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Donald Rumsfeld

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Donald Rumsfeld
Illustration.
Portrait officiel de Donald Rumsfeld en 2002.
Fonctions
13e et21esecrétaire à la Défense des États-Unis

(5 ans, 10 mois et 28 jours)
PrésidentGeorge W. Bush
GouvernementAdministration Bush
PrédécesseurWilliam Cohen
SuccesseurRobert Gates

(1 an et 2 mois)
PrésidentGerald Ford
GouvernementAdministration Ford
PrédécesseurJames Schlesinger
SuccesseurHarold Brown
6echef de cabinet de la Maison-Blanche

(1 an, 1 mois et 30 jours)
PrésidentGerald Ford
GouvernementAdministration Ford
PrédécesseurAlexander Haig
SuccesseurDick Cheney
9ereprésentant permanent des États-Unis auprès de l'OTAN

(1 an, 7 mois et 19 jours)
PrésidentRichard Nixon
Gerald Ford
PrédécesseurDavid Kennedy
SuccesseurDavid Bruce
Représentant des États-Unis

(6 ans, 4 mois et 22 jours)
Élection6 novembre 1962
Réélection3 novembre 1964
8 novembre 1966
5 novembre 1968
Circonscription13e district de l'Illinois
Législature88e,89e,90e
PrédécesseurMarguerite S. Church
SuccesseurPhil Crane
Biographie
Nom de naissanceDonald Henry Rumsfeld
SurnomRummy
Date de naissance
Lieu de naissanceEvanston (Illinois,États-Unis)
Date de décès (à 88 ans)
Lieu de décèsTaos (Nouveau-Mexique,États-Unis)
SépultureCimetière national d'Arlington
NationalitéAméricaine
Parti politiqueParti républicain
PèreGeorge Rumsfeld
MèreJeannette Kearsley
ConjointJoyce Pierson
Enfants3 enfants
Diplômé deUniversité de Princeton
Université Case Western Reserve
Université de Georgetown
Professionhomme politique,homme d'affaires,militaire,diplomate
ReligionLuthéranisme

Signature de Donald Rumsfeld

Donald RumsfeldDonald Rumsfeld
Chefs de cabinet de la Maison-Blanche
Secrétaires à la Défense des États-Unis
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Donald Henry Rumsfeld, né le àEvanston (Illinois) et mort le àTaos (Nouveau-Mexique), est unhomme d'affaires ethomme politiqueaméricain, membre duParti républicain. Il estsecrétaire à la Défense entre1975 et1977 dans l'administration du présidentGerald Ford puis entre2001 et2006 dans l'administration du présidentGeorge W. Bush.

Durant la présidence de Bush, il est un des principaux propagandistes de laguerre d'Irak, puis duprogramme de torture américain.

Il a étéPDG de plusieurs grandes entreprises, comme le groupe pharmaceutiqueG.D. Searle (devenu Pfizer), laGeneral Instrument etGilead Sciences.

Donald Rumsfeld est par ailleurs un membre fondateur duthink tanknéoconservateurProject for the New American Century.

Origines et études

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Donald Rumsfeld en 1975.

La famille paternelle de Donald Rumsfeld est originaire deWeyhe enAllemagne et c'est son arrière-grand-père Johann Heinrich Rumsfeld qui décide d'émigrer enAmérique du Nord en1876.

Né àEvanston juste au nord deChicago dans l'Illinois, dans un milieu modeste, il grandit en banlieue nord de Chicago, àEvanston.Adolescent, il dirige l'équipe de lutte de sonlycée.

Boursier, il fait desétudes descience politique à l'université de Princeton puis s'engage dans l'United States Navy où il devientpilote, avant de devenir instructeur de l'aéronavale.

« Le JFK républicain »

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Attiré par la politique, il est élu pour la première fois représentant de l'Illinois à laChambre des représentants des États-Unis en1962 alors qu'il n'a que 30 ans.

Surnommé à l'époque « leJFK républicain »[1], il est constamment réélu jusqu'à son entrée dans l'administration deRichard Nixon en1969 à la présidence d'un organisme chargé de la lutte contre la pauvreté.

Le présidentGerald Ford en compagnie de Donald Rumsfeld etDick Cheney, le.

En1972, Richard Nixon en fait son ambassadeur à l'OTAN àBruxelles pendant deux années.

En1974, le présidentGerald Ford le nommechef de cabinet de la Maison-Blanche. Son adjoint est alorsDick Cheney.

En1975, il est nommé secrétaire à la Défense alors queGeorge H. W. Bush,son rival[réf. nécessaire], est nommé directeur de laCIA.

Traversée du désert

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En1977, Donald Rumsfeld rejoint le secteur privé comme dirigeant du groupe pharmaceutiqueG.D. Searle, basé à Skokie (Illinois). C'est à l'époque où il était chef de cabinet de la Maison-Blanche que Searle avait reçu l'agrément de laFood and Drug Administration pour l'exploitation commerciale de l'aspartame. La commercialisation de ce produit sous le nom deNutraSweet permit à la société Searle d'engranger, sous la direction de Donald Rumsfeld, de substantiels bénéfices. La vente de Searle à la compagnieMonsanto lui aurait rapporté la somme de 12 millions de dollars[2].

En raison de ce possible conflit d'intérêts, leUS Government accountability office (US GAO), qui est l'organe d'inspection et de contrôle du Congrès américain, a diligenté une enquête en 1987 sur les conditions dans lesquelles l'aspartame avait reçu son autorisation de mise sur le marché. Le rapport, rendu public, a conclu que l'examen du dossier de l'aspartame par la Food and Drug administration ne présentait pas d'irrégularité et que les suspicions à l'encontre de Donald Rumsfeld n'étaient pas fondées[3].

Donald Rumsfeld avec Saddam Hussein en 1983.

En1981, en dépit du retour des républicains au pouvoir, l'hostilité du vice-président Bush l'empêche de retrouver des fonctions gouvernementales.

En1983, il est l'envoyé spécial du présidentRonald Reagan auMoyen-Orient. Il se rend àBagdad et sa rencontre avecSaddam Hussein débouche en1984 sur le rétablissement des relations diplomatiques, rompues par l'Irak lors de laguerre israélo-arabe de 1967. ll fait parvenir au régime irakien, alors enguerre contre l'Iran et confronté à larébellion kurde desarmes biologiques,chimiques, lebacille du charbon[4]. En mai 1984, Donald Rumsfeld renonce à sa mission auMoyen-Orient pour se consacrer à ses activités de chef d'entreprise.

En1988, il renonce à participer aux primaires républicaines pour la succession de Ronald Reagan et laisse le champ libre àGeorge H. W. Bush.

Sa traversée du désert commence alors et continue sousBill Clinton, qui lui confie pourtant, en1998, la présidence d'une commission chargée d'étudier les projets dedéfense antimissile.

Il dirige également une commission du Congrès sur les « États voyous » qui conclut que la CIA était incapable d'obtenir des informations sur ces nouvelles menaces.

Il est président et directeur général de laGeneral Instrument Corporation de 1990 à 1993. Il est également de 1997 à 2001 président du laboratoire pharmaceutiqueGilead Sciences[5] En 2005, il détient encore dans cette entreprise des actions d'une valeur estimée entre 5 et 25 millions de dollars[5].

Secrétaire à la Défense de George W. Bush

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Donald Rumsfeld et le ministre des Affaires étrangères et ancienPremier ministreisraélienShimon Peres au Pentagone, le.

En2001, c'est sous les conseils de Dick Cheney, nouveau vice-présidentet ami[réf. nécessaire], que Donald Rumsfeld est nommé à la tête dudépartement de la Défense auPentagone.

SelonNicole Bacharan etDominique Simonnet, cette nomination de Donald Rumsfeld au poste de secrétaire à la Défense par George Bush fils pourrait d'ailleurs passer pour une révolte de ce dernier contre son père[6].

Il arrive avec un projet de modernisation des forces armées en misant sur lestechniques de pointe, mais, en peu de temps, il déclenche l'hostilité d'une bonne partie des états-majors et de leurs alliés au Congrès.

Il dirige les campagnes américaines contre les gouvernements de gauche parvenus au pouvoir en Amérique latine[7].

Attentats du 11 septembre 2001

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Il déclare voir dans lesattentats du 11 septembre 2001 « le genre d'opportunités qu'a offert laSeconde Guerre mondiale, celle de remodeler le monde »[8]. Il envisage dès lors un plan prévoyant l’invasion de sept pays : l’Irak, l’Afghanistan, leSoudan, laLibye, laSomalie, leLiban et l’Iran[9].

Il devient l'homme de laguerre en Afghanistan, chargé d'organiser l'offensive générale contre le terrorisme.

Son nouveau rôle, sa forte popularité et l'augmentation impressionnante des crédits militaires lui permettent de procéder à la modernisation de l'outil de défense.

Guerre d'Irak de 2003

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Donald Rumsfeld et lemaire deNew York,Rudy Giuliani sur le site duWorld Trade Center àManhattan, le.

Il est, avec son adjointPaul Wolfowitz, un des stratèges de laguerre d'Irak en2003.

C'est également dans le cadre de l'après-11 septembre mais également de la guerre interne menée par le vice-président,Dick Cheney, contre laCIA, l'Agence centrale de renseignement, que Donald Rumsfeld procède à la création du Bureau des projets spéciaux (Office of Special Plans), placé sous l'autorité directe dePaul Wolfowitz, son secrétaire adjoint et géré par le sous-secrétaire à la Défense,Douglas Feith (en). C'est à ce bureau qu’est par la suite reproché d'avoir inventé la menace des « armes de destruction massive » irakiennes et d'avoir sciemment fourni de fausses informations. Il est fermé depuis.

Démission

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George W. Bush et Donald Rumsfeld le, jour de l'annonce de sa démission.

SelonJeremy Scahill,« le mandat de Donald Rumsfeld comme secrétaire à la Défense connaîtra une fin peu glorieuse. Depuis quelques mois, huit généraux à la retraite (...) mènent avec des parlementaires (...) une campagne pour obtenir sa démission ». Certains lui reprochent la détérioration de la situation en Irak, d'autres, les mauvais traitements aux détenus d'Abou Ghraib[10].

Le, le président des États-UnisGeorge W. Bush accepte et annonce la démission de Donald Rumsfeld au lendemain de la victoire desdémocrates lors des élections de mi-mandat. Le président a proposé au Sénat l'ancien directeur de laCIA,Robert Gates, pour lui succéder.

Après une tournée d'adieu auprès des soldats américains en Irak, la passation de pouvoir avec son successeur a lieu le.

Dernières années

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Donald Rumsfeld meurt le àTaos (Nouveau-Mexique), à 88 ans[11], des complications d'unmyélome multiple. Il n'a pas été inquiété par la justice américaine ou internationale[12]. Il est inhumé aucimetière national d'Arlington, quelques jours après lavictoire des Talibans en Afghanistan[13].

Polémiques

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Tamiflu

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De janvier 1997 jusqu'à ce qu'il devienne secrétaire à la Défense en janvier 2001, Donald Rumsfeld était président duconseil d'administration deGilead Sciences qui a développé leTamiflu, utilisé dans le traitement de lagrippe aviaire. D'après le numéro du du magazineFortune, Donald Rumsfeld aurait possédé à cette époque entre 5 et 25 millions de dollars d'actions dans la société[14]. À la suite de cette révélation, le journalLibération rapporte qu'il « a indiqué avoir déjà pensé vendre ses actions en début d'année, lorsque la question d'une pandémie possible commençait à se poser. Puis, après avoir consulté le Comité d'éthique du Sénat, les services juridiques de la Maison-Blanche et le département de la Justice, il avait décidé de ne pas vendre et de s'abstenir de toute participation aux décisions concernant la grippe aviaire[réf. souhaitée].

Invasion de l'Irak

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Les lourdes difficultés de l'occupation militaire qui s'ensuivirent sont beaucoup reprochées à Donald Rumsfeld, notamment le fait de ne pas avoir engagé suffisamment de moyens en termes de soldats et de matériel militaire. Et ceci en dépit des estimations des besoins effectuées par les militaires comme le généralEric Shinseki, chef d'état-major de l'armée de terre[réf. nécessaire].

Utilisation de la torture

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Rumsfeld avec le secrétaire général de l'OTANJaap de Hoop Scheffer en 2005.

Le scandale de la torture à laprison d'Abou Ghraib le met sur la sellette. Plusieurs élusrépublicains oudémocrates exigent sa démission, mais le président Bush lui maintient sa confiance et il conserve son poste après la réélection de George W. Bush en novembre2004.

Dans ce cadre, cinqplaintes pour mauvais traitements ettortures ont été déposées contre lui. Deux l'ont été enAllemagne et n'ont pas abouti, ni celles déposées enArgentine et enSuède. Une autre, déposée aux États-Unis par un groupe de prisonniers ou d'anciens prisonniers des centres de détention d'Abou Ghraib et deGuantanamo n'a pas abouti au motif que les plaignants n'étaient pas de nationalité américaine.

Le, la dernière plainte a été déposée contre lui auprès du parquet de Paris par quatre associations de défense desdroits de l'homme (laFédération internationale des ligues des droits de l'homme, la Ligue française pour les droits de l'homme et du citoyen, le Center for constitutional rights, le European center for constitutional and human rights) alors qu'il était àParis, invité d'honneur de la revueForeign Policy, aucercle de l'Union interalliée. Les plaintes invoquent lacompétence universelle de la justice française (prévue par l'article 5.2 de la Convention contre la torture, que la France a ratifiée et l'article 689-1 duCode de procédure pénale) pour le crime de torture, dès lors que l'auteur présumé des faits se trouve sur le territoire de la République. L’article 221-1 du Code pénal prévoit que de tels actes sont punissables de 15 années de réclusion criminelle[15]. Le parquet de Paris a alors confirmé que « la plainte était en cours d'examen » et devait vérifier si elle était recevable[16].

Plus largement, il apparaît que Donald Rumsfeld a en fait modifié plusieurs règlements afin de légaliser la torture par des agents américains, quand elle est pratiquée sur des suspects de terrorisme[17], sans pour autant que cette notion soit définie légalement.

Donald Rumsfeld est assurément l'un des principaux architectes de la bureaucratie de la torture mise en place dans la foulée du 11 septembre, mais son départ n'aura pas grand effet sur les pratiques et les programmes qu'il a contribué à définir[10] et qui continueront à fonctionner en l'état sous l'administrationObama.

Dans la culture populaire

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Dans le filmW. : L'Improbable Président (2008) d'Oliver Stone, son rôle est joué parScott Glenn, parSteve Carell dansVice d'Adam McKay (2018) puis parDerek Cecil (en) dans la série téléviséeThe First Lady (2022).

Décorations

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Décorations américaines

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Décorations étrangères

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Bibliographie

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  • Andrew Cockburn,Caligula au Pentagone : Rumsfeld, les néoconservateurs et le désastre irakien (traduit de l'anglais par Fred Hissim), Xenia éditions, Vevey, 2007, 288 p.(ISBN 978-2-88892-046-5) – Titre anglais :Rumsfeld: His Rise, Fall, and Catastrophic Legacy, paru en 2007 chez Scribner.

Notes et références

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Références

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  1. Alain Campiotti, « La gifle bleue donnée à George Bush »,Le Temps,no no. 2715,‎(lire en ligneInscription nécessaire, consulté le)
  2. « Winter comes for a Beltway lion; Rumsfeld rose and fell with his conviction intact »,Chicago Tribune, 12-11-2006,p. 17.
  3. (en) « Food Additive Approval Process Followed for Aspartame »[PDF], surarchive.gao.gov,.
  4. « L'homme du jour : Donald Rumsfeld »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), surL'Humanité,.
  5. a etb« Defense Secretary Rumsfeld sees growth in Gilead stake », surmoney.cnn.com,.
  6. 11 septembre, le jour du chaos, page 159.
  7. Anne-Dominique Correa & RenaudLambert, « Portraits de missionnaires médiatiques », surLe Monde diplomatique,.
  8. https://www.editionsdemilune.com/media/extraits/route/La-Route_Peter-Dale-Scott_Avant-propos.pdf
  9. Marc de Miramon, « États-Unis Rumsfeld, « visage de l’impérialisme », est mort », surL'Humanité,.
  10. a etbJeremy Scahill (trad. de l'anglais),Le nouvel art de la guerre : dirty wars, Montréal (Québec)/Arles, Lux,, 700 p.(ISBN 978-2-89596-179-6).
  11. (en) Tom Vanden Brook et Ella Lee, « Donald Rumsfeld dies at 88. The former Defense secretary oversaw Iraq, Afghanistan wars », surUSA Today,(consulté le).
  12. (en) Bill Van Auken, « War criminal Rumsfeld dies, but his militarist legacy lives on », surWorld Socialist Web Site,.
  13. (en-US) MarkLeibovich, « Donald Rumsfeld, Architect of War in Afghanistan, Is Laid to Rest »,The New York Times,‎(ISSN 0362-4331,lire en ligne)
  14. (en) Nelson D. Schwartz, « Defense Secretary Rumsfeld sees growth in Gilead stake - Oct. 31, 2005 », surmoney.cnn.com,.
  15. « Plainte finale 25 octobre 2007 », surfidh.or(consulté le).
  16. Julien Martin, « De passage à Paris, Rumsfeld est attaqué pour tortures », surrue89, nouvelobs.com,.
  17. Naomi Klein (trad. Lori Saint-Martin et Paul Gagné),La Stratégie du choc : la montée d’un capitalisme du désastre [« The Shock doctrine. The rise of disaster capitalism »], Paris, Léméac/Actes Sud,, 669 p.(ISBN 978-2-7427-7544-6),p. 59.

Voir aussi

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Articles connexes

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