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Brasseries Kronenbourg

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Cet article concerne l'entreprise et les brasseries Kronenbourg. Pour la marque de bière et le quartier de Strasbourg, voirKronenbourg etCronenbourg.

Brasseries Kronenbourg
Image illustrative de l'article Brasseries Kronenbourg
Logo des Brasseries Kronenbourg depuis 2023.
Localisation
PaysDrapeau de la FranceFrance
VilleBoulevard de l'Europe,
67210Obernai
(anciennementStrasbourg)
Caractéristiques
Fondée en1664 parJérôme Hatt
Dates clés1862 : la brasserie s'installe àCronenbourg.
1969 : construction de la brasserie K2 àObernai.
1986 : fusion avec laSociété européenne de brasserie.
2000 : intègre le groupeScottish & Newcastle.
2008 : intègre le groupeCarlsberg.
2014 : transfert de la totalité des activités deStrasbourg-Cronenbourg àObernai.
Société mèreCarlsberg
Principales bières1664
Grimbergen
Kronenbourg
Production annuelle7 millions d'hectolitres
Site webwww.kronenbourg.com
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Brasseries Kronenbourg est une entreprise brassicolefrançaise, filiale depuis 2008 du groupe danoisCarlsberg. Sonsiège se situe àObernai enAlsace.

Fondée en1664 àStrasbourg parJérôme Hatt, c'est l’une des plus anciennes entreprises françaises. Kronenbourg tire son nom du quartier deCronenbourg, à Strasbourg, où la brasserie Hatt s'est installée au milieu duXIXe siècle.

Elle est le premierbrasseur deFrance avec 30% de part de marché ; une bière sur trois consommée en France est produite par la brasserie K2 d'Obernai[1].

L'entreprise dispose d’un portefeuille de marques comprenant notammentKronenbourg,1664,Grimbergen,Kanterbräu ouCarlsberg.

Historique

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Fondation et développement

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XVIIe siècle

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Plaque apposée à labrasserie du Canon, à l'intersection de la place du Corbeau et de la rue d'Austerlitz à Strasbourg.

C'est en juin1664 queJérôme Hatt, quatrième du nom, fils de teinturier admis à la corporation des tonneliers, obtient sa maîtrise de brasseur et loue, le[2], la brasserie duCanon autrefoisZur Cathaunen puisZur Kanone qui était dès1647 brasserie,place du Corbeau àStrasbourg[3] : il frappe de son sceau son premier tonneau de bière. Il n'aura de cesse d'améliorer les techniques de brassage, pionnier d'une dynastie qui sera au service de la bière pour huit générations. En1669, Jérôme Hatt achète l'établissement[2].

XIXe siècle

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Dès1857, la brasserie livre par train les fûts àParis. On trouve alors les premières bières Hatt chezLipp[n 1], célèbre brasserie parisienne créée par unAlsacien. Elle produit des bières en verre à la marque Hatt vendue dans la région ou à Paris.En1862[4], Frédéric Guillaume Hatt transfère la brasserie sur les hauteurs de Strasbourg dans le quartier deCronenbourg. Cet emplacement présente un double intérêt : protéger les installations des crues fréquentes de l’Ill, et grâce aux caves profondes, il peut appliquer le procédé de la fermentation basse[2]. Ce procédé nécessite de conserver les bières en sous-sol de manière que la température ambiante n’excède pas10 °C. Le site de Cronenbourg devient le siège social de l'entreprise. Entre les deux guerres au siècle suivant, la commercialisation s’étend à toutes les grandes villes françaises.

XXe siècle

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Publicité de 1934.
Ancien wagon Kronenbourg au musée de la bière de Stenay.

En1922, Maurice-Georges Hatt achète la brasserie-restaurant duGrand Tigre et donne à sa bière le nom deTigre Bock. Sur l’étiquette figurera l'appellation « Bière Hatt, Strasbourg (parfois Strasbourg-Kronenbourg ou Cronenbourg) »jusqu’en1986[réf. souhaitée]. Mais c'est Jérôme Hatt, sixième du nom, présent depuis1935 au sein de l'entreprise, qui va être le réel instigateur de l'expansion de celle-ci[2].

En1941, la brasserie acquiert des wagons isothermes construits parDe Dietrich[5].

Le, la bièreTigre Bock est déposée sous la marque deKronenbourg avec un « K », le quartier deCronenbourg étant appelé « Kronenbourg » durant le rattachement de l'Alsace-Lorraine à l'Empire allemand de 1871 à 1919. Cette orthographe germanique peut également faire référence à la qualité allemande de la bière. Jérôme Hatt commercialise peu après sa bière en bouteilles de33 cl puis25 cl consignées et capsulées. La fameuse étiquette à damiers rouges et blancs reprend les couleurs traditionnelles de l'Alsace et de la ville deStrasbourg. L’entreprise adopte également le nom de Kronenbourg. En1952, est lancée la bière spécialeKronenbourg 1664[n 2] à l’occasion du couronnement de lareine d’Angleterre[7]. L'année suivante, Kronenbourg lance sa première bière en boîte métallique, dite « facile à transporter, facile à ranger et plus pratique ». La fin des années 1950 marque le développement de l'entreprise en Europe.

Anticipant les tendances deconsommation de masse avec le développement des hypermarchés, Kronenbourg lance en1963 le premier pack de six bouteilles en verre non consigné. Ce premier contenant recyclable de l'histoire du packaging dans le monde de la bière sera surnommé la « canette »[8]. Dix ans plus tard, en1973, Kronenbourg continue à faire évoluer le pack avec les premiers packs de 10 bouteilles de25 cl, pour parvenir en1988, à des packs de 26 bouteilles.

À la fin desannées 1960, une nouvelle brasserie est construite àObernai[9] qui devient le plus important site brassicole de France, produisant chaque année près de 7 millions d'hectolitres soit 40 % de la production de bière française[10]. Kronenbourg entre dans le groupeBoussois-Souchon-Neuvesel (qui deviendra legroupe Danone) en1970.

Les années 1970 sont celles du développement : la production passe de 3 millions d'hectolitres en1971 à 4 millions en1973, 5 millions en1975 et 6 millions en1976. Les 7 millions d'hectolitres sont atteints en1983[11].

En1986, Kronenbourg fusionne avec laSociété européenne de brasserie (S.E.B), qui comptait plus de vingt sites de production en France dont labrasserie de Champigneulles et la marqueKanterbräu, et devient Brasseries Kronenbourg[12].

En1989, Kronenbourg lance en France la bièreGrimbergen, détenue en partie par BSN via sa participation dans le groupe belgeAlken-Maes. Elle est alors brassée sur le site de Champigneulles[13].

XXIe siècle, années de crise

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Logo1664 présent sur les emballages.

Début2000, les Brasseries Kronenbourg compte quatre sites de production : K1 àStrasbourg-Cronenbourg, K2 àObernai,Champigneulles etRennes.

Alors qu'en 2000, sort la premièrebière sans alcool de la marque,Kronenbourg Pur Malt, le groupeDanone revend Brasseries Kronenbourg au groupe britanniqueScottish & Newcastle. La même année, la brasserie K1 deCronenbourg cesse toute activité d'embouteillage.

Le début duXXIe siècle est une période de crise profonde pour Kronenbourg. Selon le quotidien françaisLe Monde en2008,« En moins de 10 ans, les Brasseries Kronenbourg ont perdu 30 % de leurs volumes, passant de près de 10 millions d'hectolitres vendus en1999 à 7 millions en2007[14]. » La marque Kronenbourg elle-même est concurrencée par les bières bas de gamme et possède peu de potentiel de repositionnement vers le haut de gamme. La part de marché du groupe est revenue de 41 % en 2000 à 34 % vers 2007[14]. Entretemps, les innovations se multiplient avec en2005, une boite 100 % recyclable qui se rebouche, puis l'année suivante la colonne « Superfresh » permettant de servir la bière à3 °C, suivie en 2007 de la boîte« 1664 Instant Pression » utilisant un système pression intégré à base de bille d'azote ou encore le fût de5 litres pression deux ans après.

En difficulté, le groupe se recentre sur le site K2 d'Obernai : labrasserie de Rennes est fermée en2003[15] et démolie en2005[16], à l’exception du château d’eau et du silo à malt. Ces structures seront conservées et répertoriées au patrimoine d’intérêt local. Les derniers bâtiments sont détruits en2010[17].En2006, Kronenbourg revend labrasserie de Champigneulles (au nord deNancy) au brasseurallemandTCB[14].En avril de la même année, l'usine de mise en bouteille du site K1 deCronenbourg est démolie ; la zone deviendra un parc immobilier. Les bureaux de la direction, une salle de brassage, les laboratoires de conception et de recherche ainsi qu'un musée restent toutefois au sein du site historique de l'entreprise.

Le, Brasseries Kronenbourg est intégré dans le groupe danoisCarlsberg à la suite du rachat de Scottish & Newcastle en par un consortium formé par Carlsberg etHeineken[18].

Le groupe se recentre aussi sur son activité de production de bières : il cède la chaîne de restaurantsTaverne de maître Kanter augroupe Flo[19] ainsi que sa filiale de distributionElidis[14]. En,Roland Ries et Brasseries Kronenbourg inaugurent et rouvrent l'ancien établissementAu Canon redevenu un restaurant-brasserie[20]. Quatre mois plus tard en octobre, le groupe Carlsberg annonce dans le cadre d'un plan de restructuration organisationnel de l'entreprise, la suppression de 214 postes d'ici la fin de l'année 2010[14].

Après les années 2010, Brasseries Kronenbourg lance de nouveaux produits, dont des bières aromatisées ou sans alcool[2],[21], ainsi que de nouveaux contenants en plastique ou aluminium[22].

Brasseries Kronenbourg occupe un peu plus de 30 % de part de marché en France, dont environ 17 % rien que pour sa bière homonyme[23],[22], se disputant ainsi la place de leader avecHeineken[24],[25],[26],[27]. 70 % des ventes sont réalisées dans le circuit alimentaire et 30 % dans le circuit Hors domicile.

Kronenbourg aujourd'hui

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En2016, Kronenbourg compte 1 210 salariés dont 800 personnes àObernai, 160 àBoulogne-Billancourt et 240 commerciaux dans toute la France[28],[29].

Les principales marques de Brasseries Kronenbourg sont, par ordre alphabétique,1664,Carlsberg,Grimbergen,Kanterbräu etKronenbourg.

Le logo Kronenbourg est modernisé début2015. Pour l'année 2018, lechiffre d'affaires de Kronenbourg est de 972 millions d'euros, en hausse de 3,8 %[29]. Les parts de marché de l'entreprise ont augmenté de 0,7 point. La marqueKronenbourg est en légère baisse (-0,6 %) mais constitue toujours 50 % des ventes du brasseur[30].

Kronenbourg réalise environ 40 % de la production nationale de bière[11] et exporte 20 % de sa production, notamment la1664 qui est commercialisée dans 70 pays et serait la bière française la plus vendue au monde[31].

Chaque jour, Kronenbourg alimente 7 000 grandes surfaces et 40 000 cafés, hôtels, restaurants en France.

En, Rémy Sharps succède à João Abecasis à la tête de Kronenbourg[32].

Identité visuelle

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Le logo de Kronenbourg reprend les couleurs traditionnelles deStrasbourg et de l'Alsace : le rouge et le blanc. Un nouveau logo d'entreprise bleu et blanc est utilisé depuis 2023. Le logo de la marque Kronenbourg conserve les couleurs alsaciennes.

  • Logo de l'entreprise utilisé jusqu'en 2015.
    Logo de l'entreprise utilisé jusqu'en 2015.
  • Logo de l'entreprise utilisé de 2015 à 2023.
    Logo de l'entreprise utilisé de 2015 à 2023.
  • Nouvelle identité de l'entreprise depuis 2023.
    Nouvelle identité de l'entreprise depuis 2023.
  • Logo de la bière Kronenbourg jusqu'en 2015.
    Logo de la bière Kronenbourg jusqu'en 2015.
  • Logo de la bière Kronenbourg de 2015 à 2019.
    Logo de la bière Kronenbourg de 2015 à 2019.
  • Logo de la bière Kronenbourg depuis 2019.
    Logo de la bière Kronenbourg depuis 2019.


Informations économiques

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En 2015 la société réalisait un chiffre d'affaires de 989 millions d'euros et employait 823 collaborateurs. Les comptes plus récents ne sont pas disponibles[33].

Brasserie de Cronenbourg K1

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Une partie de l'ancienne brasserie K1 de Strasbourg-Cronenbourg : à gauche le siège social, à droite la salle de brassage.

Le site historique de Kronenbourg, qui a donné son nom actuel à l'entreprise, se trouve depuis1862 dans le quartier deCronenbourg, auno 68 route d'Oberhausbergen, à l'ouest deStrasbourg. La brasserie est agrandie à la suite du lancement de la bièreTigre Bock en1922. Endommagée par un bombardement en1944, elle est reconstruite et à nouveau agrandie à la fin de laSeconde Guerre mondiale.

Au début desannées 1960, la brasserie de Cronenbourg s'étendait sur 7 hectares, comportait 4 salles de brassage, 650 tanks de 200 à 10 000 hectolitres, 5 groupes d'embouteillage et 3 soutireuses-fûts. À son apogée en1968 elle produit 2 millions d'hectolitres de bière et emploie 800 personnes.

À la suite de la construction de la brasserie d'Obernai dite K2, en1969, la brasserie de Cronenbourg est alors nommée K1.

Elle disposait également d’entrepôts dans le quartier voisin deHautepierre et d'unembranchement ferroviaire, relié à laligne de Graffenstaden à Hausbergen[34], dont le trafic était traité par lagare de Strasbourg-Cronenbourg.

La brasserie ne produit plus que 600 000 hectolitres de bière en2000. La production est stoppée et transférée à Obernai la même année mais le siège social de l'entreprise, le centre de recherche et développement, ainsi qu'un musée occupent toujours le site. Chaque année, K1 accueille près de 25 000 visiteurs.

En2007, plusieurs bâtiments (notamment l'usine de mise en bouteilles) sont démolis pour permettre la construction d'unécoquartier. La démolition du château d'eau construit en1954 et surmonté du logo Kronenbourg, considéré comme un emblème du quartier, suscite une vive émotion auprès des riverains.

Le musée ferme définitivement ses portes le[35]. Une vente aux enchères du mobilier et de divers objets est organisée en mars de l'année suivante. Finalement le siège social ainsi que le centre de recherche et développement déménagent à la brasserie K2 d'Obernai courant2013/début2014. Le site est depuis en friche. Un projet immobilier est en cours, les travaux de démolition démarrent en 2015. Seules la villa Hatt (construite en1897 par les architectes Brion et Haug[36]) et une ancienne salle de brassage (comportant 8 cuves encuivre) sont conservées[37].

Les noms des rues du nouvel écoquartier rappellent le passé du site : rue du Brassin, rue Hatt.

La mention « BK 67200 Strasbourg » (67200 est le code postal du quartier deCronenbourg) apparaît sur les bouteilles de bière jusqu'en. Depuis cette date, elle a été changée en « BK 67210 Obernai ».

La tour de bureaux, haute de 30 mètres, est démolie en. L'enseigne Kronenbourg, qui fut transférée au sommet la tour après la démolition du château d'eau, est conservée. Elle sera réinstallée sur le futur hôtel livré en2018. L'ancienne salle de brassage accueillera un restaurant et une œuvre d’art « faisant référence au passé brassicole du site » sera installée au centre de l'écoquartier[38]. En plus de l'hôtel et du restaurant, le projet comporte la réalisation de 370 logements, 5 000 mètres² de bureaux et un supermarché[39].

  • Entrée du site, en 2010.
    Entrée du site, en 2010.
  • Une partie des installations de la brasserie, en 2014.
    Une partie des installations de la brasserie, en 2014.
  • La salle de brassage, en 2015.
    La salle de brassage, en 2015.
  • Ancien siège social, en cours de démolition.
    Ancien siège social, en cours de démolition.
  • La brasserie en cours de démolition.
    La brasserie en cours de démolition.

Brasserie d'Obernai K2

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Pour faire face au développement de l’activité de l’entreprise, Kronenbourg a investi 100 millions de francs dans la construction d'une nouvelle brasserie, dite K2, àObernai (à une vingtaine de kilomètres deStrasbourg) entre1966 et1968[11]. D’une superficie de 69 hectares et mise en service en mars1969, c'est le plus grand site brassicole de France et le troisième plus important d'Europe[31].Équipée de trois salles de brassage, elle produit 7 millions d’hectolitres par an[2] pour près de 300 références, et emploie 690 personnes[40].

Elle dispose de 53 tanks de fermentation[41] et 70 tanks de gardes ainsi que 11 lignes de conditionnement capables de produire en moyenne par heure : 410 000 bouteilles, 115 000 boites et 1 200 fûts[42].Elle intègre depuis sa création une station d’épuration, trois méthaniseurs et les déchets sont réutilisés (récupération des drêches, des levures, épandage des boues…). Grâce à la méthanisation, la brasserie génère du biogaz qui couvre une partie de ses besoins énergétiques[2].

La brasserie d'Obernai possède un important embranchement ferroviaire (près de 14 kilomètres de voies ferrées) relié à laligne de Sélestat à Molsheim (vers Strasbourg).

Kronenbourg et Carlsberg ont investi 18 millions d'euros dans la construction d'un nouveau centre de recherche et développement, inauguré le, sur le site K2[43]. D'une superficie de 9 400 m2, celui-ci comprend des laboratoires, des salles de tests, une mini-brasserie, deux malteries, un hall de fermentation et de filtration et divers équipements d'embouteillage[44].

En août2018, Carlsberg annonce un investissement de 100 millions d'euros sur le site d'Obernai afin de moderniser et d'augmenter les capacités de production de la brasserie[45].

Bières

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  • Kronenbourg (blonde, 4,2 %) ;
  • Kronenbourg Alsace (blonde, 5,3 %) ;
  • Kronenbourg Bière de Noël (bière de saison, ambrée, 5,5 %) ;
  • K by Kronenbourg (blonde aromatisée, 5 %) ;
  • Kronenbourg Pur Malt (blonde, <1 %) ;
  • Kronenbourg 7.2 (blonde, 7,2 %) ;
  • Kronenbourg 7.2 Blanche (7.2%)
  • Kronenbourg 7.2 Ambrée (ambrée, 7,2 %) ;
  • Kronenbourg Tigre Bock (blonde, 5,5 %) ;
  • Kronenbourg Tigre Bock la Brune (brune, 6,3 %) ;
  • 1664 (blonde, 5,5 %) ;
  • 1664 Millésime (blonde, 6,7 %) ;
  • 1664 Gold (blonde, 6,1 %) ;
  • 1664 Blanc (blanche, 5 %) ;
  • 1664 Rosé (blonde aromatisée, 5,5 %) ;
  • 1664 sans alcool (blonde, <0,5 %) ;
  • 1664 Fruits rouges (blanche aromatisée, 4,5 %) ;
  • 1664 Passion/Citron vert (lancement en2016) ;
  • Force 4 (panaché, 1 %) ;
  • Grimbergen Blonde (blonde, 6,7 %) ;
  • Grimbergen Blanche (blanche, 6 %) ;
  • Grimbergen Ambrée (ambrée, 6,5 %) ;
  • Grimbergen Printemps (blanche aromatisée, 6 %) ;
  • Grimbergen Noël (ambrée, 6,5 %) ;
  • Grimbergen La Réserve (blonde, 8,5 %) ;
  • Grimbergen Rouge (blonde aromatisée, 6 %) ;
  • Grimbergen Kriek (bière au jus de sureau et aromatisée cerise, 6 %) ;
  • Grimbergen Alliance de Pêches (lancement en 2016) ;
  • Grimbergen Elixir (lancement en 2016) ;
  • Grimbergen Pale Ale (blonde, 5,5 %) ;
  • Skøll Tuborg (blonde aromatisée, 6 %) ;
  • Kanterbräu (blonde, 4,2 %) ;
  • San Miguel (blonde, 5,4 %) ;
  • Carlsberg (blonde, 5 %) ;
  • Guinness (brune, 4,2 %) ;
  • Guinness Original (brune, 5 %) ;
  • Kilkenny (rousse, 4,3 %) ;
  • Wilfort (brune, 6,3 %) ;
  • Wel Scotch (ambrée, 6,2 %) ;
  • Tourtel Twist (bière sans alcool au jus de citron ou d'agrume).
  • Tourtel Botanics (0,0 %)

Bières dont la production est stoppée[46]:

  • Valstar ;
  • Obernai ;
  • 1664 Brune ;
  • Kronenbourg Punch ;
  • Kronenbourg Fizz ;
  • Kronenbourg Silver ;
  • Kronenpils ;
  • Grimbergen Poire (blonde aromatisée, 6 %).

Activité de lobbying

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Auprès de l'Assemblée nationale

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Kronenbourg est inscrit commereprésentant d'intérêts auprès del'Assemblée nationale. L'entreprise déclare à ce titre qu'en 2015, les coûts annuels liés aux activités directes de représentation d'intérêts auprès du Parlement sont compris entre 50 000 et 100 000 euros[47].

Auprès des institutions de l'Union européenne

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Kronenbourg fait partie du groupeCarlsberg, qui est inscrit depuis 2013 au registre de transparence des représentants d'intérêts auprès de laCommission européenne. Il déclare en 2014 pour cette activité des dépenses d'un montant compris entre 100 000 et 200 000 euros[48].

Notes et références

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Notes

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  1. Brasserie Lipp, alors appeléeBrasserie des bords du Rhin.
  2. Devenue « 1664 » en 1988 et bière française la plus consommée dans le monde[6].

Références

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  1. 1er brasseur de France sur le site desBrasseries Kronenbourg.
  2. abcdef etgCatherine Foulshamm, « Brasser le neuf et la tradition »,L'Express,no 3285,‎,p. 128 à 129(ISSN 0014-5270)
  3. « L'héritage culturel et patrimonial de Brasseries Kronenbourg », surle site officiel : brasseries-kronenbourg.com
  4. « Plan d'Occupation des Sols de Strasbourg - Rapport de présentation Cronenbourg »
  5. Wagons isothermes à bières type 1941. sur le siteAMF 87.
  6. Christian Lienhardt, « Le brasseur Carlsberg concentre sa recherche mondiale sur le site de Kronenbourg », surlesechos.fr,
  7. Jean-Paul Hébert, Dany Griffon,Toutes les bières moussent-elles ?, Editions Quae,,p. 198
  8. Jean Watin-Augouard, « Saga Kronenbourg »,Revue des marques,no 69,‎,p. 27
  9. Jean-Paul Hébert, Dany Griffon,Des bières et des hommes, Éditions Quae,,p. 100
  10. 1969 Obernai la plus grande brasserie de France[source insuffisante]
  11. ab etcLes Saisons d'Alsace, DNA, « La bière une passion alsacienne », juin 2014, page 92.
  12. Décision de l'autorité de la concurrence
  13. Alken-Maes fait mousser l'Union, sur Le Soir
  14. abcd eteLe Monde, 8 novembre 2008, page 15
  15. « Kronenbourg lâche son usine rennaise »,Ouest France,‎(lire en ligne)
  16. « L’épopée d’une brasserie », surassorennes.org(consulté le)
  17. « Brasserie Saint-Hélier : ça va démarrer… »,Ouest France,‎(lire en ligne)
  18. « Heineken s'empare d'Alken-Maes », surLa Libre.be,(consulté le)
  19. « Groupe Flo rachète les tavernes "Maître Kanter" aux Brasseries Kronenbourg », surLes Echos,(consulté le)
  20. [PDF]Dossier de presse. Inauguration du "Canon"
  21. Anaïs Richardin, « Brasseries Kronenbourg lance une nouvelle marque de bière pour jeunes adultes », surstrategies.fr,Stratégies,(consulté le)
  22. a etbAnaïs Richardin, « K, la petite nouvelle des Brasseries Kronenbourg »,Marques, surstrategies.fr,Stratégies,(consulté le)
  23. Sylvie Leboulenger, « Les Brasseries Kronenbourg, 350 ans cette année, font tout pour rajeunir », surlsa-conso.fr,LSA,(consulté le)
  24. Keren Lentschner, « Heineken se donne deux ans pour dépasser Kronenbourg », surlefigaro.fr,Le Figaro,(consulté le)
  25. « Heineken et Kronenbourg se disputent le titre de première bière de France »,Économie, surleparisien.fr,Le Parisien,(consulté le)
  26. « Heineken et Kronenbourg se disputent la place de numéro 1 de la bière »,Économie, surlemonde.fr,Le Monde,(consulté le)
  27. « Heineken détrône Kronenbourg sur le marché français de la bière »,Entreprises, surlexpansion.lexpress.fr,L'Expansion,(consulté le)
  28. « Kronenbourg recrute », article desDNA du 19 janvier 2016.
  29. a etb« Les pistes de Kronenbourg pour garantir sa croissance en 2019 », surlsa-conso.fr(consulté le)
  30. « 2015, le bon cru de Kronenbourg », article desDNA du 19 février 2016.
  31. a etbLes Saisons d'Alsace, DNA, « La bière une passion alsacienne », juin 2014, page 95.
  32. « Rémy Sharps succède à João Abecasis à la tête de Kronenbourg », surwww.rayon-boissons.com,(consulté le)
  33. « Kronenbourg ; bilan gratuit 2015 », surwww.societe.com(consulté le)
  34. Prise de vue aérienne du 23 juillet 1990 sur le siteGéoportail.
  35. « Mise en bière pour le musée », article desDNA du 3 janvier 2013.
  36. [PDF]À la découverte des quartiers de Strasbourg : Cronenbourg brochure éditée par l'Eurométropole de Strasbourg, 2017.
  37. « Une reconversion signée Bouygues », article desDNA du1er juillet 2014.
  38. « L'enseigne est déposée », article desDNA du 19 janvier 2016.
  39. « Un supermarché en construction », article desDNA du 19 janvier 2016.
  40. « A Obernai, Kronenbourg célèbre les 50 ans de la plus grande brasserie de France »,L'Usine nouvelle, 16 septembre 2019.
  41. Les Brasseries Kronenbourg, 350 ans de brassage en Alsace, sur le siteMalts et Houblons.com.
  42. Les Saisons d'Alsace, DNA, « La bière une passion alsacienne », juin 2014, page 94.
  43. « Kronenbourg inaugure son centre de recherche sur la bière », articleBFM Business du 10 juin 2014.
  44. « Le brasseur Carlsberg concentre sa recherche mondiale sur le site de Kronenbourg », articleLes Échos du 10 avril 2014.
  45. « Le propriétaire de Kronenbourg investit 100 millions d'euros en Alsace », articleLe Figaro du 29 août 2018.
  46. La collection de « Papyrus86 »
  47. « Tableau des représentants d'intérêts », surwww.assemblee-nationale.fr(consulté le)
  48. « Registre de transparence », sureuropa.eu(consulté le)

Voir aussi

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Bibliographie

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