Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Champtonnay

47° 23′ nord, 5° 40′ est
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour l’article ayant un titre homophone, voirChantonnay.

Champtonnay
Champtonnay
L'église et son clocher à l'impériale.
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionBourgogne-Franche-Comté
DépartementHaute-Saône
ArrondissementVesoul
IntercommunalitéCommunauté de communes Val de Gray
Maire
Mandat
Yohann Poirot
2020-2026
Code postal70100
Code commune70124
Démographie
Population
municipale
80 hab.(2022en évolution de −19,19 % par rapport à 2016)
Densité15 hab./km2
Géographie
Coordonnées47° 23′ nord, 5° 40′ est
AltitudeMin. 212 m
Max. 259 
m
Superficie5,24 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionGray
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Gray
LégislativesPremière circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Champtonnay
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Champtonnay
Géolocalisation sur la carte :Haute-Saône
Voir sur la carte topographique de la Haute-Saône
Champtonnay
Géolocalisation sur la carte :Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Champtonnay
modifier 

Champtonnay est unecommune française située dans ledépartement de laHaute-Saône, la région culturelle et historique deFranche-Comté et larégion administrativeBourgogne-Franche-Comté, à 10 km au sud-est de Gray.

Géographie

[modifier |modifier le code]

Champtonnay est une petite agglomération à caractère rural située à une altitude moyenne de 215 mètres. Son territoire est traversé d’est en ouest par la rivière « LaTenise » qui prend source à quelques kilomètres, à Cugney. La commune s'étend sur519 ha et est bordée par la route départementale 67 reliant Gray (à 11 km) à Besançon (à 36 km).

Communes limitrophes

[modifier |modifier le code]
Rose des ventsCresanceyOnayRose des vents
NoironN
O   Champtonnay   E
S
ArsansValayVenère

Climat

[modifier |modifier le code]

Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Bourgogne-Franche-Comté etClimat de la Haute-Saône.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[1]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,5 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 983 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, « Cugney », sur la commune deCugney à 4 km àvol d'oiseau[3], est de11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 958,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de40 °C, atteinte le ; la température minimale est de−17 °C, atteinte le[Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvellesprojections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié parMétéo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

[modifier |modifier le code]

Typologie

[modifier |modifier le code]

Au, Champtonnay est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8].Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gray, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 63 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

[modifier |modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (50,2 %), forêts (29,9 %), prairies (19,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

[modifier |modifier le code]
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article n’est pas rédigé dans unstyle encyclopédique().

L'état des fiefs de 1294 indique que la maison forte et les terres sont tenues par Guioz de Chantonnay, puis en 1427 par Estienne de Scey.

En 1532 Jean de la Thouvière reprend en fief la seigneurie puis en 1536 c’est Nicolas Perrenot de Granvelle, premier conseiller de l'empereurCharles Quint.

Le cardinalAntoine Perrenot de Granvelle, son fils, en fait de même et donne, le 2 août 1584, un dénombrement assez précis sur sa demeure :Le château et maison forte consistent en « trois corps de logis environnés et fortifié de sept tourillons et de fossés à fond de cuve remplis d'eau joignant auquel chasteau et foussés il y a une basse cour où sont les écuries, cuveries, jardin et vergier, aussi sexants de hautes murailles garnies de six tours flanquants pour la garde dudit chasteau, foussoyés à l'entour d'un foussé où il y a pareillement de l'eau. A chacuns desquels foussés sont les ponts levis et gisants et portes nécessaires pour les saillies entrées et fermetures et garde dudit château. Le tout contenant environ douze journaux de terre auprès desquels fossés et en dehors il y a aussi un vergier avec une chenevière contenant deux journaux du costé du village ... ».

Durant laguerre de Dix Ans — 1634-1644 — Chantonnay subit les affres du conflit. Dans la reprise de fief du 21 octobre 1678 présenté par Charlotte de La Baume, comtesse de Visconti, il est dit que « le chasteau et maison autrefois forte, les courtines estants démolies par ordre du Roy, consistent en deux corps de logis, six torions joignant auquel chasteau et fossé et basse court où sont les escuries et grangeages jardins et vergers fermés de vieilles murailles toutes escorchées garnies autrefois de six tours dont il y en a trois qui sont en ruine entièrement auquel chasteau il y a deux ponts gisants et forts necessaires pour les saillies, et entrées et fermetures du chasteau ... ». Le château a perdu un corps de logis depuis le dénombrement de 1584.

Le 26 novembre 1761, Jacques-Philippe de La Baume décède au château. Le marquis Claude-Antoine-Clériadus de Choiseul-Beaupré, dit de Choiseul-La Baume, hérite de la seigneurie. Il est guillotiné en 1794. Son fils Claude-Antoine-Gabriel de Choiseul-Stainville se retrouve être le nouveau propriétaire bien qu'étant considéré commeémigré ; ses propriétés sont vendus commebien national. François Nicolas Mouchet achète le château et ses dépendances, le 15 messidor an IV (3 juillet 1796)[13].Le peu de bâtiments restant se dégrade petit à petit.

Les vestiges sont soigneusement tracés sur plan cadastral de 1813.

Des bâtiments, il ne subsiste qu'une tour dite de « la chapelle » et une habitation avec ses granges, aujourd'hui encore utilisés, au nord-ouest, le long de la rivière.

Un grand nombre de pierres provenant du site a été employé pour la construction dans les environs d'édifices publics ou privés.

À l'origine cette pierre avait été extraite d'une carrière située à Champtonnay lieu-dit le Criot.

Politique et administration

[modifier |modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier |modifier le code]

La commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de laHaute-Saône, en régionBourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de lapremière circonscription de la Haute-Saône.

Elle fait partie depuis 1801 ducanton de Gray[14] (dont la composition a été modifiée dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, passant de 21 à 24 communes).

Intercommunalité

[modifier |modifier le code]

La commune a adhéré le à l'anciennecommunauté de communes Val de Gray.

L'article 35 de la loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010[15] « de réforme des collectivités territoriales » prévoyait d'achever et de rationaliser le dispositif intercommunal en France, et notamment d'intégrer la quasi-totalité des communes françaises dans desEPCI à fiscalité propre, dont la population soit normalement supérieure à 5 000 habitants.

Dans ce cadre, leschéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) approuvé par le préfet de Haute-Saône le[16] a prévu la fusion de cette intercommunalité avec la petitecommunauté de communes du Pays d'Autrey, auxquelles plusieurs communes jusqu'alors isolées devraient se joindre.

La commune est donc membre depuis le de la nouvellecommunauté de communes Val de Gray[17].

Liste des maires

[modifier |modifier le code]
Liste deséchevins successifs d'Ancien régime
Liste des échevins successifs[18]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
1561 JARROT Claude « le jeune »[19]  
1589 JARROT Jean[20]  
1592 JARROT Humbert et JARROT Nicolas[21]  
1593 GOIROT Nicolas et GOIROT Girard[22]  
1593 JARROT Jean et JARROT Nicolas  
1629 JARROT Anathoile  
1703 JARROT Joachim  
1734 BAYET Claude et BAYET François  
1736 CARVILLOT Hugues  
1738 JARROT Jean Joachim  
1739 NAVET Jacques  
1748 JARROT Jacques  
début 1753 JARROT Claude François  
fin 1753 BAYET François  
1755 NAVET Jacques  
1756 VILLETTE Philibert  
1758 VIARD Jacques  
1759 JARROT Claude Antoine  
1761 JARROT Simon et CARVILLOT Claude François  
1763 JARROT Jacques  
1766 JARROT Joseph  
1768 GREGOIRE Claude  
début 1769 JARROT Simon et CARVILLOT Claude François  
fin 1769 VERNIER Jean-Baptiste  
1770 JARROT Antoine[23]  
1771 CARVILLOT Claude François  
1772 HUGUE Jacques  
1776 JARROT Jacques  
1777 SERVIN Jean Claude  
1780 FOLGUERE François  
1786 JARROT Denis François  
1788 JARROT Pierre  
1789 JARROT Jacques  
 
Liste des maires de laRévolution française à laLibération
Liste des maires de 1790 à 1944[24]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
1790 Simon Jarrot  
1792 Jean Claude Jarrot  
1793An IVFrançois Mougin  
An IVAn VIIJean Claude Jarrot Agent municipal
An VIIAn XFrançois Denis Jarrot  
An XI Joseph Médard Viard  
An XII1812Jean Claude Jarrot  
1813 Pierre Louis Choizeau artiste peintre natif de Paris
1814 Jean Claude Jarrot  
1815 Jean Claude Carvillot  
18161821Claude Hubert Marion  
18221837Jean Claude Carvillot  
18371840Jacques Jarrot  
18401843Jean Claude Carvillot  
18701871Joseph Viard nommé par arrêté du 10 octobre 1870
18711875Jean Claude Jarrot  
18751878Claude Étienne, Maximien Jarrot  
18781882Étienne Moine  
18821888Gaspard Jarrot  
18881896Étienne Moine  
18961904Stéphane Vernier  
19041908Émile Moine  
19081924Stéphane Vernier  
19241926Auguste, Henri Dubois  
19261929Pierre Rousset  
19291931Hilaire, Auguste Vernier  
19311939Léon, Edmond Paulin  
19391944Pierre Rousset
Louis, Auguste Servin
Lucien, Henri Dubois
 Délégation spéciale
nommée par lerégime de Vichy
 
Liste des maires depuis laLibération de la France[24]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
19451959Léon, Edmond Paulin  
1959 Jean-Baptiste, Étienne Moine  
19601969Yves, Lucien Dubois  
19691995Robert Jacquot  
1995mars 2008Charles Paulin  
mars 2008[25]juin 2020Gérard MoineDVG[26]Retraité
Réélu pour le mandat 2014-2020[27]
juin 2020En coursYohann Poirot  

Démographie

[modifier |modifier le code]
Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.
Démographie d'après les documents desArchives départementales de la Haute-Saône et du Doubs
Relevés démographiques
1593161416571790an XIII180318151825182718291835
25 âmes22 ménages29143152161164164171168 (42 feux)158 (41 feux)


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2022, la commune comptait 80 habitants[Note 3], en évolution de −19,19 % par rapport à 2016 (Haute-Saône : −1,4 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
117147168166158187199207203
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
190193204190179163141131107
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
1051201099418273827363
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200520062010
627065788087919185
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
201520202022------
978780------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puisInsee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Culture locale et patrimoine

[modifier |modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier |modifier le code]
  • Tuilerie de Champtonnay est construite par ordonnance royale du 19 février 1839, au lieu-dit les Vendues, en bordure de la route reliant Gray à Besançon. La production concernait des tuiles, des briques, des carreaux de sol, mais aussi de la chaux, à partir d'une carrière locale. Son activité cesse en 1922 et les derniers tenanciers étaient la famille Dubois. Elle est classée à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1993[31].
  • La tuilerie et l'entrée du four.
    La tuilerie et l'entrée du four.
  • La tuilerie.
    La tuilerie.
  • La tuilerie.
    La tuilerie.
  • Les ruines d’un château :
    Emplacement du château et tour de la Chapelle.

Déjà mentionné en 1267 dans le testament d'Aymon de Chantonnay qui le lègue à son fils avant de partir pour la huitième croisade, ce château a été la propriété de grands et puissants personnages comme les Perrenot de Granvelle, les La Baume-Saint-Amour pour terminer par Claude-Antoine-Clériadus marquis de Choiseul-Beaupré, appelé de Choiseul-La Baume. Cette immense bâtisse — dont les ruines figurent sur le cadastre napoléonien — a servi decarrière à la Révolution. Il ne reste plus aujourd’hui qu'une tour à demi ruinée dite « tour de la Chapelle » et une partie des remparts de la basse cour aménagés en logements et bâtiments agricoles.

  • La tour de la Chapelle en 1900.
    La tour de la Chapelle en 1900.
  • La tour de la Chapelle en 2012.
    La tour de la Chapelle en 2012.
  • L'entrée et les restes des remparts.
    L'entrée et les restes des remparts.
  • Une fontaine-lavoir :
    La fontaine-lavoir.

En remplacement de l'ancienne fontaine qui ne convient plus, car son emplacement est noyé par les crues de la rivière qui la borde, il est décidé en 1860 de construire une nouvelle fontaine-lavoir. Une source capable de fournir l’eau nécessaire est découverte au lieudit le Vésignoz. Elle est « encaissée » (canalisée) en 1862, sur neuf cent soixante quinze mètres.

Entre-temps, le marché pour la construction de la fontaine est passé le 5 mars 1863. Elle est réceptionnée le 15 mai 1866 par l'architecte Maillot de Fouvent-le-Haut.

Malgré la qualité des pierres utilisées, les gelées, principalement celles de l'hiver 1879/1880, dégradent l'abreuvoir public. Le conseil municipal délibère et décide de faire enlever les anciennes auges et de les remplacer par de nouvelles en fonte. La partie centrale formera un demi-cercle et les deux parties latérales seront droites. Ainsi sont-elles encore aujourd'hui.

  • La fontaine sculptée.
    La fontaine sculptée.
  • L'intérieur du lavoir.
    L'intérieur du lavoir.

Personnalités liées à la commune

[modifier |modifier le code]
  • Raoul Motoret (1909-1978),écrivain français, est enterré dans le cimetière de Champtonnay aux côtés de sa sœur Christiane Motoret, épouse d'Émile Danoën qui vint régulièrement passer des périodes d'écriture ou de vacances dans la maison de la famille sur la route deBesançon, à une centaine de mètres de la Tuilerie.

Héraldique

[modifier |modifier le code]
Blason de ChamptonnayBlason
D’or semé de billettes de gueules, au lion de sable couronné d’argent brochant[32].
Détails

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Lien externe

[modifier |modifier le code]

Notes et références

[modifier |modifier le code]

Notes

[modifier |modifier le code]
  1. Les records sont établis sur la période du au.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

[modifier |modifier le code]
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

[modifier |modifier le code]
  1. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  3. « Orthodromie entre Champtonnay et Cugney », surfr.distance.to(consulté le).
  4. « Station Météo-France « Cugney », sur la commune de Cugney - fiche climatologique - période 1991-2020. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  5. « Station Météo-France « Cugney », sur la commune de Cugney - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », surdrias-climat.fr(consulté le).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.com,(consulté le).
  8. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  9. a etbInsee, « Métadonnées de la commune de Champtonnay ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gray », surle site de l'Insee(consulté le).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  13. Didier Krackenberger,Monographie de Champtonnay, Besançon, 1995,p. 45-59
  14. a etbDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. Loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales surLégifrance.
  16. « Arrêté préfectoral du 23 décembre 2011 portant définition du schéma départemental de coopération intercommunale du département de la Haute-Saône »[PDF], Préfecture de la Haute-Saône(consulté le),p. 4.
  17. « CC Val de Gray (N° SIREN : 200036549) »,Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur,(consulté le).
  18. Monographie de CHAMPTONNAY de Didier KRACKENBERGER,Besançon,1995, pages 128-131
  19. Arch. Départementales de la Haute-Saône –48 j 226 – cité dans la prise de possession de la seigneurie de Champtounay par Thomas PERRENOT DE GRANVELLE
  20. Arch. Départementales de la Haute-Saône –H 785 folio 54 recto – cité dans un « procès contre l'abbaye de Corneux », acte du 8 octobre 1589
  21. Arch. Départementales de la Haute-Saône –H 785 folio 105 recto – cités dans un « procès contre l'abbaye de Corneux », acte du 15 juin 1592
  22. Arch. Départementales de la Haute-Saône –H 785 folio 158 recto – cité dans un « procès contre l'abbaye de Corneux », acte du 15 mars 1593
  23. Arch. Départementales de la Haute-Saône –B 9314 – 30.7.1770, cité dans le procès-verbal de réception des travaux du presbytère
  24. a etb« Les maires de Champtonnay », surfrancegenweb.org(consulté le).
  25. Préfecture de Haute-Saône,Liste des communes de Haute-Saône, consultée le 18 juillet 2013
  26. « Extrait de la fiche de M. Gérard Moine », surlesbiographies.com,(consulté le).
  27. « Liste des maires de la Haute-Saône »[PDF],Liste des maires de la Haute-Saône et des présidents de communautés de communes, Préfecture de la Haute-Saône,(consulté le).
  28. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  31. Didier Krackenberger,Monographie de Champtonnay, Besançon,1995, avec les notes de bas de pages et références pour tous les monuments
  32. « Blason… », surarmorialdefrance.fr.
v ·m
Plus de 5 000 habitants
Plus de 1 000 habitants
Moins de 1 000 habitants
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Champtonnay&oldid=219050924 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp