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Laclassification Aarne-Thompson (en abrégé : AT, ou AaTh) est une classification internationale relevant de lafolkloristique (science dufolklore) permettant l'indexation descontes populaires parcontes-types. Commencée par leFinlandaisAntti Aarne (1867-1925), elle a été complétée à deux reprises (en 1927 et en 1961) par l'AméricainStith Thompson, puis en 2004 parHans-Jörg Uther, spécialiste allemand de littérature, en particulier dans le domaine des contes. Devenue laclassification Aarne-Thompson-Uther, elle est désormais identifiée par l'acronyme ATU.
La collecte systématique, à partir duXIXe siècle, decontes traditionnels a permis de réunir de nombreuses histoires qui, malgré leur diversité, présentent de grandes ressemblances d'un pays à l'autre, voire d'un continent à l'autre. Originellement, la classification AT (ou AaTh, pour Aarne et Thompson) s'applique aux contes transmis par l'oralité, et se limite aux contes européens ou aux contes dérivés de ceux-ci. Elle donne la possibilité de regrouper plusieurs versions et variantes d'un même récit. Les numéros deconte-type permettent d'identifier les types de conte, d'en isoler les motifs et d'en localiser des variantes culturelles[1].
La première édition de l'index des contes-types est parue en 1910[2]. Conçu par le folkloriste finlandais Antti Aarne, l'ouvrage, publié en langue allemande, avait pour but de présenter de façon thématiquement organisée un corpus de contes d'Europe du Nord. C'est alors qu'apparaît la notion de conte-type. Plus tard, le système de classification sera traduit et augmenté par l'Américain Stith Thompson, professeur à l'université de l'Indiana à Bloomington : une première édition en 1928[3] sera suivie, plus de trente ans plus tard, en 1961, d'une seconde édition revue et augmentée[4],[1].
Le système servira de base à l'élaboration de plusieurs catalogues nationaux de contes, notamment le catalogue raisonné des versions de France,Le Conte populaire français, ouvrage commencé parPaul Delarue et poursuivi parMarie-Louise Ténèze, publié entre 1957 et 2000[5]. D'autres catalogues basés sur l'AT (édition de 1928) sont, par exemple, l’Index des sujets de contes selon le système d'Aarne du SoviétiqueNikolaï Andreev (1929), le catalogue de contes hongrois de Janos Berze Nagy,Magyar Nepmesetipusok (1957), de contes d'Amérique latine,The Types of the Folktale in Cuba, Puerto Rico, the Dominican Republic and Spanish South America, de Terrence Leslie Hansen (1957), ou siciliens,Raconti popolari Siciliani : Classificazione e Bibliografia, de Sebastiano Lo Nigro (1958). (Il existe également des catalogues demotifs, essentiellement celui deStith Thompson, et leMotif-Index of Early Irish Literature deTom Peete Cross (1952)[6], basé sur la même classification).
La classification Aarne-Thompson utilisée jusque-là résultait de la version initiale du FinlandaisAntti Aarne (1910), elle-même déjà révisée à deux reprises, en 1928 et 1961, par l'AméricainStith Thompson.
En 2004, Hans-Jörg Uther, professeur de littérature allemande à l'Université de Duisburg-Essen, publie une nouvelle édition revue du catalogue d'Aarne-Thompson[7] dans lequel les contes-types sont réorganisés et augmentés, tout en conservant dans la plupart des cas la numérotation d'origine. Plus de deux cent cinquante contes-types ont été ajoutés, désignés par un numéro précédé des lettres ATU (pour Aarne, Thompson et Uther)[1].
H.J. Uther remarque en préambule[8],[9] qu'aucune typologie scientifique rigoureuse n'est en mesure de refléter « la tradition narrative dans le monde réel », autrement dit que toute tentative de classification dans ce domaine restera toujours imparfaite.
Il a toutefois pris en compte, autant que possible, les principales critiques qui avaient été adressées aux versions précédentes, essentiellement :
l'encombrement de la classification par de nombreuses versions localisées à une seule région, et peu documentées. Uther a choisi de faire disparaître celles qui étaient trop peu représentées, conseillant de consulter dans ce cas les catalogues locaux[10].
l'insuffisance ou l'approximation des intitulés et des descriptifs (de plus trop souvent centrés sur les personnages masculins), ce qui rendait souvent difficile le rapprochement d'une variante avec le conte-type adéquat. Uther s'est attaché à les rendre plus explicites et plus judicieux, tout en rappelant les intitulés précédents pour mémoire.
un certain nombre d'erreurs et d'incohérences (même conte-type référencé par erreur à deux endroits différents...)
En revanche, le principe de la numérotation, qui était entrée dans les mœurs, n'a pas été bouleversé, même si on note quelques recodifications ou regroupements. Ainsi, par exemple, le conte-type AaTh 1587 est devenu ATU 927D (« L'homme autorisé à choisir l'arbre auquel il sera pendu »). Le principe de la distinction de contes voisins par une lettre majuscule et/ou une ou deux astérisques (ex : ATU 705 / 705A / 705B / 705A*) est conservé, mais ces notations n'ont plus obligatoirement de signification précise. Uther note aussi que la section AaTh 850-999,Novelle (Romantic tales) ne correspond en fait à aucungenre distinct, mais il choisit de la conserver malgré tout.
Les notices d'Uther, outre un résumé succinct mais significatif, fournissent un grand nombre de références à des motifs-types tels que codifiés par Stith Thompson, ainsi que des indications sur les combinaisons fréquentes de contes-types, des remarques (notamment sur les premières versions documentées par écrit), et pour chaque entrée, une liste de références à des catalogues spécialisés déjà parus. Le cas échéant, les principales variantes pour un conte-type donné sont résumées, que ce soit au niveau de l'ensemble du conte ou de ses parties principales (introduction, développement...).
Comme les titres des contes varient d'un pays à l'autre, chaque type de conte reçoit un numéro (par exemple,Le Petit Chaperon rouge est identifié par tous les folkloristes comme le « AT 333 »).
La classification Aarne-Thompson (AT), devenue internationale, distingue quatre grandes catégories dans les 2 340 contes-types répertoriés :
les contes d'animaux (« Animal Tales »), c'est-à-dire ayant des animaux pour principaux protagonistes (1 à 299) ;
les contes « ordinaires » (« Ordinary Folktales », 300 à 1 199), subdivisés en :
les contes facétieux (« Jokes and Anecdotes », 1200 à 1999) ;
les contes à formules (« Formula Tales »), où une phrase est répétée d'un bout à l'autre par le personnage principal et qui souvent n'ont pas de fin (2000 à 2340).
On trouve enfin dans cette classification la rubrique des contes non répertoriés (« Unclassified Tales », 2400-2499). Dans les quatre catégories précédemment citées, certaines « cotes » ne sont par ailleurs accompagnées d'aucun titre, la place restant libre pour insérer d'autres contes encore à collecter.
La classification Aarne-Thompson a parfois été considérée comme un outil incomplet et inefficace. On lui reproche notamment de ne pas considérer la structure, mais seulement le contenu des contes (leurs motifs), et de faire desconte-types un texte premier, duquel découleraient les différentes versions orales. En réalité, la notion complexe de conte-type suppose une structure narrative, qui n'est certes pas aussi formalisée que dans les théories deVladimir Propp, mais qui permet de poser un ordre du récit, et non seulement de l'identifier.
Vladimir Propp, dans son ouvrageMorphologie du conte[11], tout en reconnaissant les avantages de la méthode d'Aarne (démarche scientifique, commodité de la numérotation, introduction de sous-classes), lui reproche essentiellement la subjectivité qui gouverne la sélection du type : « Que faire, par exemple, des contes où latâche magique est exécutée grâce à unauxiliaire magique, ce que l'on observe très souvent, ou des contes où l’épouse magique est justement cetauxiliaire magique ? » Il souligne qu'« il arrive qu'il faille référer le même conte à plusieurs types à la fois » et se demande ce qui se passe si plusieurs chercheurs réfèrent le même conte à des types différents. Selon lui, ces reproches rejoignent ceux qu'on peut adresser à la classification de R.M. Volkov[12], qui avait déterminé quinze sujets pour les contes merveilleux.
Cet outil certainement imparfait de par son caractère empirique se révèle toutefois absolument indispensable dans les recherches des folkloristes. Sans la notion unificatrice de conte-type, on ne peut légitimement parler de différentes « versions » d'un même conte, mais seulement de différents contes : il apparaît dès lors, sinon arbitraire, du moins très difficile d'opérer des rapprochements entre deux textes (par exempleLe Petit Chaperon rouge deCharles Perrault etRotkäppchen desfrères Grimm) qui sont pourtant de manière évidente issus de la même souche. La notion deconte-type, sans préjuger d'une quelconque primauté d'une version par rapport à l'autre, permet au contraire d'unifier ces deux textes en une même unité sémantico-narrative. Le problème étant de ne pas réifier le conte-type, et de penser, comme certains folkloristes l'ont fait, les contes-types comme des archétypes. La classification n'étant qu'une manière de ranger les différents contes-types, destinée tel un dictionnaire à servir d'outil de référence.[réf. nécessaire]
Cette section se réfère en grande partie à différents épisodes duRoman de Renart, dont sont issus bon nombre de contes d'animaux[14].
AT 1 : « Le Vol de nourriture par feinte de mort » (The Theft of Fish) : Renart, br. III, v. 1-164 (R. dupe les charretiers) ; br. XIV, v. 540-646 (R. dupe Primaut)
AT 2 : « La Pêche à la queue » (How the Bear Lost His Tail – The Tail-Fisher) : Renart, br. III, v. 377-510
AT 2B : « La Pêche au panier : Les Poissons remplacés » (The Basket Tied to the Wolf's Tail)
AT 2C [= AT 2B et AT 2D] : L'Ours persuadé de sauter par-dessus un feu (Bear Persuaded to Jump over Fire)
AT 2D : « La Queue de chanvre brûlée » (Wolf – Bear – Persuaded to Turn in Wind)
AT 4 : « Porter le filou feignant d'être malade » (Carrying the Sham-Sick Trickster)
AT 5 : « La "Racine" mordue » (Biting the Foot)
AT 6 : « Le volatile s'échappe de la gueule du ravisseur » (Animal Captor Persuaded to Talk) : Renart, br. II (R. et Chantecler) ; br. XVI (R. et Noiret)
AT 7 : « L'Appel de trois noms d'arbre » (The Calling of Three Tree Names)
AT 9 : « Le Mauvais Partenaire » (The Unjust Partner)
AT 9B : « Le Partage de la récolte » (In the Division of the Crop the Fox takes the Corn) : Renart, br. XXVII
AT 9C : En préparant le dîner, la bouillie du renard est légère (In Cooking Dinner the Fox's Porridge Is Light)
AT 15 : « Renard - parrain » (The Theft of Butter – Honey – to Playing Godfather) :version allemande
AT 30 : « Le loup tombe dans le puits » (The Fox Tricks the Wolf into Falling into a Pit)
AT 32 : « Dans le puits aux deux seaux » (The Wolf Descends into the Well in one Bucket and Rescues the Fox in the Other) : Renart br. IV (R. et Ysengrin)
AT 34 : « La Lune prise pour un fromage » (The Wolf Dives into the Water for Reflected Cheese)
AT 34B : « L'Eau bue pour atteindre "le fromage" » (The Wolf Drinks Water to Get Cheese)
AT 36 : Le renard déguisé fait intrusion chez l'ourse (The Fox in Disguise Violates the She-Bear)
AT 37 : Le Loup comme nourrice
AT 37* : Le Renard en berger (The Fox as Shepherd)
AT 38 : « La Patte prise dans la fente d'arbre » (The Claw in Split-Tree) : Renart, br. I, v. 548-720 (R. et Brun) ; br. VI, v. 231-296 ; br. VI, v. 231-296 ; br. XXIII, v. 375-434
AT 40A* : « La Queue du loup attachée à la corde de la cloche » (Wolf Has Tail Attached to Bell)
AT 40B* [2E] : « La Queue soudée » (Bear Persuaded to Have New Tail Made by Blacksmith)
AT 41 : « Le Loup pris pour avoir trop mangé » (The Wolf Overeats in the Cellar) : Renart, br. XIV, v. 647-843 (Primaut et les jambons)
[41A*] : « Le Loup ivre et chanteur » : Renart, br. XIV, v. 237-537 (Primaut chante les vêpres)
AT 44 : Le serment sur le fer (The Oath on the Iron) : Renart, br. XIV, v. 899-1088 (Primaut prête serment sur la tombe d'un ermite)
AT 47A : Le renard – ours... – est attaché par ses dents à la queue du cheval, la lèvre du lièvre (The Fox – Bear... – Hangs by his Teeth to the Horse's Tail, Hare's Lip) : Renart, br. IX, v. 1586-1903 (Hermeline attachée à Timer l'âne)
AT 47B : « La Ruade de la jument » (The Horse Kicks the Wolf in the Teeth) : Renart, br. XVIII (Ysengrin et la jument)
AT 49 : L'Ours et le Miel (The Bear and the Honey)
AT 50 : « Le Remède pour le lion malade » (Curing a Sick Lion) : Renart, br. X, v. 1153-1704 (R. médecin)
AT 51 : « Le Partage du lion » (The Lion's Share)
AT 56A* : Le renard fait le mort et attrape l'oiseau (Fox Plays Dead and Catches Bird)
AT 56B : « Le Renard puni par la merlette avec l'aide du chien » (The Fox Persuades the Magpies into Bringing their Young into His House) : Renart, br. XI, v. 716-1522 (R. et Droïn)
AT 56B* : « Le Renard nourri par la merlette » (The Fox Drinks and Laughs)
AT 57 : Le Corbeau tenant en son bec un fromage (Raven with Cheese in His Mouth)
AT 57* [combinée avec AT 122B* : « Le Renard et l'Écureuil »] : Le renard flatte le coq, l'écureuil et d'autres (The Fox Flatters the Cock, the Squirrel and Others)
AT 59 : « Le Renard et les Raisins » (The Fox and the Sour Grapes) : Renart, br. XI, v. 257-333
AT 60 : « Le Renard et l'Échassier » (The Fox and the Crane Invites Each Other)
AT 61 : « Le volatile persuadé de chanter les yeux clos » (The Fox Persuades the Cock to Crow with Closed Eyes) : Renart, br. II, v. 276-468 (R. et Chantecler)
AT 62 : Paix chez les animaux – Le Renard et le Coq (Peace Among the Animals – The Fox and the Cock)
AT 63 : Le renard se débarrasse de puces (The Fox Rids Himself of Fleas)
AT 65 : Les Soupirants de la renarde (The She-fox's Suitors)
AT 122A : Le loup – le renard – cherche un déjeuner (The Wolf – Fox – Seeks Breakfast)
AT 122B* [combinée avec AT 57* : « Le Renard et l'Écureuil »] : L'écureuil persuade le renard de prier avant de manger (The Squirrel Persuades the Fox to Pray before Eating)
AT 122C : Le mouton persuade le loup de chanter (The Sheep Persuades the Wolf to Sing)
AT 122D : "Laisse-moi te capturer meilleur gibier" (« Let Me Catch You Better Game »)
AT 122E : Attends la chèvre grasse (Wait for the Fat Goat)
AT 122F : "Attends que je sois assez gras" (« Wait Till I Am Fat Enough »)
AT 122K : Le loup agit comme un juge avant de manger les béliers (Wolf Acts as Judge before Eating the Rams)
AT 123 : « Le Loup, la Chèvre et ses Chevreaux » (The Wolf and the Kids) :version allemande
AT 124 : « Le Loup et les trois animaux dans leurs petites maisons » (Blowing the House in) :version anglo-saxonne
AT 125 : Le loup fuit devant la tête de loup (The Wolf Flees from the Wolf-head)
AT 127A* : Le loup incite la chèvre à descendre de la colline et la dévore (Wolf Induces Goat to Come Down the Cliff and Devours It)
AT 130 : « Les Animaux en voyage » (The Animals in Night Quarters) :version allemande
AT 136 : « La Gorette – ou autre animal domestique – et le Loup » (Wolf Surprises Pig in Apple Tree)
AT 811A* : L'Enfant promis – ou destiné – au Diable se sauve par sa bonne conduite (The Boy Promised – or Destined – to Go to the Devil Saves Himself by His Good Conduct)
AT 811B* : L'Enfant par son exceptionnelle pénitence sauve sa mère de l'Enfer (Boy by His Exceptionnal Penitence Saves His Mother from Hell)
AT 812 : L'Énigme du Diable (The Devil's Riddle)
AT 821B : Des poulets éclos d'œufs à la coque (Chickens from Boiled Eggs)
AT 822 : « Le Garçon paresseux et la Fille travailleuse » (The Lazy Boy and the Industrious Girl)
AT 825 : Le Diable dans l'arche de Noé (The Devil in Noah's Ark)
AT 922 : Le berger répond à la place du prêtre aux questions du roi – Le Roi et l'Abbé (The Shepherd Substituting for the Priest Answers the King's Questions – The King and the Abbot
AT 1000 : Le premier fâché (Bargain Not to Become Angry)
AT 1002 : Gaspillage des propriétés de l'ogre (Dissipation of the Ogre's Property)
AT 1003 : Labourer (Plowing)
AT 1004 : Cochons dans la boue ; Moutons dans les airs (Hogs in the Mud ; Sheep in the Air)
AT 1005 : Construire un pont (Building a Bridge...)
AT 1006 : Jeter des coups d'œil (Casting Eyes)
AT 1012 : Laver l'enfant (Cleaning the Child)
AT 1013/1121 : Baigner ou réchauffer la grand-mère/ La Femme de l'ogre brûlée dans son propre four (Bathing or Warming Grandmother/ Ogre's Wife Burned in his Own Oven)
AT 1029 : La Femme en coucou dans l'arbre (The Woman as Cuckoo in the Tree)
↑Uther 2005, inCahiers de Littérature oraleno 57-58.
↑Il précise que chaque entrée représente un conte-type indépendant, documenté pour au moins trois groupes ethniques différents, ou sur une longue période de temps.
↑R.M. Volkov,Skazka. Rozyskanija po sjuzhetoslozheniju narodnoj skazki (Le conte. Recherches sur la formation du sujet dans le conte populaire),Gosizdat Ukrainy, Odessa, 1924.
↑ C'est celui donné dans Delarue-Ténèze (2002), t. 3.
↑Entre crochets, la numérotation adoptée dans Delarue-Ténèze (2002), si elle diffère de la numérotation AT.
↑Paul Sébillot fournit un exemple de ce conte-type dans sesContes de la Haute-Bretagne, repris dansContes de terre et de mer (L'Oiseau bleu, sur Wikisource).
(fr)Paul Delarue, Marie-Louise Ténèze,Le Conte populaire français, édition en un seul volume reprenant les quatre tomes publiés entre 1976 et 1985, Maisonneuve et Larose [le tome 1 était paru en 1957 chez Érasme, le 2 en 1964 chez Maisonneuve et Larose], coll. « Références », Paris, 2002(ISBN2-7068-1572-8). – Titre complet :Le Conte populaire français : Catalogue raisonné des versions de France et des pays de langue française d'outre-mer : Canada, Louisiane, Îlots français des États-Unis, Antilles françaises, Haïti, Île Maurice, La Réunion :t. 1 (1957), Contes merveilleux AT 300 à AT 366 ; t. 2 (1964) : Contes merveilleux AT 400 à AT 736A ; t. 3 (1976) : Contes d'animaux AT 1 à AT 295 ; t. 4 vol. 1 (1985) : Contes religieux AT 750A à AT 844.
(en)Hans-Jörg Uther,The Types of International Folktales : A Classification and Bibliography Based on the System of Antti Aarne and Stith Thompson, Academia Scientiarum Fennica, coll. « Folklore Fellow's Communications, 284-286 », Helsinki, 2004. – 3 vol. :
Part I : Animal Tales, Tales of Magic, Religious Tales, and Realistic Tales, with an Introduction, 619 pages(ISBN978-951-41-1054-2) ;
Part II : Tales of the Stupid Ogre, Anecdotes and Jokes, and Formula Tales, 536 pages(ISBN978-951-41-1055-9) ;