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En pratique :Quelles sources sont attendues ?Comment ajouter mes sources ?Unechaîne audio, composée de plusieurs appareils, utilise diverses technologies qui relèvent du domaine de laphysique, telles les mouvements ondulatoires (physique vibratoire), letraitement du signal et l'acoustique.
Trois types d'appareils sont considérés dans cette page : les capteurs, les transformateurs et les restitueurs. Dans les musiques modernes, qui utilisent facilement les musiques amplifiées, on retrouve des configurations de base.
Lescapteurs sont appelésmicrophones (en abrégé « micros »). Il existe des microphones pour la voix et des microphones adaptés pour desinstrumentsacoustiques. Les instruments appelés « électriques » ont des microphones intégrés, et on peut brancher un câble directement sur l'instrument. Actuellement, les technologies detransmission sans fil par ondes radio permettent de limiter l'utilisation des câbles.
Le transformateur principal est l'amplificateur. Celui-ci restitue le son, avec plus ou moins de puissance, selon les réglages. Souvent couplée à l'amplificateur, latable de mixage permet de gérer plusieurs entrées et sorties de son. En effet, c'est sur cette table que l'on effectue la « balance » d'ungroupe : chaque niveau est réglé, et le son perfectionné (aigus, graves,effets).
D'autres appareils, intégrés à la table de mixage ou externes, permettent d'ajouter un effet spécial sur un son. En effet, on ajoutera facilement de laréverbération ou de lacompression dynamique sur une voie. Certains se trouvent sous forme depédales d'effet, qui peuvent être actionnées par le pied tout en jouant.Parmi ces effets, on peut citer :
Leshaut-parleurs transforment unsignal électrique enonde sonore.
La manipulationélectrique du son est possible grâce à l'électromagnétisme.
En effet, une variation duchamp magnétique à proximité d'unebobine produit uncourant électriqueinduit.
Pour vanter les qualités de reproduction de leurs appareils et fournir des indicateurs de comparaison, les fabricants de matériels électroniques de traitement de reproduction sonore, ont, dans les années 1960, introduit la notion de « Haute Fidélité » ouHi-Fi pourHigh Fidelity.
Un amplificateur prend en entrée un signal de faibleamplitude et l'amplifie à un niveau utile pour l'équipement qui y sera relié en sortie.
Lorsque le signal d'entrée est très faible (quelques millivolts, voire moins), on utilise unpréamplificateur dont le rôle est d'amener cette tension à un niveau relativement immune au bruit (quelques volts). La sortie du préamplificateur sera reliée à l'entrée de l'amplificateur de puissance, qui à son tour pourra générer le courant nécessaire à l'alimentation du (ou des) haut-parleur(s).
Les premiers amplificateurs électroniques utilisaient la technologie destubes, avant d'évoluer vers letransistor bipolaire. Aujourd'hui, on trouve toujours des amplificateurs à tubes, mais la majorité des unités produites utilisent le transistor, bipolaire ouà effet de champ (FET). L'un des avantages des transistors est leur faible encombrement qui rend possible la réalisation decircuits intégrés depuissance, où tout le circuit d'amplification est regroupé dans un seul composant.
Une des différences entre les technologies tube/transistor est la production possible d'harmoniques impaires par les transistors, rendant le signal reproduit moins agréable à l'oreille que celui reproduit par les tubes, qui génèrent des harmoniques paires. Néanmoins, lestransistors à effet de champ partagent cet avantage avec les tubes.
Par opposition à analogique, on parle detraitement numérique du son, lorsque les traitements sont accomplis sur le résultat de lanumérisation du signal d'entrée.
L'obtention d'un signal (en l'espèce, acoustique) numérisé à partir d'un signal analogique, issu par exemple de la captation d'un son par un microphone, suit le processus suivant :
Le codage sur 16 bits avec une fréquence d'échantillonnage de 44,1 kHz est celui utilisé pour les CD audio.
Dans l'industrie de la production sonore, et désormais dans les enregistrements numériques « haute résolution » fournis par certaines plateformes musicales et web-radios, le codage peut être plus performant, souvent 96 kHz sur 24 bits, voire plus. La norme DSD du disque optique SACD, par exemple, utilise une fréquence de 2,8 MHz (64 fois supérieure au CD) et permet une plage dynamique de 120 dB (soit l'équivalent de 20 bits).
Parmi les activités sonores les plus étonnantes duXXe siècle : laphonographie.
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