Pour des raisons historiques, la commune est intimement liée à la commune deCapdenac-Gare, qui se trouve en contrebas dans le département de l'Aveyron.
Capdenac se situe à 4 km deFigeac sur leLot, en rive droite et en face de la commune voisine deCapdenac-Gare, qui est dans le département de l'Aveyron.
Capdenac est aussi appelé Capdenac-le-Haut en raison de sa situation dominant d'une centaine de mètres la rivière qui passe en contrebas.
Au, Capdenac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].Elle appartient à l'unité urbaine de Figeac[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant six communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 4],[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Figeac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 4],[I 5].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (74,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (52,1 %), forêts (14,4 %), zones agricoles hétérogènes (9,1 %), eaux continentales[Note 6] (9,1 %), zones urbanisées (5,9 %),terres arables (5,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,7 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d'être affectées par lerisque d'inondation par débordement de cours d'eau, notamment leLot. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre duXIeContrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d'inondation, est accessible sur le site de laDREAL Occitanie[14]. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1999, 2003 et 2021[15],[12].
Capdenac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en naturede bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l'entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L'écobuage est également interdit, ainsi que les feux de typeméchouis etbarbecues, à l'exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[16].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Capdenac.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[17]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d'affaissement de terrain, l'inventaire national descavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].
Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d'alternance de périodes desécheresse et de pluie. 75,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 610 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 514 sont en aléa moyen ou fort, soit 84 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national auretrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site duBRGM[19],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d'affaissement de terrain, l'inventaire national descavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2011, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[12].
Le risque detransport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic, une ligne de chemin de fer et une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d'avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d'urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[20].
La commune est en outre située en aval desbarrages deGrandval et deSarrans, des ouvrages de classe A[Note 7] disposant d'une retenue de respectivement 270,6 millions[22] et 296 millions de mètres cubes[23],[24]
Capdenac est un important site archéologique duNéolithique moyen. Le site de Capdenac, particulièrement propice à un habitat, a été occupé de très longue date. Les fouilles y ont dégagé, sous l'éperon dominant le Lot, plusieurs niveaux d'occupation datant duChasséen (environ 3 500 av. J.-C) et duBronze final III (champs d'urnes), niveaux qui ont livré descéramiques et pour lesquels unestratigraphie fine a pu être réalisée[27].
Les fouilles de 1973 ont permis de dégager une remarquable statue de divinité féminine attribuée au Chasséen[28], désormais conservée au musée de Cahors Henri-Martin[29]. C'est une statue remarquable et unique en son genre, le seuls modèles ressemblants ont été retrouvés sur le site deLepenski Vir au bord duDanube, près desportes de Fer enYougoslavie. Ce site fut occupé par une population de chasseurs pêcheurs apparemmentsédentaires vers 4 680 à 4 610 av. J.-C, soit au moins un millénaire et demi avant Capdenac. Cet écart chronologique et d'autant plus étonnant que la statue de Capdenac comporte plusieurs similitudes avec les statues yougoslaves (matériau, technique, allure générale) mais aussi et surtout deux caractéristiques très originales : des mains ne comportant que trois doigts et une chevelure en forme de crête détachée au sommet ducrâne.
Un important trésor monétaire gaulois a été trouvé à Capdenac à la fin duXIXe siècle. Dans une lettre du 17 novembre 1866 de Fernand de Saulcy àAdrien Prévost de Longpérier[30], il est signalé que l'on a trouvé, en 1866, dans la propriété de L.A. Savary, maire de Capdenac etconseiller général duLot, lors du creusement d'une cave dans son jardin situé en plein bourg, donc sur l'ancienoppidum, une cache où se trouvait un grand pot en terre contenant un trésormonétaire de plus de 3000 pièces. Le total pesait 10 kg. Il s'agissait de monnaies « à la croix » frappées par les peuples du Sud-Ouest de la Gaule (Volques tectosages, Sotiates). Un lot de 535 pièces gauloises, 81 variétés environ, fut distrait de cette masse monétaire pour être envoyée à Paris à un marchand numismate (Hoffman)[31]. Celui-ci fit part de son acquisition à un savantnumismate de l'époque (de Saulcy). Après étude, ce dernier en rendit compte à un autrenumismateAdrien Prévost de Longpérier. Un peu plus tard, de Saulcy paraît en avoir fait l'acquisition. Par la suite, on ne sait ce qu'est devenue cette collection. Par bonheur, il reste de ce trésor une dizaine de pièces aucabinet des Médailles de la Bibliothèque Nationale. Quant au reste du trésor monétaire, il fut dit par de Saulcy, qu'il fut envoyé à la fonte, pour être transformé enorfèvrerie[32]. La provenance du trésor n'a pas été établie immédiatement et il a été confondu avec une trouvaille faite à Vertheuil[33].
La localisation exacte d'Uxellodunum fut longtemps controversée, et récemment Capdenac a perdu le titre officiel de lieu probable du site. Une décision officielle, du 21 avril 2001, a déclaré que le site le plus probable d'Uxellodunum était lePuy d'Issolud près de la ville deVayrac, à la suite des résultats de fouilles archéologiques entreprises en 1997. Les publications scientifiques ont entériné le résultat de ces fouilles[35] : pour la communauté des historiens et archéologues le débat semble tranché en faveur du Puy d'Issolud. Localement toutefois une association s'est constituée qui continue à revendiquer la localisation de la bataille à Capdenac et demande que soient effectuées des fouilles officielles sur leur site[36]. Elle n'a pas reçu d'autorisation de fouille jusqu'à ce jour.
AuMoyen Âge on a pu considérer que la cité de Capdenac s'était appeléeUxellodunum[37]. Lors de la dernière année de la guerre des Gaules, en-51, deux chefs gaulois,Lucterios etDrappès, se réfugièrent dans l'oppidum cadurque d'Uxellodunum après la terrible défaite d'Alésia, qui avait contraintVercingétorix et le gros des forces arméesgauloises à déposer les armes.Lucterios était un chef issu du peuple desCadurques dontUxellodunum faisait partie, il gagna donc facilement les habitants à sa cause[38]. Les premièreslégions romaines commandées parCaninius arrivèrent rapidement devant la ville, et commencèrent à préparer le siège. Les deux chefs gaulois s'apprêtèrent à subir un long siège ; pour cela, ils décidèrent de faire de grandes provisions de blé avant que la place ne soit entièrement encerclée par l'ennemi. Plusieurs convois de victuailles arrivèrent à bon port, mais lors de l'un de ces convois, les chefs gaulois ainsi que leurs troupes furent surpris par une attaque des Romains ; Luctérios parvint à s'enfuir, alors que Drapès fut fait prisonnier. La cité d'Uxellodunum était à partir de ce moment-là orpheline de ses chefs, et seuls 2 000 combattants assuraient la défense de la ville, mais la résistance opiniâtre de ses habitants continua tout de même. Alerté par Caninius, et ayant peur de la valeur d'exemple que pouvait montrer cette poignée d'irréductibles, César s'empressa de venir sur les lieux, avec sa cavalerie. À partir de ce moment-là, environ 30 000Romains assiégèrentUxellodunum.
Sachant que la ville était bien pourvue en vivres,Jules César décida de les priver d'eau. Pour cela il les empêcha de descendre à la rivière, en postant desarchers,frondeurs, et des machines de guerre sur la rive opposée. Alors lesGaulois se mirent tous à venir chercher de l'eau en un seul endroit, dans une grande fontaine. César fit alors construire un terrassement, surmonté d'une tour de bois de 10 étages, afin d'empêcher les Gaulois de sortir de leurs murs. Grâce à ce stratagème, les assiégés se voyaient contraint de rester enfermés derrière leurs murs, et César fit creuser des galeries, afin de couper les veines d'eau alimentant la fontaine d'Uxellodunum. Les Gaulois firent de nombreuses sorties et causèrent de gros dégâts à l'armée romaine, jusqu'au jour où les travaux de dérivation de la fontaine atteignirent leur but, et asséchèrent la seule fontaine de la ville. Les Gaulois virent là un signe divin et se rendirent aussitôt. Pour châtier cette résistance,Jules César fit couper les mains à tous les hommes en âge de porter les armes. La chute d'Uxellodunum marqua la fin de laguerre des Gaules. Ce fut donc sur un oppidum dominant la vallée duLot, baptisé Oltis par les Romains, que des Gaulois offrirent leur dernière résistance face à la puissance deJules César.
À l'époque romaine, Capdenac aurait été une forteresse. L'étude des remparts (au nord) a montré l'existence de murs en opus caementicium sur la troisième ligne des remparts et sur plusieurs mètres. Deux ouvertures ont été repérées. Il s'agit bien de vestiges gallo-romains réutilisés à une période plus tardive. »[43]Découverts au bourg et dans ses environs, deux fibules en bronze, une lancette de chirurgien en bronze, deux amphorettes, des fragments de tegulae, imbrices et d'ampore vinaire italiques[43].Un grand fossé est également à signaler[45]. et fontaine fortifiée, à laquelle on accède encore de nos jours par un escalier de 130 marches. La présence romaine fut confirmée par les découvertes de carrières de grès exploitées à cette époque[46], ainsi que par le passage de la voie romaine reliant Limoges à Narbonne[47].
Puis durant la paix romaine, Capdenac tomba un peu dans l'oubli. Les Wisigoths restèrent maîtres de la ville de 477 à 530, et en furent chassés par Thierry, fils deClovis. Ensuite, ce sont lesSarrasins, qui pillèrent la cité, avant d'en être chassés parCharles Martel. En 778, c'estPepin le Bref, qui fit le siège de Capdenac, lors de sa guerre menée contreWaïfre, le dernier roi d'Aquitaine. Puis, Capdenac fut le lieu de résidence deSaint-Géraud, le fondateur de l'abbaye d'Aurillac, qui réalisa un miracle dans le château capdenacois[48]. Une noble famille des chevaliers de Capdenac, animèrent la région duXIe au XIIIe siècle. LesTempliers, puis lesHospitaliers, s'installèrent à la pointe sud du bourg, puis,Simon de Montfort lors de sacroisade menée contre les Albigeois, assiégea la cité deux fois.
Durant la croisade menée contre lesCathares par Simon de Montfort, Capdenac était une place forte redoutable, et il n'est pas étonnant que le chef militaire de cette croisade décida de l'occuper entre autres en 1209 et 1214[49]. Si Capdenac n'a pas officiellement abrité d'hérétiques albigeois, c'est sur ses terres que naquitBertrand de la Bacalaria[50], qui fut l'ingénieur en machine de guerre, qui rentra dans lechâteau de Montségur alors assiégé. Il construisit alors des machines typestrébuchets et autres, afin de tenter de détruire celles postées par les troupes du roi de France, qui provoquaient beaucoup de dégât chez les défenseurs de Montségur. Le lieu-dit de la Bacalaria existe toujours, il s'appelle aujourd'hui la Vacalerie et se trouve à 3 km de la cité de Capdenac[51].
En 1291, unecharte des immunités et des privilèges définit les relations entre lesseigneurs de Capdenac et lesconsuls représentant la population. cettecharte est confirmée par les rois de France :Philippe le Long en avril 1320,Jean II en juillet 1361 etCharles VI en octobre 1393[52].
Durant laguerre de Cent Ans, Capdenac résista farouchement à l'ennemi anglais, au cours de plusieurs sièges. À la fin duXIVe siècle la famille d'Armagnac se rendit propriétaire de la place, avant d'en être chassée parLouis XI, alors dauphin du royaume de France. Galiot de Genouillac, grand maître d'artillerie du royaume de France, en fut également le seigneur au cours duXVIe siècle. Lesguerres de Religion n'épargnèrent pas la petite cité, qui fut longtemps tenue par lesprotestants. Sully vint s'y retirer après la mort d'Henri IV.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[55].
En 2022, la commune comptait 1 070 habitants[Note 8], en évolution de −2,82 % par rapport à 2016 (Lot : +1,31 %,France horsMayotte : +2,11 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 616 personnes, parmi lesquelles on compte 76,3 % d'actifs (68,9 % ayant un emploi et 7,4 % de chômeurs) et 23,7 % d'inactifs[Note 10],[I 8]. Depuis 2008, letaux de chômage communal (au sens du recensement) des15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Figeac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 11]. Elle compte 394 emplois en 2018, contre 452 en 2013 et 407 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 433, soit unindicateur de concentration d'emploi de 90,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,8 %[I 12].
Sur ces 433 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 106 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 91,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,2 % lestransports en commun, 4,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
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Plusieurs entreprises industrielles sont sises à Capdenac, dont Sud-Ouest Système (réparation et reconstruction de machines d'usinage à enlèvement de copeaux), créée en 1986, CA 7 M€, 34 p[59].
Maximilien de Béthune, duc de Sully - plus connu sous le nom de Sully (1560 - 1641), ministre d'Henri IV, vécut 15 ans dans son château de Capdenac.
Jacques-Joseph Champollion, dit Champollion-Figeac, frère aîné du déchiffreur des hiéroglyphes a effectué des fouilles en1816 et écrivit en1820 :Nouvelles recherches sur la ville gauloise d'Uxellodunum. Il concluait dans son ouvrage que Capdenac-le-haut était l'antiqueUxellodunum.
Jean-Ventach, président de la commission Uxellodunum de 1963 à 1985, inventeur de la fontaine romaine en 1979 avec son ami Roger Marty.
Roger Marty (1923 - 2007), boulanger et fondateur de l'Association pour Uxellodunum à Capdenac, en 2001, et qui depuis a effectué de nombreuses recherches[67],[68],[69],[70] sur le site de Capdenac qu'il considérait comme celui d'Uxellodunum, et inventeur de la fontaine romaine de Capdenac, avec son ami Jean Ventach.
De gueules à la forteresse d'argent, donjonnée de trois tours, celles des flancs plus petites et couvertes d'argent, maçonnée, ouverte et ajourée en demi-lune de sable.
↑Les ZNIEFF detype 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF detype 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Figeac comprend une ville-centre et cinq communes de banlieue.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[21].
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement desfoyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à lataxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑GastonBazalgues et JacquelineBazalgues,À la découverte des noms de lieux du Quercy et des communes du Lot : Toponymie lotoise, Aubenas, Gourdon : Éditions de la Bouriane et du Quercy,, 133 p.(ISBN2-910540-16-2,BNF40220401),p. 108.
↑Gernignon K., Clottes J., Carrière M., Giraud J.-P, « Capdenac-le-Haut (Lot) : le Néolithique moyen quercinois stratifié »,Bulletin de la Société préhistorique française. 2007, 104 – 1cat.inist.fr
↑Jean Clottes, Michel Carrière, « La statue féminine de Capdenac-le-Haut (Lot) »,Congrès préhistorique de France,XXe session, Provence, 1974, 1976,p. 102-108
↑« Lettre de Fernand de Saulcy »,Revue de Numismatique,,p. 26
↑Adrien Blanchet,Traité des monnaies gauloises, Paris, 1905, n°141
↑La trouvaille de ce trésor est officiellement publiée dans leDictionnaire archéologique de la Gaule, publié sous le second empire, vers 1867, à l'article Capdenac, t. 1, p. 226
↑Adrien Blanchet,Traité des monnaies gauloises, Paris, 1905, n°96
↑A. Viré, Bulletin de la Société préhistorique française, 1908, 5-2, p. 72lire en ligne
↑J.-P. Girault, « Recherches à la Fontaine de Loulié (Saint-Denis-les-Martel, Lot). Nouveaux éléments sur la bataille d’Uxellodunum », Aquitania, Suppl. 14/1 : Les âges du fer dans le Sud-Ouest de la France (actes du colloque 20-23 mai 2004), 2007
↑Charte de privilèges de Philippe Le Long de 1320, BN, collection Doat, vol.2, feuillet 117, portant le titre "Inventaire des copies des titres des archives de Capdenac envoyées à Paris le 26 novembre 1667
↑Livre VIII de la guerre des Gaules traditionnellement attribué Hirtius
↑Baron Chaudruc de Crazannes, « Coup d'œil sur les monuments historiques du département du Lot »,Bulletin monumental, 1835, p. 14books.google.fr
↑Nouvelles recherches sur la ville gauloise d'Uxellodunum, 1820
↑Traduction française: Odon de Cluny, Vie de saint Géraud d'Aurillac, traduction par M. Compaing, curé de Savènes au diocèse de Toulouse, Aurillac, 1715, in-8°
↑Chronique de Pierre des Vaux de Cernay, Historia albigensis, éd. par Pascal Guédin et Ernest Lyon, 3 Tomes, Paris Champion 1930
↑registre des inquisiteurs Ferrer, Durant et Gary, BN
↑Le dossier Montségur, Jean Duvernoy Le Pérégrinateur 1998
↑V.Fourastié,Annuaire général du Lot : Historique, administratif, judiciaire, commercial, Cahors,