La première course cycliste officielle, le (auParc de Saint-Cloud, vainqueurJames Moore).Programme des courses de vélocipèdes qui auront lieu le dimanche 6 août 1871,Mons.Chereau, champion de France de vitesse sur 10 kilomètres, en avril 1889.
Le baron allemandKarl Von Drais invente en1816 ladraisienne[1], considérée comme l'ancêtre de labicyclette[2]. C'est un véhicule à deux roues alignées que le cycliste fait avancer en poussant sur le sol avec ses pieds. Il présente son invention àParis, le[2]. En 1861, le carrossierPierre Michaux et son fils Ernest commencent la fabrication des premiers vélocipèdes à pédale[3]. Pierre Michaux appelle cette pédale « pédivelle » et en généralise la fabrication en créant son entreprise en1865, la « Maison Michaux » qui devient « La Compagnie parisienne » en1869. Il est question, à partir de1867, de succès populaire. Des engins similaires au vélocipède Michaux ont beaucoup de succès aux États-Unis à partir de1866, lorsque Pierre Lallement, ancien associé de Pierre Michaux, obtient un brevet américain pour une machine qu'il appelle « bicycle ». Vers la fin desannées 1870 apparaît legrand-bi. Il a une roue avant d'un très grand diamètre et une roue arrière plus petite. L'intérêt de la grande roue avant est d'augmenter la distance parcourue pour un tour de pédale. La roue avant étant plus haute et plus grande que la roue arrière, la conduite de l'engin est dangereuse et difficile.
Deux ans plus tard, les premiers clubs cyclistes sont fondés : les Véloces Clubs de Paris, Toulouse, Rouen. En1880,John K. Starley de la sociétéThe Coventry Sewing Machine Company (« société des machines à coudre de Coventry »), qui deviendraRover, invente la « bicyclette de sécurité » avec des roues de taille raisonnable et une transmission par chaîne. Le cycliste y est installé à l'arrière, ce qui rend presque impossible la chute de type « soleil » où le cycliste est catapulté par-dessus la roue avant. Le, l'Union vélocipédique de France (UVF) est créée àParis. L'ÉcossaisJohn Boyd Dunlop invente lepneumatique en1888, ce qui contribue à améliorer encore le confort du cycliste. Trois ans plus tard,Michelin invente le pneu démontable. En1896, le cyclisme devientsport olympique. En 1900, l'Union cycliste internationale est créée.
En 1910, laroue libre fait son apparition sur leTour de France (compétition créée en 1903), puis ledérailleur en 1937. En 1941, sous lerégime de Vichy,Jean Borotra interdit aux femmes de participer à des compétitions cyclistes, jugeant que ce sport est nocif pour elles[4]. En 1945, l'UVF est remplacée par laFédération française de cyclisme (FFC). LaFédération Internationale de cyclisme amateur, fondée en 1900 par les membres des fédérations américaine, belge, française, italienne et suisse, fusionne en1993 avec laFédération Internationale de cyclisme professionnel pour devenir l'Union cycliste internationale (UCI). Plus de 170 fédérations nationales sont affiliées à l'UCI.
L'équipement diffère sensiblement selon le type de pratiquant.
En randonnée amateur ou en simple circulation, le port ducasque par le cycliste n'est pas obligatoire, comme lephare, lorsque son utilisation n'est pas nécessaire (hors d'untunnel, par beau temps, par exemple), bien que tous deux conseillés. On peut également installer des pare-boue (surtout en temps pluvieux ou dans une zone forestière). Mais il est obligatoire de porter et d'utiliser un phare diffusant un rayon blanc ou jaune lorsque le temps ou le lieu l’exige (dans un tunnel, lorsque le temps est pluvieux), de même qu'une bicyclette doit porter tout le temps uncatadioptre blanc à l’avant et rouge à l'arrière du véhicule, et que le conducteur doit porter sur lui un gilet (recommandé hors agglomération, obligatoire de nuit ou quand la visibilité est nulle ou mauvaise (brouillard)).
En course, lors de compétitions professionnelles, le port du casque est obligatoire dans toutes les disciplines afin d'éviter les accidents, tout comme pour letriathlon[5]. De plus, depuis le1er janvier 2000, l’UCI a réglementé le poids minimum des bicyclettes à 6,8 kg (article 1.3.019).
Le cyclisme urbain constitue la branche du cyclisme dévolue autransport urbain. Il s'agit de tout ce qui est relatif aux déplacements àvélo sur de petites et moyennes distances (quelques kilomètres) en milieu quasi exclusivement urbain (dans laville et sa prochebanlieue), c'est-à-dire en partageant lavoirie avec les autresmodes de déplacement motorisés ou non. Sur une distance entre un et sept kilomètres le vélo est le mode de transport le plus rapide. Au-delà de cette praticité, le cyclisme urbain vise à limiter lapollution et à diminuer l'engorgement croissant des villes par l'usage massif de l'automobile. De plus, ses bienfaits multiples pour la santé individuelle sont reconnus. Il fait partie de l'écomobilité.
Des aménagements spécifiques peuvent être construits pour tenter d'améliorer les conditions de circulation des cyclistes urbains. Ces aménagements peuvent être des bandes ou pistes cyclables,zone de rencontre,double-sens cyclable et parkings dédiés aux vélos (ou vélos et cyclomoteurs). Des feux cyclistes spécialement dédiés sont également mis au point.
Même si les aménagements se répandent dans nos villes, 61 % des Français considèrent encore qu'il est trop dangereux d'utiliser le vélo comme moyen de transport. C'est 9% de plus que la moyenne mondiale qui considère à 52 % que ce moyen de transport est trop risqué[6].
Le cyclotourisme est la pratique de la randonnée à bicyclette, réalisée sans esprit de compétition. Le cyclotourisme se présente sous de multiples formes, de la promenade et de la pratique familiale à allure libre jusqu'aux rallyes et brevets sur tous les parcours et toutes les distances : rallyes libres, brevets-randonneurs, flèches, diagonales,cyclo-découvertes, cyclo-montagnardes,Audax. Créé en 1890, leTouring Club de France est la seule association représentative du cyclotourisme enFrance de la fin duXIXe siècle au début duXXe siècle. Par la suite, le club se tourne vers le tourisme automobile, ce qui amène la création le de la Fédération Française des Sociétés de Cyclotourisme, rebaptisée en 1945Fédération française de cyclotourisme (FFCT). À partir desannées 1970, le développement de la Fédération est devenu régulier et le nombre de clubs ne cesse d'augmenter en France.
Le principe du cyclisme dans sa versionsportive est de parcourir une distance donnée à bicyclette le plus rapidement possible. Les concurrents sont répartis dans des catégories en fonction de leur âge, de leur sexe et de leur niveau. Pratiqué dans le cadre d'une association ou en individuel, avec inscription à une épreuve ou en sortie libre, il s'agit ducyclosport dont les pratiquants sont lescyclosportifs[10].
Les épreuves decyclisme sur piste se déroulent sur des vélodromes et prennent des formes plus diversifiées : il existe des épreuves individuelles et des épreuves par équipes, des épreuves de sprint, de demi-fond et de fond. Les plus connues sont la vitesse, la poursuite et le kilomètre. Les principales compétitions sont lesJeux olympiques et lesChampionnats du monde de cyclisme sur piste. Lecyclocross est une spécialité hivernale, qui se court en circuit. La course dure une heure environ, sur un revêtement souvent mixte (asphalte et terre). LeBMX est essentiellement caractérisé par sa très petite taille et ses roues de 20", ce qui lui confère une maniabilité sans égale et a permis la création de plusieurs disciplines :race,dirt,flat, rampe,street.
Levélo tout terrain, également appelée VTT, est la plus récente du cyclisme sportif. Le vélo tout terrain (ouMountain Bike) a été inventé aux États-Unis en 1970. Il a été importé en France quelques années plus tard. Ce terme désigne également le vélo avec lequel cette discipline est pratiquée : compte tenu de sa polyvalence, ce type de vélo est, avec le VTC, le plus vendu en France actuellement[11].
Les épreuves cyclosportives (ou cyclosport) sont à mi-chemin entre le cyclotourisme des randonneurs et la compétition cycliste, mais il s'agit d'épreuves de masse proposées à tous les cyclistes : les organisateurs proposent des dossards, un classement et un chronométrage comme dans les marathons de course à pied. En France, plus de 150 sont dénombrées, la plus célèbre et la plus ancienne étant « La Marmotte », créée en 1982 dans les Alpes, qui attire plus de 8 000 participants.
Lecyclisme handisport est unsport dérivé du cyclisme et des compétitions existent depuis les années 1960.
Pour participer aux courses les coureurs doivent être licensiés de laFFC ou UFOLEP. Malgré l'engouement prononcé pour le cyclisme ces trois dernières années, le nombre de licensiés baisse et est passé de 112 000 à 104 000 licenciés entre 2019 et 2020[12].
Lesport cycliste est inscrit de longue date aucalendrier desJeux olympiques d'été. Les épreuves sont ouvertes tant aux hommes qu'aux femmes. Les épreuves sur route incluent la course en ligne et l'épreuve du contre-la-montre. Le cyclisme sur piste est également présent avec différentes disciplines et, depuis quelques années, lemountain-bike et leBMX ont été inclus au programme.
Chaque pays organise ses propres championnats pour déterminer les meilleurs athlètes par discipline. LesChampionnats de France de cyclisme sont organisés tous les ans par laFédération française de cyclisme. Ils rassemblent des athlètes par équipes et par régions et se déclinent par catégories d'âge (cadets, juniors, espoirs et élite). EnEurope, il existe des championnats d'Europe dans chaque discipline.
La rédaction deL'Équipe magazine a établi un classement des 100 sportifs du siècle[13].Eddy Merckx, classé neuvième, est le premier d'entre eux. Quatre autres cyclistes ont été retenus :Fausto Coppi,Jacques Anquetil,Alfredo Binda etBernard Hinault. Tous sont issus de laroute et aucune femme ne figure dans ce classement. Par ailleurs, Eddy Merckx a été élu« Coureur du siècle » par l'UCI[14]. Chaque année, plusieurs titres de meilleurs coureurs sont décernés. Le plus prestigieux de ces honneurs reste leVélo d'or. Citons également leMendrisio d'or et le coureur UCI de l'année.
La piste est également utilisée pour établir desrecords de temps sur une distance déterminée, ou de distance parcourue pendant une durée déterminée. Le plus célèbre est lerecord de l'heure, qui consiste à parcourir seul la plus grande distance possible pendant une heure. L'histoire du record de l'heure a été jalonnée par les exploits des plus grands coureurs spécialistes du contre-la-montre sur route ou de la poursuite sur piste (parmi lesquelsFausto Coppi,Jacques Anquetil,Eddy Merckx,Francesco Moser,Miguel Indurain peuvent être cités).
La plus grande vitesse jamais atteinte sur du plat, l'a été par le NéerlandaisSebastiaan Bowier en septembre2013, portant le record du monde à133,78km/h, sur sonvélo couché hautement aérodynamique, grâce à uncarénage aérodynamique[15]. C'est le record toutes catégories pour les véhicules à propulsion humaine.
L'ultracyclisme est une discipline regroupant les compétitions disputées sur de très longues distances.L'épreuve la plus connue de l'ultracyclisme avec assistance véhiculée est laRace Across AMerica (RAAM)[réf. nécessaire].
À la fin du XIXe siècle, levélocipède moderne, enfin stable, connaît un formidable engouement. Tandis que des médecins s’évertuent à dénoncer ses "dangers" pour le "sexe faible", des femmes défient l’ordre établi, s’affranchissent des codes vestimentaires en vigueur – avec la naissance dubloomer, une sorte de jupe-culotte – et goûtent à une liberté de mouvement inédite en enfourchant leur deux-roues.
L’essor du cyclisme féminin est devenu emblématique d’un mouvement plus large en faveur de l’égalité des sexes dans le sport. Les femmes ont commencé à adopter le cyclisme comme moyen d’expression personnelle et d’activité physique. L’acceptation croissante de la participation des femmes aux compétitions cyclistes a catalysé un changement culturel qui a remis en question des normes sociétales de longue date. "La bicyclette a fait plus pour l’émancipation des femmes que n’importe quelle chose au monde", affirmait en 1896 la militante américaine des droits civiquesSusan B. Anthony. Des figures pionnières commeAnnie Londonderry, première femme à boucler un tour du monde à vélo ; l'afro-américaineKittie Knox, devenant membre de laLeague of American Wheelmen(en), la ligue américaine de cyclisme ; la cascadeuse belgeHélène Dutrieu ; la coureuse transalpineAlfonsina Strada, qui prit part à deuxTours d’Italie sont devenues des noms connus du grand public, attirant l’attention du public et inspirant d’autres personnes par leurs exploits. A la fin du XIXe siècle, des courses entre coureuses britanniques et françaises ont lieu auRoyal Aquarium àLondres[16],[17]. ABuffalo, des meetings féminins y sont donnés ; les championnes avaient pour nomMarie Tual,Clara Grace, mesdemoisellesEteogella,Serpolette,Reillo, Blanche, Georgette, Marcelle ouLisette[18] ou encoreHélène Dutrieu[19].
De 1984 à 1989, un Tour de France féminin est couru enlever de rideau de l'épreuve masculine. Cette épreuve est organisée par laSociété du Tour de France organisatrice duTour de France masculin. En1990, cette épreuve change de nom et de format : elle devient le Tour de la CEE féminin qui s'arrête en1993.
Les jeux olympiques accueillent une épreuve féminine sur route depuis 1984, des compétitions féminines sur piste depuis 1988[22]. En 2012, pour rétablir la parité auxjeux olympiques de Londres, le programme du cyclisme féminin est similaire au programme du cyclisme masculin : il comprend une course sur route (médaille d'or pourMarianne Vos, néerlandaise), une course contre la montre (médaille d'or pourKristin Armstrong, américaine), une épreuve de vitesse (médaille d'or pourAnna Meares, australienne), une compétition dekeirin féminin (médaille d'or pourVictoria Pendleton, britannique), l'omnium (médaille d'or pourLaura Kenny, britannique), la vitesse par équipes, la poursuite par équipes, ainsi qu'un cross-country en V.T.T. (médaille d'or pourJulie Bresset, française) et une compétition de B.M.X. (médaille d'or pourMariana Pajón, colombienne)[23].
Les exercices physiques du cyclisme sont liés à l'amélioration de la santé et au bien-être. Elles assurent, selon la plupart des études de santé[26],[27], laperte de poids, améliorent l’endurance, diminuent les temps de récupération, permettent d'éviter lesmaladies cardiovasculaires liées à l'âge et amplifient lesvoies respiratoires[28]. Tous ces effets sont bons à long terme. Néanmoins, les risques sont prépondérants en cas d'efforts trop fréquents[28][source insuffisante]. Bien qu'exposé à lapollution automobile, les bénéficessemblent[réf. nécessaire] l'emporter sur les effets de cette pollution, par rapport aux autres modes de déplacements.
La pratique du cyclisme ne se fait pas sans risque de blessure. De telles contre-indications seraient d'abord liées au manque deprévention :vitesse trop élevée pour laroute selon son état ou son inclinaison, non-respect duCode de la route (les grillages des feux urbains, le passage d'unStop ou d'unCédez-le-passage sans considération, la conduite à gauche ou en zigzag), intolérance desautomobilistes. Ensuite, l'état de lachaussée et de lapiste cyclable peut également jouer un rôle dans le déséquilibre du cycliste et la chute de celui-ci, si elles sont déplorables. Enfin, des conditions météorologiques, telles que laneige, lagrêle ou même lafoudre peuvent contribuer à blesser, voire tuer des cyclistes.
Cette section adopte un point de vue régional ou culturel particulier et doit êtreinternationalisée (janvier 2016).
Depuis les origines du cyclisme, une presse spécialisée a accompagné son essor, tant celui du cyclisme de compétition que celui du cyclisme de loisir et du cyclotourisme. Pour la France, des ouvrages ont fait le recensement de cette littérature[32]. De 1946 jusqu'aux débuts des années 1970, la presse sportive généraliste quotidienne (L'Équipe), hebdomadaire (Miroir Sprint,Miroir des sports), mensuelle (Sport digest,Sport collection,Sport mondial,Sport & vie) a dominé le marché en ouvrant largement ses colonnes au vélo. À partir de 1960, la presse magazine cycliste à périodicité mensuelle, prend le relais avec principalement :
La France cycliste, organe de la Fédération française de cyclisme[33], paraît de 1946 à 2014 ;
Miroir du cyclisme, bimestriel la première année puis mensuel, de janvier 1960 à avril/mai 1994 ;
l'Équipe cyclisme magazine, en parution mensuelle à partir de décembre 1968, suivi deCyclisme magazine en 1975, transformé enVélo en 1978, puis enVélo magazine en 1984. Un temps appeléesVélo-sprint 2000, ces parutions relevaient toutes du groupeL'Équipe ;
Sprint international, de mars 1981 à 1986, puisSprint 2000, d'août 1986 à décembre 1988 ;
Cyclisme international, de avril 1986 à février 2004 ;
Vélo Un, de 1993 à 1999 ;
Le Cycle, de création plus ancienne, ouvert aux constructeurs de cycles et aux techniques du vélo, modernisé au début des années 1980.
Actuellement, la presse cycliste magazine est représentée par de nombreux titres, couvrant l'ensemble des activités cyclistes. Pour la France seule, par ordre d'ancienneté de parution[34] :
Cyclotourisme est édité par la Fédération française de cyclotourisme[35] depuis 1953.
Vélo Magazine, édité par le groupe industriel auquel appartient le quotidienL'Équipe, poursuit sa parution avec constance depuis les années 1970[36].
Planète cyclisme, créé en 2005, de parution bimestrielle régulière, prend la suite des magazines cyclistes indépendants des organisateurs de courses, avec modernisme[44].
Les bienfaits de ce sport pour la santé sont mis en avant par laFédération française de cyclisme et celle-ci demandera lors de la pandémie du Covid-19 d’autoriser à nouveau la pratique de ce sport, dès le[48],[49].
Les représentants de la Fédération française de cyclisme fustigent en parlant d'une "véritable discrimination vis-à-vis de (leur) sport"[49].
↑Bernard Déon etJacques Seray,Les revues cyclistes des origines à nos jours (complétées des revues omnisports et techniques traitant de cyclisme), 1996, Association des amis du Musée d'art et d'industrie de Saint-Étienne, 96 pages.
↑Mensuel,La France cycliste en est à sonno 2 332[Quand ?]. C'est aussi le moins cher du marché.
↑L'ancienneté de parution est déterminée par la numérotation, avec une marge d'erreur due à la périodicité. La situation prise en compte est celle d'août 2014.
Le cyclisme, Marcel Viollette, Lucien Petit-Breton, Thornwald Ellegaard, Louis Darragon, Gaston Rivierre, Paul Meyan, Ernest Mousset, préface d'Henri Desgrange, 1912, éd. Pierre Laffitte et Cie - Paris (en ligne sur Gallica - BNF).
Pierre Chany :La fabuleuse histoire du cyclisme, tome 1, Paris, éditions ODIL 1975. 1074 pages. Préface d'Antoine Blondin.
Pierre Chany :La fabuleuse histoire des grandes classiques et des championnats du monde, tome 2, Paris, éditions ODIL, 1979. 984 pages.
Gérard De Smaele,Le cyclisme dans les livres et les revues, L'Harmattan, 2015, 292 p. Préface de Keyzo Kobayashi etIsabelle Lesens. Postface de Jean Durry.
Jean Durry « et ses amis » :l'en CYCLE opédie, Lausanne, éditions Edita, 1982. 424 pages. Préface dePierre Chany, contributions deJacques Seray, Daniel Rebour, Ami Guichard, Philippe Marte, Pierre Roques, Serge Laget, etc.
PascalSergent,Encyclopédie illustrée des coureurs français depuis 1869, Eeklo, Editions de Eecloonaar,, 768 p.(ISBN90-74128-15-7).
Guy Crasset, Hervé Dauchy, Pascal Sergent,Encyclopédie mondiale cyclisme, éditions De Eecloonaar (Belgique), 2134 pages en 3 volumes, parue en 2000 avec le patronage de l'Union cycliste internationale.
Claude Sudres :Dictionnaire international du cyclisme, plusieurs éditions entre 1983 et 2004.
Ouvrages généralistes
Jacques Borgé & Nicolas Viasnoff :Archives du vélo, Monaco, éditions Michèle Trinckvel, 1998. 204 pages.
Françoise & Serge Laget :l'univers du vélo, Paris, éditions Solar, 2001. 144 pages.
Françoise & Serge Laget :Le cyclisme (La Belle époque du sport), Courlay, éditions Jadault, 1978. 98 pages. Préface deRaymond Poulidor.
Les cahiers de médiologie :La bicyclette, numéro 5-premier semestre 1998, Paris, Gallimard.
Velo, annuaire paraissant en Belgique depuis 1956, publie les résultats des compétitions cyclistes de l'année antérieure à son millésime, avec des éditions récapitulatives (la plus récente en 2009 sous l'appellationVelo plus 1869-2009, signée Joel Godaert) donnant les résultats chronologiques des courses. Ses premiers concepteurs étaient René Jacobs et Hervé Mahau, d'où son appellation courante :annuaire Jacobs.
Le guide international du cyclisme. Il paraît depuis 2003 sous la signature de Benoît Gauthier et est édité par les éditions Onlybike. On y trouve les résultats des courses cyclistes de l'année antérieure au millésime de parution et les grandes lignes des palmarès de la plupart des coureurs du peloton professionnel, amateur et junior.
L'année du cyclisme, créé en 1974 par le journalistePierre Chany auxéditions Calmann-Levy en était en 2013 à son quarantième millésime de parution. Sa vocation est plus restreinte que les deux annuaires cités précédemment mais les ouvrages sont agrémentés de nombreuses photographies.