Auteur d'une importantelettre apostolique adressée à la fin duIer siècle par l'Église de Rome à celle deCorinthe, il est surtout connu grâce à cette lettre et à d'autres témoignages le concernant.
Les dates entre lesquelles il assume sa charge, traditionnellement fixées entre l'an 92 et l'an 98, sont incertaines, tout comme l'est le ministère précis dont il est investi, sans que la réalité et l'importance de son rôle dans l'Église de Rome à la fin duIer siècle soient à remettre en cause.
Clément doit l'essentiel de sa renommée à unelettre apostolique, son seul écrit connu à ce jour, et à d'autres témoignages la concernant[1] ; l'attribution qui lui en est faite constitue par ailleurs le seul renseignement sûr à son sujet[2]. Néanmoins, malgré l'abondance de la matière qu'offre la lettre, son auteur reste « remarquablement dans l'obscurité »[3].
Clément est un chrétien de la deuxième ou troisième génération qui, de culture grecque et peut-être d'origine judéenne[1], a tenu le rôle depresbytre (dirigeant et porte-parole de la communauté chrétienne de Rome), comme semble en attester au début duIIe siècle lePasteur d'Hermas[6]. Dans la mesure où l'épiscopat monarchique n'a pas encore de réalité, son rôle institutionnel reste difficile à préciser[2].
Il se peut également que Clément n'ait été qu'un des membres dupresbyterium deRome. Car le système hiérarchique de cette époque se limite encore à une organisation bipartite, avec d'une part plusieurspresbytres-épiscopes (πρεσϐύτεροι-ἐπίσκοποι /presbúteroï-epískopoï) et d'autre part lesdiacres, comme l'attestent aussi bien lesÉpîtres pastorales que laDidachè ou lePasteur d'Hermas[6]. La structure monarchique, avec unévêque unique assisté de presbytres et de diacres, ne s'affirmera que plus tard, vers les années 140[10]. La définition du ministère dont Clément est investi reste donc incertaine[11], et il n'est pas exclu qu'il ne soit qu'un évêque parmi d'autres au sein d'une structure collégiale[6]. Quoi qu'il en soit, la réalité et l'importance de son rôle dans l'Église de Rome à la fin duIer siècle ne sont pas remis en cause[9].
Selon la tradition rapportée par Eusèbe, c'estÉvariste qui succède à Clément en 99, la deuxième année du règne de l'empereur romainTrajan[12].
Question de l'identification avec des homonymes historiques
Dans sonHistoire ecclésiastique,Eusèbe de Césarée dit que Clément, troisième évêque des Romains aprèsLin etAnaclet, « a été, au témoignage dePaul de Tarse, son auxiliaire et le compagnon de ses combats »[13], se référant sans doute à l'Épître aux Philippiens (IV, 3)[14]. Cette affirmation, qui se trouve aussi dans les écrits d'Origène[15] et deJérôme de Stridon, est généralement abandonnée par la recherche actuelle, car jugée improbable[8] : lecognomen Clemens étant répandu auIer siècle (Tacite en mentionne cinq), il n'y a pas de raison suffisante pour identifier le Clément de l'épître aux Philippiens à Clément de Rome[16].
AuXIXe siècle, plusieurs savants ont identifié Clément Ier àTitus Flavius Clemens,consul romain de l'an 95[17]. Aujourd'hui, cette identification « relevant de la pure fantaisie »[18] est totalement rejetée[2], dans la mesure où « le silence unanime des meilleures sources sur ce point serait par trop étonnant : si le pape Clément avait été consul, s'il était unFlavien et le propre cousin de l'empereur, comment ne l'aurait-on pas retenu et redit ? »[19]. Selon Eusèbe, Clément de Rome vivait encore au début du règne de l'empereurTrajan[20] et ce n'est qu'auIXe siècle qu'est mentionnée pour la première fois une supposée foi chrétienne du consul, sous la plume deGeorges le Syncelle[21].
On a même supposé que Clément de Rome était un affranchi de ce consul[17]. Cette hypothèse est concevable, mais difficile à croire dans la mesure où, si les esclaves affranchis prenaient lenomen, indication de lagens du patron (dans ce cas,Flavius), ils ne prenaient pas lecognomen, indication de la famille (dans ce cas,Clemens)[22].
La tradition de l'exil de Clément, ainsi que son martyre « la troisième année de Trajan » (c'est-à-dire en l'an 100) et les miracles qui l'auraient accompagné, sont de tradition tardive[5] et leur historicité est à rejeter[2] : « ignorée d'Irénée et d'Eusèbe, ignorée même desrédacteurs clémentins, [cette tradition] apparaît seulement auIVe siècle, avec leMartyrium Clementis »[23], une œuvre poétique composée en grec[24]. Selon ce récit, l'évêque, trop influent sur l'aristocratie romaine, aurait subi l'exil enChersonèse Taurique et, pour le punir de continuer son apostolat auprès des prisonniers, on lui aurait attaché uneancre au cou avant de le précipiter dans lePont-Euxin[24].
Il semble que cette tradition du martyre de Clément soit une confusion avecTitus Flavius Clemens.« Toute une série de documents mettent, en effet, en relation Clément avec le consul Titus Flavius Clemens, cousin deDomitien, qui fut décapité en 95 ou 96 pour "indolence et/ou athéisme" », une accusation souvent portée contre lesJuifs en général et en particulier contre les chrétiens[5].
Dans l'édition de 1584 duMartyrologe romain, la fête de saint Clément de Rome est indiquée à la date du :« Clément, le troisième, après le bienheureux apôtrePierre à occuper le siège papal. Après de très remarquables actes, il a été relégué, au temps de la persécution deTrajan, dans l'île de Lycie, près deChersonèse. Là, jeté à la mer avec une ancre attachée au cou, il a reçu la couronne du martyre. Au temps du pontife romainNicolas Ier, son corps a été transféré à Rome et a été inhumé avec honneurs dans l'église auparavant construite à son nom »[28].
Depuis la révision de l'an 2001 faite sous le papeJean-Paul II, le martyrologe romain affirme toujours à la date du que :« Le pape Saint Clément Ier, martyr, qui a été le troisième, après le bienheureux apôtrePierre, à régir l'Église de Rome et qui a écrit aux Corinthiens une fameuse lettre pour consolider entre eux la paix et la concorde. À cette date on célèbre l'enterrement de son corps à Rome »[29]. Ainsi donc, l'Église catholique tient fermement et officiellement à la tradition du martyre de Clément de Rome.
Dans la tradition catholique, le pape Clément Ier est mentionné dans la premièreprière eucharistique du Canon romain de lamesse, avec ses prédécesseurs les papesLin etClet, et ses successeursSixte etCorneille[34]. Il est traditionnellement représenté en habits pontificaux, chaussé de rouge, coiffé ou non de la tiare papale, et très souvent avec une ancre à ses côtés, instrument de son martyre[35]. Il est parfois accompagné d'un agneau qui, selon une version du récit de son martyre, lui avait indiqué, durant sa déportation en Crimée, où faire jaillir une source d'eau pour aider les prisonniers dont il prenait soin[36].
Treize papes, parmi ses successeurs, ont choisi de porter son nom en son honneur. Troisantipapes ont également voulu porter son nom, à savoirClément III (à la fin du haut Moyen Âge), puisClément VII etClément VIII (respectivement les premier et troisième « papes » d'Avignon).
La communauté chrétienne deCorinthe était en proie à des troubles internes graves, lorsque s'est produite une tentative de déposition despresbytres de leurs charges[6]. Clément de Rome demande alors le rétablissement dans leurs fonctions des pasteurslégitimes, et appelle les révoltés à l'obéissance envers ces derniers.
Annie Jaubert[42] duCNRS a présenté une étude approfondie de la vision de Dieu, du Christ et de l'Esprit-Saint, susceptible de se dégager de la lettre de Clément, et que l'on peut résumer de la manière suivante :
On ne trouve pas chez Clément de synthèse théologique. Dieu est souvent défini par ses fonctions créatrices et providentielles. C'est en outre un Père patient, compatissant et bienveillantayant des entrailles pour ceux qui le craignent (23, 1).
Pour Clément, le Christ est le Fils de Dieu (7, 4). Il accorde une grande importance au chant du serviteur souffrant d'Isaïe (53) et aupsaume 21 (qui débute par « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? »). Clément présente le Christ comme le médiateur (20, 12 et 50, 7) qui apporte le salut rédempteur, et plus précisément comme leGrand Prêtre qui a versé son sang pour tous ceux qui croient et espèrent en Dieu (12, 7). Clément atteste une fois la résurrection du Christ d'entre les morts (24, 1). Il précise en outre qu'il est source de grâce, étant le protecteur et le secours de la faiblesse humaine. Par quatre fois, Clément adresse unedoxologie simultanément à Dieu et au Christ (52, 8; 61, 3; 64 et 65, 2), et par deux fois au Christ seul (20, 12 et 50, 7).
Pour Clément, l'Esprit-Saint est le grand inspirateur desÉcritures (45, 2). Il est par ailleurs celui qui répand chez les fidèles piété, paix et entente fraternelle. Enfin, c'est en lui queles apôtres ont annoncé leur message (42, 3) et ont éprouvé leurs prémices qui sont lesépiscopes et lesdiacres (42, 4). Bref, l'Esprit-Saint s'inscrit dans la réalisation du dessein de paix et de miséricorde du Créateur[43], qui aboutit à l'humanité sauvée[44].
Témoignage sur la structure hiérarchique de l'Église
La lettre« témoigne que l'organisation en une hiérarchie tripartite, avec unévêque, despresbytres et desdiacres n'est pas encore définitivement en place dans la capitale impériale à la fin duIer siècle […] C'est l'organisation en une hiérarchie bipartite, attestée sans doute dix ou vingt ans plus tôt en 1 P 5, 1–5, avec des presbytres-évêques et des diacres, qui y est encore de règle. L'équivalence globale entrepresbyteroi (presbytres/anciens) etepiskopoi (évêques/surveillants) peut se déduire de l'Épître aux Corinthiens, 42, 4 ; 44, 4–5 ; 54, 2 »[10]. Néanmoins, la Lettre rappelle que le Maître« nous a prescrit de nous acquitter des offrandes et du service divin non pas au hasard et sans ordre, mais en des temps et à des heures fixés […] Au "grand prêtre" (l'évêque) des fonctions particulières ont été fixées ; aux prêtres, on a marqué des places spéciales ; aux lévites (les prêtres) incombent des services propres ; et les laïcs sont liés par des préceptes particuliers aux laïcs »[45], ce que plus tard les chrétiens appliqueraient non plus à la seule distinction entre le clergé et les laïcs mais aussi en assimilant "grand prêtre" à "évêque", "presbytres", "lévites" à "prêtres", et enfin les diacres[46].
Cette lettre est l'un des plus anciens textes théologiques et disciplinaires duchristianisme, en dehors desÉvangiles synoptiques et des textes apostoliques, car elle est antérieure à l'Évangile de Jean et à l'Apocalypse. On y relève des citations ou des emprunts libres àEuripide et àSophocle[47]. Mais l'auteur cite beaucoup plus souvent l'Ancien Testament, dont les citations constituent plus d'un quart du texte de la lettre (environ 2750 des environ 9820 mots)[48],[49]. Les citations correspondent généralement à laversion des Septante, mais en diffèrent souvent et sont quelquefois plus fidèles autexte massorétique[50].
On y trouve aussi certains hébraïsmes, et lenom de Dieu y est remplacé par le pronom personnel « IL ». Les expressions « notre pèreAbraham », « notre pèreJacob », et l'emploi de livres apocryphes juifs, comme l'Assomption de Moïse, révèlent une formation« familièrement judéo-chrétienne ». Le passage déjà cité du chapitre 40 sur les places respectives du "grand prêtre", des prêtres et des laïcs, offre une curieuse parenté avec laRègle de la communauté desManuscrits de la mer Morte[51] (appelé aussiRègle de la commune ouManuel de discipline).
Clément emploie aussi des lieux communs de la littérature grecque, comme l'application au combat pour la vertu de métaphores tirées du stade. En effet,« il est délicat de départager les influences grecques des influences judéennes [chez Clément], tellement les unes et les autres sont mêlées. On sait que les procédés littéraires de la culture grecque sont fort bien connus des Judéens de la diaspora romaine : Paul de Tarse en est un des exemples les plus connus, il n'est nullement le seul. [...] la culture judéenne et la culture grecque s'entrelacent chez Clément »[52]
Paul Mattei dit :« Clément est juif et grec. L'idée de l'ordre du monde, modèle de la discipline à garder dans l'Église, vient dustoïcisme, celle de l'Église comme armée paraît se référer à un idéal romain, le recours auxexempla (vétéro-testamentaires) dans le début de l'écrit relève d'un procédé de la diatribe stoïco-cynique. Mais les thèmes stoïciens étaient déjà acclimatés dans le judaïsme, c'est l'image d'Israël en armes et non de la légion impériale qui sert de paradigme, la méditation sur les hautes figures du passé est d'allure sapientiale. En fait, si Clément est le témoin de l'assimilation d'un vocabulaire, de techniques d'exposition, de schémas conceptuels grecs, le fond reste juif »[53].
DeuxÉpîtres aux Vierges ont été conservées dans un manuscrit syriaque écrit aux alentours de 1470 et ont été publiées avec une version latine en 1752. En 1884, on a trouvé dans un œuvre d'un moine palestinien duVIIe siècle des extraits en grec de ce qui probablement était le texte original de ces deux documents[55]
Un jour, il raconte son passé à l'apôtre. Il appartenait à une très noble famille romaine apparentée à l'empereur. Son père a atteint le rang desénateur sous l'empereur romainTibère (mort en mars 37). Alors que Clément avait cinq ans, sa mère Mattidia fut avertie en songe de quitter l'Italie avec ses deux autres fils, des jumeaux, dont l'un s'appelle Faustinus et l'autre Faustinianus (selon lesHomélies) ou Faustus (selon lesReconnaissances). Quant à Clément, il demeure à Rome avec son père Faustus (selon lesHomélies) ou Faustinianus (selon lesReconnaissances).
Comme le temps passe et qu'il est sans nouvelles des trois émigrés, le père confie Clément, alors âgé de douze ans, à des tuteurs, et part à leur recherche. Dès lors, il cesse à son tour de donner signe de vie.
Plus loin, Pierre rencontre une mendiante aux mains paralysées, qui lui raconte ses tribulations : poursuivie par les assiduités de son beau-frère, elle décide de s'éloigner avec ses deux fils jumeaux, en prétendant obéir à un avertissement divin. Au terme de ce récit, l'apôtre reconnaît Mattidia et Clément retrouve ainsi sa mère disparue.
Encore plus loin, Aquila et Nicétas se révèlent être les frères aînés de Clément. Le matin suivant, un vieil ouvrier leur affirme ne croire qu'au destin déterminé par les astres : il a été trahi par sa femme, laquelle, née sous l'étoile produisant des épouses adultères périssant dans un naufrage, n'a pourtant pas réussi à séduire son beau-frère, comme celui-ci le lui révéla plus tard, et préféra fuir avec ses fils jumeaux, en prétextant un rêve inquiétant ; elle lui laissa leur plus jeune fils. Pierre lui demande le nom de son benjamin : « Clément ». Le vieillard est Faustus/Faustinianus, le père des trois frères ! Mattidia arrive, reconnaît à son tour son mari et tombe dans ses bras[56],[57]. Pour un résumé plus détaillé de l'intrigue du roman, voirAnagnorisis.
Bernard Pouderon croit distinguer derrière la figure du Clément duroman pseudo-clémentin un Clément juif, héros d'un roman judéo-hellénistique inspiré de la légende juive du consulTitus Flavius Clemens, exécuté sous Domitien pour le crime du judaïsme. Il met le Clément duroman pseudo-clémentin en relation avec saint Pierre. Le redacteur, un judéo-chrétien proche, comme le montre l'enseignement qu'il attribue à Pierre, de ceux que l'hérésiologie appelle lesébionites[58],[59], change le nom de Domitien (empereur de 81 à 96) en celui de Tibère (empereur de 14 à 37). Il établit ainsi une chronologie qui rend impossible l'identification du Clément du roman, qui est présenté comme un jeune garçon doué de raison à l'époque de l'empereur romainTibère (mort en mars 37), au consul, qui ne naît pas avant 55-60[60].
Pouderon affirme aussi que derrière ce roman judéo-hellénistique, qu'il assigne au commencement duIIe siècle, il y a un autre roman de la période julio-claudienne. À l'égard de ces diverses théories de Pouderon, Jan N. Bremmer dit : « ce n'est pas très sérieux !»[61]. Pouderon discerne en outre des points communs entre la présentation de Simon le Magicien dans leroman pseudo-clémentin et la légende deFaust[62].
Des études deFrédéric Manns[63], de Donald H. Carlson[64] et de F. Stanley Jones[65] montrent la diversité des vues existant sur le supposé texte base des versions grecque et latine (l'écrit de base ouGrundschrift), et sur les écrits perdus qui pourraient être liés avec l'origine de ceux existants : leKerygmata Petrou (identique auGrundschrift ou différent) et lePeriodoi Petrou (Itinéraire de Pierre).
↑Le titre depape, au sens de "Père", était à l'époque donné à tous les évêques, et systématiquement à partir duIIIe siècle, et ne fut exclusivement réservé à l'évêque de Rome que vers le milieu duIVe siècle.Philippe Levillain,Dictionnaire historique de la papauté, Fayard, 2003, s. v. « Pape ».
↑Ph 4. 3 : « Et toi aussi, fidèle collègue, oui, je te prie de les aider, elles qui ont combattu pour l'Évangile avec moi, et avec Clément et mes autres compagnons d'œuvre, dont les noms sont dans le livre de vie ».
↑a etbMichel-Yves Perrin, « Aux origines du "Siège apostolique" (jusqu'en 311) », dansYves-Marie Hilaire (dir.),Histoire de la papauté : 2000 ans de mission et de tribulations, Points/Histoire, 2003, p. 23-32.
↑Paul Mattei,Le Christianisme antique. De Jésus à Constantin, Armand Colin, 2011, chapitre 8, « Aspects doctrinaux », « Les Pères apostoliques : entre judaïsme et hellénisme »,lire en ligne.
↑Bernard Pouderon,« La Genèse du Roman Clémentin et sa signification théologique », dans Frances Margaret Young, Mark J. Edwards et Paul M. Parvis,Critica et philologica : Volume 2 of Papers Presented at the Fourteenth International Conference on Patristic Studies Held in Oxford 2003, Leuven, Paris, Dudley MA, Peeters, Leuven, Paris, Dudley MA,(ISBN9789042918832,lire en ligne),p. 489
↑Bernard Pouderon,« La Genèse du Roman Clémentin et sa signification théologique », dans Frances Margaret Young, Mark J. Edwards et Paul M. Parvis,Critica et philologica : Volume 2 of Papers Presented at the Fourteenth International Conference on Patristic Studies Held in Oxford 2003, Leuven, Paris, Dudley MA, Peeters, Leuven, Paris, Dudley MA,(ISBN9789042918832,lire en ligne),p. 490
↑Jean-ClaudeCheynet,« De saintes reliques sous la mer », dans Christian Buchet (dir.),Sous la mer : Le sixième continent, Presses de l'université Paris Sorbonne,(ISBN9782840502012),p. 54
↑Frédéric Amsler,Les citations évangéliques dans le roman pseudo-clémentin. Une tradition indépendante du Nouveau Testament ? Frédéric Amsler, Gabriella Aragione, Eric Junod, Enrico Norelli,Le canon du Nouveau Testament : regards nouveaux sur l'histoire de sa formation, 2005, Éd. Labor & Fides, Genève,p. 149.
↑Bernard Pouderon,Aux origines du roman pseudo-clémentin,Le Judéo-christianisme dans tous ses états,Actes du colloque de Jérusalem, 6-10 juillet 1998, Dir.Simon Claude Mimouni, Paris, éd. Cerf, 2001,p. 238-239.
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Alexandre Faivre,Chrétiens et Églises : Des identités en construction : Acteurs, structures, frontières du champ religieux chrétien, Paris, Cerf-Histoire,, 608 p.
Stanislas Giet, « Le témoignage de Clément de Rome : Sur la venue à Rome de saint Pierre »,Revue des Sciences Religieuses,t. 29,no 2,,p. 123-136(lire en ligne).
Stanislas Giet, « Le témoignage de Clément de Rome : La cause des persécutions romaines »,Revue des Sciences Religieuses,t. 29,no 4,,p. 333-345(lire en ligne).