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Conservatoire du littoral

45° 56′ 22″ N, 0° 57′ 20″ O
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Conservatoire du littoral
Histoire
Fondation
Cadre
Zone d'activité
Type
Forme juridique
Domaines d'activité
Administration publique (tutelle) des activités économiques, environnementVoir et modifier les données sur Wikidata
Siège
Pays
Coordonnées
Langue
Organisation
Président du conseil d'administration
Hubert Dejean de La Batie
Directrice
Agnès Vince
Site web
Identifiants
SIREN
OpenCorporates
data.gouv.fr
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LeConservatoire du littoral, dénommé officiellementConservatoire de l'espace littoral et des rivages lacustres (CELRL)[1], est unétablissement public administratif national français créé en1975.

Établissement membre de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), il n'a pas d'équivalent dans d'autres pays. En 2017, le Conservatoire assure la protection de200 000 hectares sur plus de 750 sites, représentant environ 1 600 km de rivages maritimes, soit 15 % du linéaire côtier[2].

Son objectif est d'acquérir un tiers du littoral français afin qu'il ne soit pas construit ou artificialisé. Il peut acquérir des terrains situés sur le littoral mais aussi sur ledomaine public maritime depuis 2002, leszones humides des départements côtiers depuis 2005, les estuaires, le domaine public fluvial et les lacs depuis 2009.

LaCour des comptes a néanmoins estimé dans unréféré du 4 mars 2013 que le Conservatoire ne disposait pas des moyens lui permettant d'atteindre les objectifs qui lui ont été fixés[3].

Il contribue également à protéger le patrimoine culturel du littoral (forts, redoutes, batteries, phares, etc.).

Histoire

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Ce conservatoire a pour origine le survol du littoral en hélicoptère en1965 par deux membres de laDATAR,Serge Antoine etJérôme Monod, qui mettent en évidence le bétonnage des côtes françaises[4].

L’État missionne alors un groupe de fonctionnaires dirigé par Michel Piquard pour faire un état des lieux de la situation du littoral français, qui se matérialise par un rapport publié le 5 novembre 1973 (« Rapport Piquard »)[5], qui recommande la création d'un établissement public foncier chargé de la gestion du littoral.

Inspiré duNational Trust anglais[6], le Conservatoire du littoral et des rivages lacustres est créé par une loi adoptée par le Parlement le 10 juillet 1975[7], et défini comme un « établissement public national chargé de conduire, sur les différents rivages français, une politique foncière de protection définitive d’un « Tiers naturel » sur le littoral ».

Il est créé pour mener une politique foncière visant à la protection définitive des espaces naturels et des paysages sur les rivages maritimes et lacustres français et peut intervenir dans les communes et cantons côtiers en métropole, dans lesdépartements d'Outre-mer et àSaint-Pierre-et-Miquelon.

Il intervient également dans les communes riveraines des estuaires, des deltas et des lacs de plus de 10 kilomètres carrés.

Fin 1976, le conservatoire acquiert ses premiers terrains sur les communes d'Étaples et deCamiers dans le Pas-de-Calais[5].

En 1977, le conservatoire reçoit son premier legs, la maison Foncin[8].

Un site protégé par le Conservatoire du littoral : la plage duTilleul, entre lecap d'Antifer etÉtretat, enSeine-Maritime

Moyens d'action : l'acquisition foncière

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Il acquiert des terrains fragiles ou menacés, à l'amiable, par préemption, exceptionnellement par expropriation ou encorevia la procédure de dation en paiement des droits de succession ou par donation ou legs.

Le Conservatoire dulittoral français acquiert ainsi chaque année 20 à 30 km2.

Après avoir fait réaliser des travaux de remise en état nécessaires, terrassements, chemins d'accès, poses de barrières et signalisation, il confie la gestion des terrains aux communes, à d'autres collectivités locales ou bien à des associations pour qu'elles en assurent la gestion dans le respect des orientations arrêtées. Avec l'aide de spécialistes, il détermine la manière dont doivent être aménagés et gérés les sites acquis, pour que la nature y soit aussi belle et riche que possible et définit les utilisations (notamment agricoles et de loisirs) compatibles avec ses objectifs.

Cependant en 2013, selon un référé de laCour des comptes[9] il lui faudrait un budget deux fois plus important pour atteindre ses objectifs (« les objectifs d'acquisition fixés en 2005 pour la stratégie 2050 impliqueraient d'acquérir 5 200 hectares par an contre3 000 hectares en moyenne sur la période examinée »)[10]. Ce référé fait suite à un autre référé (de 2008) contenant des recommandations en partie mises en œuvre depuis, en application d'une charte signée en 2009 pour un partenariat avec l'Agence des aires marines protégées afin de coordonner leurs actions respectives[10].

Le budget annuel est de l'ordre de 55 millions d'euros, dont 25 millions sont consacrés à l'acquisition et 14 millions à l'aménagement des sites. L'essentiel de ces moyens vient de l'État.

Depuis 2015, il bénéficie du droit de francisation des bateaux, soit 38,5 millions d’euros en 2016[11]. Diversescollectivités locales (communes, régions) et l'Union européenne apportent aussi leur concours comme parfois les Agences de l'eau ou l’Étatvia des possibilités rénovées d'affectation du domaine public. Lemécénat d'entreprise et de particuliers apportent également des contributions volontaires.

L'étang de Thau dans l'Hérault,Sète

Une piste complémentaire évoquée lors du Grenelle de l'environnement, de la préparation d'une loi-cadre sur la biodiversité ou parGuillaume Sainteny audité le par la commission du développement durable de l'Assemblée nationale, pourrait être l'établissement en France deservitudes environnementales[10].

L'équipe du Conservatoire du littoral comprend près de 180 personnes, installée à laCorderie royale - Centre international de la mer àRochefort, àParis et aux sièges des délégations régionales. Les recrutements s'effectuent surtout parmi les fonctionnaires. Près de 1 000 gardes et agents du littoral, recrutés par les collectivités locales et les organismes gestionnaires, assurent, tout au long des côtes, la surveillance, l'entretien des sites du Conservatoire du littoral ainsi que l'accueil du public.

Enfin, laloi Grenelle 2 a élargi le droit de préemption du Conservatoire sur les unités foncières objets de sociétés civiles immobilières (SCI) ou d'indivision.

Chiffres actualisés

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Les repères de 2017 :

  • 180 personnes travaillent au Conservatoire du littoral
  • 1 000 agents du littoral (gardes, animateurs, agents d'entretien) œuvrent sur les terrains, ayant tous des employeurs différents
  • les sites sont fréquentés par environ 40 millions de visiteurs
  • le budget consacré au Conservatoire est de 55 millions d'euros en 2017
  • le domaine géré par le Conservatoire est passé de88 000 hectares en 2006 à194 000 hectares en 2017
  • 1 600 km de rivages protégés
  • 200 000 ha d'espace littoral protégé
  • 750 sites naturels protégés

Les sites protégés

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Rivages maritimes

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Hauts-de-France

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  • Logo d'Eden 62
    Logo d'Eden 62

Les Sites du Conservatoire du littoral sont gérés dans le Pas-de-Calais par le Syndicat-MixteEden 62.

Normandie

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Calvados
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Estuaire de l'Orne
Pointe du Hoc
Manche
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Seine-Maritime
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La falaise d'Amont (Étretat)

Bretagne

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Côte de granit rose en Bretagne
Côtes-d'Armor
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Finistère
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Ille-et-Vilaine
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Morbihan
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Pays de la Loire

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Les marais de l'estuaire de la Loire àLavau-sur-Loire

Nouvelle-Aquitaine

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LeDomaine de Certes sur lebassin d'Arcachon

Occitanie

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Sète et le rivage de l'étang de Thau
LesSalins de Frontignan

Provence-Alpes-Côte d'Azur

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Cap Taillat
La rade d'Hyères

De l'ouest à l'est :

  • LeCap d'Antibes(2001[12])
  • liste détaillée des propriétés en Provence-Alpes-Côte d'Azur
    • LaCamargue :
      • Mas de la Cure (287 hectares)
      • La Palissade[5]
      • Marais du Vigueirat
      • La Bélugue et Beauduc-Fangassier
      • Bois de Tourtoulen
      • Theys de l'embouchure du Rhône
      • Le Mas Neuf du Vaccarès et la Terre de Méjanes
      • Mas de Taxil
      • Le Vaccarès
      • La Poudrerie de Saint-Chamas
      • Domaine de Rousty - Marais de Bourgogne
    • LaCrau :
      • Négreiron - La Crau - Coucou Marais
      • La Crau (1093 hectares)
      • Les Marais de Meyranne
    • L'Étang de Berre :
      • L'Étang de Bolmon et lelido du Jaï (710 hectares) entre la Côte Bleue et l'Etang de Berre
      • Lapetite Camargue : Les Palous de Saint-Chamas (85 hectares) sur la commune de Saint Chamas
      • Marais de Tête Noire (17 hectares)
      • Collines de Cadéraou-Figuerolles (410 hectares) sur la commune de Saint-Mitre-Les-Remparts
      • CitisPourra (160 hectares)
    • LaCôte Bleue (3 304 hectares) dans les Bouches-du-Rhône
    • Les Calanques :
    • St Cyr-sur-Mer :
      • Pointe Grenier (Madrague Nartette)
      • Port d'Alon-Nartette
      • L'Ile du Grand-Rouveau
      • Cap Sicié - Les Gabrielles
    • Le Massif de la Colle Noire :
      • La Colle Noire - La Garonne
      • Cap Brun
      • Le Bois de Courbebaisse
      • La Sabatière
      • La Coudoulière
    • La Rade d'Hyères :
      • Ile de Port-Cros
      • Les Vieux Salins
      • Presqu'île de Giens
      • Les Salins des Pesquiers
      • La Pinède du Bastidon
      • Cap Bénat - La Sanglière
      • Les Collines de Cavalière
      • Île de Porquerolles
    • Lapresqu'île de Saint-Tropez :
    • LesMaures :
    • LeMassif de l'Esterel (369 hectares)
    • La Riviera :
      • Serre de la Madone
      • Cap-Martin : Le Corbusier - Eileen Gray[20],[21]
      • Le Fort-Carré
      • La Croix des Gardes
      • Bois de la Garoupe[5]
      • Le Mont Vinaigrier
      • Massif du Paradou
      • Le Mont-Alban
     

    Corse

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    liste détaillée des propriétés en Corse
    • Balagne
      • Rivages de Corbara (25 ha, dont Percepina 18 ha et pointe de Varcale 7)
      • La Revellata (63 ha)
      • Vallée du Fango (139 ha)
      • Crovani (24 ha)
      • Iles de la Pietra (12 ha)
      • Lozari (65 ha)
    • Pointe du Cap Corse (666 hectares)
      • Ilot Capense (2 ha)
      • Moulins Calbelle et Mattei (2 ha)
    • Le golfe d'Ajaccio
      • Ricantu Capitellu (41 ha)
      • Capo di Muro (212 ha)
      • Capo di Feno (672 ha)
    • Le golfe de Porto
      • Scandola (493 ha)
      • Girolata (41 ha)
      • Gradelle Caspiu (215 ha)
      • Punta Bianca
      • Bussaja (75 ha)
      • Capo Rosso (89 ha)
    • Lagunes de la côte Orientale
      • Terrenzana (152 ha)
      • Etang del Sale (280 ha)
      • Pinia (363 ha)
      • Palu et Gradugine (302 ha)
      • Etang d'Urbino (787 ha)
      • Travu (35 ha)
    • Marana-Casinca
      • Rives de l'Etang de Biguglia (593 ha)
      • Mucchiatana (75 ha)
    • Pointes de Cargèse-Vico
      • Pointe d'Orchino (190 ha)
      • Pointe d'Omigna (155 ha)
      • Pointe de Cargèse (39 ha)
      • Spelunca (9 ha)
      • Pointe de Molendino (29 ha)
      • Cappizzolu
      • Pointe de Trio (20 ha)
    • Rivages occidentaux du Parc Marin des Bouches de Bonifacio
      • Pointe de Mucchiu Biancu (50 ha)
      • Pointe de Caniscione
      • Arbitru (70 ha)
      • Bruzzi - Chevanu (112 ha)
      • Etang San Ghjuvanni (6 ha)
      • Golfe de Ventilègne (2658 ha)
      • Les falaises deBonifacio (214 ha)
    • Rivages orientaux du Parc marin des Bouches de Bonifacio
      • Sarpente (275 ha)
      • Etang de Balistra (20 ha)
      • Iles Cerbicale (13 ha)
      • Palombaggia (18 ha)
      • Tamariccio (10 ha)
      • Santa Giulia (310 ha)
      • Rondinara (18 ha)
    • Sainte-Lucie-de-Porto-Vecchio
      • Fautea (38 ha)
      • Ile de Pinarello (19 ha)
      • Pinède de Pinarello (10 ha)
      • Arasu (35 ha)
      • Embouchure du Stabiacciu (4 ha)
    • Sartenais
      • Dunes de Baraci (7 ha)
      • Plage de Portigliolo (6 ha)
      • Pointe de l'Aliva et Pointe de l'Uomo (73 ha)
      • Campomoro Senetosa (2 288 ha)
      • Pointe de Zivia (110 ha)
      • Cala Barbaria (88 ha)
      • Roccapina (503 ha)
     

    Îles du Nord

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    Guadeloupe

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    • Les sites classés des falaises Nord-Est deMarie-Galante
    • la zone de résurgences de la nappe phréatique à Saint Sauveur Morne à l'eau

    Martinique

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    Guyane

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    La Réunion

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    Mayotte

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    L'intégralité desîles secondaires de Mayotte (toutes les îles de l'archipel en totalité sauf Grande-Terre et Petite-Terre, avec l'îlot Mbouzi en délégation)[22]

    Saint-Pierre-et-Miquelon

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    Rivages lacustres

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    Auvergne-Rhône-Alpes

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    Grand Est

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    Nouvelle-Aquitaine

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    Un site lacustre protégé : lelac de Vassivière

    Occitanie

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    Provence-Alpes-Côte d’Azur

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    Notes et références

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    1. Jean-Marie Becet,Le Droit du littoral et de la mer côtière, Economica,,p. 156
    2. Littoral français
    3. Laurent Radisson, 2013Le Conservatoire du littoral n'a pas les moyens de ses ambitions selon la Cour des comptes. Pour atteindre ses objectifs d'acquisition, l'établissement public devrait doubler ses ressources. Irréaliste, juge la Cour des comptes, qui préconise une révision à la baisse de ces objectifs. Pas d'accord, répond Delphine Batho, Actu-Environnement, 08 avril 2013
    4. Olivier Guichard, 1965 -Aménager la France. Paris, Ed. Laffont
    5. abcdef etgJean Carlier, « Côtes : le défi français »,Geo,no 53,‎,p. 108-121
    6. Roger Cans,Petite histoire du mouvement écolo en France, Paris,Delachaux et Niestlé,, 318 p.(ISBN 2-603-01412-9,OCLC 469891026),p. 160-161
    7. Loi n°75-602 du 10 juillet 1975 portant création du conservatoire de l'espace littoral et des rivages lacustres,(lire en ligne)
    8. https://fresques.ina.fr/sudorama/fiche-media/00000000014/corniche-des-maures-premier-don-au-conservatoire-du-littoral.html
    9. Référé du 4 avril 2013, sur la gestion du Conservatoire de l'espace littoral (publication du 28 janvier 2013, accompagnée des réponses de trois ministres de l'écologie, de la réforme de l’État et du budget (auxquels le référé était adressé)
    10. ab etcLaurent Radisson (2013),Le Conservatoire du littoral n'a pas les moyens de ses ambitions selon la Cour des comptes Pour atteindre ses objectifs d'acquisition, l'établissement public devrait doubler ses ressources. Irréaliste, juge la Cour des comptes, qui préconise une révision à la baisse de ces objectifs. Pas d'accord, répond Delphine Batho, Actu-Environnement, 2013-04-08, consulté 2013-04-09
    11. Source :Discours du1er ministre lors de la mise en place du Conseil National du Littoral, mi 2006)
    12. abcdefghijklmn eto« Les 15 sites les plus époustouflants du Conservatoire du littoral », surCapital(consulté le)
    13. Léane Delabriere, « VRAI/FAUX. Le bois du Breuil : un espace naturel sensible », surOuest France,(consulté le)
    14. Françoise Join, « Plage des Blancs Sablons : le paradis des surfeurs », surOuest France,(consulté le)
    15. Museum national d'Histoirenaturelle, « ILE CEZEMBRE, Terrain acquis par le Conservatoire du Littoral - Présentation », surinpn.mnhn.fr(consulté le)
    16. « MARAIS D'OLERON », surconservatoire-du-littoral.fr(consulté le)
    17. a etb« FORET BRIQUET », surconservatoire-du-littoral.fr(consulté le)
    18. Jean Rambaud, « Mireille Foncin offre son " paradis " »Accès payant, surLe Monde,(consulté le)
    19. Véronique Lupo, « À découvrir dans le Var : la Maison Foncin à Cavalaire », surFranceinfo,(consulté le)
    20. Pierre Castel, « Le Cabanon de Le Corbusier », surL'Express,(consulté le)
    21. « Visitez le cabanon minimaliste de Le Corbusier à Roquebrune-Cap-Martin », surFranceinfo,(consulté le)
    22. Conservatoire du Littoral, « Mayotte », surconservatoire-du-littoral.fr.

    Voir aussi

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    Bibliographie

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    • Bernard Kalaora, Rivages en devenir : de nouveaux horizons pour le Conservatoire du Littoral, 2010, La Documentation Française, 279p
    • Aurélie Joveniaux, « Le Conservatoire du littoral, quarante ans après : quel bilan et quelles perspectives ? »,Hérodote,no 165,‎,p. 91-112(lire en ligne)
    • Renaud Bécot, Giacomo Parrinello, « Gouverner le désir de rivage. La fondation du Conservatoire du littoral, 1972-1978 »,Le Mouvement Social,no 271(2),‎,p. 65-82(lire en ligne)

    Articles connexes

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    Liens externes

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