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D'un point de vue géologique, deux parties composent sa surface :
au nord et à l'est, face au village actuel, la grande plaine qui date duquaternaire récent. Elle est constituée par les alluvions modernes du Rhône et de laDurance. Lanappe phréatique est située à un mètre de profondeur d'une terre très riche et intensément cultivée qui ne comporte ni galet, ni gravier ;
à l'ouest et au sud, le massif de laMontagnette est formé par deux soulèvements. Le premier datant duNéocomien (-70 millions d’années), l'autre du Miocène (de 10 millions d’années environ).
Le point culminant se situe dans la Montagnette et jette son summum à 167 mètres. Barbentane occupe une superficie de 2 713 hectares, dont la moitié environ pour la Montagnette. Le massif total de la Montagnette couvre 6 000 hectares. C'est dans ces collines, largement cultivées aux siècles passés et maintenant intensément boisées, que poussent les champignons dit « rosés de Barbentane ».
Barbentane compte actuellement 4 236 habitants, assez diversement éparpillés entre la plaine et le village ; seule la Montagnette échappe à l'urbanisation malgré quelques essais sauvages.
Au, Barbentane est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8].Elle appartient à l'unité urbaine d'Avignon, une agglomération inter-régionale dont elle est une commune de labanlieue[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avignon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (49,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,1 %), forêts (25,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,2 %), zones urbanisées (9,1 %), cultures permanentes (8,3 %), eaux continentales[Note 3] (5,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
La commune est limitrophe d'Avignon, à proximité d'un échangeur avec l'A7 (Noves - pont de Bompas). Situé sur laD 35 qui longe le Rhône en direction deBeaucaire etTarascon et le traverse par laD 402 (direction Aramon), ainsi que laN 570 qui se dirige vers Avignon.
Aux abords du site de Fretta, des fouilles faites en1957 ont permis de découvrir dans unpuits funéraire un os humain dechasséen (pariétal droit,Ve millénaire av. J.-C.) au milieu de diverssilex et ossements d'animaux (près du quartier des Carrières).
Les Ligures sont le plus ancien peuple dont on a conservé le nom. Au fil du temps, ils s'associent avec les Celtes, qui donnent les Celto-Ligures. C'est de ces Celto-Ligures que vient le nom de Bellinto (Bel signifiant « bac » etlinto « barque à fond plat ») à l'endroit où un bac permettait de franchir la Durance.
Ce nom de Bellinto est écrit pour la première fois en333 sur l'itinéraire deBordeaux àJérusalem. Mais bien avant cette date, Bellinto existait déjà et il est probable que le plus illustre de ses occupants de cette période fut Marius. Ce général romain avait établi son camp dans la Montagnette avant d'aller écraser les Cimbres et les Teutons dans la plaine dePourrières (près d’Aix-en-Provence) en102 avant Jésus-Christ.
Vient ensuite l'époque de laPax Romana, qui dure quatre siècles, et dont il reste de nombreux vestiges (sarcophages, fondations dans le haut du village, etc.).
Jusqu'à la fin duXIXe siècle, l'orthographe était Barbantane, avec un "a" ; aujourd'hui on écritBarbentane avec un "e".
1133 signale le premier seigneur connu, Guillaume de Barbentane, dont le descendant direct, le marquis Henri de Puget de Cabassole du Réal de Barbentane, est toujours barbentanais. Ce Guillaume habitait la maison des Chevaliers qui fut terminée en1178. Terre frontalière, Barbentane est alternativementfief duroyaume de France et duSaint-Empire romain germanique. Elle en profite également car c'est un lieu de passage : unbac permettant de traverser laDurance est attesté en1178[14]. Il fusionne avec celui deRognonas vers1450[15].
Lors de la Révolution française, le curé de Barbentane, qui étaitjureur, fut jeté pieds et poings liés dans laDurance lors de laTerreur blanche de 1795.
De laRévolution datent de solides traditions politiques familiales, qui sont républicaines ou monarchistes conservatrices. Ce n'est que depuis la fin des guerres coloniales que les Barbentanais peuvent s'exprimer politiquement à titre individuel sans pour cela se faire bannir de leur famille[réf. nécessaire].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].
En 2022, la commune comptait 4 262 habitants[Note 4], en évolution de +3,27 % par rapport à 2016 (Bouches-du-Rhône : +2,48 %,France horsMayotte : +2,11 %).
Franz Priking (1929-1979), artiste peintre, a vécu à Barbentane de 1952 à 1958. C'est à Barbentane qu'il a commencé à isoler les objets représentés sur la toile par de larges cernes noirs qui personnaliseront durablement son œuvre[21].
Les armoiries de Barbentane se blasonnent[22] : De gueules à une tour d'argent maçonnée de sable, parti d'azur à une salamandre d'or, la tête couronnée et grimpante contre un F de même tourné à dextre. La commune utilise (à droite) une version différente du blason où la salamandre, dépourvue de patience (flammes) et le F sont d'argent[23]. Ce blason remonte à la première moitié duXVIe siècle. Le F est l'initiale du roi François Ier et la salamandre son emblème personnel.
Armes anciennes : De gueules à une tour d'argent maçonnée de sable[24].
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Les deux grands pôles économiques de Barbentane furent, dès l'origine, l'agriculture et lescarrières de pierres.
Sa grande plainealluvionnaire permet une agriculture intense et de grande qualité, essentiellement basée, aux temps historiques, sur une culture autarcique (blé,fèves, etc.). Puis vient l’époque de la culture de lagarance, première vraie culture industrielle. Il faut 1 000 Barbentanais et 600 travailleurs immigrés pour récolter cette plante. Sa culture est de courte durée et s’effondre en quelques années à l’apparition des colorants chimiques. Toutefois, la construction de la ligne impériale de chemin de fer reliantParis àMarseilleviaLyon (lePLM) dans lesannées 1840 permet de remplacer la garance par les « primeurs ». En effet, les terres ayant été aplanies et irriguées, il ne reste plus qu’à planter descyprès pour se protéger dumistral et se lancer dans la culture de ces nouveautés. L’ensoleillement méditerranéen conjugué à la présence d'une eau à très faible profondeur et en quantité abondante, et l’irrigation avec l’eau ducanal des Alpines, ont fait naître une agriculture variée defruits (pommes,poires,pêches, etc.) et delégumes (haricots,aubergines,tomates,courgettes, etc.). La gare ferroviaire de Barbentane, point de jonction avec la ligne dechemin de fer venant dePlan-d'Orgon (Bouches-du-Rhône), est pendant assez longtemps la première gare primeurs de France. Les agriculteurs, en pratiquant unassolement triennal, continuent leur activité l'hiver avec la cueillette desolives et desamandes dans la Montagnette, et la culture dessalades, deschoux et desépinards dans la plaine.
Une variété d'aubergine porte le nom d'« aubergine longue et violette dite de Barbentane » ; une variété defigue rustique mais succulente est dite « noire de Barbentane » ; il existe aussi unerose, de couleur rouge cerise, qui porte le nom de « comtesse de Barbentane ».
L'éperon rocheux sur lequel est juché le village est exploité par les carriers depuis longtemps. La pierre de Barbentane a été utilisée par la construction du village et des éléments architecturaux d'Avignon et des villages environnants.
Les immenses vides laissés par cette extraction au sein du village même, ont été économiquement utilisés par les habitants. Barbentane possède donc deux quartiers presque exclusivementtroglodytes encore entièrement habités de nos jours.
Ces deux activités économiques sont grandes utilisatrices de main-d'œuvre et, à celle d'autochtones, s'est ajoutée une forte immigration latine (Italie,Espagne) depuis des temps très anciens et a perduré jusqu'auxannées 1960. Depuis cette époque, l'immigration est essentiellement d'originemaghrébine.
L'intégration sociale de tous ces étrangers est assez notable pour être relatée. Lors de leur arrivée, les nouveaux venus s’installent au plus haut du village dans le quartier le plus ancien (datant duBas Moyen Âge) aux habitats des plus rustiques. Au fur et à mesure de leur intégration, ils descendent vers les habitations techniquement plus modernes, situées dans la plaine. Au passage, ils entretiennent et rénovent constamment cette partie du village.Actuellement[Quand ?], ce sont des nouveaux immigrés venus deFrance métropolitaine (Paris, Nord de la France, etc.), qui arrivent.
Aujourd'hui, les carrières de pierre ont complètement disparu et l'agriculture a perdu de sa primauté dans l'activité principale du village. La cultureprovençale, elle, reste bien vivante.
Comme ailleurs, il était d’usage courant de donner des surnoms (lieu de résidence, métier, action remarquable, etc.) pour différencier les gens qui avaient souvent le même nom de famille. Les Barbentanais étaient surnommésLi Broument, mot provençal signifiant « beaucoup » et utilisé seulement à Barbentane.
Barbentane possède sa spécialité culinaire, « les Tirettes ». Faites en pâte spéciale, elles se dégustent audéjeuner desdimanches et des jours de fêtes.
LaMontagnette est le nom d'une colline de l’ère secondaire (néocomien, soit 70 millions d’années), d'une superficie d'environ 6 000 hectares, dont les 2/3 sont couverts depins d’Alep. Un quart environ est sur la commune de Barbentane mais c’est sur la commune deBoulbon que se trouve son point culminant qui jette son sommet à 167 mètres d'altitude au « mont de Raous » à environ 800 mètres à l’ouest de l'abbaye Saint-Michel de Frigolet. Sur sa partie est, dans la commune de Graveson, au ras de la ligne de chemin de fer, se trouve l’oppidum de la Roque, qui date duVIe siècle av. J.-C. Au pied de cet éperon rocheux on a retrouvé récemment de nombreuses traces d’occupations anciennes ainsi qu’un cimetière longuement utilisé.
Face au nord-ouest, on peut entrevoir le miroitement du Rhône à travers les allées de cyprès. Ce fleuve servit de voie de communication et de commerce depuis la Préhistoire.
Les grandes plaines alluvionnaires du Rhône et de la Durance (16 mètres d’altitude moyenne) ont été et restent encore le témoignage du passé agricole de Barbentane. Avec une absence complète de cailloux, elles ont permis l'installation des hommes sur les contours de la Montagnette. Plaines, certes fertiles, mais ô combien sensibles aux inondations plus que fréquentes de ces cours d'eau aux éléments parfois furieux et toujours ravageurs.
La rue du Séquier date du Bas Moyen Âge ; elle possède quelques façades avec fenêtres àmeneaux. Au début de la rue, à main gauche, on trouve dans une cour une ancienne tour.
Le Planet est un quartier qui était la propriété de la lignée de Mondragon. Cette famille, incommodée par les détours faits pour monter le fourrage à leurs écuries, fit percer une nouvelle porte dans les remparts, la « Porte neuve ».
La rue de la Croix-Rouge, dont le nom vient des anciennesconfréries. On peut remarquer dès le début de cette rue, de nombreuses maisons avec courettes fermées avec des porches très esthétiques qui sont plus proches des mas que de maisons de villes. Elles étaient la propriété des Mondragon qui préféraient avoir des fermes dans le village à l’abri des inondations de la plaine.
Les passages sous le Parc d’Andigné : c’est vers 1850 que le parc d'Andigné a été élaboré. Mais comme deux rues se trouvaient dans son enceinte, un compromis a été trouvé par le percement de deux passages souterrains. Le premier, de dimensions très modestes, presque entièrement creusé dans la roche, file vers l’ouest et le second axé nord/sud est plus important. Il est nommé « la Pousterle » et servait d’abri aux plus démunis au début duXXe siècle.
La place du Séquier, où se trouve une maison troglodyte en haut du village. Comme ce quartier date du haut Moyen Âge, il a servi, de par sa rusticité, de premier habitat pour les immigrés qui, dès le milieu duXIXe siècle, sont venus s'installer dans le village. En effet, si depuis des temps très anciens lesgavots venaient de façon périodique et temporaire faire les moissons, à partir de la construction de la ligne de chemin de fer c’est en vagues successives et selon les besoins de main-d’œuvre où des situations politiques que des hommes et des femmes des États voisins sont venus s'installer de façon plus ou moins durable dans le village. La récolte de la garance a utilisé pendant une période plus de 1 000 hommes du village et 600 immigrés. Lorsque cette culture disparut, la récolte des fruits et légumes qui la remplaça fut tout aussi utilisatrice de ces hommes et femmes. Ce quartier abritait, en particulier, les immigrés d’origine italienne.
À main gauche, la maison des Templiers qui servit de cure pendant des années et qui a donné son nom à la rue (le Clastrum ou cour fermé).
La rue Pujade est un nom ancien qui voulait dire en latin « donner de la peine ». Car, c’est par cette rue abrupte que les habitantes de la cité allaient chercher l’eau à la source au quartier bien nommé de « la Fontaine » grâce à une poterne qui perçait les remparts.
On peut toujours s’apercevoir que les soubassements des maisons sont directement posés sur le rocher et celui-ci est même creusé pour former les caves.
De par sa construction, il est à l'origine des premiers faubourgs du village. Du perron de sa façade sud, il offre une vue remarque sur la tour de Barbentane, le village et la Montagnette. Il est classémonument historique en1949[25] ; son parc sur une terrasse, du début duXVIIIe siècle, est lui aussi classé[26].
À l'ouest et au-dessus de l'Hospice, se trouve la tour Caradone qui est encore visible sur la partie ouest du village, offre une vue remarque des étapes de la construction des remparts barbentanais, avec un premier étage de construction en petit appareillage suivi d’un rehaussement en gros appareillage datant duXIVe. Un troisième étage en briques rouges y a été ajouté par un astronome amateur.
La tour Anglica se trouve sur l’emplacement probable d’un oppidum. Un château y fut construit par l'évêque d’Arles (898). La tour elle-même fut bâtie en seulement deux ans (1364-1365) parAnglic de Grimoard (frère du papeUrbain V), elle était la propriété du fief de Barbentane. Elle servait de défense avancée pour la cité papale d’Avignon. Cette tour a 28 mètres de haut et 10 mètres de côté. Elle se termine par une tourelle ronde, ou Tourillon, surmontée d'un pavillon avec pour devise« Più forte nell' aversità » (« Plus fort dans l'adversité ») et les armoiries papales (tiare, plumet, clés). Elle est classée monument historique sous le nom de tour duCardinal-Grimaldi (du nom du cardinal-archevêque d'Aix de 1648 à 1685).
Frédéric Mistral l'a chantée dans son poèmeLis Isclo d'Or en 1876, ce qui lui valut leprix Nobel de littérature en 1904 (avecJosé de Echegaray, écrivain basque espagnol). Elle a servi d’observatoire à Cassini qui était chargé par le roi Louis XV de cartographier la France au milieu duXVIIIe siècle.
La légende veut qu'il existe un souterrain qui irait de cette tour aupalais des papes. Il recèlerait un des trésors du Vatican, et les Allemands y ont entrepris des fouilles durant les années 1943-1944. Elle est située dans le parc privé du château d'Andigné, et reste le symbole des Barbentanais.
Il y a un puits, dit « puits du Seigneur ». Il alimentait en eau la tour Anglica et l'avoisinait sur l'arête qui supporte la tour.Marius Girard,félibre deSaint-Rémy, lui a consacré un beau poèmeLe Puits du Seigneur.
La Coquille est un élément architectural assez rare, mais nous ne possédons aucune information sur sa construction et encore moins son origine.[précision nécessaire]
Le clocher fut élevé sur la chapelle Sainte-Croix entre 1486 et 1492. Il est haut de 21 mètres et il est surmonté d'une flèche de 7 mètres détruite à coups de boulets sous la Révolution française en 1794. Toutes ses cloches, sauf une, furent expédiées à Marseille pour « fabriquer des armes contre les ennemis de la Nation ». Cette flèche a été reconstruite en 1983.
Le puits de la place ou Grand puits existait déjà en 1370. Entièrement taillé dans le roc, il a 36 mètres de profondeur et 6 mètres de profondeur d’eau. Il servait pour l'alimentation en eau de tout le haut du village.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑Catherine Lonchambon, « D'une rive à l’autre de la Durance : d’étranges bateaux »,in Guy Barruol, Denis Furestier, Catherine Lonchambon, Cécile Miramont,La Durance de long en large : bacs, barques et radeaux dans l’histoire d’une rivière capricieuse, Les Alpes de lumière no 149, Forcalquier 2005,(ISBN2-906162-71-X),p. 55
Sébastien Fontaine,Histoire pittoresque de la ville de Barbentane et de ses environs, Tarascon, imprimerie d’Antoine Aubanel fils aîné, 1854
H. Bout de Charlemont,Notice historique sur Barbentane, Paris, imprimerie Lucien Duc, 1869.
Denys Marie Turrier,Essai sur les origines de la paroisse de Barbentane et de sa vie religieuse depuis son origine jusqu'à nos jours, Cavaillon, imprimerie Mistral, 1939.
Garbeto de Nouvé ‘que se canton a Barbentano au tèms de Calendo’, recueil de chants de Noël en provençal qui se chantent lors de la messe de minuit le 24 décembre, Avignon, imprimerie Barthélemy, 1940.
René Jarno et Henri Linsolas,Histoire de Barbentane, Nîmes, imprimerie les Presses du Castellum, 1981.
Barbentane, le temps retrouvé de Monsieur Joseph Rey, imprimerie Lienhart d’Aubenas en 1993.
Patricia Santouchi et Charles Bertaud,Barbentane, Les commerces et l’artisanat du début du siècle jusqu’aux années 1960, Avignon, imprimerie Arts et Systèmes, 2000.
L'Écho de Barbentane. D'octobre 1905 à août 1956, journal mensuel (à l'origine) de la paroisse de Barbentane (archives dispersées).
Du Haut de la Tour. De 1957 à 1972, journal communal à parution discontinu, créé pour informer les soldats en Algérie/Maroc/Tunisie (archives dispersées).
Barbentane Provence. De 1973 à janvier 1983, journal communal à parution discontinue (archives dispersées).
Du Haut de la Tour. Depuis mai 1983, reprise du titre de l'ancien journal communal à parution trimestrielle (archives en mairie).
Autres documents (disponibles en mairie) :
Patrick Biancone,Un exemple de la résistance royaliste au temps de la République : Barbentane (1880-1920). Mémoire de maîtrise, 1996.
Christine Leclerc,Structures, économie et société à Barbentane auXIXe siècle. Mémoire de maîtrise, 1981.
Denis MartinLes de Mondragon de BarbentaneXVIe-XVIIIe. Extraits des mémoires de l'académie de Vaucluse, 1993.
Jean Louis Ichartel,Confréries et associations dans la région de Barbentane. Mémoire de maîtrise.
Ouvrages sur la patrimoine
Charles-Laurent Salch et Anne-Marie Durupt,Nouvel Atlas Châteaux et fortifications des Bouches-du-Rhône (13), Strasbourg, Châteaux-forts d'Europe,, 156 p.(ISSN1253-6008)
N°46/47/48, 2008 Barbentane, p. 24 à 26
Charles-Laurent Salch,Dictionnaire des châteaux et fortifications de la France au Moyen Âge, Strasbourg, éditions Publitotal, 1978, reprint 1991(ISBN978-2-86535-070-4 et2-86535-070-3)
Une vision d’ensemble de l’architecture castrale. Barbentane : Page 103
LibrairieHachette et société d'études et de publications économiques,Merveilles des châteaux de Provence, Paris, Collection Réalités Hachette,, 324 p.
Le patrimoine architectural et mobilier de Barbentane sur le site officiel duministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), photographies de César (Avignon), Olga Bazu, Jean Gourbeix, Henri Graindorge, Françoise Thurel, Odile de Pierrefeu, Gaëtan Congès, archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA