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Barbare

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Pour les articles homonymes, voirBarbare (homonymie).

LesHuns à labataille de Chalons ; illustration deNeuville pourL’Histoire de France depuis les temps les plus reculés jusqu’en 1789 deGuizot, vol. I,p. 135.

Le motbarbare a enfrançais plusieurs significations. Au fil de l’histoire, le terme a revêtu différentes acceptions :

  • selonHérodote :« Les Égyptiens appellent barbares tous ceux qui ne parlaient pas leur langue. »
  • durant l'Antiquité :
    – les peuples non gréco-romains,
    – un membre des peuplesmigrateurs qui, sporadiquement depuis leIIIe siècle av. J.-C. (expansionceltique) jusqu’auXIIIe siècle (invasionsmongoles/tatares), mais avec un pic duIVe siècle auVIIe siècle (période dite des « Invasions barbares »), ont cherché, venant d'outre-Rhin et d'outre-Danube ou d’Asie, les ressources et les terres dont ils ne disposaient plus dans leurs régions d’origine, soit pour des raisonsclimatiques etenvironnementales, soit en raison de leur croissance démographique, soit pour en avoir été évincés par d’autres peuples, soit par l'appât du gain ;
  • durant l’expansion coloniale de l’Europe, le terme « barbare » a servi, avec d’autres mots tels que « sauvage » ou « primitif », à désigner les indigènes — les opposant par là au « civilisé », à l'Européen —, et à justifier ainsi la « mission civilisatrice » visant à les « civiliser » ;
  • une époque, région, population, tradition, pratique, idée ouidéologie dont les coutumes, concepts ou préceptes légitiment ou semblent justifier, aux yeux de la personne qui en parle, des violences, lacoercition, lepillage, l’aliénation, des injustices ou descrimes de masse ;
  • une personne réputéebrutale,violente, destructrice, et le comportement, le langage, les mœurs de cette personne (lorsque les destructions sont physiques, on parle aussi de « vandalisme » par référence au peuple desVandales).

Étymologie

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À l’origine, le terme « barbare », emprunté enfrançais en 1308 aulatinbarbarus, lui-même issu dugrec ancienβάρβαρος /bárbaros (« étranger »), était utilisé par lesanciens Grecs pour désigner les peuples n’appartenant pas à leur civilisation (définie par la langue et la religionhelléniques), et dont ils ne parvenaient pas à comprendre la langue.Barbare signifiait alors « non grec » : toute personne dont le langage ressemblait, pour les Grecs, à un charabia « bar-bar »[1] (équivalent de « bla-bla-bla »[2]).

Le terme « barbare » a ensuite été utilisé par lesRomains pour nommer les peuples qui se trouvent à l’extérieur dulimes, dans le« Barbaricum », la « terre des Barbares »[3], c'est-à-dire hors de leur autorité : l'« Imperium ». Pour les Grecs comme pour les Romains, tout « barbare » peut, en adoptant leur langue, leurs dieux et leurs mœurs, devenir Grec ou Romain, et ce fut le cas non seulement de nombreux individus (dont certains parvinrent jusqu’à la fonction impériale), mais aussi de peuples entiers, acceptés dans l’Empire comme« foederati ». Toutefois, ces termes pouvaient aussi traduire la crainte ou le mépris qu’inspire l’étranger, l’envahisseur qui ne se présente pas en allié, en« foederatus » potentiel, mais en conquérant voulant imposer ses mœurs et son pouvoir dans l'« Imperium ».

PourThucydide, « barbare » possède aussi un sens technique : celui des valeurs locales opposées aux valeurs universelles recherchées par le civilisé, par exemple celles faisant primer l’intérêt d’un clan au détriment de l’intérêt commun, du « bien public ».

Apparition du concept dans l’Antiquité

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La première occurrence du concept se trouve dans le motbarbarophonoi dans leCatalogue des vaisseaux pour qualifier lesCariens, c'est la seule utilisation du mot sur toute l'œuvre d'Homère[4],[5]. Le mot n'a alors pas de connotation péjorative et signifie seulement que la langue des Cariens n'est pas intelligible par lesAchéens[4]. Cette acception est encore connue deStrabon au premier siècle de notre ère[4].

Hérodote rapporte que « Les Égyptiens appellent barbares tous ceux qui ne parlent pas leur langue. [...] parmi les Thraces, les Scythes, les Perses, les Lydiens ; en un mot, parce que, chez la plupart des barbares, ceux qui apprennent les arts mécaniques, et même leurs enfants, sont regardés comme les derniers des citoyens. » Hérodote poursuit « Presque tous les noms des dieux sont venus d'Égypte en Grèce. Il est très certain qu'ils nous viennent des Barbares : je m'en suis convaincu par mes recherches. Je crois donc que nous les tenons principalement des Égyptiens[6]. »

LesGutis étaient dans la littératuremésopotamienne une figure exemplaire du « barbare ».

Claude Yvon, dans l’article « Barbare (philosophie) » de l’Encyclopédie deDiderot etd’Alembert, fait remarquer que « c’est le nom que les Grecs donnaient par mépris à toutes les nations qui ne parlaient pas leur langue, ou du moins qui ne la parlaient pas aussi bien qu’eux, pour marquer l’extrême opposition qui se trouvait entre eux et les autres nations qui ne s’étaient point dépouillées de la rudesse des premiers siècles ». Il s’agissait donc au départ d’un simple critèrelinguistique permettant de distinguer les individus dont le langage leur apparaissait comme un babil inintelligible (« ba ba ba »), une sorte d’onomatopée, comparable aubla-bla en français, évoquant le bredouillement.

Était donc « barbare » celui qui au lieu de parlergrec, de posséder lelogos, faisait du bruit avec sa bouche[7]. Le terme ne désignait donc pas des peuples moins « civilisés » puisqu’il était utilisé pour lesPerses et lesÉgyptiens, par exemple. En revanche, les peupleslibyques (berbères),celtiques,germaniques,scythes,slaves ou encoreasiatiques étaient considérés comme des barbares peu, voire pas du tout, civilisés.SelonJames C. Scott, les peuples barbares auraient été susceptibles de domestication, alors que les « sauvages » étaient plutôt à tuer ou asservir : d'un côté un allié potentiel (cuit), de l'autre un ennemi (cru). Les appellations les plus courantes sontpeuples des montagnes, des forêts, des steppes, des marais, sans État, plus ou moins nomades, en périphérie, pas encore assimilés par un État central, ou l'ayant déserté.

Par extension, cette différence linguistique donnera une vision négative, distante, de l’autre, l’étranger non par la géographie, mais par la culture. Celle-ci se retrouvera dans la définition transmise par les Grecs aumonde romain. Après la conquête de laGrèce, lesRomains adoptèrent le terme grec et l’utilisèrent pour désigner les peuples qui entouraient leur propre monde. Était donc qualifié debarbare à Rome celui qui n’appartenait pas à la sphèreculturellegréco-romaine, quel que fût son niveau decivilisation. Ainsi, les Romains considéraient, par exemple, lesHuns comme des « animaux à deux pieds », selon la description qu’en fit l’historienAmmien Marcellin, qui décrit leur arrivée enEurope, comme une « tornade dégringolant des montagnes »[8].

Soucieux de préserver laGaule qu’il venait de conquérir du péril que représentaient les peuples germaniques (qu’il était parvenu à repousser au-delà duRhin) et de sauver de la barbarie uneprovince en voie deromanisation,César, dans une digression célèbre dela Guerre des Gaules[9] brosse un portrait fort peu amène de ces envahisseurs qu’il juge incapables même de désirer la « civilisation » : impudeur physique, alimentation fruste, religion sommaire, culte de la violence et de la destruction, sont les principaux traits qu’il prête à ces populations qu’il espère maintenir à l’extérieur de l’aire romaine.

Les Romains (soumis de bonne heure à des raids sur leurs frontières) percevaient les barbares comme une menace. Après une première alerte à l’approche duIVe siècle av. J.-C. (Gaulois en Italie et en Grèce), une deuxième alerte sérieuse a lieu à l’approche duIer siècle av. J.-C. (Cimbres,Teutons). À partir duIIIe siècle (242, 253, 276, lorsque lesFrancs et lesAlamans dévastent la Gaule, l’Espagne et l’Italie du Nord), les Romains seront soumis cinq siècles durant à cette pression barbare, qui emportera finalement la partie occidentale de l’empire qu’ils avaient constitué et une partie de leur civilisation, malgré l’ardeur de certains généraux commeStilicon (d’origine germanique). Dans lapartie orientale de leur Empire, de culture grecque et qui résiste mille ans de plus, les menaces « barbares » viennent desAvars, desSlaves, desPerses et desArabes, mais en fin de compte, même si l’Empire d’Orient (que nous appelons « byzantin ») finit par sombrer à son tour 977 ans après celui d’Occident, il aura, bien avant lachute de Constantinople, transmis sa civilisation et ses savoirs aux Slaves, auxTurcs, auxArabes, et aux milieux instruits de la péninsule italienne. Ces divers intermédiaires, à leur tour, la transmettront au reste de l’Occident, reprenant un travail interrompu par la mort deBoèce.

Historiographie du haut Moyen Âge

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Après coup, on utilise le terme d’invasions barbares pour qualifier les mouvements de population qui se produisent à partir duIVe siècle jusqu’auVe siècle à travers l’Empire romain d'Occident finissant. Ces migrations depeuples germaniques ayant envahi l’empire à partir de 406 sont considérées comme un déferlement de la barbarie destructrice sur la civilisation. Par extension, l’âge des Vikings et ses raids soudains et meurtriers perpétue la frayeur qu’inspirèrent auparavant lesHuns, lesGoths et autresVandales, alors qu’à l’Est lesSlaves investissent lesBalkans tandis que des peuples passés par lessteppes de l’Asie créent de nouveaux États (Empire khazar,Bulgarie,Hongrie,Empire mongol) dont les armées s’avancent parfois jusqu’aux murs deConstantinople[10].

Toutefois, les peuples en question ne se perçoivent pas toujours comme des « envahisseurs » ou comme des destructeurs de la civilisation romaine, mais comme des « successeurs » et des continuateurs de cette civilisation : deCharlemagne auxTsars bulgares ou russes en passant parÉtienne Douchan « Empereur des Serbes et des Romains », leurs dirigeants, comme leuraristocratie et, en fin de compte, leur population, n’ont de cesse de « devenir Romains », au point qu’en1184 l'Empire germanique prend le nom deSaint-Empireromain et qu’en1589,Moscou prend le titre de « Troisième Rome » (le deuxième étantConstantinople). L'étymologie des termesKaiser ettsar provient d'ailleurs deCaesar.

Leschisme de 1054 met l’église de Rome sous la protection des rois germaniques mais l’isole par rapport auxquatre autres patriarcats, et, dès lors, cette église va construire sa légitimité en transformant la définition du « barbare » en celui qui n'est pas catholique. Si les peuples « barbares » adoptent le catholicisme, ils se voient intégrés à lacivilisation occidentale ; dans le cas contraire, ils restent des ennemis à combattre, peuvent être réduits enesclavage (le terme d’« esclave » désignait à l’origine lesSlaves) et ce, d’autant plus aisément qu’avec le dogme spécifiquement catholique du « filioque », une âme non-chrétienne est de toute manière perdue[11].

Dans l’empire bâti par Charlemagne, un autre terme de sens semblable à « barbare » apparut avec le « Sarrasin ».

On emploie à cette époque une variante du terme pour désigner les pirates méditerranéens issus de pays à majorité musulmane : les « Barbaresques ».

Époque moderne

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L’avance technique et conceptuelle de l’Europe au sortir duMoyen Âge amène ses habitants à développer un sentiment decondescendance à l’égard des autres peuples qu’ils découvrent, à la suite de leurs lointaines expéditions. Cette distinction est parfois marquée par une nuance d’orientalisme vis-à-vis de ces peuples inconnus, dont les civilisations ne sont pas reconnues commela civilisation : le clivage ducivilisé (forcément Européen) et dubarbare (l’autre) justifie celui entre lecolonisateur et lecolonisé, et le mépris n’est pas moindre envers de grandes et anciennes cultures aux monuments et aux écritures millénaires, comme l’Inde ou laChine, qu’envers celles de tradition orale (dont certaines donnent naissance au mythe du « bon sauvage » joyeux et naïf). L’idéologie ducolonialisme s’est développée sur ce concept de l’apport dela civilisation (européenne) à des peuples considérés comme « inférieurs ». Comme l’écrivaitMichel de Montaigne dans sesEssais, à l’époque « barbare » desguerres de religion de la fin duXVIe siècle enFrance : « Chacun appelle barbarie ce qui n’est pas de son usage »[12]. Pour autant, Montaigne ne récusait pas le concept de barbarie.

Sous l’Ancien Régime français, le terme « Barbarie » (au sens decôte des Barbaresques) servait à qualifier leMaghreb, terme qui a donné la varianteBerbérie et le termeberbère désignant leMaghrébin autochtone. Selon l’Encyclopédie deDiderot etd’Alembert, la Barbarie était une« grande contrée d’Afrique, enfermée entre l’Océan Atlantique, lamer Méditerranée, l’Égypte, laNigritie et laGuinée »[13].

Acceptions contemporaines

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Poster depropagande pour la conscription dans le contingent américain,Première Guerre mondiale. Les Alliés exploitent l’image de « barbarie » en instillant l’idée de germanophobie dans le conflit en cours.

AuXVIe siècle, des humanistes italiens redécouvrent l’antiquité en matière d’art et de politique. Ils pensent alors que les barbares ont ravagé les merveilles de l’Empire romain et que le patrimoine antique doit être réhabilité. Le point de vue des italiens l’a emporté, et ce terme de « barbarie » désigne un individu ou un groupe social considéré comme cruel, « inhumain », non éduqué, violent, de mœurs rustres : le terme debarbarisme enlinguistique, en témoigne.

Dans le contexte de l’esprit de revanche qui se manifestait enEurope dans la première moitié duXXe siècle, renvoyer les descendants despeuples germaniques duhaut Moyen Âge à unétat de barbarie fut une attitude pratique et simplificatrice de lapropagande et de l’historiographie française, également reprise par les Alliés pendant laSeconde Guerre mondiale, pour se positionner par opposition en défenseur de la civilisation. Cette vision est corroborée par la découverte des camps, le nazisme rejaillissant sur une mort des concepts hégeliens par lesquels l’idéalisme allemand avait jusqu'alors gouverné l’Histoire des idées. Les dégâts sont nombreux, les chantiers aussi : l’après-guerre s’ouvre alors sur une remise en cause de l’Historiographie, mettant fin à la simplification selon laquelle l’Histoire évoluerait soit dans un senspositif etéclairé, soit dans un sensnégatif,sombre, en attribuant la cause à des barbares désignés comme autant de boucs émissaires[14].

Dans les universmédiévaux-fantastiques ou d’heroic fantasy, les barbares sont des personnes souvent en pagnes douées d’une grande force, d’une grande musculature (cf.Conan le Barbare), pas forcément très intelligentes mais souvent d'un courage surhumain.

Civilisations « barbares »

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Cette assertion montre comment l’épithète idéologique mène à desoxymores lorsqu’il est employé. Le régime d’écriture par leschroniques ouhistoires ecclésiastiques[15] a amené à amalgamer lesHuns, lesGermains et lesSarrasins (Maures) dans ce terme, empreint de négativité, d’« invasions barbares ».

Ce terme englobe donc tout ce qui a pu causer du tort à l’Occident en général, en particulier à l’Occident chrétien. Cette notion existe aussi enExtrême-Orient ; ainsiHenri Michaux s'y est senti comme « un barbare en Asie ».

Les cartes produites en Europe jusqu’auXVIe siècle ont désigné leMaghreb sous le vocable deBarbarie (Côte des Barbaresques), auquel sont pourtant associés des adjectifs différents :barbaresque etbarbe, qui désigne la race de cheval qui en est originaire. Le nom du peupleberbères a la même origine, ce qui n’implique pas qu’il ait été continuellement perçu comme « barbare » par les Européens.

Historiquement, le terme « civilisation barbare » a particulièrement désigné :

Divers

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Le terme « Barbarie » désigne une région étrangère et inconnue, évoquée dans des noms tels quecanard de Barbarie etfiguier de Barbarie, espèces originaires d’Amérique, qui étaient donc inconnues enEurope avant la découverte de l’Amérique.

Notes et références

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  1. Michel Dubuisson, « Barbares et barbarie dans le monde gréco-romain »,L'antiquité classique,no 70,‎,p. 1-16(ISSN 0770-2817,lire en ligne).
  2. Barbara Cassin dans le documentaireAcadémie française : voyage au pays des immortels deSerge Moati, 2020.
  3. Bruno Dumézil,Les Barbares expliqués à mon fils, éditions du Seuil, 2010,p.  12.
  4. ab etcCatherineGrandjean (dir.), Gerbert S.Bouyssou, VéroniqueChankowsky, AnneJacquemin et WilliamPillot,La Grèce classique : D'Hérodote à Aristote, 510-336 avant notre ère, Paris, Belin,coll. « Mondes anciens »,, L'atelier de l'historien,chap. 13 (« Héritages »),p. 470-475 (« Grecs et barbares »).
  5. Homère (trad. du grec ancien par Leconte de Lisle),L'Iliade(lire sur Wikisource),chap. 2 :« Et Nastès commandait les Kariens au langage barbare qui habitaient Milètos et les hauteurs Phthiriennes, et les bords du Maiandros ét les cimes de Mykalè. »
  6. « Hérodote : livre II : Euterpe (bilingue) », surremacle.org(consulté le).
  7. Bruno Dumézil,Les Barbares expliqués à mon fils, éditions du Seuil, 2009,p. 9.
  8. Ut turbo montibus celsis, Histoire,XXXI, 3, 8.
  9. Jules César,la Guerre des Gaules,VI, 11-28.
  10. Cette aversion se poursuit lors duBas Moyen Âge avec la prise deMoscou par les hordes mongoles en 1238.
  11. Bruno Dumézil,Les Barbares expliqués à mon fils, éditions du Seuil, 2010,p. 95.
  12. Michel de Montaigne,Les Essais, I, 31.
  13. Denis Diderot, Jean le Rond d'Alembert,Encyclopédie ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, New York, Paris, éd. Compact, Pergamon Press, 1980, 3 vol.
  14. Pour cette thématique, lire les travaux deGilles Deleuze.
  15. Lire l’introduction deMetz au Moyen Âge .
  16. Voir à ce sujet l’articleÉpoque du commerce Nanban.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Antonyme

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Sociologie

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Liens externes

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