Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Dynastie Pahlavi

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Cet article concerne la dynastie. Pour le régime, voirÉtat impérial d'Iran.

Page d’aide sur les redirections

« Pahlavi » redirige ici. Pour l’article homophone, voirPalavi.

Description de cette image, également commentée ci-après
Armoiries de la dynastie Pahlavi
Données clés
PaysPerse qadjare
Gouvernement impérial de Perse (1925-1935)
Gouvernement impérial d'Iran (1935-1979)
TitresChāhanchāh dePerse
(fr)Roi dePerse ouEmpereur dePerse
Chāhanchāh d'Iran
(fr)Roi d'Iran ouEmpereur d'Iran
Chef actuelReza Pahlavi, dernier prince héritier, dit Reza II
Fondation
Reza Khan Sadar Sepah Mir Panj Savad-Kuhi
Déposition
Mohammad Reza Chah

modifier

Ladynastie Pahlavi (enpersan :سلسله پهلوی) est la dernière dynastieiranienne ayant régné, pendant 54 ans, sur l'Iran avant l'avènement de larépublique islamique. Elle fut fondée avec leGouvernement impérial de Perse parReza Khan en 1925, alorsPremier ministre d’Ahmad Chah Qajar, dernier roi (Chah) de la dynastie desQadjars. La dynastie Pahlavi est la dernière desdynasties de l'Empire perse dont la première fut ladynastie achéménide vers-550.

Elle porte le nom officiel de son fondateur, « Pahlavi » patronyme qu'il avait adopté en 1923. À sa naissance, Reza Khan, venant d'un milieu très pauvre, reçut plusieurs appellations et sobriquets. Mais une loi de 1923 demande à tous les Perses d'adopter un patronyme comportant un nom propre et un nom de famille. Le clan du père de Reza Khan se faisait appeler Pahlavan. Cependant Reza choisit le nom dePahlavi (پهلوی), porté depuis par ses descendants. Ce patronyme, s’il rappelle le clan de son père – Pahlavan –, est une référence directe à l’identité préislamique de laPerse ; le Pahlavi, ouPehlevi (dit aussimoyen-persan) étant une anciennelangueindo-européenne parlée en Iran entre leIIIe et leXe siècle[1] et d'autre part signifie « héroïque, glorieux, archaïque ». Déjà, le choix de ce nom marque un intérêt de son porteur pour la grande civilisation persane, sans les apports dus à l’islamisation de la Perse auVIIe siècle. À l’état civil, il gardera toujours ce patronyme, même devenu empereur –il n’y ajoutera que le numérique Chah (شاه) -, qui est encore aujourd’hui celui de ses descendants[2].

Origines

[modifier |modifier le code]

Reza « Savad-Koohi » voit le jour àAlasht, une petite bourgade des environs de Savad Kouh, dans les hauts duMazandaran, une province montagneuse du Nord de l'Iran. Il est le fils d'Abbas Ali (1818 — 1878), militaire qui se bat àHerat (aujourd'hui enAfghanistan) en1857, et de Nouch Afarine, uneGéorgiennemusulmane dont la famille avait été chassée duCaucase en1828, après laguerre russo-persane de 1826-1828[3].

Legrand-père de Reza, Morad 'Ali Khan, unmilitaire qui sert dans le Septième Régiment de Savad Kouh de l'armée, a trois fils, également militaires : Abbas 'Ali Khan, Cheragh 'Ali Khan, et Fazl Allah Khan. Abbas Ali se marie de nombreuses fois, ayant entre cinq et sept femmes, et lui attribue environ 32 enfants. On ignore cependant les relations (si elles ont existé) entre Reza Chah et ses demi frères et sœurs, même après son accession au pouvoir. La dernière femme d'Abbas Ali est Nouche Afarine, qu'il a rencontré lors d'un voyage àTéhéran[3]. Le lieu de naissance de Reza Savad-Koohi ne le destine pas à un grand avenir :Alasht est une ville extrêmement misérable, mais la famille paternelle de Reza est cependant une famille de propriétaires terriens et de militaires.

Quarante jours après la naissance du futur Reza Chah, chassée par sa belle-famille qui ne voulait pas d'une étrangère, Nouch Afarine quitte Alasht pourTéhéran. En compagnie de son frère Hossein, elle entreprend la traversée du massif de l'Elbourz, afin de rejoindre son époux Abbas Ali, gravement malade, et son frère aîné Hakim Ali.

Reza n'a que huit mois quand survient la mort de son père, et sept ans lorsque sa mère meurt à son tour. Hakim Ali, son oncle, se charge aussitôt de son éducation et lui assure une vie décente sur le plan matériel, le faisant vivre de façon plus ou moins confortable – selon les critères de laPerse de l'époque.

Reza Khan accède au pouvoir

[modifier |modifier le code]
Reza Khan
Article principal :Reza Chah.
Article détaillé :Coup d'état persan de 1921.

Reza Savad-Koohi intègre laBrigade Cosaque Persane, seul corps d'armée à peu près entraîné dans laPerse des Qâdjars. S'il déplore la russification du corps et ne peut que constater que son pays est livré aux appétits de laGrande-Bretagne et de l'Empire de Russie, il passe de nombreuses années d'un corps à un autre, militaire comme les autres bien qu'ayant déjà une grande personnalité. La Perse servait un peu d'état intermédiaire entre lesempires des Indes etRusse – sans parler des zones d’influence établies[4], évitant des alliés d'entrer en conflit pour des problèmes frontaliers. Mais larévolution Russe, puis l'incertitude que lesBlancs gagnent la guerre civile (qui se terminera finalement en1924 et sera gagnée par lesRouges) poussent le gouvernement de Londres à agir : laRussie bolchevique représente un danger pour leRaj britannique, susceptible d'absorber la frêle Perse et de joindre directement les frontières indiennes, une action qui aurait de très nombreuses conséquences. L'Angleterre tente alors de s'implanter en Perse. Elle compte pour cela imposer à la tête du gouvernement un homme qui leur sera dévoué et qui permettra d'agir indirectement. Le choix se porta sur un ambitieuxjournaliste,Seyyed Zia’eddin Tabatabai) ; mais il lui manquait un « bras armé ». Lesbritanniques pensèrent alors à celui qui venait de devenir le chef de la Brigade Cosaque,Reza Khan, premier homme iranien depuis longtemps à réussir à reprendre en main un organisme de son pays, fut-ilmilitaire.

Après cela, l'accession de Reza est fulgurante : il devient vite généralissime, évince Tabatabai, et trahit les Anglais, devient ministre de la Guerre, puis Premier ministre en 1923, et s'impose comme le nouvel homme fort du pays, face à la léthargie du pouvoir d'Ahmad Chah, dernier des souverains Qâdjars. En 1925, après s'être débarrassé d'un dernier rival potentiel, Ahmad Ghavam, l'accession au pouvoir suprême de Reza est imminente.

Naissance de la dynastie Pahlavi

[modifier |modifier le code]
Reza Chah Pahlavi, prêtant son serment de fidélité à la Constitution Iranienne, le12décembre 1925.
Article principal :Reza Chah.

Le28octobre1925, leMajlis vote une loi proclamant la déchéance de la dynastie Qadjar, à la suite d'une demande conjointe de nombreux responsables politiques et sociaux au Parlement le. Reza Pahlavi reçoit le titre « d'Altesse Sérénissime », et préside une sorte degouvernement provisoire. Le, le Majilis étudie une révision constitutionnelle, car, en déposant les Qadjars, il viole les articles 36 et 38 de la Constitution de 1906[5], qui stipulaient que la couronne de Perse ne peut appartenir qu’àMozaffar el-Din Chah (qui avait ratifié la Constitution) ou sessuccesseurs, nés de mère persane. Le suivant, il se prononce pour l'avènement d'une nouvelle dynastie : Les Pahlavi remplacent les Qadjar. De toute l'assemblée, malgré une certaine abstention, seules cinq personnes ont voté contre, parmi lesquelsMohammad Mossadegh,Mohammad Taghi Bahar,Hassan Modarres etHassan Tagizadeh. La couronne est remise à « Sa Majesté Reza Pahlavi,Chah-in-chah d'Iran ». Les nouveaux articles 36 et 38 indiquent que lamonarchie constitutionnelle s’incarne en Reza Pahlavi, ses descendants et héritiers directs et que dans le cas où le monarque ne pourrait plus régner, ce serait son héritier qui le remplacerait. L’héritier doit être son fils biologique, et la mère dudit héritier se doit d’être une persane, et – une nouveauté – non apparentée à l’ancienne dynastie des Qadjar[6],[7]..Après avoir prêté serment à la Constitution, Reza Khan devient empereur dePerse sous le nom deReza Chah Pahlavi.

« Je prends pour témoin le Dieu Tout-Puissant et Très-Haut, sur la parole glorieuse de Dieu, et par tout ce qui est le plus honoré aux yeux de Dieu, Je jure d'exercer de tout mon pouvoir pour préserver l'indépendance de la Perse, protéger les frontières de mon Royaume et les droits de mon Peuple, observer les Lois fondamentales de la Constitution persane, régner conformément aux lois établies de la Souveraineté ; s'efforcer de promouvoir la doctrine Ja'fari de l'Église des Douze Imams tout en considérant dans mes actes Dieu le plus glorieux comme présent et me regardant. Je demande encore l'aide de Dieu, de qui toute volonté émane, et demande de l'aide des esprits saints des saints de l'Islam pour participer à l’épanouissement de la Perse. »[5]

Le, des corps des responsables politiques viennent lui prêter allégeance. Le, Reza appelleMohammad Ali Fouroughi pour former son premier gouvernement en tant qu'empereur. Le28janvier1926, enfin, son filsMohammad Reza est proclamé « Altesse Impériale,prince héritier dutrône de Paon ».

Reza Chah Pahlavi (1925-1941)

[modifier |modifier le code]
Portrait officiel du Shahanshah Reza Pahlavi (1878-1944), vers 1932.
Article détaillé :Reza Chah.

Son règne, extrêmement séculier et souverainiste, est marqué par une modernisation à grande échelle dans son pays, qui se trouve alors dans un état de « sous-développement abyssal », selon les mots del'ambassadeur britannique de l'époque (Percy Cox), avant l'arrivée au pouvoir de Reza Shah. Cependant, c’est un règne à deux aspects : d'un côté il modernise à grands pas la société pour la doter deservices modernes, d'infrastructures correctes puis clairement bonnes, de codes de lois et de société inspirés de leur équivalent européens, avec uneégalité des sexes, de la recherche d'une promotion de laculture ancienne iranienne ; de l'autre, il impose tous ces changements avec fermeté et parfois force, son attitude notamment vis-à-vis desreligieux et des traditions locales lui valant quelques ressentiments dans la population. Il œuvre par exemple pour supprimer leféodalisme et une grande partie dutribalisme iranien, ce qui bouleverse et divise la société et les masses paysannes, et qui a – dit-on - laissé un assez mauvais souvenir chez les iraniens. On lui doit également le changement du nom « Perse » en « Iran » en1935.

Mais le fait est que, à ce jour, son bilan reste discuté et assez difficile à évaluer de par le fait que contrairement àMustapha Kemal, son modèle, son successeur a été renversé. Et ce lors d’unerévolution qui a abouti à la mise en place d’unrégime théocratique en totale contradiction avec les principaux aspects du règne de Reza Chah. Ce qui fait que l’Iran actuel, où l’information est assez contrôlée, ne laisse transparaître de lui qu’une image (extrêmement) négative.

En1941, l’Iran, suspecté de progermanisme, en pleineSeconde Guerre mondiale, est envahi par les troupesAlliés, qui l’occupent pendant quatre ans et déposent le vieil empereur. Son filsMohammad Reza lui succède, tandis qu’il est exilé par les britanniques qui l’envoient àl’île Maurice, puis àJohannesbourg, enAfrique du Sud, où il mourra.La dynastie des Pahlavi entreprit la modernisation de l’Iran qui était refusée par les élites, religieuses et nationalistes[8].

Mohammad Reza Chah Pahlavi (1941-1979)

[modifier |modifier le code]
Portrait officiel du Shahanshah Mohammad Reza Pahlavi (1919-1980), vers 1973
Article détaillé :Mohammad Reza Pahlavi.

Mohammad Reza succéda à son père,Reza Chah, lorsque ce dernier fut contraint d’abdiquer le 17 septembre 1941, peu après l'entrée des troupes motorisées alliées à Téhéran[9]. À la tête d'un empire occupé, soumis au bon vouloir deChurchill etStaline, le jeune chah fut également confronté aux tentatives sécessionnistes dans les provinces du nord-est et aux rébellions tribales dans le sud du pays. Après laSeconde Guerre mondiale, Mohammad Reza Pahlavi se rapprocha progressivement desÉtats-Unis et entretint des liens très étroits avec laMaison-Blanche, en particulier avec les présidentsDwight Eisenhower etRichard Nixon.

L’essor de la production pétrolière auMoyen-Orient entraîna sous son règne une crise internationale qui allait opposer le Premier ministre nationalisteMohammad Mossadegh et laGrande-Bretagne, qui asphyxia l'économie iranienne. Les services secrets anglo-américains tentèrent de renverser Mossadegh, mais envenimèrent la situation et le chah, qui les avait soutenu, dût fuir. Grâce cependant à l'armée dirigée par legénéral Zahedi, Mohammad Reza Pahlavi fut restauré sur le trône après un bref exil en Italie. Évoluant ensuite vers une conception plus nationale,réformiste et autoritaire de la politique intérieure, le chah d’Iran entreprit, par référendum, un vaste programme de progrès social et de développement économique (laRévolution blanche) associé à une répression des mouvements d’opposition incarnée par laSavak. À l’extérieur, tout en demeurant un allié de premier plan pour les Américains et les chancelleries occidentales, Mohammad Reza Pahlavi se rapprocha aussi progressivement de l’Union soviétique puis de laChine, traduisant ainsi un désir d’émancipation à travers plus de neutralisme. Lorsqu'il entama une politique de partenariat privilégié avec l'Europe et en particulier laFrance (accords pour le développement de l'industrie nucléaire) et surtout leJapon, en développant des flux économiques importants (pétrole iranien à prix réduits vers le Japon, technologies vers l'Iran), les États-Unis inquiets des bénéfices qui auraient pu en être retirés par ces pays au détriment de leurs intérêts dominants lui retirèrent leur appui et décidèrent de précipiter son éviction, en soutenant fortement l'expression des mouvements contestataires étudiants (pourtant marxisant), et en finançant la communication pour une révolution islamiste de l'ayatollah Khomeini. Il est également clair que le poids de leur alliance avec l'Arabie Saoudite et les Émirats (Koweït,Bahreïn,Émirats arabes unis,Oman) partenaires de l'Iran dans l'OPEP mais rivaux pour la maîtrise duGolfe Persique amena les États-Unis à chercher à entraver le développement économique de l'Iran et la croissance de son rôle de puissance politique régionale, à partir du moment où ils pensèrent n'être plus en mesure de contrôler ce pays du fait de la stratégie trop indépendante et ambitieuse du chah.

Si la politique volontariste du chah améliora considérablement le niveau de vie des Iraniens et permit au pays une modernisation rapide dans les années 1960 et 1970, elle contribua à élargir le fossé économique, social et culturel entre une partie de la population, fortement occidentalisée et une autre, sensible auconservatisme religieux prêché par Khomeini. En 1978, de plus en plus critiqué, le chah dut faire face à un soulèvement populaire (laRévolution iranienne) qui s'accentua au fil des mois et d'où émergèrent les fondamentalistes chiites inspirés par l'ayatollahKhomeini. En janvier 1979, après avoir perdu progressivement ses soutiens traditionnels et l'appui occidental, Mohammad Reza Pahlavi nomma en dernier recours l'opposantsocial-démocrateShapour Bakhtiar au poste dePremier ministre et quitta ensuite l'Iran. Le renversement du gouvernement Bakhtiar et la déclaration de neutralité de l'armée, quelques semaines plus tard, précipitèrent sa chute et contribuèrent à l'avènement deKhomeini. Contraint à l'exil et atteint d'un cancer, Mohammad Reza Chah Pahlavi décéda enÉgypte l'année suivante.

Membres célèbres

[modifier |modifier le code]
Reza Khan et ses enfants, entre 1923 et 1925

Arbre généalogique

[modifier |modifier le code]
 
 
 
 
 
 
Reza Pahlavi
Chah1925–1941
 
Tadj ol-Molouk
Reine
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Farah Diba
Reine1959–1967
Chahbanou1967–1979
 
Mohammad Reza Pahlavi
Chah1941–1979
 
Ali Reza Pahlavi
Prince
 
Ashraf Pahlavi
Princesse
 
Chams Pahlavi
Princesse
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Farahnaz Pahlavi
Princesse
 
Reza Pahlavi
Prince Héritier1960-1980
Chah de jure1980–
 
Yasmine Etemad Amini
Chahbanou de jure1986-
 
Ali Reza Pahlavi II
Prince
 
Leila Pahlavi
Princesse
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Noor Pahlavi
Princesse
 
Iman Pahlavi
Princesse
 
Farah Pahlavi II
Princesse

Références

[modifier |modifier le code]
  1. (en) AlmaanyTeam, « Meaning of pahlavi in French english dictionary - Signification de pahlavi en dictionnaire anglais français 1 », surwww.almaany.com(consulté le).
  2. Reza Chah.
  3. a etb(en)Donald N. Wilber,Riza Shah Pahlavi : the Resurrection and the Reconstruction of Iran (1878-1944), Masha Publishers, 1975 (nouvelle édition 2016).
  4. « Le Proche-Orient en 1914 »,Le Monde diplomatique,‎(lire en ligne, consulté le).
  5. a etb(en) « Iran's 1906 Constitution | Foundation for Iranian Studies », surfis-iran.org(consulté le).
  6. Cela constitue une nouveauté dans la mesure où, à chaque fois qu'il y avait eu changement de dynastie dans l'histoire perse, le nouvel empereur avait généralement fait d'une parente du souverain déchu la mère de son héritier. Ensuite, cela posera des problèmes de succession sous le règne de Mohammad Reza Pahlavi.
  7. (en)electricpulp.com, « Constitutional Revolution iii. Constitution – Encyclopaedia Iranica », surwww.iranicaonline.org(consulté le)
  8. Hourcade Bernard. La recomposition des identités et des territoires en Iran islamique // The making of identities and territories in Islamic Iran . In: Annales de Géographie, t. 113, n°638-639, 2004. Composantes spatiales, formes et processus géographiques des identités. pp. 511-530.
  9. Agence Reuter, « Après l'abdication du Schah d'Iran »,Le Petit journal,‎,p. 1.

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]
v ·m
Reza Chah
Chah d'Iran
Épouses
Enfants
Mohammad Reza Pahlavi
Chah d'Iran
Épouses
Enfants
Reza Pahlavi
Prétendant au trône d'Iran
Épouse
Enfants
Liste des dirigeants de la Perse et de l'Iran
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Dynastie_Pahlavi&oldid=226567966 ».
Catégorie :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp