Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Charles III le Gros

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirCharles,Charles III etGros.

Page d’aide sur l’homonymie

Ne doit pas être confondu avecCharles III le Simple, fils deLouis II le Bègue roi de laFrancie occidentale.

Charles III
Illustration.
Sceau de Charles IIIle Gros,IXe siècle.Bayerisches Nationalmuseum,Munich.
Titre
Empereur d'Occident

(6 ans, 8 mois et 20 jours)
Couronnement
PrédécesseurCharles IIle Chauve (indirectement)
SuccesseurGuy III de Spolète
Roi des Francs
(Francie occidentale)

(2 ans et 5 mois)
PrédécesseurCarloman II
SuccesseurEudes
Roi des Francs
(Francie orientale)

(11 ans)
PrédécesseurLouis III de Germanie
SuccesseurArnulf de Carinthie
Biographie
Titre completEmpereur d'Occident
Roi des Francs(Francie orientale)
Roi de Germanie(Francie orientale)
Roi d'Italie (879-887)
DynastieCarolingiens
Date de naissance
Date de décès
Lieu de décèsNeudingen
PèreLouis IIle Germanique
MèreEmma de Bavière
ConjointRicharde de Souabe
EnfantsBernard (?-†891)
modifier 

Charles III dit « le Gros »[1],[2], né en àNeudingen, près deDonaueschingen, où il est mort le janvier 888[3], est un prince et souveraincarolingien[1].

Par captation inopinée de l'héritage de ses frères aînésCarloman etLouis III, ce troisième fils deLouis II le Germanique, héritier de l'Alémanie à la mort de son père, devientempereur d'Occident de881 à887 sous le nom deCharles III, puis un puissant roi deFrancie sous le nom deCharles le Gros, jusqu'à sa destitution àTrebur en887. Les historiens distinguent l'accumulation de charges royales : d'abordroi d'Italie en879 ; puis pleinementroi deFrancie orientale en882 en même temps que maître de toute laLotharingie ; enfin, après la mort du roiCarloman II fils du roiLouis II le Bègue, et l'appel des aristocratesneustriens, roi (ou régent) deFrancie occidentale en885.

Charles le Gros est le dernier souverain carolingien à avoir réuni sous son sceptre après884 l'ensemble de la Francie. Incapable de restaurer ordre, paix et justice de manière pacifique, l'empereur tourmenté par l'absence d'héritier légitime et une santé mentale défaillante est destitué en887 de toutes ses fonctions royales, à l'exception de la dignité impériale d'obédience pontificale, par une diète des grands dignitaires. Il est inhumé selon ses vœux de jeunesse aumonastère de Reichenau situé sur une île dulac de Constance.

Destin impérial d'un prince carolingien et déchéance

[modifier |modifier le code]

Lors du partage deFrancfort de865, Charles reçoit l'Alémanie, c'est-à-dire laSouabe et laRhétie[4]. À la mort de son père Louis II le Germanique en876, Charles, roi d'Alémanie, hérite de l'Alsace, de laSouabe, de laRhétie et de quelques contrées limitrophes englobées dans l'Alémanie. Il possède la dignité de roi deFrancie, mais les domaines qu'il contrôle directement restent modestes ; il est "roi de Francie" mais n'est pas le maître de la Francie orientale.

Charles s'empresse de récupérer l'Italie aux dépens de son frèreCarloman, diminué par la maladie. Son autre frère, instigateur de la stratégie,Louis III le Jeune, saisit dans le même temps laBavière sur Carloman. Couronnéroi d'Italie en879, Charles soutient activement Louis III le Jeune qui, après avoir défendu en876 les diocèses deMetz et deTrèves, possessions de Louis le Germanique, convoite entre879 et880 toute laLotharingie. Après une victoire décisive sur les héritiers de Louis II le Bègue de Francie occidentale, Louis le Jeune contrôle l'intégralité de la Lotharingie (traité de Ribemont) et Charles obtient en récompense des droits sur des terresvosgiennes aux confins de l'Alsace et une partie de la dignité régalienne en Lotharingie.

Une sourde inquiétude gagne cependant les descendants deCharles II le Chauve et deLouis le Germanique. Ils tiennent un congrès de paix àGondreville à l'été 880 :Louis III etCarloman IIde France, les fils de Louis II le Bègue, Charles le Gros et les représentants de Louis le Jeune. Ils s'alarment de l'insécurité croissante causée par lesNormands, ils décident de mettre fin aux révoltes intestines provoquées par l'incroyable émancipation régalienne deBoson et les terribles dévastations en Lotharingie du fils illégitime deLothaire II de Lotharingie,Hugues. Au terme de cette rencontre, les congressistes joignent les gestes à la parole, en écrasant ensemble les troupes d'Hugues, commandées par son beau-frèreThiébaut.

Charles le Gros partage avec Louis III le Jeune le patrimoine familial après le décès en880 de leur frère aîné, déjà en partie spolié,Carloman, et prépare activement son couronnement par le pape en tant qu'empereur d'Occident le. Hugues, en manque de soutien, donne la main de sa sœurGisèle (de), au chef normandGodefrid enrichi, installé sur laMeuse àElsloo.

En882, le décès inopiné de son frèreLouis III le Jeune incite Charles, unique fils légitime survivant deLouis le Germanique, à récupérer le patrimoine régalien de la famille, mais il se révèle impuissant à le défendre et le protéger. L'annonce de la mort du roi guerrier, Louis le Jeune, attire des bandes normandes par laMeuse, leRhin et laMoselle.Trèves est prise à la stupéfaction générale. L'archevêque de Trêves,Bertulphe (en), soucieux de racheter sa fuite, rejointWala, bouillantévêque de Metz, et le comteAdalard, mais ils sont vaincus près deRemich, et Wala périt au cours du combat. Les envahisseursvikings peuvent maintenant ravager laLotharingie. Charles fait front avec une puissante armée, mais il tergiverse et négocie leur éloignement en achetant la paix au lieu de les combattre. Partout désormais, les hommes de guerre rappellent le traité honteux signé avecGodefrid. Accablé par ces rumeurs et devant l'incapacité du pouvoir à saisir le proscrit Hugues de Lotharingie, Charles rumine une vengeance de longue main : il attire le respectable Godefrid à une entrevue en885 et le fait tuer. Il piège de même Hugues àGondreville, le faisant arrêter et enfermer dans un monastère après lui avoir fait crever les yeux. Charles restaure son fragile pouvoir en tenant deux grandes assemblées en Lotharingie, àToul en 885 et à Metz en886.

Le,Carloman II, roi deFrancie occidentale, meurt sans héritier capable de lui succéder. Des descendants de Charles le Chauve, ne survit que le dernier fils posthume deLouis II le Bègue,Charles, encore enfant. Jugé trop jeune, il est écarté, l'assemblée des aristocrates francs emmenée parHugues l'Abbé renonçant à le proclamer roi. Cette même assemblée invite alors l'empereur Charles le Gros à assurer et la tutelle et la direction du royaume. Il n'est pas compté (au sens de numéroté) parmi lesrois de France, lenuméroIII qu'il porte désignant son titre d'empereur d'Occident. Il a toutefois bien étéroi de Francie, ses diplômes et ceux de ses successeurs en attestent[5], mais plutôt au sens demajor rex, compte tenu de ses titres et de son ascendance prestigieuse. Il est d'ailleurs possible que Charles ait été couronnérex in Gallia par l'évêque Gilon de Langres, àGrand (Vosges) le, jour de la fête de l'Ascension[6]. Mais il n'est pas fait mention dans les annales et les cartulaires d'un couronnement en présence des grands, laïcs et religieux, deFrancie occidentale, tels ceux des rois précédents Louis II le Bègue, Louis III et Carloman II. Le fait que Charles le Gros n’ait pas été numéroté parmi les rois de France (on trouve avant lui Charles II le Chauve et après lui viendraCharles IIIle Simple) est lié à la manière dont les numéros des rois ont été posés, plusieurs siècles après son règne[7]. Par un artifice, certains auteurs considèrent toutefois que pour la Francie occidentale, Charles n'aurait été querégent pendant la minorité de Charles III le Simple[8] et que c'est en tant qu'empereur et non directement comme roi de Francie occidentale qu'il aurait gouverné[9]. De ce fait, l'on conçoit qu'en Empereur germanique, celui-ci ce soit nommé conformément à l'usage, du fait qu'il ait quasiement reconstitué l'empire de Charlemagne, que celui-ci ait été nommé Karl der Großer/karl der grosser où en bon français Charles le Grand. (et non le gros)

En, Charles reçoit leserment d'allégeance des grandsvassaux du royaume franc au palais dePonthion. En prenant cette tutelle, le royaume des Francs ou l'empire deCharlemagne est quasiment reconstitué, jusqu'à laProvence et à laBourgogne Transjurane[10] ; laBretagne, qui a toujours été une marche difficilement contrôlable, reste à l'écart.

Sous Charles III, en 887, l'Empire carolingien est pratiquement reconstitué.

D' à, les Normands envahissent laNeustrie etassiègent Paris. Arrivant deGermanie avec une puissante armée de secours, Charles le Gros reste indécis sur l'action. Il préfère traiter avec les Normands en leur permettant de passer pour mettre à sac laBourgogne qui est en révolte contre son pouvoir central et en leur payant une rançon de700livres d'argent l'année suivante. Ces décisions et son incapacité à alléger les souffrances des résistants parisiens assiégés par une prompte intervention altèrent profondément son prestige royal[11].Les partisans d'Arnulf, fils illégitime de Carloman de Bavière et neveu de l'empereur, partagent désormais l'avis deRobert le Fort sur l'inconstance et l'incompétence de Charles le Gros. Celle-ci s'altère en folie et les grands l'abandonnent, suivant les Annales de Metz.[réf. nécessaire]

En[12], lors de ladiète[13] qu'il avait réunie pour la Saint-Martin (11 novembre) àTribur[14], non loin deMayence enHesse, Charles est déchu de ses titres par des nobles de Francie orientale révoltés, menés par son neveuArnulf de Carinthie, fils illégitime deCarloman de Bavière et disposant d'une flatteuse réputation militaire[15].

La déposition de Charles par les nobles de Francie orientale en novembre 887 n'a pas de conséquence en Francie occidentale[16] (les nobles de Lotharingie ne reconnaissent pas son successeurArnulf de Carinthie et choisissentRodolphe Ier de Bourgogne au printemps 888[17]) et c'est sa mort le qui provoque l'élection d'un successeur[18]. Le, les seigneurs deFrancie occidentale élisent comme roi le héros dusiège de Paris, le comteEudes, auquel Charles a conféré deshonores[19].

Au moment de perdre le pouvoir, Charles est obèse, fou etépileptique après avoir subi en février 887 unetrépanation pour soulager ses souffrances[20],[21]. Il meurt sans héritier légitime[22] le, au cloître deNeudingen situé en bordure duDanube. Son corps est inhumé aumonastère de Reichenau avec tous les honneurs dus à son rang.

Généalogie

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Généalogie des Carolingiens.
Ancêtres de Charles III le Gros
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
16.Pépin le Bref
 
 
 
 
 
 
 
8.Charlemagne
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
17.Bertrade de Laon
 
 
 
 
 
 
 
4.Louis Ier ditle Pieux
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
18.Gérold Ier de Vintzgau
 
 
 
 
 
 
 
9.Hildegarde de Vintzgau
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
19.Emma d'Alémanie
 
 
 
 
 
 
 
2.Louis IIle Germanique
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
20. Robert de Hesbaye
 
 
 
 
 
 
 
10. Ingerman de Hesbaye
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
21.
 
 
 
 
 
 
 
5.Ermengarde de Hesbaye
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
22.
 
 
 
 
 
 
 
11. Edwige de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
23.
 
 
 
 
 
 
 
1. Charles III le Gros
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
24.
 
 
 
 
 
 
 
12. Rothard de Metz
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
25.
 
 
 
 
 
 
 
6.Welf Ier
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
26.
 
 
 
 
 
 
 
13. Hermenlindis
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
27.
 
 
 
 
 
 
 
3.Emma de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Warin I
 
 
 
 
 
 
 
14. Isambart(en)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Adalindis(en)
 
 
 
 
 
 
 
7. Helvide de Saxe
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
30.
 
 
 
 
 
 
 
15. Thiedrada
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
31.
 
 
 
 
 
 
 

Il est le troisième fils deLouis II le Germanique et d'Emma de Bavière (v. 808 - †), fille deWelf Ier et sœur deJudith de Bavière, deuxième épouse deLouis le Pieux, dont il est le petit-fils.

Union et descendance

[modifier |modifier le code]

AvecRicharde de Souabe, fille d'un certain comte du palaisErchanger, il n'a pas d'enfant. Toutefois, il est le père deBernard de Germanie (†891)[23], qu'il a eu avec une concubine de basse extraction et qu'il a tenté de faire légitimer, sans succès devant l'opposition des évêques. À la mort deBoson de Provence en887, il adopte son fils,Louis, mais Arnulf marche surTribur à la tête d'une troupe composée deBavarois et deSlaves ; Charles se retire àFrancfort, tandis que les grands l'abandonnent et reconnaissent Arnulf[24].

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. a etbEntrée« Charles III le Gros »[html], surEncyclopédie Larousse [en ligne],Larousse (consulté le 8 janvier 2017).
  2. Sa généalogie sur le site Medieval Lands.
  3. IvanGobry,Louis III,- (fils de Louis II de Germanie) ; Carloman II,- (fils de Louis II le Bègue) ; Charlesle Gros,-, petit-fils de Louis Ierle Pieux), Paris,Pygmalion,coll. « Souverains et souveraines / Histoire des rois de France » (no 27),,1re éd.,1 vol., 65, 15,4 × 24 cm(ISBN 2-7564-0777-1 (édité erroné) et978-2-7564-0777-7,OCLC 834863359,BNF 42781145,SUDOC 165627522,présentation en ligne,lire en ligne),3e partie (Charlesle Gros, 884-887)[lire en ligne (page consultée le 8 janvier 2017)].
  4. Eric Joseph Goldberg,Struggle for empire : kingship and conflict under Louis the German, 817-876, Cornell University Press, 2006(ISBN 0-8014-3890-X et9780801438905).
  5. Michel-André Lévy,L'étonnante histoire de la numérotation des rois de France, Jourdan, 2014, p. 111.
  6. Simon Maclean,Kingship and politics in the late ninth century - Charles the Fat and the End of the Carolingian Empire, 2003,pp. 126-127.
  7. Michel-André Lévy,L'étonnante histoire de la numérotation des rois de France, Jourdan, 2014.
  8. Alain de Sancy,Les Ducs de Normandie et les rois de France : 911-1204, Fernand Lanore, 1996, 186 pages,p. 142(ISBN 978-2-85157-153-3).
  9. Hervé Pinoteau,La symbolique royale française,Ve – XVIIIe siècles, P.S.R. éditions, 2004,p. 115.
  10. 1) LaProvence et la Bourgogne cisjurane avaient fait sécession en 879 àMantaille en rejoignant l'éphémère royaume deBoson. Mais dès fin 882, Boson est vaincu et semble-t-il dépourvu de tout pouvoir réel ; la tradition le dit replié en Provence (Diois), continuant la lutte contre les Carolingiens de France (Louis III etCarloman II) mais faisant allégeance au Carolingien de Germanie, Charles III le Gros : mais cela n'est pas avéré, ses actes étant des faux et aucun acte authentique n'étant alors connu de lui (cf.Aux origines du royaume de Provence : De la sédition avortée de Boson à la royauté légitime de Louis, parRobert-Henri BautierinProvence historique, 1973, p. 64, mise en ligne par la MMSH de l'Université d'Aix-Marseille) ; on doit plutôt considérer que Bourgogne Cisjurane et Provence ont été récupérées par Carloman II de France ; Boson meurt en janvier 887 (àVienne, dit-on), et le royaume de Provence-Cisjurane ne renaît qu'en 890 àValence, rétabli en faveur de son filsLouis l'Aveugle, qu'aurait adoubé, protégé et adopté Charles le Gros àKirchen en mai 887. 2) La Bourgogne Transjurane (essentiellement l'Helvétie) formait un duché-marquisat érigé en faveur desWelfsConrad et son filsRodolphe, dans l'allégeance auroyaume de Lotharingie (Lothaire II) puis auroyaume d'Italie (859,empereur-roiLouis II) ; Rodolphe, d'ailleurs gendre de Boson, ne prend letitre royal qu'en janvier 888 àAgaune, après la mort de Charles le Gros. Ces précisions montrent bien la souveraineté/suzeraineté de Charles le Gros sur la Transjurane et la Provence, en tant queroi d'Italie (successeur deCarloman de Bavière, neveu et successeur de Charles le Chauve, lui-même oncle et successeur de Louis II) etroi deFrance/Francie occidentale (successeur de Carloman II, lui-même second fils de Louis le Bègue et petit-fils de Charles le Chauve).
  11. Christian Bonnet et Christine Descatoire,Les Carolingiens, 741-987, Armand Colin, 2001, p. 91.
  12. Margaret Deanesly et S. M. Guillem,Histoire de l'Europe du haut Moyen Âge, 476 à 911, 1958,p. 405.
  13. Antoine-Étienne-Nicolas Fantin-Desodoards,Histoire de l'Italie depuis la chute de la République romaine,p. 336.
  14. Robert Parisot,Le royaume de Lorraine sous les Carolingiens (843-923), A. Picard et fils, 1898,p. 484.
  15. Christian Bonnet et Christine Descatoire,op. cit.,p. 91.
  16. Favre 1893,p. 76-89.
  17. Flach/ori Anc France V4, Ayer Publishing,p. 265-266(ISBN 978-0-8337-1147-2).
  18. Christian Bonnet et Christine Descatoire,op. cit.,p. 94.
  19. B. Schneidmüller,Karolingische Tradition und frühes französisches Königtum. Untersuchungen zur Herrschaftslegitimation der westfränkisch-französischen Monarchie im 10. Jahrhundert, Francfort, 1979,p. 106.
  20. Paul Amargier,Une église du renouveau - Réformes et réformateurs, de Charlemagne à Jean Hus, 1998,p. 33.
  21. Georges Bordonove et Michael BlochHugues Capet, le fondateur, 1986,p. 51.
  22. Janet Nelson,Charles le Chauve, Aubier, 1994,p. 277.
  23. Peter Godman etRoger Collins,Charlemagne's heir: new perspectives on the reign of Louis the Pious (814-840), Clarendon Press, 1990, 738 pages,p. 35.
  24. Bibliothèque de l'École des chartes,vol. 127,parties 1 à 2, Librairie Droz, 1849,p. 250-251(ISBN 978-2-600-05108-8).

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]
v ·m
Empereurs d’OccidentBannière impériale après 1400
Empereurs du Saint-Empire
v ·m
Francie orientale
(843–962)
Carolingiens (843-911)
Conradiens (911-919)
Royaume de Germanie
(919–962)
Ottoniens
Royaume de Germanie
au sein duSaint-Empire romain de la nation germanique
(962–1806)
Ottoniens (962-1024)
Franconiens (1024-1125)
Supplinbourg (1125-1137)Lothaire (1125-1137)
Hohenstaufen (1138-1208)
Welf (1198-1215)Otton IV de Brunswick
Hohenstaufen (1215-1254)
Habsbourg (1273-1291)Rodolphe Ier
Nassau (1292-1298)Adolphe
Habsbourg (1298-1308)Albert Ier
Luxembourg (1308-1313)Henri VII
Wittelsbach (1314-1347)Louis IVle Bavarois
Habsbourg (1326-1330)Frédéricle Bel
Luxembourg (1346-1400)
Wittelsbach (1401-1410)Robert
Luxembourg (1411-1437)Sigismond
Habsbourg (1437-1740)
Wittelsbach (1742-1745)Charles VII Albert
Lorraine (1745-1765)François Ier Étienne
Habsbourg-Lorraine (1764-1806)
États confédérés du Rhin
(1806–1813)
BonaparteNapoléon
Confédération germanique
(1815–1848)
Habsbourg-Lorraine
Empire allemand (1848-1849)
HohenzollernFrédéric-Guillaume
Confédération germanique
(1850–1866)
Habsbourg-LorraineFrançois-Joseph Ier
Confédération de l'Allemagne du Nord
(1867–1871)
HohenzollernGuillaume Ier
Empire allemand
(1871–1918)
Hohenzollern
v ·m
Non dynasteOdoacre (476-493)
Ostrogoths (493-553)
Empire byzantin (553-568)
Rois lombards d’Italie
(568-759)
Rois francs d’Italie
(781-951)
Rois d'Italie souverains duSt-Empire (951-973)Otton Ier (951-973)
Désormais le titre de roi d’Italie se confond avec celui de roi des Romains que prend le souverain du Saint-Empire avant son couronnement comme empereur.
Royaume d’Italie sous le1er Empire (1805-1814)Napoléon Ier etEugène de Beauharnais (vice-roi)
Rois d’Italie de la maison de Savoie (1861-1946)
v ·m
AncêtresDenier de Charlemagne
Rois des Francs
Rois deFrancie occidentale
Rois deFrancie médiane
Rois deFrancie orientale
Rois d'Aquitaine
En gras, lesempereurs d'Occident. En italique, les prétendants sans réel pouvoir.
Généalogie
v ·m
Mérovingiens
Carolingiens,Robertiens etBosonides
Capétiensdirects
Valois
Bourbons
BonaparteNapoléon Ier (1804)
Bourbons
OrléansLouis-Philippe Ier (1830)
BonaparteArticle de qualitéNapoléon III (1852)
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Charles_III_le_Gros&oldid=223766830 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp