le).
  16. « Béziers : Robert Ménard a présenté une liste partagée entre garde rapprochée et renouvellement », surmidilibre.fr,.
  17. « Élections municipales et communautaires 2020 : Hérault (34) - Béziers », surMinistère de l'Intérieur(consulté le).
  18. « Municipales à Béziers : la députée Emmanuelle Ménard sera sur la liste de son mari », surmidilibre.fr,(consulté le).
  19. « Législatives 2022 > Hérault (34) > 6ème circonscription - Résultats de la circonscription au 2d tour », surresultats-elections.interieur.gouv.fr,(consulté le).
  20. LucieDelaporte, « Législatives : la complexe équation de l’extrême droite »Accès payant, surMediapart,(consulté le).
  21. a etb« Législatives 2022 dans l'Hérault : Emmanuelle Ménard largement en tête dans la 6e circonscription face à la candidate Nupes », surFrance 3 Occitanie,.
  22. Angélique Le Bouter,« Législatives 2024. Emmanuelle Ménard sèchement battue sur ses terres à Béziers par son ancien allié le Rassemblement national », france3-regions.francetvinfo.fr, 8 juillet 2024.
  23. Madeleine Meteyer, « Robert et Emmanuelle Ménard, le couple d'ambitieux qui veut dynamiter le FN », surlefigaro.fr,(consulté le).
  24. Loup Espargilière, « Le Front national à la recherche d'une existence parlementaire », surMediapart,(consulté le).
  25. « Emmanuelle Ménard : «Je ne fais pas de pèlerinage au siège du FN avant de m'exprimer », surlefigaro.fr,(consulté le).
  26. « VIDÉO - Emmanuelle Ménard : "On retrouve dans la bouche de Laurent Wauquiez une expression de Jean-Marie Le Pen" », surlci.fr,(consulté le).
  27. « Élue avec le soutien du FN, Emmanuelle Ménard se dit d’accord à "90%" avec Wauquiez », sureurope1.fr,(consulté le).
  28. Emmanuel Galiero, « Les débuts atones du Front national à l'Assemblée », surlefigaro.fr,(consulté le).
  29. Hadrien Mathoux, « Dupont-Aignan, Poisson et Emmanuelle Ménard lancent leur union des droites... snobée par les droites », surmarianne.net,(consulté le).
  30. Thierry Dupont, « Le tango de Nicolas Dupont-Aignan et Emmanuelle Ménard », surlexpress.fr,(consulté le).
  31. Laurent Fargues, « Front national : la bataille du changement de nom fait rage », surchallenges.fr,(consulté le).
  32. ab etc« Béziers: Emmanuelle Duverger, une femme de tête »,L'Express,(consulté le).
  33. Pascale Nivelle, « Un Béziers «pour l’exemple» », surliberation.fr,(consulté le).
  34. Antoine Guiral, « A Béziers, l’art et le Ménard », surliberation.fr,(consulté le).
  35. Sylvain Chazot, « Accusée d'être homophobe, Emmanuelle Ménard en appelle à "mère Nature" contre la PMA et la GPA pour les couples gays », surLe Lab,(consulté le).
  36. a etb« Emmanuelle Ménard regrette que l'IVG soit aujourd'hui “généralisée“ et ”banalisée” », surfrance3-regions.francetvinfo.fr,(consulté le).
  37. Le Monde.fr avec AFP, « L’Assemblée nationale adopte le projet de loi contre les violences sexuelles », surlemonde.fr,(consulté le).
  38. Paul Laubacher, « Quelle mouche a donc piqué Robert Ménard? », surlopinion.fr,(consulté le).
  39. Clémence Holleville, « Deux députées proposent une loi pour faire reconnaître le « génocide vendéen », surouest-france.fr,(consulté le).
  40. 6medias, « Le « génocide vendéen » peut-il être reconnu ? », surlepoint.fr,(consulté le).
  41. Eline Erzilbengoa, « La députée de l'Hérault Emmanuelle Ménard propose d'interdire les pailles en plastique », surfrance3-regions.francetvinfo.fr,(consulté le).
  42. « "Greta mériterait une fessée": un tweet du "Rassemblement National" liké de partout... jusqu'au MR », surRTBF Info,(consulté le).
  43. La rédaction de Mediapart, « La députée d’ultra-droite Emmanuelle Ménard privée de Twitter », surMediapart,.

Liens externes

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