La commune est connue internationalement car elle fut le théâtre de labataille de Crécy, l'une des premières de laGuerre de Cent Ans en 1346, ainsi que par son massif forestier, le plus important du département.
Le sol et le sous-sol de la commune sont formés de terrains sédimentaires tertiaires et quaternaires reposant sur un lit de marne argileuse ou sur un fond de tuf très dur. Cette marne ou ce tuf sont recouverts d'une couche de tourbe végétale d'un épaisseur variant de quelques centimètres à plusieurs mètres.
En dessous de lamarne, se trouvent des lits de grossilex et depyrite de fer. Le nord-est du plateau est argileux.
Le long de laMaye, le terrain est formé d'alluvions[6].
Le relief de la commune est celui d'un plateau bordé au nord de coteaux et d'une vallée. L'altitude varie de 23 m à 67 m au point le plus haut.
Deuxnappes phréatiques sont situées sous les bancs de marne calcaire et sous le tuf[6].
La Maye à Caumartin.
Réseau hydrographique de Crécy-en-Ponthieu.
Huit plans d'eau complètent le réseau hydrographique : la mare sans Eau, la mare Sèche, la mare aux Galandeaux, la mare Bouloie, la mare Caillet, la mare d'Antilly, la mare du Faux Soleil et la mare du Hallot[Carte 1],[8].
Le territoire communal est couvert par leschéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par lebassin versant de laSomme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[9].
Au, Crécy-en-Ponthieu est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16].Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Abbeville, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
C'est la commune la plus étendue du département de laSomme.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d'occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,3 %),terres arables (26,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,4 %), prairies (3,6 %), zones urbanisées (1,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %)[19]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Crécy-en-Ponthieu en 2019 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion derésidences secondaires et logements occasionnels (11,3 %) supérieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 67,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (66,5 % en 2014), contre 60,2 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 4].
Il s'agit d'un type toponymique gaulois ou gallo-romain, basé sur le suffixe-(i)acum[21], d'origine celtique, marquant le lieu, puis la propriété et qui a généralement donné la terminaison-y dans la plupart des régions au nord de la France. L'élémentCréc(i)- représente unanthroponyme[21], comme c'est souvent le cas. C'est sans doute le nom de personne gauloisCrixsius[21] (Crixsos) bien attesté dans l'épigraphie gauloise et gallo-romaine et équivalent du latinCrispus[23], surnom signifiant « le Crêpu, le Frisé (de cheveux) ». Leceltique insulaire conserve ce mot : galloiscrych, bretoncrech « frisé, crépu »[23].
Homonymie avec les nombreuxCrécy, Crécey,Cressy,Cressac, Creyssac, Cressat, Créssé, Crissay, Crissé etCrissey, etc.[21].
Des cercles, des enclos préhistoriques et des tumulus ont été trouvés en forêt de Crécy aux lieux-dits : laHutte des Grands Hêtres, lesGrands Hêtres, lePoteau de Nouvion. Ils daterait de laCulture des champs d'urnes, à la fin de l'âge du bronze[24].
Unmenhir se trouve au lieu-dit laLongue Borne[25].
Crécy est occupée aux temps gallo-romains. On a retrouvé des armes, des monnaies, des objets de bronze et un cimetière datant de cette époque sur le territoire de la commune[6],[26].
En 1435, lesÉcorcheurs sévissent dans la région de Crécy, le duc de Bedford tint garnison à Crécy. Charles Desmarest, capitaine de la ville de Dieppe, incendia Crécy.[réf. nécessaire]
Les roisCharles VI etCharles VII séjournèrent à Crécy. Le roiLouis XI vint chasser dans la forêt de Crécy où il fit construire un chenil[26].
Le roiFrançois Ier vint chasser à Crécy, dans la première moitié du XVIe siècle[26].
En 1636, les habitants de Crécy mirent en pièces une armée espagnole. En représailles, les Espagnols incendièrent Crécy. Les habitants se réfugièrent pendant six ans dans la forêt[26].
En 1683, il existait une école de garçons à Crécy, et, en 1702, une école de filles[26].
En 1848, un escalier monumental est construit sur la place de Crécy pour faciliter l'organisation des premières élections au suffrage universel.[réf. nécessaire]
Ils sont surpris ou se sont rendus délibérément (on ne connait pas encore la vérité) aux gendarmes qui avaient été avertis par quelques jeunes excités, pressés d'en découdre à la veille de la Libération. Le groupe de gendarmes et de civils ramènent leurs prisonniers à la gendarmerie lorsqu'ils sont surpris par une colonne d'arrière garde allemande, forte d'au moins deux compagnies (entre 100 et 200 hommes) appartenant sûrement au 935 Grenadiers Régiment de la 245 ID fuyant Abbeville libérée par les Polonais de la1re DB.
Le groupe se barricade dans la gendarmerie avec prisonniers, femmes et enfants des gendarmes et trois civils. La gendarmerie est alors encerclée par la colonne menaçante qui veut libérer les siens et punir cette initiative. Le rapport de force étant ce qu'il est, après quelques échanges de tirs, le commandant de la gendarmerie n'a pas d'autre solution que de se rendre.
Avant la reddition, deux gendarmes parviennent à s'échapper, les trois autres préférant rester auprès des femmes et des enfants. Le commandant de la gendarmerie réussit quant à lui, à faire fuir par l'arrière deux des civils âgés de 18 ans. Une fois la gendarmerie tombée, les3 gendarmes restants et4 civils (dont le fils du commandant de gendarmerie âgé de 17 ans) sont emmenés à la sortie du village. Les 6 hommes sont abattus froidement, un à un, devant le jeune fils du commandant de gendarmerie par deux lieutenants (certainement les commandants de compagnies). On ne sait pas pourquoi Michel Berle a été épargné[30].
Le, l'ancienne commune de Marcheville est rattachée à Crécy-en-Ponthieu (fusion-association) et devient commune associée[31].
Crécy-en-Ponthieu a été classée commune touristique par l'Etat en 2022, ce qui met en valeur le travail accompli et permet d'obtenir des financements majorés[39].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43].
En 2022, la commune comptait 1 352 habitants[Note 4], en évolution de −7,96 % par rapport à 2016 (Somme : −1,26 %,France horsMayotte : +2,11 %).
La population de la commune est relativement âgée.En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 30,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 34,4 % la même année, alors qu'il est de 26 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait665 hommes pour738 femmes, soit un taux de 52,6 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,49 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[45]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,8
90 ou +
4,5
8,5
75-89 ans
15,3
19,1
60-74 ans
19,0
22,1
45-59 ans
18,3
16,6
30-44 ans
13,9
13,3
15-29 ans
14,1
18,6
0-14 ans
14,9
Pyramide des âges du département de laSomme en 2021 en pourcentage[46]
EMHISARC (Émulation historique et archéologique) : société savante fondée en 1968 qui a pour but de faire des recherches sur l'histoire de Crécy et de les transmettre. Elle a créé un musée à Crécy et le gère.
La salle de CinémaLe Cyrano a une capacité d'accueil de 270 places.
Football : « L'ententeAuxi-le-Château - Crécy-en-Ponthieu », lors de la saison 2006/2007, a vu les 18 ans gagner leur championnat et atteindre la demi-finale de la Coupe du Ponthieu (défaite aux tirs au but contre Abbeville-US).
Les activités économiques de Crécy sont surtout représentées par les services : commerce, artisanat, banque, tourisme, santé, enseignement maternel, primaire et secondaire (collège).
L'agriculture se diversifie : la commune dispose d'un vignoble mis en place dans le cadre du projet des 130, en référence aux130 parcelles destinées à la production de vin blanc dans la région[47].
Croix du bourg, parfois appelée « lanterne des morts »[49], son origine et sa fonction initiale restent controversées[50]. Certains chercheurs ont tenté une analogie avec une douzaine d'édifices du même type qui auraient été érigés (à la fin duXIIIe siècle) en Angleterre[51] là où passa la dépouille funèbre d'Éléonore de Castille[52]. Une tradition, rapportée par l'instituteur en 1890, évoque l'érection de ce monument par les bourgeois de la cité en souvenir de l'accès de celle-ci au statut decommune[53]. D'autres estiment que la facture d'ensemble et l'appareil en brique éliminent toute possibilité d'une date antérieure auXVIe siècle. Dans son état actuel, cette structure en brique et pierre, à la silhouette très effilée, n'évoque en rien son libellé decroix, ce qui surprend forcément. Plusieurs restaurations et modifications peuvent être attestées[54], au moins par des documents iconographiques postérieurs à laRévolution française. Des gravures et dessins duXIXe siècle attestent la présence d'une croix de fer forgé fixée en son sommet[55], qui fut dans un premier temps remplacée par une autre, plus épaisse, en pierre[56]. De nos jours, et depuis laséparation de l'Église et de l'État[57], cette dernière fait place à une pomme de pin réalisée en pierre. Dressé sur un socle de brique, l'édifice présente quatre niveaux sous cette pomme de pin. Les trois niveaux inférieurs sont de section carrée, avec une colonne à chaque angle, alors que celui du dessus est cylindrique. Chaque colonne du niveau le plus bas est ornée d'unchapiteau, présentant chacun trois faces. Un chapiteau est orné d'unefleur de lys sur chaque côté, alors que les autres arborent une pomme de pin encadrée de part et d'autre d'une large feuille dressée. La transition entre le premier niveau et le second est assurée par une partie intermédiaire en pyramide tronquée, décorée sur chaque face par un damier de briques. Un pierre horizontale au bordmouluré assure le maintien du deuxième niveau qui, comme le précédent, a chacune de ses faces occupée par une sorte deniche étroite et peu profonde, au sommet enplein-cintre. La pierre plate séparant les deuxième et troisième niveaux présente la particularité d'une excroissance à chaque angle et au milieu de chaque côté, assurant par une rotation de 45 degrés la fin des colonnes inférieures et le début des colonnes supérieures. Jusque vers laPremière Guerre mondiale, chaque angle du socle de l'édifice était protégé par un bloc degrès en guise dechasse-roue. Ces quatre blocs en grès mériteraient de retrouver leur place afin de protéger le monument d'une malencontreuse manœuvre d'un véhicule. Une gravure et une photo duXIXe siècle montrent à proximité immédiate une sorte de potence à deux bras munis de crochets[58]. L'emploi de cetéquipement semble avoir été oublié de nos jours. Pourrait-il s'agir d'une sorte d'étal ou de table utilisé les jours de marché (une carte postale ancienne désigne cet endroit comme « le marché au beurre ».) ou justement d'un support permettant de suspendre des lumières (ce qui expliquerait peut-être alors la variante du nom de l'édifice : lalanterne des morts) ?
Réplique d'une arbalète exposée dans une vitrine du Musée municipalEmhisarc.
Église Notre-Dame-du-Bon-Secours
Église du hameau de Marcheville.
Chapelle Notre-Dame-de-Lourdes à Marcheville, bénie en septembre 1883[59].
MuséeEmhisarc, dont le nom est tiré de l'abréviation de l'association locale qui l'a créé et qui le gère, « Émulation historique et archéologique ». Bénéficiant de locaux réaménagés, il est consacré à l'histoire de Crécy et des environs et expose de nombreux objets, maquettes, illustrations :
Le musée a fermé ses portes en novembre 2019. Un nouveau centre d'interprétation voit le jour en 2021. Le Centre Historique Crécy la bataille est dédié au Moyen Âge et à la célèbre bataille de Crécy (1346).
Monument à Jean de Luxembourg, roi de Bohême.
Mémorial à Jean de Luxembourg, roi de Bohême Ce mémorial, œuvre du sculpteurEmmanuel Fontaine, dressé sur la place du bourg, est dédié au prince « aveugle », Jean de Luxembourg, roi de Bohême, petit-fils deSaint-Louis du côté maternel et familier de la cour dePhilippe VI de Valois. Il jouissait d'un grand prestige et par convention s'était engagé à soutenir le roi de France avec des troupes en cas de conflit. C'est ainsi que, malgré son infirmité[Note 5], il prit part, à Crécy, au combat aux côtés du roi de France en 1346 et y fut tué. L'érection de ce monument en 1905 fut financée grâce à une souscription internationale enFrance,Bohême etLuxembourg. Sur le piédestal a été gravée cette inscription : « A Jean de Luxembourg roi de Bohême et à ses vaillants compagnons d'armes morts pour la France à Crécy le. »
Moulin d'Édouard III Le moulin fut détruit auXIXe siècle. Le lieu-dit Moulin d'Édouard III rappelle un détail pittoresque de la bataille[60]. C'est de ce moulin d'Édouard III aurait observé le déroulement de la bataille. Le site, juste à la sortie de la bourgade, est aménagé pour permettre d'embrasser du regard le champ de bataille. Une tour d'observation en bois (à deux étages) s'y dresse depuis 1984.
Croix de Bohême.
Croix de Bohême Dressée en pleine campagne, sur le territoire de la commune d'Estrées-lès-Crécy, au bord la route de Fontaine-sur-Maye, sur les lieux supposés de la mort du roi de Bohême JeanIer, cette croix, très ancienne et usée par l'érosion daterait duXIVe siècle. C'est le plus ancien monument commémoratif de la bataille de Crécy connu. Le monument fut légèrement déplacé et son socle rénové en1902.
Lemonument aux morts 1914-1918 de Crécy fut réalisé pendant l'entre-deux-guerres par l'entreprise Delwaulle d'Hesdin. C'est un modèle courant de coq gaulois choisi par de nombreuses communes[61].
Stèle à la mémoire des six fusillés du 3 septembre 1944.
Médaille d'argent « pour le mérite » de la ville de Prague. Décret de l'Assemblée municipale dePrague du 3 juillet 1905 : « L'assemblée municipale de la capitale royale de Prague a conféré, en séance du 3 juillet 1905, la médaille d'argent pour le mérite de la ville de Crécy, sur les champs de bataille de laquelle est mort en héros pour la France, le 26 août 1346, Jean de Luxembourg, roi de Bohème et où, au rang de ses compagnons d'armes, se trouva Charles, prince héritier du royaume de Bohème »[64].
Croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze. Citation à l'ordre du régiment du 11 novembre 1948 : « Occupé pendant toute la guerre, a supporté courageusement le joug de l'envahisseur. Dix-neuf de ses enfants ont été tués dont six furent fusillés par les Allemands et deux morts en déportation. Sa population a, malgré les violents bombardements (en particulier ceux de juin 1944) et les souffrances subies, su garder intacte sa confiance dans la victoire finale »[64].
Détails
Les armes de la commune sont des armes parlantes (Crécy /croissant) comme celles deCrécy-la-Chapelle. Leur origine est inconnue. Le comte de Ponthieu octroya une charte communale à Crécy en 1194[64]. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
JacquesLengagne,La forêt de Crécy-en-Ponthieu, 1 400 ans d'histoire, Inval-Boiron, La Vague verte, Inval-Boiron,, 150 p.(ISBN2-913924-80-8)
François-César Louandre,Histoire d'Abbeville et du comté de Ponthieu jusqu'en 1789, tome 1, 1883 ; réédition, Paris, Le Livre d'histoire Lorisse, 1998(ISBN2-84 435-013-5) - tome 2(ISBN2-84435-014-3).
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Des historiens émettent des doutes sur le degré réel de sa cécité. Il n'aurait pu être, par exemple, que borgne ou gravement myope !… les chroniqueurs ayant été exagérément hagiographiques pour souligner le courage particulier du roi de Bohême. L'invraisemblance des conditions dans lesquelles il aurait combattu n'a pas manqué d'être relevée : combat à l'épée alors que son cheval est attaché (à droite et à gauche) à deux autres chevaux montés chacun par un autre guerrier.
↑ab etcNotice géographique et historique sur la commune de Crécy-en-Ponthieu, rédigée par Monsieur Hoël, instituteur, 1899, Archives départementales de la Somme.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑Jacques Dulphy, « Régis Lécuyer : « c'est non ! » : Maire depuis 1989, le maire Régis Lécuyer a rendu hommage avec beaucoup d'émotion à tous ceux qui ont œuvré à ses côtés pour le bien communal »,Courrier picard, édition d'Abbeville,(lire en ligne).
↑Vincent Beny, « Crécy-en-Ponthieu : L'ancien maire Régis Lécuyer suspendu deux ans de la légion d'honneur : Trois ans après sa condamnation pour harcèlement moral, Régis Lécuyer, l'ancien maire de Crécy-en-Ponthieu a été suspendu de la Légion d'honneur pour deux ans »,Le Journal d'Abbeville,(lire en ligne, consulté le).
↑Rémy Le Lez,Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 31 mars 2014,p. 35.
↑Matthieu Herault et Jeremy Hebras, « À Crécy-en-Ponthieu, Michel Klapsia a demandé l'annulation de l'élection : Un recours en annulation est déposé au tribunal administratif d'Amiens. Michel Klapsia conteste la sincérité du scrutin sur la base deux arguments : une faible participation liée à la crise sanitaire et la diffusion d'un tract le 13 mars »,Le Courrier picard,(lire en ligne, consulté le)« Alors que le conseil municipal de Crécy-en-Ponthieu issu de l'élection du 15 mars s'est installé ce mardi 26 mai, réélisant le maire Gérard Lheureux ».
↑Vincent Beny, « Gérard Lheureux, maire de Crécy-en-Ponthieu (Somme) : « Il faut avoir l'esprit communautaire et travailler ensemble » : Élu depuis 1977, maire de Crécy-en-Ponthieu depuis mars 2014, Gérard Lheureux évoque sans détour les réalisations dans sa commune ainsi que les projets »,Le Journal d'Abbeville,(lire en ligne, consulté le).
↑Vincent Beny, « Crécy-en-Ponthieu reconnue commune touristique : Crécy-en-Ponthieu est désormais reconnue commune touristique. En plus d'une bonne publicité pour le village, cela va lui permettre d'avoir une dotation de l'État plus importante »,Le Journal d'Abbeville, 10/20/2022(lire en ligne, consulté le).
↑« Jumelage: la signature c'est dimanche »,Courrier picard,(lire en ligne).
↑Elisa Humann, « Dans les coulisses de la fabrication du Chardonnay : Alors que le vin blanc est servi au sénat, il est possible d'en savoir plus sur sa fabrication et le déguster en visitant le chai de Dompierre-Becquincourt, à l'ouest de Péronne. »,Courrier picard, édition Picardie maritime,,p. 24.