Cette commune est connue pour le mât de l'un des plus puissants émetteurs de radio-diffusion installés en France, d'une hauteur de 307 m, installé à 193 m.
Bouvigny-Boyeffles se situe, à vol d'oiseau, à7,4 kilomètres deLiévin,10,9 kilomètres à l'ouest deLens (chef-lieu d'arrondissement), à11,6 kilomètres deBéthune, à16,3 kilomètres d'Arras et à proximité de l'autoroute A 26 qui passe au nord-est.
Carte interactive (cliquer sur la carte).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Le relief, correspondant aux dernières collines de l'Artois au nord, varie de 68 mètres au nord-est, vers le « plat pays » desFlandres, à 192 mètres[1] au sud, au-delà d'un coteau boisé et abrupt haut d'environ 70 mètres. Au-delà de cette crête, le relief redescend plus doucement. Non loin au sud-est, en continuité de cette crête, se trouve la colline Notre-Dame-de-Lorette, sur le territoire de la commune d'Ablain-Saint-Nazaire, tristement célèbre pour les batailles qui s'y sont déroulées durant laPremière Guerre mondiale. Le village de Bouvigny se trouve à une altitude d'environ 120 mètres, celui de Boyeffles autour de 100 mètres[2].
Cette côte deVimy correspond à unefaille (la faille de Marqueffles) qui a abaissé les terrainscrayeux du nord par rapport à des terrains de même nature au sud[3]. Les terrains, sensibles à l'érosion, ont donc connu cette perturbation récemment (à l'échelle des temps géologiques).
La zone naturelle d'Ablain-St-Nazaire à Bouvigny est un espace remarquable préservé. Du fait de sa position sur le bord descollines de l'Artois, le dénivelé brutal de lacuesta a permis de conserver des zones boisées et cet espace n'a pas subi l'industrialisation de l'ancien bassin minier.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une partie importante de la commune est classée zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique : lecoteau d'Ablain-St-Nazaire à Bouvigny-Boyeffles et bois de la Haie, ZNIEFF detype 1[Note 2],no 100)[13],[14]. Cet espace est en effet une zone d'intérêt remarquable caractérisée par la présence d'espèces animales et végétales rares : on peut y voir, en mai, desorchidées sur les coteaux calcaires[15]. La ZNIEFF s'étend sur1 410ha, sur plusieurs communes[16],[17].
Au, Bouvigny-Boyeffles est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18].Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant94 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 4],[19],[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[20]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (58,5 %), forêts (18,8 %), zones urbanisées (12,9 %), prairies (9,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Bouvigny-Boyeffles est composée de quatre parties : le Bourg, Boyeffles, Marqueffles, la cité de la Gare.
Le bourg est le centre historique et conserve les vieilles maisons de familles bovéniennes. Les constructions anciennes de Boyeffles ont été détruites et remplacées par des maisons modernes. Marqueffles était la partie rurale jusqu'à l'ouverture des mines de Gouy-Servins. Enfin, la cité de la Gare est la partie de Bouvigny-Boyeffles qui s'est le plus développée avec l'ouverture de la fosse 10 de la compagnie des Mines de Béthune[24].
En 2008, on dénombre à Bouvigny-Boyeffles 930logements dont 892résidences principales soit 95,9 % de l'ensemble des logements. Il n'y a qu'un seul logement occasionnel ourésidence secondaire. Le nombre de logements vacants s'élève à 34 soit 3,7 %. Sur l'ensemble de ces logements, on dénombre 927 logements individuels soit 99,7 % et 2 logements dans unimmeuble collectif soit 0,3 %[25].
De façon à éviter que ne se répète l'épisode douloureux de la démolition de la chapelle de Marqueffles pour cause de manque de financement pour la remettre en état[26], et compte tenu de l'état avancé de dégradation de l'église[27], les travaux de réfection de cette église ont été décidés mi-2010[28] après la mobilisation de l'association « Sauvons notre église »[29].
Juste au nord-ouest de la commune se trouve l'accès au péage de l'autoroute A26Calais -Troyes et la jonction avec l'autoroute A21 ou « rocade minière ».
Différentes départementales irriguent la commune : la D 301 à Boyeffles, la D 165 à Bouvigny, la D 75 entre les deux.
La commune est soumise à des risques d’inondation et de mouvements de terrain, avec de nombreux arrêtés de catastrophes naturelles (7 en 10 ans)[16]. Un PPR (plan de prévention des risques) Inondation a été réalisé sur le territoire. Lerisque sismique est faible sur l'ensemble du territoire communal (zone 2 sur 5 du zonage mis en place en mai 2011)[32], comme dans la majorité du Pas-de-Calais.
Le nom de Bouvigny viendrait du flamandbowing (terre cultivée), du latinbovis (« bovin »), à l'origine du nom d'homme germaniqueBovo avec le suffixe familial–ing[34]ou du latinbovaria, « étable à bœufs » puis « petite ferme ».[réf. nécessaire]
Le nom de la localité est attesté sous les formesBoefe (1219),Boeffe (1297),Boefle (1329),Boeffle (1331),Boyeffle (1425),Boueffles (1489),Boieffe (1507),Boeffles (1515),Boiffles (1597)[33].
Le nom de Boyeffles viendrait du nom d'une personne germaniqueBaldulfis ouBaudulfus[35].
L'homme de Néandertal occupe la région, à proximité d'Arras[Note 6], il y a 200 000 ans[37]. À partir de - 10 000 ans, l'occupation humaine autour de Béthune est attestée par différentes découvertes. À l'âge du fer, il y aurait eu des structures gallo-romaines à Bouvigny - Boyeffles ; des traces d'un temple et de ses annexes, plus récent, datant des premiers sièclesapr. J.-C., ont également été trouvées[38].
La région se développe grâce à la richesse de ses terres agricoles. De nombreuses familles illustres se succèdent sur les terres de Bouvigny jusqu'à la Révolution. En 1789, Bouvigny fait partie dubailliage de Lens et suit lacoutume d'Artois.
Quant à la terre de Boyeffles, elle appartient initialement aux seigneurs deLens. Après avoir pris possession du fief deWillerval, les seigneurs de Boyeffles prennent le titre de seigneurs de Bouvigny. En 1507, la coutume de Boyeffles est rédigée, la terre est alors possession du châtelain de Lens et le seigneur y a justice vicomtière.
En 1366, à la suite d'accord entre l'abbaye de Nogent-sous-Coucy et l'abbaye de Notre-Dame-de la-Brayelle à Annay, les religieuses installent un prieuré et une ferme à Marqueffles. Sous la Révolution en 1789, le couvent fut fermé[40] après que la dernière abbesse fut guillotinée le 25 juin 1794.
La ferme de l'ancienne abbaye de Marqueffles devient en 1908, le siège de laCompagnie des mines de Gouy-Servins et Fresnicourt Réunis. En 1910, deux puits sont créés qui, avec plus de 1 000 mètres chacun, sont parmi les plus profonds du bassin minier. La fosse est prête pour l'exploitation au moment où la guerre est déclarée[41]. En 1930, on arrête d'exploiter le charbon, la profondeur devenant trop importante et les boyaux étant constamment inondés par les eaux duSurgeon. La ferme est achetée en 1940 par les pères polonais de l'Ordre desOblats de Marie-Immaculée qui la transforment en établissement scolaire. Puis, la ferme est revendue en 1955 aux sœurs de la charité deRoubaix qui en font une maison de colonies de vacances et de retraites. Enfin, en 1976, la ferme est transformée en maison de retraite, aujourd'hui l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes, « Le Bon Accueil »[39].
LaPremière Guerre mondiale entraîne la destruction de près de la moitié de la ville voisine de Béthune et des trois quarts de celle d'Arras. Dans les arrondissements d'Arras et Béthune,150 000ha de terres sont stérilisés[42]. Bouvigny-Boyeffles en témoigne : sur le bois du Mont où l'on distingue encore les chemins destranchées, plus aucun arbre ne s'élève dans la « zone rouge ». Il reste desblockhaus au chemin des loups entre Bouvigny et Gouy. Des inscriptions laissées par les soldats sont éparpillées dans le village sur les murs en pierre blanche qui n'ont pas été rénovés, ainsi qu'au presbytère côté jardin[43].
La commune est décorée de lacroix de guerre 1914-1918 par décret du, distinction également attribuée à276 autres communes du Pas-de-Calais[44].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[66]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[67].
En 2022, la commune comptait 2 385 habitants[Note 8], en évolution de −1,77 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %,France horsMayotte : +2,11 %).
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 31,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 27,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 149 hommes pour 1 230 femmes, soit un taux de 51,7 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[71]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,7
90 ou +
2,7
4,9
75-89 ans
9,1
18,5
60-74 ans
19,3
24,4
45-59 ans
22,9
17,4
30-44 ans
16,7
15,6
15-29 ans
13,7
18,6
0-14 ans
15,7
Pyramide des âges du département duPas-de-Calais en 2021 en pourcentage[72]
Comme de nombreuses villes de la région Nord - Pas-de-Calais, Bouvigny-Boyeffles organise chaque année desducasses : dans le quartier de la gare en avril, et dans le quartier du centre en juillet et en novembre[73]. Par ailleurs, le comité des fêtes de Bouvigny-Boyeffles organise chaque année en décembre unmarché de Noël.
Depuis 2007, le « haras de Bouvigny » propose un enseignement de disciplines sportives et d'activités de loisirs[74]. Les Bovéniens disposent également d'un club de football et d'un club de tennis[75].
LeGR 145, qui rejoint leGR 127 au niveau de la commune deRebreuve-Ranchicourt, à l'ouest de la commune, jusqu'à la commune deMarœuil, à l'est de la commune, traverse la commune de Bouvigny-Boyeffles d'est en ouest.
Les habitants de Bouvigny-Boyeffles disposent d'un lieu de cultecatholique : l'église Saint-Martin de laparoisse Saint-Pierre et Saint-Martin en Artois dudoyenné de Béthune-Bray, au sein dudiocèse d'Arras[76].
En 2008, la population active totale de la commune s'élève à 364 personnes[79].La répartition en fonction du secteur d'activité est assez différente de la répartition au niveau national, compte tenu d'une très forte proportion de la population travaillant dans les secteurs de l'administration publique et assimilés.
Répartition des emplois par secteur d'activité économique
En 2008, la population active parmi les Bovéniens s'élève à 1 129 personnes[82] dont 87 chômeurs, soit un taux de chômage de 7,7 %, nettement inférieur au taux national de 11,6 %[83].
La commune disposait depuis 1974 d'une entreprise de confection textile, mise en liquidation judiciaire le1er octobre 2011[84]. Au 13 octobre 2011, le registre de commerce comptabilise 157 établissements commerciaux domiciliés à Bouvigny-Boyeffles[85].
Le presbytère fut en partie construit en 1772 dans le style des maisons hollandaises à pignons, puis modifié auXIXe siècle parAlexandre Grigny, architecte diocésain arrageois. Bien que touché par une grosse pièce d'artillerie en 1916, il a bien résisté au temps. La façade est surmontée de la statue de saint Nicolas[91].
Sur le territoire de la commune, à 193 mètres d'altitude, est installé l'émetteur de Bouvigny-Boyeffles[94]. C'est un équipement de radio-diffusion constitué de matériel électronique et d'un mât d'une hauteur de 307 mètres. Cet émetteur est l'un des plus puissants émetteurs de radio-diffusion installé en France. Il couvre une grande partie de la région Nord-Pas-de-Calais.
Lors de la ducasse de Boyeffles, le 24 avril 2005, la municipalité baptiseTonton Bouvy, un géant que les enfants des écoles venaient de créer à la demande du comité des fêtes en 2005. Le nom a été choisi en mémoire d'Augustin Bonnel, grièvement blessé dans son moulin qu'il ne voulait pas quitter lors des bombardements de 1916 et qui devait mourir quelques jours plus tard à l'hôpital de Béthune[24].
Florent Joseph Duquesnoy (1761-1801) - général des armées de la République, né à Bouvigny-Boyeffles, frère du précédent.
Famille Le Bas - originaire de Bouvigny-Boyeffles avant de s'installer à Frévent.
Arthur Mayeur (1871-1934) - artiste graveur, né à Bouvigny-Boyeffles, plusieurs fois lauréat duPrix de Rome, section gravure : deuxième second grand prix en 1892, premier second prix de gravure en taille douce en 1894, premier grand prix en taille douce en 1896.
D'or au chevron d'azur accompagné de deux huchets de gueules en chef et d'une hure de sanglier contournée de sable, défendue d'argent et lampassée de gueules en pointe[96].
NathalieGuillaume,Bouvigny Boyeffles : notre village, Foyer culturel de l'Houtland,(ISBN978-2-907568-32-6)
ÉlisabethDubois,Bouvigny-Boyeffles : dans le froid et dans la boue, Comité historique de Bouvigny-Boyeffles,, 185 p.(ISBN978-2-907568-32-6)
Ouvrage collectif,Dictionnaire du Nord et du Pas-de-Calais, Paris, Jacques Marseille Larousse/VUEF, Pays & Terre de France,, 895 p.(ISBN2-03-575098-9),p. 154
GuyDubois et Jean MarieMinot,Histoire des Mines du Nord et du Pas-de-Calais. Tome I,
B. Delengaigne, Bouvigny-Boyeffles. Recueil photographique, Bouvigny-Boyeffles, Comité historique de Bouvigny-Boyeffles, 2017.
É. Dubois, Étude cadastrale de Bouvigny-Boyeffles pour les propriétés bâties de 1818 à 1965, pour les propriétés non bâties pour l'année 1818, Bouvigny-Boyeffles, Comité historique de Bovigny-Boyeffles, 2007.
N. Guillaume, Bouvigny-Boyeffles notre village, Steenvoorde, Foyer culturel de l'Houtland, 1994.
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Les ZNIEFF detype 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Béthune comprend deux villes-centres (Béthune etBruay-la-Buissière) et92 communes de banlieue.
↑En 1976, un fragment de crâne d'une femme de Néandertal est retrouvé sur un chantier àBiache-Saint-Vaast, entre Arras et Douai
↑« saqueux d'cordelettes » : tireurs de cordelettes, la légende voulant que les habitants de Bouvigny aient cherché à voler l'église de Boyeffles en tirant sur une corde attachée au clocher. « péqueux d'fromache » : pêcheurs de fromage, les habitants, sans doute un peu émêchés, ayant un jour essayé de remonter un fromage tombé dans le puits, qui n'était que le reflet de la lune.Les récits en patois local
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑"Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes :carte de Cassini (XVIIIe siècle),carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑a etbAuguste de Loisne,Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris,, 499 p.(lire en ligne surGallica),p. 67.
↑Marie Thérèse Morlet, Toponymie de la Thiérache - Page 35
↑Ernest Nègre,Toponymie générale de la France. Formations non-romanes …, Volume 2, référence 15291,p. 870,[lire en ligne].
↑« Marcel Lherbier, maire de Bouvigny-Boyeffles de 1945 à 1985, œuvra pour les élévations en grès et l’embellissement de la commune après-guerre. Il fut, en ce sens surnommé le "maire bâtisseur" »[1]
↑Isabelle Mastin, « Bouvigny-Boyeffles: le maire prêt à rempiler pour finir le travail : L'an prochain, Maurice Viseux fêtera ses 31 ans de vie politique, dont 17 passés dans le fauteuil du maire. Pas lassé encore, il va briguer un nouveau mandat, en homme qui, ayant « appris le métier sur le tas », a retenu les leçons du passé. »,La Voix du Nord,(lire en ligne, consulté le).
↑Ruben Muller, « Les projets de Maurice Viseux, maire de Bouvigny-Boyeffles : après le presbytère, le clocher de l'église et la rue du 11-Novembre seront refaits : Le réaménagement du presbytère en passe de s'achever, Maurice Viseux, maire de Bouvigny-Boyeffles, va s'attaquer à deux grands chantiers, la rénovation du clocher de l'église et la réhabilitation de la rue du 11-Novembre. Tout en s'efforçant de résorber l’endettement malgré la baisse des dotations d’État »,La Voix du Nord,(lire en ligne, consulté le).