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Edmond Rostand

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Pour les autres membres de la famille, voirFamille Rostand.

Edmond Rostand
Edmond Rostand enhabit d'académicien.
Fonction
Fauteuil 31 de l'Académie française
-
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Edmond Eugène Alexis RostandVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Lycée Thiers
Collège Stanislas de Saint-Raphaël(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Famille
Père
Mère
Angèle Gayet(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Juliette Rostand
Jeanne Rostand(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Enfants
Autres informations
Propriétaire de
Villa Arnaga, villa Julia(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Mouvement
Genres artistiques
Distinctions
Œuvres principales

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Edmond Rostand, né le àMarseille et mort le àParis, est unécrivain,dramaturge,poète etessayistefrançais.

Il est l'auteur d’une des pièces les plus connues du théâtre français,Cyrano de Bergerac. Son œuvre est marquée par l’influence deVictor Hugo et deThéodore de Banville,« dont il est l’héritier le plus populaire mais aussi le plus controversé »[1].

Son épouse est la poétesseRosemonde Gérard et il est le père dubiologiste etacadémicien françaisJean Rostand et du poète et auteur dramatiqueMaurice Rostand.

Biographie

Edmond Eugène Joseph Alexis Rostand naît le àMarseille auno 14 de la rue Monteaux (devenuerue Edmond-Rostand)[2]. Issu d'une famille bourgeoise commerçante et banquière, il est le fils de l'économisteEugène Rostand et d'Angèle Gayet (fille d'un riche fabricant de produits chimiques)[3], et l'arrière-petit-fils d'Alexis-Joseph Rostand, un maire deMarseille[4].

En1880, son père emmène toute sa famille, Edmond, sa mère et ses deux cousines, dans lastation thermale en vogue deBagnères-de-Luchon. Logés d'abord au « chalet Spont », puis à la « villa Devalz », ils font ensuite édifier la « villa Julia », à proximité du casino[5]. Edmond Rostand passe plus de vingt-deux étés à Bagnères-de-Luchon, qui lui inspire ses premières œuvres. Il y écrit notamment une pièce de théâtre en1888,Le Gant rouge, et surtout un volume de poésie en1890,Les Musardises. C'est dans cette station touristique qu'Edmond Rostand se lie d'amitié avec unhomme de lettres luchonnais,Henry de Gorsse, dont il partage le goût pour la littérature.

De 10 à 17 ans, il étudie aulycée Thiers de Marseille. Il y accumule les prix et accessits, particulièrement en composition française, en histoire et en latin[6]. Il se rend à Paris en 1884 pour compléter son cursus scolaire aucollège Stanislas pendant deux ans. Il écrit une pièce restée inédite,Les Petites manies, et une nouvelle en prose,Mon La Bruyère. Muni de sonbaccalauréat, il est dirigé vers l'école de droit par son père, qui souhaite en faire un diplomate. Il passe sa licence, puis s'inscrit aubarreau sans y exercer, avant de se décider à se consacrer à la poésie[7].

En1887, il présente à l'Académie de Marseille un essai sur « deux romanciers de Provence »,Honoré d'Urfé etÉmile Zola, qui obtient le prix du Maréchal de Villars[8].

Caricatures parSem.

Le, il fonde en compagnie de son amiMaurice Froyez, journaliste parisien, le « Club des natifs du premier avril », dont les statuts stipulent que ses membres jouiront à vie du privilège d'entrer gratuitement dans tous les établissements publics, opéras, théâtres, champs de course et maisons closes, de pouvoir rire aux enterrements afin de les rendre moins sinistres, de bénéficier à leur naissance du parrainage du chef de l'État et, en outre, de se voir attribuer un appartement de fonction dans un des Palais nationaux, résidence pourvue de tout le confort souhaitable et d'une domesticité jeune, accorte et complaisante[9].

En août1888, cette fois-ci avec son ami Froyez, il se rend au champ de courses deMoustajon et ils y décorent tous deux leur équipage d'une abondance de fleurs des champs. Ils font sensation devant un établissement à la mode, le café Arnative, et improvisent en terrasse une joyeuse bataille de fleurs avec leurs amis. C'est ainsi que naît le premier « Corso fleuri », ou Bataille des fleurs, à Bagnères-de-Luchon, devenue Fête des fleurs, le dernier dimanche d'août. On remettait une bannière au gagnant.

Dans le train pourMontréjeau, son père fait la rencontre de Madame Lee et de sa filleRosemonde Gérard (poétesse elle aussi, dontLeconte de Lisle était le parrain, etAlexandre Dumas, le tuteur) et les invite à prendre le thé à la villa Julia. Le, Edmond épouse Rosemonde en l'église Saint-Augustin de Paris[4].

Rosemonde et Edmond Rostand auront deux fils :Maurice, né en1891, etJean, né en1894. Edmond quittera Rosemonde en1915 pour son dernier amour, l'actriceMary Marquet[10].

Mikhaïl Vroubel,La Princesse lointaine (1896).


Edmond obtient ses premiers succès en1894 avecLes Romanesques, pièce en vers présentée à laComédie-Française, et en 1897 avecLa Samaritaine, mais la postérité retiendra surtoutCyrano de Bergerac, qui triomphe dès la première en 1897, alors qu'il n'a que29 ans[11],[12]. En 1900, il connaît un nouveau succès avecL'Aiglon. Mal remis d'unepleurésie après la première représentation de cette pièce, il part, quelques mois après, en convalescence àCambo-les-Bains. Séduit par le lieu, il y acquiert des terrains sur lesquels il fait édifier sa résidence, lavilla Arnaga. Dans lesannées 1910, il collabore àLa Bonne chanson, Revue du foyer, littéraire et musicale, dirigée parThéodore Botrel.

Pendant plusieurs années, il travaille irrégulièrement surChantecler, dont la première représentation a lieu le. Après son relatif insuccès critique, Rostand ne fera plus jouer de nouvelles pièces. À partir de1914, il s'implique fortement dans le soutien aux soldats français.

Il meurt le à Paris, au 4,avenue de La Bourdonnais, de lagrippe espagnole, peut-être contractée pendant les répétitions d'une reprise deL'Aiglon.

Il repose aucimetière Saint-Pierre de Marseille, sa ville natale. Son tombeau, laissé à l'abandon depuis les années 1920 a été entièrement réhabilité par Thomas Sertillanges, président du Festival Edmond Rostand en 2017.

Œuvres

Liste des œuvres d’Edmond Rostand (par ordre chronologique)
AnnéeŒuvreGenreCréation (pour les pièces)Publication originaleTexte
1887Deux romanciers de Provence, Honoré d'Urfé, Émile Zola, le roman sentimental et le roman naturalisteEssaiMarseille, Imprimerie du Journal de Marseille, 1888Texte en ligne
1888Le Gant rougeVaudeville, avec Henri Lee1888Paris, Éditions Nicolas Malais, 2009
1890Les MusardisesPoésie1890
  1. Paris, A. Lemerre, 1890
  2. édition nouvelle 1887-1893. Paris,Fasquelle, 1911
1890Ode à la musiquePoésieNovembre1890 (privée, pour l'inauguration de la maison de Jules « Tergis » Griset) ; 23 mars 1891Théâtre du Châtelet. Musique d'Emmanuel Chabrier[13].
1890Les Deux Pierrots ou le Souper blancPièce (refusée par la Comédie-Française)1890
1894Les RomanesquesComédiePièce créée le 21 mai1894 à la Comédie-Française, couronnée par l'Académie françaiseParis, Charpentier et Fasquelle, 1894Texte sur Wikisource
1895La Princesse lointainePièce en 4 actes, en vers1895
  1. Paris, Charpentier et Fasquelle, 1895
  2. seconde version. Paris, L'Illustration, 1929
Texte sur Wikisource
1895La Maison des AmantsPièce en vers (inachevée)Pièce destinée à la Comédie-Française (Mounet-Sully, Bartet, Le Bargy, Féraudy, Leloir, Moreno…)Biarritz, Atlantica, 2018
1897Pour la GrècePoésieParis, Fasquelle, 1897Texte sur Wikisource
1897La SamaritaineÉvangile en trois tableaux, en versPièce créée le 14 avril1897 pourSarah Bernhardt au Théâtre de la RenaissanceParis, Fasquelle, 1897Texte en ligne
1897Cyrano de BergeracComédie héroïque en 5 actes, en vers (alexandrins)Pièce créée le 28 décembre1897 pourCoquelin aînéParis, Fasquelle, 1898Texte sur Wikisource
1900L'AiglonDrame en 6 actesPièce créée le 15 mars1900 pourSarah BernhardtParis, Fasquelle, 1900Texte en ligne
1902Un soir à HernaniPoésie, hommage à Victor Hugo dans le cadre du Centenaire de la naissance deVictor HugoParis, Fasquelle, 1902Texte en ligne
1903Discours de Réception à l'Académie française le 4 juin 1903EssaiParis, Fasquelle, 1903Texte en ligne
1908Le Bois sacréPantomimeParis,L'Illustration[14], 1908
1910ChanteclerPiècePièce créée le 7 février1910 pourLucien GuitryParis,L'Illustration, 1910Texte sur Wikisource
1911La Dernière Nuit de Don JuanPiècePièce créée en1921, trois ans après la mort de l'auteurParis,L'Illustration, 1921
1915Le Vol de la MarseillaisePoésie sur la guerreParis, Fasquelle, 1919
Le Cantique de l'ailePoésieParis, Fasquelle, 1922
Faust de GoetheAdaptation et traduction d'Edmond RostandÉdition réalisée par Philippe Bulinge à partir des manuscrits.

Paris, Éditions Théâtrales, 2007

Voir aussi :

  • Œuvres complètes (7 volumes, 1910-11)
  • Théâtre (2007)
  • L'Œuvre poétique d'Edmond Rostand, Avant-propos d'Alexis Michalik, Introduction de Philippe Bulinge etPourquoi dire Rostand aujourd'hui ? par Jacques Mougenot ; Éditions TriArtis, 2018 ;(ISBN 978-2-916724-95-9) ; avec le soutien du Haut comité des Commémorations nationales
  • "Qui suis-je?" Edmond Rostand, Pardès, 2022(ISBN 978-2-86714-590-2)

Œuvres principales

Cyrano de Bergerac

Edmond Rostand à l'époque de la première de Cyrano,L'Illustration du 8 janvier 1898.

La première représentation deCyrano de Bergerac, le 28 décembre1897 à Paris, auThéâtre de la Porte-Saint-Martin, lui apporte la gloire. Pourtant, quelques minutes avant la pièce, Rostand pressent un fiasco et dit à Coquelin« Ah !pardonnez-moi,mon ami,de vous avoir entraîné dans cette désastreuse aventure »[15].

La pièce venait à point pour rendre le moral à une France traumatisée par la perte de l'Alsace-Lorraine, à la suite de laguerre franco-prussienne de 1870, et hantée depuis par l'humiliation et l'esprit de revanche.

Son héros démontre avec panache que l'on peut, dans l'adversité, garder la tête haute et faire preuve d'un très grand sens de l'honneur, avec la plus haute élévation d'âme. Aussi, dès l'entracte, la salle applaudit debout, et même le ministre de l'Instruction Publique et des Beaux Arts,Alfred Rambaud, vient le trouver dans les coulisses, décroche sa Légion d'honneur pour la lui agrafer, et lui dit : « Permettez-moi de prendre un peu d'avance[16] ». Et, au baisser de rideau, le public d'applaudir à tout rompre, une vingtaine de minutes[17].

À l'acte IV, scène VI, uncadet de Gascogne se présente avec des titres de fantaisie, qui font référence à différents endroits situés autour deLuchon :

Baron deCasterac de Cahusac
Vidame de Malgouyre EstrescLesbas d'Escarabiot
Chevalierd'Antignac-Juzet
Baron Hillot deBlagnac-Saléchant de Castel-Crabioules.

La scène du balcon serait inspirée d'un fait de jeunesse, le poète ayant effectivement aidé Jérôme Faduilhe dans sa cour, jusque-là infructueuse, à une certaine Marie Castain : il lui avait écrit ses lettres d'amour.

La pièce fut traduite en plusieurs langues et eut un succès universel. Le personnage de Cyrano, brillant représentant de l'« esprit français », est devenu un véritable archétype, au même titre queHamlet ou queDon Quichotte, qu'il mentionne d'ailleurs dans la pièce.

L'auteur dédie d'ailleurs son œuvre au premier acteur ayant interprété le personnage de Cyrano :« C'est à l'âme de Cyrano que je voulais dédier ce poème. Mais puisqu'elle a passé en vous,Coquelin, c'est à vous que je le dédie ».

Unopéra,Cyrano de Bergerac, fut composé par l'italienFranco Alfano (1876-1954) sur une adaptation du librettisteHenri Cain (1859-1937), représenté en 2005 auMetropolitan Opera deNew York, avecPlácido Domingo dans le rôle-titre, puis en 2006 à l'Opéra de Montpellier, avecRoberto Alagna, repris authéâtre du Châtelet, à Paris, en mai 2009, avec Plácido Domingo. La version enregistrée la plus ancienne est celle donnée à laScala de Milan en 1954, avecRamon Vinay dans le rôle titre, Anna de Cavalieri dans le rôle de Roxane etRolando Panerai dans le rôle de De Guiche entre autres, le tout placé sous la direction du ChefAntonino Votto. Notons par ailleurs que cette version est chantée dans une version traduite enitalien[18].

L'Aiglon

En1900, il crée son nouveau drame,L'Aiglon, pour Sarah Bernhardt. Par la suite, le rôle-titre sera repris parSimone Le Bargy[19]. La pièce a un tel succès qu'elle lui ouvre les portes de l'Académie française où il est élu en1901 au fauteuil 31. Souffrant, il n'y est reçu qu'en1903.

Chantecler

Buste d'Edmond Rostand à Bagnères-de-Luchon.

En1910, sa pièceChantecler est créée au théâtre de la Porte-Saint-Martin. Simone Le Bargy participe à la création de la pièce pour le grand rôle féminin de « la Faisane »[19], avecLucien Guitry dans le rôle-titre,Constant Coquelin, pour qui le texte avait été écrit, étant décédé peu de temps auparavant. La particularité de cette pièce est que tous les personnages sont des animaux.

La pièce ne fut ni un succès, ni un échec, la critique fut partagée et une partie du public, dérouté. La pièce est en vers, comme tout le théâtre de Rostand, mais l'alexandrin est manié par l'auteur avec une telle virtuosité qu'il est déconcertant d'entendre des animaux s'exprimer dans une langue aussi sophistiquée. La lourdeur des décors et des costumes joue aussi un rôle : dans les années 1950,Roland Barthes écrit un article célèbre sur « les maladies du costume de théâtre »[réf. nécessaire] et prend ce spectacle précisément comme exemple de ce qu'il ne faut pas faire au théâtre.

Plus d'un siècle après la première, il est intéressant de reconsidérer la question deChantecler, qui est une réalisation plus audacieuse que celle deCyrano ou deL'Aiglon. D'un point de vue scénique, la mise en scène est riche. Elle offre sur la scène parisienne une tentative de renouvellement et de modernisation qui, si elle n'a rien à voir avec les entreprises du théâtre naturaliste (André Antoine) ou symbolistes (Lugné-Poe), prend en compte ces avancées qu'elle digère à sa manière. Les animaux qui parlent au théâtre sont relativement rares. Il y avait bien euLes Oiseaux d'Aristophane. Mais leur retour sur la scène de laBelle Époque a quelque chose de surréaliste et préfigure, d'une certaine façon, les collages deMax Ernst.

Pour l'histoire des spectacles, l'entreprise a aussi quelque chose de remarquable. C'est la manière dont l'événement est géré par la presse. En effet, en 1910, Rostand passe, pour beaucoup, pour le plus grand dramaturge français, et il est considéré comme une sorte de poète officiel de laIIIe République. Or il n'est pas très productif.

Sa dernière création,L'Aiglon, remonte à 1900. Il existe une attente énorme, et la rumeur journalistique ne cesse d'enfler à propos d'une pièce mystérieuse. Rostand entretient volontairement le mystère. On assiste à une véritable campagne de presse à l'américaine. À la sortie, en 1910, les journaux sont pleins d'articles, de reportages, de photographies, d'anecdotes et de caricatures. Commercialement, la pièce est loin d'avoir été un échec : il y eut un grand nombre de représentations à Paris, et des tournées internationales furent lancées, avec plusieurs distributions parallèles.

À la suite du succès rencontré par la pièce, Frère Wilfrid, un moinecistercienquébécois, décida de nommerChantecler la race de poule qu'il avait créée[20].

Rostand collectionneur

Un sujet en bronze à patine brune,statue équestre deLouis XIV attribuée àMartin Desjardins (1637-1694) et ayant appartenu à Rostand, a figuré à une vente aux enchères publiques à Paris le.

Prix et distinctions

Décorations

Hommages

Adaptations

Musique

Cinéma

Notes et références

  1. Bertrand Degott, « Le comique en vers chez Rostand : le sous-rire du lecteur »,Études françaises,vol. 51,no 3,‎,p. 77-97(lire en ligne)
  2. Pierre Espil,Edmond Rostand, une vie, Éditions du Mondarrain,,p. 40.
  3. Julien Dieudonné, Aurélie de Cacqueray, Myriam Provence, Sophie Condat,Familles d'écrivains, Archives & culture,,p. 192.
  4. a etbÉmile Ripert,Edmond Rostand : sa vie et son œuvre,Hachette,,p. 43
  5. Pierre Espil,Edmond Rostand, une vie, Éditions du Mondarrain,,p. 29.
  6. ÉmileRipert,Edmond Rostand: Sa vie et son œuvre, (Hachette) réédition numérique FeniXX,(ISBN 978-2-7062-2495-9,lire en ligne)
  7. Pierre Espil,Edmond Rostand, une vie, Éditions du Mondarrain,,p. 27.
  8. Jean-Baptiste Manuel,Edmond Rostand : écrivain imaginaire, Atlantica,,p. 43.
  9. Farceurs du Second Empire - Le Club des natifs du premier avril.
  10. « Vie et oeuvre d'Edmond Rostand », suredmond-rostand.com(consulté le).
  11. « CYRANO DE BERGERAC », surEncyclopædia Universalis(consulté le)
  12. (en) « Cyrano de Bergerac | play by Rostand », surEncyclopedia Britannica(consulté le)
  13. Delage R. Emmanuel Chabrier. Fayard, 1999.
  14. « Le bois sacré » (ill. Luc-Olivier Merson),L'Illustration,‎,p. 7-12(lire en ligne).
  15. RaymondTrousson, « Cyrano de Bergerac (1897) d'Edmond Rostand : un centenaire juvénile »,Bulletin de l'Académie royale de langue et de littérature françaises, Bruxelles, Académie royale de langue et de littérature françaises,vol. LXXV,nos 3-4,‎,p. 357(lire en ligne[PDF])
  16. Certains auteurs attribuent ce geste et cette phrase au Ministre des Finances, Georges Cochery. Ce fut en fait Alfred Nicolas Rambaud qui fit ce geste et prononça cette phrase (in "La famille Haumant", Dominique Petetin, 2022).Rostand fut décoré de la Légion d'honneur le, soit quatre jours après la première (Raymond Trousson,Un succès inusable : Cyrano de Bergerac).
  17. Christophe Barbier,Dictionnaire amoureux du théâtre, Place des éditeurs,coll. « Dictionnaire amoureux »,, 782 p.(ISBN 978-2-259-24848-8,lire en ligne), « Rappel ».
  18. [vidéo] « Alfano: Cyrano di Bergerac - de Cavalieri, Vinay, Vicentini, Panerai, cond. Votto (Live, 1954) »PucciniMD,, 129:58 min(consulté le)
  19. a etb« Simone-François Porché »[archive] [.htm], surAcadémie d'Angoumois(consulté le) :« Elle succéda à Sarah Bernhard dans le rôle de l’Aiglon d’Edmond Rostand […] ».
  20. Origine du nom.
  21. « Cote LH/2386/12 »,base Léonore,ministère français de la Culture.
  22. Florine Boukhelifa, « Edmond Rostand : qui est ce dramaturge français à qui Google rend hommage dans son doodle du jour ? », surrtl.fr,
  23. « Hommage à Edmond Rostand », surgoogle.com(consulté le)

Voir aussi

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Bibliographie

Liens externes

v ·m
Essais
  • Deux romanciers de Provence, Honoré d'Urfé, Émile Zola, le roman sentimental et le roman naturaliste (1887)
  • Carthage, encore (1978)
Théâtre
  • Le Gant rouge (1888)
  • Les Deux Pierrots (1890)
  • Les Romanesques (1894)
  • La Princesse lointaine (1895)
  • La Maison des Amants (1895)
  • La Samaritaine (1888)
  • Cyrano de Bergerac (1897)
  • L'Aiglon (1900)
  • Le Bois sacré (1908)
  • Chantecler (1910)
  • La dernière nuit de Don Juan (1911)
Poésies


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Henri de Bornier
Edmond Rostand
1901-1918
Joseph Bédier
v ·m
Composition de l'Académie française au jour de son élection(30 mai 1901)
Par numéro
de fauteuil
Par date
d'élection
v ·m
Composition de l'Académie française au jour de sa mort(2 décembre 1918)
Par numéro
de fauteuil
Par date
d'élection
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