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Cynodontia

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Cynodontes

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Ne doit pas être confondu avecCynodontidae.

Cynodontia
Description de cette image, également commentée ci-après
De haut en bas et de gauche à droite :Dvinia prima,Trirachodon berryi,Brasilitherium riograndensis,Megazostrodon rudnerae, unOrnithorynque et unÉléphant de savane d'Afrique.
Classification
RègneAnimalia
EmbranchementChordata
Sous-embr.Vertebrata
ClasseSynapsida
CladeTherapsida
CladeEutheriodontia

Clade

Cynodontia
Owen, 1861

Taxons de rang inférieur

Lescynodontes (Cynodontia) forment unclade dethérapsideseuthériodontes qui apparaissent durant lePermiensupérieur, il y a environ 260 millions d'années, et qui comprennent lesMammaliaformes et les groupes basaux apparentés.

Ce groupe partage undernier ancêtre commun avec lesthérocéphales. Avec ces derniers et lesdicynodontes (Anomodontia), les cynodontes figurent parmi les rares groupes de thérapsides qui survivent à l'extinction Permien-Trias et qui recolonisent lesniches écologiques libérées par lesgorgonopsiens lors de leur disparition. Tandis que les premiersdinosaures apparaissent au milieu duTrias, les cynodontes se diversifient en plusieurs lignées d'herbivores et decarnivores.

Historique

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Le mot « cynodonte » signifie « dent dechien » (dugrec ancienκύων, κυνός /kúôn,kunós « chien » etὀδούς, ὀδόντος /odoús,odóntos « dent »), en raison de leurdenture qui rappelle celle des chiens actuels.

Richard Owen décrit le taxon Cynodontia en 1861, qu'il attribue àAnomodontia en tant quefamille[1].Robert Broom (1913) reclasse Cynodontia comme uninfra-ordre, depuis retenu par d'autres, dont Colbert & Kitching (1977), Carroll (1988), Gauthieret al. (1989) ainsi que Rubidge &Christian Sidor (2001)[2]. Olson (1966), Colbert & Kitching (1977) classent Cynodontia au sein du taxonTheriodontia, et Rubridge et Sidor (2001) dans le sous-groupeEutheriodontia.William King Gregory (1910), Broom (1913), Carroll (1988), Gauthieret al. (1989), Hopson & Kitching (2001) et Bothaet al.(2007) considèrent Cynodontia comme appartenant àTherapsida. Bothaet al. (2007) semble suivre Owen (1861), mais sans préciser lerang taxonomique[3],[4].

Caractéristiques

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Crâne de Bienotherium yunnanense.
Crâne deBienotherium.

Les premiers cynodontes ont de nombreuses caractéristiques squelettiques desmammifères. Lesdents sont complètement différenciées et laboîte crânienne renflée à l'arrière de la tête. Les cynodontes basaux pondaient probablement des œufs. Les fenêtres temporales sont beaucoup plus grandes que celles de leurs ancêtres, et l'élargissement de l'arc zygomatique dans un crâne plus proche des mammifères permet une musculature de la mâchoire plus robuste. Ils ont aussi unpalais secondaire qui manque chez les thérapsides primitifs, à l'exception desthérocéphales, qui sont les plus proches parents de ces derniers. Cependant, le palais secondaire des cynodontes comprend principalement les maxillaires et lespalatins comme chez les mammifères, tandis que le palais secondaire des thérocéphales comprend principalement lesmaxillaires et levomer. Ledentaire est le plus gros os de leurmandibule.

Les cynodontes possèdent probablement une certaine forme demétabolisme àsang chaud. C'est d'ailleurs pour cette raison que de nombreuses reconstitutions de cynodontes les présentent dotés d'unefourrure. Étant endothermiques, ils en ont peut-être besoin pour lathermorégulation, mais les preuves fossiles de leur fourrure (ou de leur absence) restent à établir. Les mammifères modernes ont desglandes de Harder sécrétant des lipides pour recouvrir leurs fourrures, mais l'empreinte révélatrice de cette structure ne se trouve qu'à partir dumammaliaformesMorganucodon et d'autres[5]. Néanmoins, des études récentes sur lescoprolithes dethérapsides duPermien montrent que des thérapsides plus basaux peuvent avoir eu de la fourrure[6].

Les premiers cynodontes ont de nombreux petitsforamens sur les os de leursmuseaux, semblables à ceux des reptiles. Cela suggère qu'ils auraient eu des lèvres immobiles et non musclées comme celles deslézards, manquant dejoues musclées[7]. Comme un visage musclé et mobile est nécessaire pour effectuer des mouvements de fouet et pour éviter d'endommager lesvibrisses, il est peu probable que les premiers cynodontes en possèdent[8],[9]. Chez les cynodontesprozostrodontiens, le groupe qui comprend les mammaliaformes, les foramens sont remplacés par un seul grand foramen infra-orbitaire, ce qui indique que le visage devient musclé et que des vibrisses auraient été présentes.

Les cynodontes dérivés disposent desos épipubiens, ceux-ci servent à renforcer le torse et à soutenir la musculature abdominale et des membres postérieurs, les aidant à développer une démarche dressée, mais au détriment d'une grossesse prolongée, forçant ces animaux à donner naissance à des jeunes hautement nidicoles comme chez lesmarsupiaux et lesmonotrèmes modernes. Seuls lesplacentaires, et peut-êtreMegazostrodon ouErythrotherium, les perdent[10],[11].Un spécimen deKayentatherium démontre en effet qu'au moins lestritylodontidés (fin du trias) auraient déjà un style de reproduction fondamentalement semblable à celui desmarsupiaux, mais produiraient des portées beaucoup plus élevées à environ 38 périnates ou peut-être des œufs[12].

Les cynodontes sont la seule lignée dethérapsides connue à avoir des locomoteurs aériens, ce qui est identifié chez lesharamiyidiens[13] et certains groupes demammifères.

Le plus grand cynodonte non-mammalien connu à ce jour estScalenodontoides, untraversodontidé, dont la longueur maximale ducrâne est estimée à environ 617 millimètres sur la base d'un spécimen fragmentaire[14].

Histoire évolutive

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Reconstitution de Thrinaxodon.
Reconstitution deThrinaxodon.
Reconstitution de Trucidocynodon.
Reconstitution deTrucidocynodon.

Les plus proches parents des cynodontes sont lesthérocéphales, avec lesquels ils forment le cladeEutheriodontia[15].

Les premiers cynodontes viennent des sédiments datant duLopingien inférieur (Wuchiapingien inférieur) connus des zones d'assemblages enAfrique du Sud, appartenant à la famille basale desCharassognathidae. Les fossiles de cynodontes duPermien sont relativement rares en dehors de ce territoire, le genre le plus répandu étantProcynosuchus, connu enAfrique du Sud, enAllemagne, enTanzanie, enZambie et peut-être même deRussie[16].

Les cynodontes se développent rapidement en diversité après l'extinction Permien-Trias. Après leTrias inférieur, ils sont principalement représentés par les membres du clade avancéEucynodontia, qui a deux subdivisions principales, lesCynognathia, à prédominance herbivore, et lesProbainognathia, à prédominance carnivore. Au cours duTrias inférieur etmoyen, la diversité des cynodontes est dominée par des membres des Cynognathia, les membres de Probainognathia ne devenant importants qu'à partir duTrias supérieur (début duNorien)[17]. Presque tous les cynodontes du Trias moyen sont connus duGondwana, avec un seul genre trouvé dans l'hémisphère nord (Nanogomphodon). Parmi les groupes les plus dominants de cynodontes duTrias moyen etsupérieur se trouvent lesTraversodontidae, herbivores, principalement au Gondwana, qui atteignent un pic de diversité au Trias supérieur. Lesmammifères sont originaires des cynodontesprobainognathiens datant de la même période. Seuls deux groupes de cynodontes non-mammaliens existent au-delà de la fin du Trias, tous deux appartenant au même groupe. Le premier forme les insectivores de la famille desTritheledontidae, qui a duré brièvement jusqu'auJurassique inférieur. Le second forme les herbivores de la famille desTritylodontidae, qui apparaissent durant leTrias supérieur, qui sont abondants et diversifiés au cours duJurassique, principalement dans l'hémisphère nord, jusqu'auCrétacé inférieur enAsie[18]. Le tritylodontidé le plus récent connu estFossiomanus de laformation de Jiufotang, enChine, vieille de 120 millions d'années[19].

Au cours de leur évolution, le nombre d'os de la mâchoire des cynodontes diminue. Cette évolution vers un os unique pour lamandibule ouvre la voie à d'autres os de la mâchoire, l'os articulaire et l'angulaire, pour migrer vers le crâne, où ils font partie dusystème auditif desmammifères.

Les cynodontes possèdent également unpalais secondaire situé au-dessus de lacavité buccale. Cela amene le flux d'air desnarines à se déplacer vers l'arrière de la bouche au lieu de passer directement à travers elle, permettant aux cynodontes de mâcher et de respirer en même temps. Cette caractéristique est toujours présente chez lesmammifères.

Aire géographique

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On trouve des fossiles de cynodontes dans tout leGondwana, enAmérique du Sud, enAfrique, enInde, enAntarctique[20], et dans toute laLaurasia, enAsie[21], enEurope[22] et enAmérique du Nord[23].

Classification

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Lecladogramme ci-dessous présente laphylogénie desthérapsides selon T. S. Kemp (2011)[24] basée selon la proposition d'Hopson et Barghausen (1986)[25] :

  Therapsida 

Biarmosuchia


 Eutherapsida 

Dinocephalia


 Neotherapsida 

Anomodontia


 Theriodontia 

Gorgonopsia


 Eutheriodontia 

Therocephalia


 Cynodontia 

 Mammalia








Liste des familles

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Phylogénie

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Procynosuchus
Exaeretodon
Tritylodon
Oligokyphus
Diademodon

Ci-dessous, uncladogramme de Ruta, Botha-Brink, Mitchell et Benton (2013) montrant une hypothèse de relations entre les cynodontes[17] :

Cynodontia 

Charassognathus





Dvinia



Procynosuchus



 Epicynodontia 

Cynosaurus





Galesaurus



Progalesaurus






Nanictosaurus



Thrinaxodon





Platycraniellus


 Eucynodontia 

Cynognathia



Probainognathia









→ †Cynognathia 

Cynognathus


 †Gomphodontia 

Diademodon



 †Trirachodontidae 


Beishanodon



Sinognathus





Trirachodon




Cricodon



Langbergia





 †Traversodontidae 


Andescynodon



Pascualgnathus





Scalenodon




Luangwa




Traversodon





"Scalenodon" attridgei




Mandagomphodon




Nanogomphodon




Arctotraversodon



Boreogomphodon







 †Massetognathinae 

Massetognathus




Dadadon



Santacruzodon




 †Gomphodontosuchinae 

Menadon




Gomphodontosuchus




Protuberum




Exaeretodon



Scalenodontoides















Probainognathia 

Lumkuia




Ecteninion





Aleodon



Chiniquodon





Probainognathus




Trucidocynodon




Therioherpeton



 †Tritheledontidae 

Riograndia





Chaliminia



Elliotherium





Diarthrognathus



Pachygenelus






 †Brasilodontidae 

Brasilitherium



Brasilodon




 †Tritylodontidae 

Oligokyphus




Kayentatherium




Tritylodon



Beinotherium





 Mammaliaformes 

Mammalia



Sinoconodon



Morganucodon












Notes et références

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(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé« Cynodont »(voir la liste des auteurs).
  1. (en)Classification of R. Owen 1861.
  2. (en)Classification of B. S. Rubidge and C. A. Sidor 2001
  3. (en) R. Broom. 1913. A revision of the reptiles of the Karroo. Annals of the South African Museum 7(6):361–366
  4. (en) S. H. Haughton and A. S. Brink. 1954. A bibliographical list of Reptilia from the Karroo Beds of South Africa. Palaeontologia Africana 2:1–187
  5. (en) J.A.Ruben et T.D.Jones, « Selective Factors Associated with the Origin of Fur and Feathers »,American Zoologist,vol. 40,no 4,‎,p. 585–596(DOI 10.1093/icb/40.4.585)
  6. (en) PiotrBajdek, « Microbiota and food residues including possible evidence of pre-mammalian hair in Upper Permian coprolites from Russia »,Lethaia,vol. 49,no 4,‎,p. 455–477(DOI 10.1111/let.12156)
  7. (en) RichardEstes, « Cranial anatomy of the cynodont reptile Thrinaxodon liorhinus »,Bulletin Museum of Comparative Zoology,vol. 125,‎,p. 165–180
  8. (en) J.Benoit, P. R.Manger et B. S.Rubidge, « Palaeoneurological clues to the evolution of defining mammalian soft tissue traits »,Scientific Reports,vol. 6,no 1,‎,p. 25604(ISSN 2045-2322,PMCID 4860582,DOI 10.1038/srep25604,lire en ligne)
  9. (en) JulienBenoit, IrinaRuf, Juri A.Miyamae, VincentFernandez, Pablo GusmãoRodrigues et Bruce S.Rubidge, « The Evolution of the Maxillary Canal in Probainognathia (Cynodontia, Synapsida): Reassessment of the Homology of the Infraorbital Foramen in Mammalian Ancestors »,Journal of Mammalian Evolution,vol. 27,no 3,‎,p. 329–348(ISSN 1064-7554,DOI 10.1007/s10914-019-09467-8,lire en ligne)
  10. (en) Michael L. Power, Jay Schulkin. The Evolution of the Human Placenta.p. 68–.
  11. (en) Jason A. Lillegraven, Zofia Kielan-Jaworowska, William A. Clemens, Mesozoic Mammals: The First Two-Thirds of Mammalian History, University of California Press, 17 December 1979 – 321
  12. (en) Eva A.Hoffman et Timothy B.Rowe, « Jurassic stem-mammal perinates and the origin of mammalian reproduction and growth »,Nature,vol. 561,no 7721,‎,p. 104–108(PMID 30158701,DOI 10.1038/s41586-018-0441-3,Bibcode 2018Natur.561..104H,S2CID 205570021)
  13. (en) Qing-JinMeng, David M.Grossnickle, LiuDi, Yu-GuangZhang, April I.Neander, QiangJi et Zhe-XiLuo, « New gliding mammaliaforms from the Jurassic »,Nature,vol. 548,no 7667,‎,p. 291–296(PMID 28792929,DOI 10.1038/nature23476,Bibcode 2017Natur.548..291M,S2CID 205259206)
  14. (en) FrederickTolchard, Christian F.Kammerer, Richard J.Butler, ChristopheHendrickx, JulienBenoit, FernandoAbdala et Jonah N.Choiniere, « A new large gomphodont from the Triassic of South Africa and its implications for Gondwanan biostratigraphy »,Journal of Vertebrate Paleontology,‎, e1929265(ISSN 0272-4634,DOI 10.1080/02724634.2021.1929265,lire en ligne)
  15. (en) Kenneth D.Angielczyk et Christian F.Kammerer,Mammalian Evolution, Diversity and Systematics, De Gruyter,, 117–198 p.(ISBN 978-3-11-034155-3,DOI 10.1515/9783110341553-005,S2CID 92370138,lire en ligne), « Non-Mammalian synapsids: the deep roots of the mammalian family tree »
  16. (en) Adam K.Huttenlocker et Christian A.Sidor, « A Basal Nonmammaliaform Cynodont from the Permian of Zambia and the Origins of Mammalian Endocranial and Postcranial Anatomy »,Journal of Vertebrate Paleontology,vol. 40,no 5,‎1er décembre 2020, e1827413(ISSN 0272-4634,DOI 10.1080/02724634.2020.1827413,lire en ligne)
  17. a etb(en) M.Ruta, J.Botha-Brink, S. A.Mitchell et M. J.Benton, « The radiation of cynodonts and the ground plan of mammalian morphological diversity »,Proceedings of the Royal Society B: Biological Sciences,vol. 280,no 1769,‎,p. 20131865(PMID 23986112,PMCID 3768321,DOI 10.1098/rspb.2013.1865)
  18. (en) FernandoAbdala et Leandro C.Gaetano,The Late Triassic Record of Cynodonts: Time of Innovations in the Mammalian Lineage,vol. 46, Cham, Springer International Publishing,, 407–445 p.(ISBN 978-3-319-68008-8,DOI 10.1007/978-3-319-68009-5_11,lire en ligne)
  19. (en) FangyuanMao, ChiZhang, CunyuLiu et JinMeng, « Fossoriality and evolutionary development in two Cretaceous mammaliamorphs »,Nature,‎(ISSN 0028-0836,DOI 10.1038/s41586-021-03433-2,lire en ligne)
  20. (en) FernandoAbdala et Ana MariaRibeiro, « Distribution and diversity patterns of Triassic cynodonts (Therapsida, Cynodontia) in Gondwana »,Palaeogeography, Palaeoclimatology, Palaeoecology,vol. 286,nos 3–4,‎,p. 202–217(DOI 10.1016/j.palaeo.2010.01.011,Bibcode 2010PPP...286..202A,lire en ligne)
  21. (en) Spencer G.Lucas,Chinese Fossil Vertebrates,New York,Chichester,West Sussex, Columbia University Press,(ISBN 0-231-08482-X,lire en ligne),p. 133
  22. (en) Nicholas C.Fraser et Hans-DieterSues,In the Shadow of the Dinosaurs: Early Mesozoic Tetrapods, Cambridge University Press,
  23. (en) Hans-DieterSues, Paul E.Olsen et Joseph G.Carter, « A Late Triassic Traversodont Cynodont From the Newark Supergroup of North Carolina »,Journal of Vertebrate Paleontology,vol. 19,no 2,‎,p. 351–354(DOI 10.1080/02724634.1999.10011146,lire en ligne)
  24. (en) Tom S. Kemp,« The origin and radiation of therapsids », dans Anusuya Chinsamy-Turan,Forerunners of Mammals: Radiation, Histology, Biology,Bloomington,Indiana University Press,, 330 p.(ISBN 978-0-253-35697-0,lire en ligne),p. 3-30.
  25. (en)James A. Hopson et Herbert R. Barghusen,« An analysis of therapsid relationships », dans Nicholas Hotton III, Paul D. MacLean, Jan J. Roth et E. Carol Roth,The Ecology and Biology of Mammal-like Reptiles,Washington D. C.,Smithsonian Institution Press,, 326 p.(ISBN 978-0-874-74519-1,JSTOR 4523181),p. 83-106

Bibliographie

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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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v ·m
Différents groupes dethérapsides (« reptiles mammaliens »)
Taxonsbasaux
Genresbasaux ouproblématiques
Biarmosuchia
Estemmenosuchus uralensis (Dinocephalia) et Eotitanosuchus olsoni (Biarmosuchia).
Eutherapsida
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