Il signe une dizaine d'essais sur le traitement historique du communisme et la mémoire de la Résistance, notammentL'Enfant juif et l’enfant ukrainien : réflexions sur une imposture (Éditions de l’Aube, 2001) etLe cadavre était trop grand.L'Affiche rouge (Denoël, 2009) qui fait revivre le Paris de cesvingt-trois adolescents condamnés à mort pour leur engagement dans la Résistance[4].
En, alors qu'il critique déjà régulièrement l'islam, il publie sur le siteAtlantico un article sur la réédition deMein Kampf, où il indique que ce livre était« depuis des années un best-seller dans le monde arabe-musulman »[7].
En,Acrimed, consacre un article aux « éditorialistes-faucons », et note que par le passé, Benoît Rayski s'est déclaré« islamophobe de gauche » et« islamophobe de droite »[8].
En 2016, il publie dans Atlantico un article dans lequel il dénonce ironiquement l'organisation d'un « camp d'été décolonial » interdit aux « Blancs » porté parSihame Assbague et Fania Noël[9] :« Moi y'en a pas aller au camp d'été "décolonial" organisé par Sihame Assbague, porte-parole du collectif "Contre le contrôle au faciès". Moi y'en a pas y aller car elle contrôler mon faciès et pas vouloir de moi. Moi être Blanc et elle refuser moi car moi pas être victime du "racisme d'État". Moi pas être Noir ou Arabe et moi donc être exclu du séminaire. En plus moi être Juif et moi manger tous les matins un enfant palestinien au petit-déjeuner. [...] »[10].
En 2017, il commente sur Atlantico les essais et romans érotiques deMarlène Schiappa[11] qu'il traite de « reine des salopes » dans le sous-titre de son article, provoquant des réactions d'internautes[12],[13]. Deux jours après ces propos jugéssexistes etinsultants, Atlantico publie une lettre d'excuses de Benoît Rayski à Marlène Schiappa[14], et une autre deJean-Sébastien Ferjou, directeur de la publication d'Atlantico, évoquant un surtitre« injustifiable et déplacé »[15].
À la suite d'une tribune publiée par Benoît Rayski sur Atlantico, en 2015, jugée incroyablement raciste par l'historien expert de l'extrême droiteNicolas Lebourg, ce dernier refuse de s'exprimer sur le site[6].
Les Inrockuptibles relèvent qu'« aucune information ne vient corroborer la qualité d’“historien” » qui lui est attribuée sur Atlantico[6].
Comment je suis devenu un sale Français : bref itinéraire d'un Juif polonais né en France, Monaco, Éditions du Rocher,, 161 p.(ISBN978-2-268-07989-9)[18]
Stèle pour le sous-lieutenant Grunberg : Lycéen et résistant guillotiné par Pétain, Monaco, Éditions du Rocher,, 128 p.(ISBN978-2268076317)