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Bernard Faÿ

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Pour les articles homonymes, voirFay.

Bernard Faÿ
Fonction
Administrateur général de la Bibliothèque nationale
-
Biographie
Naissance
Décès
Nom de naissance
Marie Louis Emmanuel Bernard FaÿVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
Elphège du Croquet de l'EsqVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Père
Henri Faÿ(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Emmanuel Faÿ(d)
Agnès Bertrand-Hardy(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Conflit
Directeur de thèse
Personne liée
Condamné pour
Condamnations
Indignité nationale, travaux forcés à perpétuité(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Lieu de détention
Distinctions
signature de Bernard Faÿ
Signature

modifier -modifier le code -modifier WikidataDocumentation du modèle

Bernard Faÿ, né le àParis et mort le àTours, est unhistorien etessayistefrançais.

Professeur auCollège de France, il se rallie dès 1940 au maréchalPétain et est administrateur général de laBibliothèque nationale sous lerégime de Vichy. Condamné en 1945 à l'emprisonnement à perpétuité et à l'indignité nationale pourcollaboration avec l'occupant allemand, il estgracié en 1959 par le présidentRené Coty.

Biographie

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Universitaire et homme de lettres

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Croix de guerre 1914-1918 reçue à labataille de Verdun en août 1917, il soutient en 1924 une thèse de doctorat ès lettres surL'Esprit révolutionnaire en France et aux États-Unis à la fin duXVIIIe siècle (thèse complémentaire :Bibliographie critique des ouvrages français relatifs aux États-Unis (1770-1800)), qui lui vaut leprix Thérouanne[1]. Il est nommé chargé de cours à la faculté des lettres deClermont-Ferrand avant de devenir professeur dans plusieurs universités. Il est un spécialiste duXVIIIe siècle, particulièrement des rapports entre laFrance et lesÉtats-Unis, ce qui l'a amené à bien connaître la littérature américaine de son époque.

Il enseigne en tant que professeur aux universitésde Columbia puisde l'Iowa aux États-Unis et effectuera plus de vingt séjours aux États-Unis durant l'entre-deux-guerres.

Figure duTout-Paris de l'entre-deux-guerres, il côtoie écrivains, musiciens et artistes tels queRaymond Radiguet,Erik Satie,Francis Poulenc,Eugene McCown,Marc Allégret,Valéry Larbaud,Philippe Soupault,André Gide,Marcel Proust,Jean Cocteau,Tristan Tzara,Paul Morand[2].

En 1922, il fait ainsi partie duPrix du Nouveau Monde[réf. nécessaire], avecJean Giraudoux, Jean Cocteau,Jacques de Lacretelle, Paul Morand et Valéry Larbaud.

Il traduit aussi plusieurs romans deGertrude Stein en français et s'entend avec elle pour qu'elle traduise et préface un recueil de discours dumaréchal Pétain.

Il est nommé en 1932 professeur titulaire de la chaire de civilisation américaine auCollège de France. Il est démis de ses fonctions à la Libération, pour faits de collaboration, en septembre 1944.

Engagement dans la mouvance « nationale » à partir des années 1930

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Bernard Faÿ naît dans une famille de tradition monarchiste. Il s'intéresse à l'histoire de la franc-maçonnerie, donne des conférences et publie sur ce sujet, parfois dans des revues royalistes et catholiques[3], et pour des cercles de droite, tel le Cercle Augustin-Cochin en 1932[4]. Ce qui l'amène à écrire que les« grandes idées de 1789, liberté, égalité, fraternité, souveraineté du peuple » ne sont« pas françaises »,« leur origine étant anglaise et maçonnique »[5].

Il rejoint le camp « national », participe au banquet duCercle Fustel de Coulanges, proche de l'Action française, en 1935, donne des conférences pour ce cercle et prend part à une de ses réunions contre le150e anniversaire de la Révolution française en 1939, présidée parAbel Bonnard[6]. En 1939, il donne aussi une conférence sous les auspices de l’Œillet blanc (cercle aristocratique royaliste), présidé encore par Bonnard[7]. Il discourt aussi aux dîners des « Affinités françaises »[8] et rejoint le comité directeur du « Rassemblement national pour la reconstruction de la France » (1936-1937), aux côtés de personnalités de droite comme le généralMaxime Weygand,René Gillouin,Gaston Le Provost de Launay ou l'académicien Bonnard, rencontrés aux Affinités françaises[9].

Il collabore à de nombreux journaux américains et français, tel leNew York Times, leSaturday Review,Le Correspondant,Le Figaro,La Revue de Paris ou encore plus à droite,Le Jour[10]. Il soutient le camp franquiste durant laguerre d'Espagne[11]. En 1938, il accepte de répondre aux questions de la presse allemande national-socialiste sur le rapprochement franco-allemand[12].

À la Bibliothèque nationale

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Photographie publiée dans le journalcollaborationnisteParis-soir lors de la nomination de Bernard Faÿ comme« administrateur de laBibliothèque nationale à la place du fuyard israéliteJulien Cain » ().

Bernard Faÿ est nommé administrateur général de laBibliothèque nationale le à la suite de la destitution, par legouvernement de Vichy, deJulien Cain qui avait quitté la France le 19 juin 1940 à bord dupaquebot Massilia.

Il applique au sein de la Bibliothèque nationale les règlements édictés par lemaréchal Pétain.Martine Poulain[13], citant des extraits de l'ouvrage d'Antoine Compagnon,Le Cas Bernard Faÿ[14] détaille notamment son zèle vis-à-vis de l'occupant[15].

« Directeur du « Musée des sociétés secrètes », en fait service de répression des francs-maçons, le 27 août de la même année, établissements où il semble avoir eu pour habitude de devancer les exigences de l’occupant dit Antoine Compagnon […] Responsable du « Musée des sociétés secrètes » installé dans l’immeuble du Grand Orient saisi, Bernard Faÿ mène en fait une lutte sans merci contre les francs-maçons, pillant les loges, saisissant leurs biens et leurs archives, en zone nord comme en zone sud, avec l’aide de ses hommes de mains (Philippe Poirson, William Gueydan de Roussel), de la police française, mais aussi de la police nazie, sous la direction du lieutenant Moritz (Ernst Moritz Hesse)[16] ». Sa dénonciation du complot judéo-maçonnique semble aux yeux des Allemands suffisamment solide pour que son nom figure dans la liste de noms sélectionnés proposée le1er mars 1941 par leSD àOtto Abetz, lui-même franc-maçon, pour diriger l’Office central juif[17].

Il veut donner à la Bibliothèque nationale une véritable place au sein du nouveau régime qu'il soutient totalement. Il organise en novembre 1941, dans le vestibule d'honneur de la rue Richelieu une exposition consacrée au maréchal Pétain[18]. Il remet au Maréchal, en1943, un rapport où est défini le rôle de la Bibliothèque nationale dans l'effort de redressement national. La Bibliothèque manquant de personnel en ces années de guerre, il engage des vacataires, souvent des journalistes refusant de travailler pour les journaux de la zone occupée, qui permettent de faire tourner les services malgré les difficultés matérielles. Enfin, il s'astreint à un travail de réorganisation administrative, créant notamment ledépartement de la Musique (1942) et développant l'atelier de reliure qui devient un centre technique de reliure (1943).

Pendant ce temps,Julien Cain, son prédécesseur, est revenu en France àMarseille, puis àClermont-Ferrand etVichy, puis en zone occupée à Paris, où il est arrêté par les Allemands, avant d'êtredéporté en Allemagne au camp deBuchenwald puis libéré le.

Sous sa direction, « la B.N. devint donc très vite un instrument non seulement docile mais même pionnier de la Révolution nationale »[19]. Une « Bibliothèque d'histoire de la France contemporaine » (BHFC), instituée au sein de la BN au début de 1941 sous la direction d'Adrien Dansette, est chargée de l'étude des documents qui ont été confisqués dans les loges maçonniques interdites[20]. 64 000 noms de maçons sont fichés par « l'équipe des sociétés secrètes ». 18 000 noms sont publiés à partir d'août 1941. 3 000 fonctionnaires perdent alors leur emploi.

Archives de la franc-maçonnerie

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Bernard Faÿ donnant une conférence surLe rôle de la franc-maçonnerie dans la Révolution de 1789, le 11 janvier 1943, authéâtre des Ambassadeurs.Les Documents maçonniques n° 4, janvier 1943.

Bernard Faÿ joue un rôle majeur dans la politiqueanti-maçonnique de Vichy qui considère que lafranc-maçonnerie a une influence négative sur la France. Bernard Faÿ appartient au courant monarchiste et contre-révolutionnaire qui se reconnaît dans le discours passéiste et rural de Vichy qui veut remédier à ce qu'il perçoit comme le déclin de la France. Après les mesures d'interdiction duGrand Orient de France et des autres sociétés secrètes, il est nommé chef duService des sociétés secrètes (SSS), chargé de recueillir, de classer et d'étudier toutes les archives saisies dans les loges. Ce service travaille en collaboration avec leSD allemand[21]. Selon lapropagande du régime de Vichy, les francs-maçons auraient été l'une des causes de la défaite de1940. D'après l'Action française, ils auraient participé à un « complot » réunissant « le juif, le protestant, le maçon et le métèque » aussi nomméAnti-France.

Pour lutter contre ce qu'il considère comme un « parasite monstrueux », il publie pendant quatre ans une revue,Les Documents maçonniques (avec comme rédacteur en chef le catholique traditionalisteRobert Vallery-Radot), qui cherche à démontrer la désastreuse influence de la franc-maçonnerie sur la France. Il fait tourner un film et donne des conférences, par exemple, le 11 janvier 1943, surLe rôle de la franc-maçonnerie dans la révolution de 1789, authéâtre des Ambassadeurs, sous la présidence de l’amiral Platon, représentant officiel du maréchal Pétain, événement annoncé dansJe suis partout. Il organise également une grande exposition auPetit Palais en octobre-novembre 1941 et crée à Paris un musée permanent des sociétés secrètes. Il entreprend surtout de répertorier tous les anciens francs-maçons dans un gigantesque fichier de près de 60 000 noms, qui sert notamment à exclure les anciens maçons de lafonction publique. Il comptera parmi ses collaborateursAlbert Vigneau[22],[23]. À laLibération, le bilan s'élève à environ un millier de francs-maçons français éliminés par les Allemands, soit par exécution, soit par déportation en camp de concentration, au seul titre de leur combat dans la Résistance[24].

Il est décoré de l'ordre de la Francisque[25].

Arrestation

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Il est arrêté le dans son bureau, à la Bibliothèque nationale par un peloton FFI mis en place parAndrée Jacob[26]. Il prétend n'avoir fait qu'obéir aux ordres qui lui étaient donnés et avoir même aidé à cacher les employés juifs de laBibliothèque nationale. Le tribunal le condamne auxtravaux forcés àperpétuité, à la confiscation de ses biens et à l'indignité nationale.Gertrude Stein etAlice B. Toklas interviennent vainement en sa faveur, convaincues qu'il leur a sauvé la vie pendant l'Occupation. Après la mort de Gertrude Stein, en juillet 1946, Alice B. Toklas continue d'intercéder pour obtenir la grâce de Faÿ.

Gertrude Stein

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La réalité de son rôle, ou du moins son importance exacte, dans la relative protection dont Gertrude Stein et Alice Toklas bénéficièrent est remise en cause par les spécialistes de Gertrude Stein, notamment Edward Burns etJanet Malcolm. Dans plusieurs articles duNew Yorker, tout comme en 2007 dans l'ouvrageTwo Lives: Gertrude and Alice[27], Janet Malcolm réexamine les faits.

Philippe Blanchon mentionne les faits suivants dans sa biographie de Gertrude Stein[28] :

« Elles résidaient en fait dans une maison qu'elles louaient depuis plusieurs années àBelley (Ain), [...] se sentant en sécurité du fait de leur amitié avec Faÿ [...]. En fin 1942, les deux femmes furent soudainement mises en demeure de quitter cette maison, et elles durent à la baronne Pierlot, proche dePaul Claudel, de pouvoir se reloger àCuloz (Ain), dont le maire Justin Rey s'engagea à les protéger, et où elles ne furent pas inquiétées. [...] Faÿ a affirmé ensuite qu'alerté parPicasso, il était intervenu pour protéger l'appartement parisien de Gertrude Stein,rue Christine, et son contenu, deux semaines avant le départ des troupes allemandes de Paris [...]. Devant ce risque, une certaine Katherine Dudley, secrétaire du relieur qui occupait le rez-de-chaussée de l'immeuble, fit changer les serrures, sans que l'on sache si cette mesure élémentaire de protection a suffi seule à préserver la collection, que sa propriétaire retrouva quasiment intacte mi-décembre 1944. »

Dernières années

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Alors qu'il est soigné à l'hôpital d'Angers en 1951, Faÿ parvient à s'échapper « dans un vêtement d'ecclésiastique »[29] et à quitter la France pour trouver refuge enSuisse àFribourg, où il réside à laVilla Saint-Jean et enseigne aucollège Saint-Michel.

Il est gracié en 1959 par le présidentRené Coty. Il meurt à Tours en 1978, sans avoir cessé de publier des études littéraires et historiques. Une messe derequiem est célébrée à Paris, en l'église Saint-Nicolas-du-Chardonnet, parFrançois Ducaud-Bourget, en présence deMarcel Lefebvre.

Publications

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Histoire et histoire littéraire

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Préfaces

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  • Le duc de Montmorency-Luxembourg, premier baron chrétien de France, fondateur du Grand Orient : sa vie et ses archives de Paul Filleul

Interview

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  • C'est très probablement lui qui organise le long interview de Henry-Haye, ambassadeur de Vichy auprès des États-Unis, édité chez Plon en 1972, sous le titreLa grande éclipse franco-américaine.

Sous pseudonyme

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Bernard Faÿ a utilisé lenom de plume d’Elphège du Croquet de l’Esq[30] pour signer un ouvrage :

  • Pensées, maximes et apophtegmes choisis des moralistes français et étrangers à l’usage de la jeunesse studieuse (1954) paru chezDu conquistador en 1957 et préfacés par… Bernard Faÿ.

Traductions

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  • 1933 : co-traduction et préface deGertrude Stein,Américains d'Amérique, histoire d'une famille américaine
  • 1934 : traduction deGertrude Stein,Autobiographie d'Alice Toklas

Références

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  1. « Bernard FAY / Académie française », suracademie-francaise.fr(consulté le).
  2. Cf son livreLes Précieux
  3. Journal des débats, [texte intégral] .
  4. « Une réunion du Cercle Augustin Cochin »,L'Étudiant français (étudiants d'Action française),‎(lire en ligne) : conférence présidée parRobert Vallery-Radot, que Faÿ retrouvera sous l'Occupation dans leur combat contre la franc-maçonnerie.
  5. Le Populaire, [texte intégral] . Cf. aussiCe Soir, [texte intégral] .
  6. Journal des débats, [texte intégral] ,Le Temps, [texte intégral] ,Le Temps, [texte intégral] ,L'Action française, [texte intégral] .
  7. Journal des débats, [texte intégral] .
  8. Le Figaro, [texte intégral] ,Le Figaro, [texte intégral] ,Le Figaro, [texte intégral] . Sur ces dîners, cf. la page consacrée à leur fondateur,Louis de Fraguier.
  9. Le Temps, [texte intégral] ,Le Journal, [texte intégral] ,Les Annales coloniales, [texte intégral] .
  10. Le Populaire, [texte intégral]  : cite un article de Faÿ en faveur d'une réaction contre l'attaque de la Finlande par l'URSS.
  11. Journal des débats, [texte intégral]  : annonce du premier numéro de la revueOccident, publiée par les soins des nationalistes, avec un texte de Faÿ, « Salut à l'Espagne ».
  12. Bulletin périodique de la presse allemande,no 481, [texte intégral] .
  13. Bulletin des bibliothèques de France,no 2, .
  14. Antoine Compagnon,Le Cas Bernard Faÿ, du Collège de France à l'indignité nationale, Paris, éditions Gallimard,, 224 p.(ISBN 978-2070126194).
  15. Martine Poulain est elle-même l'auteur d'un ouvrage :Livres pillés, lectures surveillées, les bibliothèques françaises sous l'Occupation, Gallimard 2008,coll. « NRF essai »(ISBN 978-2070122950)
  16. « « Le Cas Bernard Faÿ » par Martine Poulain », surBulletin des bibliothèques de France, cf. aussi« « La franc-maçonnerie fut un réseau de stratagèmespour duper les naïfs », déclare M. Bernard Fay »,Journal des débats politiques et littéraires,‎(lire en ligne).
  17. Pascal Ory,Les Collaborateurs, Seuil,coll. « Points/Histoire »,,p. 155.
  18. Journal des débats politiques et littéraires, [texte intégral] .
  19. A. Compagnon,Le Cas Bernard Faÿ du Collège de France à l'indignité nationale, Gallimard,,p. 105.
  20. Lois du 11 mars 1941 complétant la loi du 11 août 1940.
  21. Jack Chaboud,La Franc-maçonnerie, histoire, mythes et réalité, Librio,,p. 40-41.
  22. François Boulet,Leçon d'histoire de France,(lire en ligne),p. 355.
  23. André Combes,La Franc-maçonnerie sous l'occupation : Persécution et Résistance (1939-1945), Paris,Éditions du Rocher,coll. « Franc-maçonnerie », (réimpr. 2005) (1re éd. 2001), couv. ill., 421, 24 cm(ISBN 978-2-268-07462-7 et2-268-04112-3,OCLC 422242486,SUDOC 060767421,présentation en ligne,lire en ligne),p. 89, 124 et 126 (consulté le 30 juillet 2018)
  24. Philippe Delorme, « Polices secrètes contre sociétés secrètes »,Valeurs actuelles,‎,p. 64-66(DOI 10.14375/np.9782847361193,lire en ligne, consulté le)
  25. Henry Coston (préf. Philippe Randa),L'Ordre de la Francisque et la révolution nationale, Paris, Déterna,coll. « Documents pour l'histoire »,, 172 p.(ISBN 2-913044-47-6),p. 79 — première édition en 1987.
  26. Déclaration de Mlle Andrée Jacob, direction de la documentation à l’ex-ministère des prisonniers, aujourd’hui au cabinet du ministre des pensions, recueilli par Édouard Perroy, le 15 mai 1946, Archives nationales, 72AJ/66. voir aussi Marie-Jo Bonnet raconte les résistantes oubliées,https://www.ouest-france.fr/marie-jo-bonnet-raconte-les-resistantes-oubliees-415253
  27. (en) JanetMalcolm,Two Lives : Gertrude and Alice, New Haven,Yale University Press,, 229 p.(ISBN 978-0-300-12551-1,LCCN 2007012085).
  28. Gertrude Stein, Gallimard, 2020,(ISBN 978-2072741937).
  29. Poulain 2008.
  30. Source BnF.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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