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Béchar

31° 36′ 59″ nord, 2° 13′ 06″ ouest
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Béchar
Béchar
Place du1er-Novembre.
Noms
Nom arabeبشار
Nom amazighⴱⵛⵛⴰⵕ
Administration
PaysDrapeau de l'AlgérieAlgérie
RégionSaoura
WilayaBéchar
DaïraBéchar
Président de l'APC
Mandat
Abdallah Bouziane[1]
2017-2022
Code postal08000
Code ONS0801
Démographie
GentiléBécharien(ne)
Population165 627 hab.(2008[2])
Densité33 hab./km2
Géographie
Coordonnées31° 36′ 59″ nord, 2° 13′ 06″ ouest
AltitudeMax. 773 m
Superficie5 050 km2
Localisation
Localisation de Béchar
Localisation de la commune dans la wilaya de Béchar.
Géolocalisation sur la carte :Algérie
Voir sur la carte topographique d'Algérie
Béchar
Géolocalisation sur la carte :Algérie
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Béchar
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Béchar (enarabe :بشار ; en :berbère : ⴱⵛⵛⴰⵕ) est unecommune de lawilaya de Béchar, enAlgérie, dont elle est le chef-lieu, située à 1 150 km au sud-ouest de la capitaleAlger, à 852 km au nord-est deTindouf et à environ 80 km à l'est de la frontièremarocaine. Béchar est la plus grande ville du sud-ouestalgérien, sa population est de 171 724 habitants.

Géographie

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Situation

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Le territoire de la commune de Béchar est situé au nord de sa wilaya. Béchar se situe à la limite nord-ouest duSahara algérien. On considère que la ville fait partie de la région de laSaoura.

Communes limitrophes deBéchar
LahmarMougheulBeni Ounif
KenadsaBécharBeni Ounif
KenadsaTaghitTaghit

Relief

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Béchar est entourée de chaînes de montagnes :

Climat

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Le climat à Béchar estsubtropical,désertique etcontinental, codé BWh (climat désertique chaud, température annuelle moyenne > à18 °C) ou BWk (climat désertique continental, entre -3 et°C pour la température minimale moyenne) dans la classification deKöppen. Cela se traduit par des hivers froids, surtout la nuit et des étés extrêmement chauds: 50% des journées dépassent40 °C à l'ombre en juillet et38 °C en août. Évidemment en pleindésert du Sahara, il ne pleut presque jamais, 80 mm/an.

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Neige tombée dans l'oasis de Qorai à Bechar.
Données climatiques à Béchar.
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température minimale moyenne (°C)148121621252520137213
Température moyenne (°C)811151923283231262013920
Température maximale moyenne (°C)15182226303540383327201627
Précipitations (mm)00100000001010080
Source : Weatherbase, statistiques sur 26 ans[3].


Transport

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Béchar dispose d'unaéroport situé à 5 km au nord-ouest de la ville. Des vols opérés par la compagnieAir Algérie la relient àAlger et àOran.

La commune de Béchar est traversée par laroute nationale 6 (RN 6), dite « route des Oasis », qui relie la ville deSig, située au nord-ouest de l'Algérie, à la ville deTimiaouine, située à l’extrême sud de l'Algérie à la frontière avec leMali, via Béchar etAdrar.

Le 15 juillet 2010, la ligne ferroviaireOran-Béchar, longue de 700 km, a été inaugurée.Le voyage s'effectue en 10 heures. Cette ligne de train permettra au sud-ouest algérien un désenclavement et accentuera les échanges commerciaux entre le nord et le sud algérien en desservant jusqu'à Oran les villes suivantes :Oued Tlelat,Sidi Bel Abbes,Ras El Ma,Mecheria,Naâma,Ain Sefra,Beni Ounif.

Localités de la commune

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En1984, la commune de Béchar est constituée à partir des localités suivantes[4] :

  • Béchar-Centr
  • Kasr Béchar
  • Debdaba
  • Béchar Djedid
  • Ouakda
  • Benzireg
  • Hassi Haouari
  • Zouzfana
  • Gharassa
  • Manouarar Nekheila

Un quartier s'appelleMer Niger, du nom duChemin de fer transsaharien[5].

Histoire

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Expéditions ottomanes

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Vers la fin duXVIIe siècle, lebey de l’Ouest mande des expéditions dans leSahara vers lequel il voulait étendre sa domination[6]. Les objectifs de ces expéditions étaient doubles : établir une cartographie de cette partie du Sahara et trouver de l'eau. Une récompense fut promise à toute personne découvrant des points d'eau encore inconnus. Ces derniers, recevant une prime annuelle, étaient de plus exemptés d’impôt et d'obligation militaire. Parmi ces explorateurs, beaucoup moururent de soif ou en se perdant dans le Sahara loin des routes commerciales. Néanmoins, bon nombre d’entre eux découvrirent des zones minières et des sources d'eau (mais le plus souventsaumâtres)[7].

Les traditions locales rapportent qu'un jour, un voyageur demanda audience au bey, puis lui présenta dans uneguerba en peau de chèvre de l'eau limpide qu'il expliqua avoir recueillie dans une source qu'il aurait découverte dans lavallée de Zousfana. Le Bey remercia publiquement l'envoyé, puis, après l'avoir félicité, il surnomma l'explorateur « El Bechar » signifiant celui qui apporte une bonne nouvelle, surnom qui sera repris pour désigner toute la région[6],[7].

Ancien Ksar de Béchar.

Comme la région était assez plane, cela facilita la création d’unepalmeraie grâce à la possibilité d’utiliser l'eau de la source nouvellement découverte. Le bey choisit entre autres la tribu des Ouled Nassir pour travailler la terre de la région et pour s'y installer. Il offrit à ces derniers divers animaux (chevaux, mulets et moutons) pour faciliter leur installation et ordonna la construction d'un premier fort dans cette nouvelle place[6].

Rapidement, la nouvelle palmeraie prospéra et fut réputée dans la région pour sesfigues etdattes, mais aussi pour les divers animaux provenant de la chasse. Elle atteignit l'oued Guir, non loin de cet endroit et assura la prospérité de la nouvelle ville qui rapidement vit de nombreuses tribus nomades se mettre sous la protection de la ville et camper non loin de Béchar[6]. Néanmoins, quelques décennies plus tard, la région connue pour les fortes crues de l'oued motiva lesOuled Nasir à quitter le pays pour s'installer plus au nord dans les plaines marocaines du Gharb.

Avertis de ces terribles événements, le bey de l'Ouest rechercha de nouveaux volontaires pour continuer l'œuvre desOuled Nasir mais la plupart des tribus et citoyens du beylicat de l’ouest de laRégence d'Alger refusèrent, de peur de mourir dans le désert des mêmes conditions. Devant cette situation, le bey décida d'envoyer des esclaves et tribus de force et constitua ainsi la place d'Abda. Il y construisit le fort de Zoukourt où vécut une grande partie des esclaves. Rapidement, de nombreuses personnes venant du Tell accoururent dans la région et furent si nombreuses que les gens d'Abda décidèrent de construire un nouveauksar à côté de celui de Zoukourt, qui fut nommée Zekakor (ou petit Zakour)[6]. Ainsi, la région de Béchar devint une plaine fertile couverte de cultures, depuis le barrage d'Ouakda et la vallée de l'oued actuel jusqu'à la palmeraie d'Aït Hamou Aïssa et le pied du Djebel Béchar, à mi-chemin de la piste de Béchar à Gharassa[6].

[source insuffisante]

Expéditions marocaines

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Le siège de la forteresse de Zakour

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Le sultan Lakhal (sultan du Gharb et du Tafilalet) apprit que Béchar possédait en abondance une région très fertile et de nombreuses sources d'eau de bonne qualité et résolut ainsi de s'emparer du ksar de Zakour dont il fit le siège. Il coupa tous les barrages et toutes lességuias qui alimentaient les jardins, et détruisit bon nombre de cultures. Le siège du Zakour durait depuis un an, sans succès pour les assiégeants. Les traditions locales, que rapporte notamment L. Cesard dans ses travaux anthropologiques de la région, narrent que les habitants du Ksar, lorsqu'il ne restait plus que quelques kilogrammes de blé et moins d'une dizaine de génisses, décidèrent sur les conseils d'un « ancien » de l'assemblée d'Abda de nourrir une des génisses qu'il possédait avec les céréales qu'il restait avant de la libérer pour qu'elle soit récupérée par les assiégeants. La nuit suivante, la génisse fut capturée par les assiégeants qui l'égorgèrent avant de s'apercevoir que l'estomac de la bête était rempli de blé. Le sultan assiégeant, informé de ce fait, décida de lever le siège[6].

Quelques années plus tard, des familles nomades des tribus berbères desAït Atta vinrent s'installer à Bechar, édifiant notamment le Ksar El Beidh. Par la suite, de nombreuses autres tribus nomades vinrent s'installer dans la région avec leur troupeaux, mais la plupart ne restèrent que temporairement.

Conflits tribaux

LesGhenanma, tribu bédouine du Draa, implantée notamment dans la vallée de la Saoura menèrent de nombreuses incursions sur Béchar et ses environs pour se ravitailler en dattes et céréales essentiellement. Les habitants de la région firent appel aux tribus bédouines des Doui Menia, récemment installés dans la vallée du Guir, pour les protéger en échange de terrain. Ces derniers acceptèrent, avant pour certains de rompre le contrat afin de reprendre leur vie nomade.

Sidi M'hammed Ben Bouziane, riche érudit alors installé à Béchar, partira à cette époque dans la ville voisine deKenadsa où il fondera sa Zaouïa. De leur côté, les tribus des Ghenanma et des Doui Menia s'étaient déclaré la guerre et, comme les Douia Menia ne passaient à Béchar qu'à certaines périodes de l'année pour acheter des dattes, une partie des Ghenanma profita de la situation pour piller les récoltes. Les Doui Menia décidèrent, après avoir été informés de la situation par Sidi M'hammed Ben Bouziane et être appelés par les habitants de la région, de livrer bataille contre les Ghenanma. La bataille eut lieu à Redjem Kaam (entre Guelb El Aouda et Gueltet Amed ben Salah) : le Cheikh Aissa, chef des Doui Menia y provoqua en duel singulier Kaam, le chef des Ghenanma, qui fut tué. Privés de leur chef, les Ghenanma se débandèrent et furent vaincus par les Doui Menia.

Dans les années 1800, des pluies anormalement abondantes transformèrent l'Oued Béchar en torrent qui dévasta la région, et qui fut nommée l'Oued Lakhal à cause de la couleur de ce dernier. Cette crue marqua et creusa plus profondément le lit de l’Oued et détruisit entre autres les principaux systèmes d'irrigation de Béchar dont notamment la grande seguia desAit Atta[6].

[source insuffisante]

Période coloniale

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La ville, durant la période coloniale, tire son nom composé de Colomb-Béchar du général françaisLouis Joseph Jean François Isidore de Colomb (1823-1902) qui servit dans la région de l'Oranais et du sud Oranais (Laghouat, Mascara, Tlemcen)[8] et du nom indigène précolonial de Béchar, ou porteur de bonnes nouvelles en arabe.

Gravure de Colomb-Béchar parAlexandre Iacovleff.

En1902, la ville est rattachée à la partie desTerritoires du Sud, subdivision territoriale administrée par leGouverneur général de l'Algérie française entre 1902 et 1957. Mais face aux agitations continues venant de l'ouest et à l'incapacité du gouvernement français a donner un "droit de suite" aux révoltes répétées des tribus locales hostiles à son implantation par une incursion en territoire marocain du fait de l'absence de frontières officielles entre la France et le Maroc au sud deBeni Ounif, le Général de brigadeHubert Lyautey installa entre 1903 et 1906 de nouveaux postes destinés à sécuriser l'occupation française de la région[9].

La ville devient un chef-lieu de cercle militaire érigé en commune indigène par arrêté du 19 janvier 1904, rattaché au territoire d'Aïn Sefra[10]. Après 1930, l'organisation administrative des Territoires du Sud connaît quelques modifications, qui resteront en vigueur jusqu'en 1957. En raison de l'importance croissante de Colomb-Béchar, la ville devient le chef-lieu du Territoire d'Aïn-Sefra[11].

Café à Béchar, 1932. Photographie deWalter Mittelholzer,ETH-Bibliothek.

Pendant laSeconde Guerre mondiale, un camp de concentrationvichyste est installé à Colomb-Béchar, où sont soumis au travail forcé des prisonniers républicains espagnols, communistes français[12] et des Juifs[13]. C’est à proximité de Béchar que le généralLeclerc a trouvé la mort le dans lecrash de sonB-25 Mitchell, lors d’une tempête de sable au cours d’une tournée d’inspection. Les 13 occupants de l'appareil sont tués sur le coup.

L'armée française installe en 1947 une base militaire de lancement defusées et defusées-sondes appelée leCentre interarmées d'essais d'engins spéciaux. Cette base fut utilisée encore après l'indépendance de l'Algérie, jusqu'en1967, selon les termes desaccords d'Évian entre la France et l'Algérie[14]. Le charbon, découvert dès 1907, ne connut un début d'exploitation qu'en 1917, puis une expansion pensée et préparée lors de laSeconde Guerre mondiale, qui isole l'Algérie de la Métropole et nécessite un accroissement rapide des sources d'énergie locales[15]. C'est l'expansion duBassin houiller de Djerada dans les années 1950 : une centrale thermique est installée et la voie ferrée normale Méditerranée-Niger prolongée jusqu'àKenadsa[15].

La ville de Béchar entre, par la loi du 10 janvier 1957, au sein desrégions sahariennes françaises[16], collectivité territoriale française administée par leministre du Sahara, en qualité de délégué général. Sept mois plus tard, la ville est intégrée audépartement de la Saoura nouvellement créé. En effet, par le décret du 7 août 1957[17], et à la suite du démantèlement desTerritoires du Sud, deux départements sahariens sont créés:

La ville devient une commune de plein exercice le[19]. Après l'indépendance de l'Algérie en 1962, elle reprend le nom de Béchar[20].

Administration

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Le 19 mai 2020, le président de l'APC est suspendu par lewali, à la suite de poursuites judiciaires engagées pour« concussion, corruption, trafic d'influence, infractions commises dans le cadre de la passation de marchés publics et dilapidation de deniers publics »[1].

Éducation

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L'université de Béchar regroupe 13 spécialités dont les sciences technologiques, le droit, la gestion et les lettres arabes.

Santé

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Cettecommune abrite dessalles de soins,polycliniques et maternités relevant de la Direction de la Santé et de la Population (DSP) de lawilaya de Béchar ainsi que du ministère de la Santé.

Les consultations spécialisées ainsi que les hospitalisations des habitants de cettecommune se font dans l'un deshôpitaux de lawilaya de Béchar :

Elle chapeaute 10salles de soins sur un total de 19 que compte lawilaya de Béchar.

Cettecommune chapeaute 2polycliniques sur un total de 5polycliniques que compte lawilaya de Béchar.

Cettecommune chapeaute 2 maternités sur un total de 8 maternités que compte lawilaya de Béchar.

Économie

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Le développement rapide de Béchar est étroitement lié à la présence de l'armée algérienne notamment le long de la frontièremarocaine. Béchar doit être le point de départ d'un des premiers segments duchemin de fer transsaharien Alger-Gao-Bamako-Dakar.

Sport

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La ville de Béchar est représentée par plusieurs clubs dans la discipline du football, beaucoup d'entre eux ont pu accéder en Division 2 (D2) du championnat de football algérien, tels que : l'ES Béchar,US Béchar Djedid,MC Debdaba ; mais seule est parvenue à se hisser en Division 1 algérienne; laJS Saoura.

LaJS Saoura qui occupa souvent les premières places du championnat de première division, a également participé deux fois aux compétitions africaines (Champions League africaine et coupe de la CAF )

Personnalités liées à la ville

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Dans la culture populaire

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Dans la chanson deMichel Sardou,Le Temps des colonies (albumLa Vieille, 1976), la ville est citée :« Autrefois à Colomb-Béchar,J'avais plein de serviteurs noirsEt quatre filles dans mon lit,Au temps béni des colonies. »

Relations internationales

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Article connexe :Liste des villes jumelées d'Algérie.

La ville de Béchar estjumelée avec deux villes :

Notes et références

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  1. a etbLe président de l'APC de Béchar et trois autres élus suspendus en raison de poursuites judiciaires, agenceAPS, 19 mai 2020.
  2. [PDF]Recensement 2008 de la population algérienne, wilaya de Béchar, sur le site de l'ONS.
  3. « Béchar, Algeria », surweatherbase.com(consulté le).
  4. [PDF]Journal officiel de la République Algérienne, 19 décembre 1984. Décretno 84-365, fixant la composition, la consistance et les limites territoriale des communes. Wilaya de Béchar,page 1489.
  5. « Les quartiers Ksar et Mer-Niger renouent avec le calme », surDjazairess(consulté le)
  6. abcdefg ethGens et Choses de Colomb-Béchar (Sud Oranais), L. Céard.
  7. a etbArchives de l'Institut Pasteur d'Algérie Publication Trimestrielle, Tome XI (1933)
  8. ClaudeMerle, « COLOMB », surwww.histoire-de-guerre.net(consulté le)
  9. « La frontière algéro-marocaine »,La revue des deux mondes,‎(lire en ligne)
  10. « Recherche géographique », suranom.archivesnationales.culture.gouv.fr(consulté le)
  11. YaëlKouzmine,Le Sahara algérien : Intégration nationale et développement régional, L'Harmattan,, 291 p.(ISBN 978-2-336-00418-1 et2-336-00418-6,lire en ligne),p. 23
  12. Evelyn Mesquida,La Nueve, 24 août 1944. Ces républicains espagnols qui ont libéré Paris, Paris, Le Cherche-Midi, 2011, collection « Documents ».(ISBN 978-2-7491-2046-1),p. 219
  13. Michael R. Marcus et Robert O. Paxton (trad. de l'anglais),Vichy et les Juifs, Paris, Calmann-Lévy,, 601 p.(ISBN 978-2-7021-5702-2), page 247
  14. Interview dePierre Messmer, ancien ministre français de la Défense par Vincent Jauvert, grand reporter, Nouvel Observateurno 1720, semaine du jeudi 23 octobre 1997
  15. a etb"Une cité minière au Nord-Sahara: Béchar-Djedid" E. Dalmasso Méditerranée 1962[1]
  16. France. « Journal officiel de la République Française », Loi n°57-27 du 10 janvier 1957 CREANT UNE ORGANISATION COMMUNE DES REGIONS SAHARIENNES[lire en ligne]
  17. France. « Journal officiel de la République Française », Décret n°57-903 du 7 août 1957 PORTANT ORGANISATION ADMINISTRATIVE DE LA PARTIE DES TERRITOIRES DU SUD ENGLOBES DANS L'ORGANISATION COMMUNE DES REGIONS SAHARIENNES.(DEUX DEPARTEMENTS : OASIS ET SAOURA)[lire en ligne]
  18. YaëlKouzmine,Le Sahara algérien : Intégration nationale et développement régional, L'Harmattan,, 291 p.(ISBN 978-2-336-00418-1 et2-336-00418-6,lire en ligne),p. 28-30
  19. « Fac-similé JO du 01/01/1958, page 11976 - Legifrance », surwww.legifrance.gouv.fr(consulté le)
  20. Atlas de l'Algérie 1830-1960, Paris, Éditions Archives & Culture,, 80 p.(ISBN 978-2-35077-157-1,présentation en ligne)
  21. « Hôpital 240 lits de Béchar », surDjazairess(consulté le)
  22. http://www.letempsdz.com/content/view/136353/1/
  23. « 2 associations de Nantes dans la wilaya de Béchar », surDjazairess(consulté le)
  24. « Béchar : L'ambassadeur de France en visite », surDjazairess(consulté le)

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Bibliographie

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v ·m
Carte de la wilaya de Béchar
v ·m
Drapeau de l'Algérie Chefs-lieux deswilayas d'Algérie
* : Chefs-lieux des wilayas issues du nouveau découpage.
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