Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Avigdor Liberman

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirLiberman.

Avigdor Liberman
אביגדור ליברמן
Illustration.
Avigdor Liberman en 2017.
Fonctions
Ministre israélien des Finances

(1 an, 6 mois et 16 jours)
Premier ministreNaftali Bennett
Yaïr Lapid
GouvernementBennett-Lapid
PrédécesseurIsraël Katz
SuccesseurBezalel Smotrich
Ministre de la Défense

(2 ans, 5 mois et 17 jours)
Premier ministreBenyamin Netanyahou
GouvernementNetanyahou IV
PrédécesseurBenyamin Netanyahou(intérim)
Moshe Ya'alon
SuccesseurBenyamin Netanyahou
Ministre des Affaires étrangères

(1 an, 5 mois et 25 jours)
Premier ministreBenyamin Netanyahou
GouvernementNetanyahou III
PrédécesseurBenyamin Netanyahou
SuccesseurBenyamin Netanyahou

(3 ans, 10 mois et 8 jours)
Premier ministreBenyamin Netanyahou
GouvernementNetanyahou II
PrédécesseurTzipi Livni
SuccesseurBenyamin Netanyahou
Vice-Premier ministre
Ministre des Affaires stratégiques

(1 an, 2 mois et 19 jours)
Premier ministreEhud Olmert
GouvernementOlmert
PrédécesseurPoste créé
SuccesseurMoshe Ya'alon(indirectement)
Ministre des Transports

(1 an, 3 mois et 9 jours)
Premier ministreAriel Sharon
GouvernementSharon II
PrédécesseurTzachi Hanegbi
SuccesseurMéir Chétrit
Ministre des Infrastructures nationales

(1 an et 7 jours)
Premier ministreAriel Sharon
GouvernementSharon I
PrédécesseurAvraham Shochat
SuccesseurEffi Eitam
Député à laKnesset
En fonction depuis le
(2 ans, 4 mois et 24 jours)
Élection1er novembre 2022
Législature25e
PrédécesseurElina Bardach-Yalov

(2 ans, 6 mois et 28 jours)
Élection9 avril 2019
Réélection17 septembre 2019
2 mars 2020
23 mars 2021
Législature20e,21e,22e,23e et24e
SuccesseurElina Bardach-Yalov

(10 ans, 1 mois et 15 jours)
Élection28 mars 2006
Réélection10 février 2009
22 janvier 2013
17 mars 2015
Législature17e,18e,19e et20e

(3 ans, 9 mois et 19 jours)
Élection17 mai 1999
Réélection28 janvier 2003
Législature15e et16e
Biographie
Nom de naissanceЭвик Львович Либерман(ru)
Evik Lvovitch Liberman
[1]
Date de naissance(66 ans)
Lieu de naissanceChișinău (République socialiste soviétique moldave)
NationalitéIsraélienne
Parti politiqueLikoud(jusqu’en 1997)
Israel Beytenou(depuis 1999)
Diplômé deInstitut agronomique de Kichinev
Université hébraïque de Jérusalem
ReligionJudaïsme
modifier 

Avigdor Liberman (enhébreu :אביגדור ליברמן; nom et prénom de naissance, enrusse :Эвик Львович Либерман,Evik Lvovitch Liberman), né le5 juin1958 àKichinev (RSSM,URSS), est unhomme politiqueisraélien.

Originaire deMoldavie, Avigdor Liberman immigre en Israël à l'âge de 20 ans, en 1978, puis réside depuis les années 1990 dans lacolonie de Nokdim, enCisjordanie.

Après avoir été membre duLikoud, il crée et dirige le parti d’extrême droiteIsrael Beytenou, dont il est la tête de liste aux des élections législativesde 2006,de 2009 etde 2015.

À partir de 2001, dans les gouvernements d’Ariel Sharon, d’Ehud Olmert et deBenyamin Netanyahou, il est plusieurs fois ministre (Infrastructures, Transports, vice-Premier ministre et Affaires stratégiques, Affaires étrangères, Défense). Sa rupture avec Netanyahou met celui-ci en difficulté et permet la formation dugouvernement Bennett, dans lequel Avigdor Liberman devient ministre des Finances.

Personnalitéultranationaliste[2], il est controversé en raison de ses positions anti-arabes et belliqueuses[3],[4],[5],[6].

Biographie

[modifier |modifier le code]

Situation personnelle

[modifier |modifier le code]

Avigdor Liberman naît sous le nom d'Evik (ou Evit) Lvovitch Liberman àKichinev, dans une famillejuiverussophone deMoldavie soviétique[7] ; il s'appelle Evik en l'honneur d'Eva, une de ses grand-mères.

Sa mère est Esther Markovna et son père Lev Yankelevitch Liberman. Comme Juif deBessarabie, Lev Liberman est, jusqu'en 1940,citoyen roumain et membre de l'organisationsioniste de jeunesseBetar. Envoyéau front dans les rangs de l'Armée rouge pendant laSeconde Guerre mondiale, il est fait prisonnier par lesAllemands. On ignore comment Lev survécut à sa captivité, mais cela lui vaut d'êtredéporté par leNKVD enSibérie pour s'être laissé capturer par l'ennemi (ce qui, à l'époquestalinienne, est considéré comme une « trahison »). À son retour de déportation, Lev se marie et devient le père d'Evit.

En Moldavie soviétique, le jeune Evit étudie à l'Institutagronomique de Kichinev et travaille pour une courte période àBakou (Azerbaïdjan), avant departir pour Israël en1978[8]. Après avoir fait sonservice militaire comme caporal[9] deTsahal, il est diplômé d'unbaccalauréat universitaire en arts, en relations internationales et en sciences politiques à l'université hébraïque de Jérusalem. Au cours de ces études, il se bat deux fois avec les membres d’un groupe d’étudiants arabes[9]. Durant ses premières années en Israël, il exerce plusieurs métiers, notamment à l'aéroport Ben Gourion et comme videur dans une boîte de nuit[10].

Marié, père de trois enfants et habitant la petitecolonie de peuplement de Nokdim, enCisjordanie, Avigdor Liberman parle l'hébreu, leyiddish, lerusse, leroumain et l'anglais[8].

À partir de 1999, il est rédacteur en chef d'une revue intituléeYoman Yisraeli.

Parcours politique

[modifier |modifier le code]

Départ du Likoud

[modifier |modifier le code]

Il occupe un poste à la direction duLikoud de 1993 à 1996, puis la fonction de directeur de cabinet du Premier ministreBenyamin Netanyahou de 1996 à 1997, rompant avec lui cette année là, jugeant sa politique trop conciliante vis-à-vis des Palestiniens[7].

Dans les années 1990, il se fait le porte-parole des juifs russophones arrivés en Israël[7]. Il devient ainsi une personnalité éminente pour lesIsraéliens d'origine russe[11].

En 1999, il fonde le parti russophoneIsrael Beytenou et est élu député à laKnesset. Il reproche auPremier ministretravaillisteEhud Barak de négliger diplomatiquement la Russie, dont il espère influencer la politique étrangère en la soutenant « dans sa lutte contre le terrorisme islamiste enTchétchénie », sans succès toutefois[12].

Gouvernements Sharon

[modifier |modifier le code]
Avigdor Liberman etCondoleezza Rice en 2006.

En mars 2001, il fait entrer son parti dans la coalition gouvernementale menée par le Likoud d'Ariel Sharon : il est nommé ministre des Infrastructures nationales. Il en démissionne en mars 2002. Lors de laseconde Intifada, en 2002, il appelle au bombardement des stations d'essence, banques et centres commerciaux palestiniens. En février 2003, il devient ministre des Transports. Il déclare peu après à propos des prisonniers palestiniens détenus dans les prisons israéliennes :« Je propose de les transporter en autocars jusqu'à lamer Morte pour les noyer »[13].

Il s'oppose auplan de désengagement des territoires occupés et propose, en mai 2004, un plan alternatif prévoyant une séparation entre Juifs et Arabes pour créer deux États ethniquement homogènes[14]. Il soutient la solution à deux États avec échange de territoires (certaines villes israéliennes à majorité arabe seraient données à l’État palestinien alors que certaines implantations juives seraient données à Israël). Peter Beinart écrit, dans son essai critique de l'establishmentjuif américain : « Il n’y a pas besoin d’être paranoïaque pour voir le lien entre l’idéologie actuelle d’A. Liberman et ses anciennes positions. Plus vous dépouillez les Arabes israéliens de protection légale, plus vous les accusez de trahison, plus une politique d’expulsion devient alors justifiable »[15]. Ce point de vue est condamné parAriel Sharon et les adversaires d'Avigdor Liberman lui reprochent d'être populiste et démagogue[16]. Le4 juin2004, alors que la tension monte autour du plan de désengagement de labande de Gaza, Ariel Sharon limoge Liberman du gouvernement.

Gouvernement Olmert

[modifier |modifier le code]

Auxélections législatives de 2006, son parti profite de l'effondrement du Likoud deBenyamin Netanyahou et remporte 11 sièges à laKnesset. Enavril 2006, Avigdor Liberman s'exprime en faveur d'une action israélienne contre l'Iran, dont le programme nucléaire et les discours de son président,Mahmoud Ahmadinejad, sont considérés comme des menaces pour l'existence de l'État d'Israël.

Le23 octobre2006, son parti signe un accord avecKadima et entre dans la coalition au pouvoir. Avigdor Liberman est nommé ministre des Affaires stratégiques, avec rang de sixième vice-Premier ministre dans legouvernement Olmert. Le16 janvier2008, Avigdor Liberman quitte le gouvernement afin de s'opposer aux négociations de paix avec les Palestiniens, lancées le 27 novembre 2007 à laconférence d'Annapolis[17]. Il rompt également la coalition entre Kadima et son parti, Israel Beytenou. En 2009, il critique l'opération Plomb Durci pour l'insuffisance des moyens employés pour vaincre le Hamas.

Gouvernements Netanyahou

[modifier |modifier le code]
Avigdor Liberman etSebastian Kurz en 2014.

Après lesélections législatives de février 2009, en obtenant 15 sièges, son parti devient le troisième parti de la Knesset, devançant leParti travailliste (13 sièges). Il devient alors un interlocuteur indispensable des deux grandes formations, le Likoud et Kadima, en vue de former une coalition qui sera à même de mener le pays. Il apporte son soutien à Benyamin Netanyahou et est coopté avec son parti dans le gouvernement de coalition du centre et de la droite. Il devient ministre des Affaires étrangères, son activité provoquant des tensions avec les pays voisins, notamment l'Égypte[18].

Le, lapolice israélienne recommande auprocureur général de l'État, Menahem Mazouz, d'inculper Avigdor Liberman pour « blanchiment d'argent », « corruption », « fraude », « subornation de témoins » et « entrave à lajustice » dans le cadre d'une enquête, ouverte une dizaine d'années auparavant, sur le financement de certaines de sescampagnes électorales[19],[20]. Inculpé le, il démissionne quelques jours plus tard du gouvernement[21]. Il est finalement acquitté des charges de corruption pesant sur lui le[22], et retrouve son poste de ministre des Affaires étrangères le11 novembre2013 à la suite d'un vote à laKnesset, 62 députés votant pour, 17 contre[23]. En désaccord avec ce verdict, la procureure chargée du dossier, Avia Alef, démissionne du parquet. Elle affirme que Liberman avait des« taupes » au sein de l'enquête, ce qui lui a permis d'être acquitté[24].

Avigdor Liberman met fin à la coalition entre le Likoud et son parti le[25]. La même année, il propose un plan de paix jugé réaliste par la gauche et les États-Unis ; pour certains observateurs, il tente ainsi de s'attirer le soutien d'électeurs centristes[26]. En 2015, selon plusieurs sources israéliennes et palestiniennes, il aurait rencontré secrètementMohammed Dahlan, ancien homme fort duFatah évincé en raison de sa rivalité avec le présidentMahmoud Abbas[27].

Le 10 mars 2015, au cours d’un meeting électoral se tenant dans la ville d'Herzliya, Avigdor Lieberman déclare que les Arabes israéliens qui ne sont pas fidèles à Israël doivent être décapités : « Ceux qui sont de notre côté méritent beaucoup, mais ceux qui sont contre nous méritent de se fairedécapiter à la hache ». Il estime en outre que tous ceux qui dénoncent la politique d'Israël menée contre les Palestiniens méritent d'être condamnés à mort[28]. À la suite de ces déclarations, l'Autorité palestinienne demande à laCour pénale internationale d'émettre un mandat d'arrêt contre lui[29]. Le 13 janvier 2009, leJerusalem Post reprend la déclaration suivante d'Avigdor Lieberman, faite à l'université Bar-IIan de Tel Aviv : « Nous devons continuer à combattre leHamas exactement comme les États-Unis ont combattu le Japon lors de la Seconde Guerre mondiale. Ainsi, l'occupation du pays n'a pas été nécessaire »[30]. Il a également déclaré que les Palestiniens détenus dans les prisons israéliennes devraient« être transportés en autocar et noyés dans la mer Morte »[31].

Avigdor Liberman en 2017.

Il est nomméministre de la Défense le 30 mai 2016, à la suite de la démission deMoshe Ya'alon bien qu'il ait affirmé que Netanyahou était« un menteur, un tricheur et une crapule » et un« politicien sans couilles » peu auparavant[32],[33],[34]. Il conditionne sa participation au gouvernement à l'instauration de lapeine de mort pour les terroristes et à la réforme des retraites[9]. Sa nomination suscite des critiques en raison de son inexpérience militaire et de ses propos controversés[9].Michel Abitbol, historien d'Israël, déclare ainsi à son propos :« Dès qu'il a occupé un poste important, il a montré son incompétence. Il fut un piètre ministre des Affaires étrangères, totalement marginalisé aux États-Unis et en Europe. Ministre de la Défense, il n'a fait qu'avaler des couleuvres, en dépit de ses violentes sorties, car les milieux militaires et du renseignement israéliens ne lui accordaient aucune crédibilité »[31]. C'est la première fois qu'un russophone occupe une fonction aussi élevée au sein d'un gouvernement israélien[1].

Il qualifie en décembre 2016 une conférence internationale sur le Proche-Orient organisée par laFrance de« version moderne du procèsDreyfus » et estime qu’« il est peut-être temps de dire aux Français juifs : la France n'est pas votre pays, ce n'est pas votre terre ; quittez-la et venez en Israël ». Ces propos sont dénoncés par leConseil représentatif des institutions juives de France[7].

Le, il estime qu'« il n'y a pas d'innocents àGaza » et que le soldat israélien ayant tué le caméramanYasser Mourtaja (en), qui couvrait laMarche du retour, devrait recevoir une promotion pour son acte[35],[36].

Dans l'opposition à Netanyahou

[modifier |modifier le code]

Le, il démissionne de son poste de ministre après la conclusion d'un cessez-le-feu entre Israël et leHamas. Il qualifie l'accord de« capitulation devant le terrorisme ». Israel Beytenou se retire alors de la coalition gouvernementale[37].

Lors desélections législatives anticipées d'avril 2019, Israel Beytenou recueille 4 % des voix et cinq sièges, soit un résultat en repli par rapport au précédent scrutin. Dans les semaines qui suivent, lors des négociations menées par Netanyahou pour former un gouvernement, Avigdor Liberman s'oppose aux élus de la droite religieuse en prônant le service militaire pour les étudiantsultra-orthodoxes[38],[39]. Cette situation conduit à l'échec de la formation d'un gouvernement et à la tenue denouvelles élections, une première dans l'histoire d'Israël[40].

Le 13 juin 2021, il devient ministre des Finances dans legouvernement de Naftali Bennett.

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. a etbIsraël : des boîtes de nuit au ministère de la Défense, l'irrésistible ascension de Lieberman,Le Monde.
  2. https://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2016/05/30/israel-le-leader-d-extreme-droite-lieberman-devient-ministre-de-la-defense_4929272_3218.html
  3. Avigdor Lieberman, populiste, belliqueux et anti-arabe,L'Écho, 14 novembre 2018.
  4. Quand l’extrême-droite défend la laïcité en Israël,Le Monde, 26 mai 2019.
  5. Israël : le centriste Benny Gantz échoue à former un gouvernement,France Culture, 21 novembre 2019.
  6. Ces hommes qui tiennent le sort d’Israël,Le Temps, 29 février 2020.
  7. abc etdCyrille Louis,« Avigdor Liberman, le glaive d'Israël »,Le Figaro Magazine, semaine du 6 janvier 2017, page 24.
  8. a etbhttp://www.knesset.gov.il/mk/eng/mk_eng.asp?mk_individual_id_t=214
  9. abc etd« Liberman manque de crédibilité militaire, mais compense par ses opinions », surThe Times of Israël(consulté le)
  10. Google.com
  11. « Devant l'impasse politique, Israël retournera voter une 2e fois en cinq mois », surCourrier international,(consulté le)
  12. Charles Urjewicz, « Russes, Juifs, Israéliens, »,Outre-Terre 4/2004 (no 9), p. 227-232,(consulté le)
  13. Israël : les déclarations surréalistes d'Avigdor Lieberman,Nouvel Obs, consulté le 2 juin 2016.
  14. « La paix selon Avigdor Lieberman », surCourrier international,(consulté le)
  15. Peter Beinart, « La faillite de l'establishment juif américain »,Revue internationale et stratégique 3/2010 (n° °79), p. 31-43.,(consulté le)
  16. « Les vidéos info - Israël : le populiste Avigdor Lieberman nommé ministre de la Défense », surMYTF1NEWS,(consulté le)
  17. Yisrael Beïteinu quitte le gouvernement d'Ehud OlmertLe Monde 16 janvier 2008
  18. Israël et l'Égypte luttent pour le Nil,Infos Eau, mis en ligne le 11 septembre 2009
  19. « La police recommande d'inculper Avigdor Lieberman »,NouvelObs.com, mis en ligne et consulté le 2 août 2009
  20. Laurent Zecchini, « Le chef de la diplomatie israélienne soupçonné de blanchiment d'argent »,Le Monde,‎,p. 7.
  21. « Israël: Lieberman a démissionné »,Le Figaro, 16 décembre 2012
  22. William Booth,« Israeli politician Avigdor Lieberman acquitted of corruption charges », in washingtonpost.com, 6 novembre 2013.
  23. « Avigdor Lieberman redevient ministre israélien des affaires étrangères », infrance24.com, 11 novembre 2013.
  24. Nissim Behard, « Lieberman, un va-t-en-guerre à la Défense », surLiberation.fr,(consulté le).
  25. , « Lieberman met un terme au Likoud-Beitenou » ini24news.tv
  26. « Israël-Palestine: et l'extrémiste Avigdor Lieberman proposa un plan de paix », surSlate.fr(consulté le)
  27. « Avigdor Lieberman aurait rencontré Mohammed Dahlan, le rival de Mahmoud Abbas », suri24news(consulté le)
  28. Avigdor Lieberman veut décapiter à la hache les Arabes israéliens infidèles à la patrie.
  29. L'AP va demander à la CPI d'émettre un mandat d'arrêt contre Lieberman
  30. « Lieberman: Do to Hamas what the US did to Japan », surThe Jerusalem Post | JPost.com
  31. a etbAnne-Sophie Mercier, « Avigdor Liberman : le double Je »,Le Canard enchaîné,no 5159,‎.
  32. Lieberman, un va-t-en-guerre à la Défense,Libération, 22 mai 2016.
  33. « L'ultranationaliste Avigdor Liberman nommé ministre de la Défense d'Israël après la démission de Moshé Yaalon »,L'Obs,‎(lire en ligne, consulté le)
  34. Israël: Netanyahou donne encore un coup de barre à droite,Le Soir, 19 mai 2016.
  35. « Proche-Orient: Pour le ministre de la Défense israélien, «il n'y a pas d'innocents à Gaza» »,20 Minutes,(consulté le)
  36. « Le ministre de la Défense israélien félicite le soldat ayant tiré sur un Palestinien », VOA Afrique,(consulté le)
  37. « Israël : Avigdor Lieberman, le ministre de la Défense, démissionne après le cessez-le-feu à Gaza », 20minutes.fr, 14 novembre 2018.
  38. « Conscription des Haredim : Liberman met en garde contre un nouveau scrutin », surThe Times of Israël,(consulté le).
  39. « Israël : Avigdor Liberman, ce nationaliste qui veut mettre au pas les religieux », surLe Journal du dimanche(consulté le).
  40. « Israël : Nétanyahou échoue à former une coalition, la Knesset dissoute »,Le Monde,‎(lire en ligne).

Liens externes

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

v ·m
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Avigdor_Liberman&oldid=221834251 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp