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Avenue Foch (Paris)

48° 52′ 22″ N, 2° 17′ 04″ E
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Page d’aide sur l’homonymie

Cet article concerne la rue parisienne. Pour la gare duRER C, voirGare de l'avenue Foch. Pour les autres significations, voirFoch.

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Pour les articles homonymes, voirAvenue Foch.

Voir la photo.
Vue depuis l'Arc de Triomphe.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement16e
QuartierChaillot
Porte-Dauphine
DébutPlace Charles-de-Gaulle
FinBoulevard Lannes
Place du Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny
Morphologie
Longueur1 300 m
LargeurAvec jardins : 120m
Sans jardins : 40 
m
Historique
Création31 mars 1854
DénominationArrêté du 29 mars 1929
Ancien nomAvenue de l'Impératrice
Avenue du Général-Uhrich
Avenue du Bois-de-Boulogne
(Avenue du Bois)
Géocodification
Ville de Paris3711
DGI3696
Géolocalisation sur la carte :Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Avenue Foch
Avenue Foch
Géolocalisation sur la carte :16e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 16e arrondissement de Paris)
Avenue Foch
Avenue Foch
Images sur Wikimedia CommonsImages sur Wikimedia Commons
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L’avenue Foch est une avenue du16e arrondissement deParis qui doit son nom, depuis 1929, au maréchalFerdinand Foch, qui s'est illustré pendant laPremière Guerre mondiale. Elle était auparavant connue sous le nom d'avenue du Bois-de-Boulogne. C'est l'une des rues les plus prestigieuses de Paris, ainsi que l'une des adresses les plus chères au monde, abritant de nombreux hôtels particuliers, certains ayant notamment appartenu aux familles Onassis et Rothschild.

Situation et accès

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Cette voie commenceplace Charles-de-Gaulle (anciennement nommée « place de l'Étoile ») et se termineporte Dauphine (place du Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny). C'est une des douze avenues de l'Étoile et l'une des plus prestigieuses adresses parisiennes.

L'avenue Foch est longue de 1 300 mètres et large de 120 mètres[1] grâce auxjardins qui la bordent d'un bout à l'autre et qui en font la plus large avenue de la capitale[2]. Autre particularité, unique à Paris : ses grandes allées cavalières, situées entre la chaussée et les jardins, ne sont pas goudronnées (elles permettaient jadis aux cavaliers de rejoindre à cheval lebois de Boulogne, qui se trouve à son extrémité ouest, côtéporte Dauphine).

Elle croise en son centre l'avenue de Malakoff et l'avenue Raymond-Poincaré[1].

À la porte Dauphine, le triangle qu'elle forme avec l'avenue Bugeaud et leboulevard Flandrin a reçu le nom deplace du Paraguay par arrêté du[1].

Sont situés sur l'avenue, les stations demétro et gares deRER :

Origine du nom

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Ferdinand Foch en 1921.

L'avenue tient son nom en l'honneur deFerdinand Foch (1851-1929),maréchal de France et legénéralissime de laGrande Guerre.

Historique

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Ouverte en 1854, elle s'est d'abord appelée « avenue de l'Impératrice » (en hommage à l'impératrice Eugénie, épouse deNapoléon III), puis « avenue duGénéral-Uhrich » à la chute duSecond Empire, avant de devenir « avenue du Bois-de-Boulogne » (souvent simplifié en « avenue du Bois ») en 1875[1].

Le projet original deJacques Hittorff prévoyait une chaussée de 16 mètres et deux contre-allées. Le baron Haussmann en faisait un projet plus grandiose d'une chaussée de 1 200 mètres de longueur, de 120 mètres de largeur et d'une superficie de 144 000 m2[3].

Lesjardins bordant l'avenue sont aménagés en 1855 parAdolphe Alphand. De nos jours, ils comptent environ huit cents arbres, dont le plus grosmarronnier d'Inde (5,10 mètres de circonférence) et le plus vieuxfaux orme de Sibérie (planté en 1852) de Paris[Note 1].

À la fin duXIXe siècle, des personnalités de la haute société délaissent le centre de Paris pour faire bâtir des hôtels particuliers le long de cette nouvelle avenue : le marquis de Breteuil, le baronÉtienne van Zuylen, la famille Ephrussi de Rothschild (auno 19), le dramaturgeAdolphe d'Ennery (où se trouve lemusée d'Ennery d'art asiatique),Anna Gould (où son fils Howard se suicide en 1929) etBoni de Castellane (palais Rose) et même dans la fiction, leprince de Guermantes deMarcel Proust (À la recherche du temps perdu), qui délaisse le faubourg Saint-Germain pour l'avenue Foch. Suivent d'autres personnalités comme les artistesClaude Debussy,Georges Feydeau etOctave Mirbeau.

En, à l'occasion de leur visite en France, le tsarNicolas II et son épouseAlexandra arriventgare de Passy-la-Muette, située le long dujardin du Ranelagh. Le cortège traverse ensuite lebois de Boulogne, jusqu'à la porte Dauphine, empruntant ensuite l'avenue du Bois (actuelle avenue Foch), le trajet devant les conduire à l'ambassade de Russie[4],[5].


  • FinXIXe siècle
  • Avec une végétation chétive peu après sa création en 1860, l'avenue de l'Impératrice est déjà très fréquentée par les promeneurs.
    Avec une végétation chétive peu après sa création en 1860, l'avenue de l'Impératrice est déjà très fréquentée par les promeneurs.
  • L'avenue de l'Impératrice en 1862.
    L'avenue de l'Impératrice en 1862.
  • Avenue du bois de Boulogne, 1874, Giuseppe de Nittis, collection privée.
    Avenue du bois de Boulogne, 1874,
    Giuseppe de Nittis,
    collection privée.

Durant lebombardement du 30 janvier 1918 de la Première Guerre mondiale, leno 19 de l'« avenue du Bois-de-Boulogne » est touché lors d'unraid effectué par desavions allemands[6].


  • XXe siècle
  • L'avenue vers 1916.
    L'avenue vers 1916.
  • L'avenue vers 1920-1925.
    L'avenue vers 1920-1925.
  • Défilé des troupes allemandes en juin 1940.
    Défilé des troupes allemandes en juin 1940.

AuXXe siècle s'y installent des personnalités mondaines ou du monde du spectacle commeJacques Dutronc etFrançoise Hardy,Maria Callas etAristote Onassis,Rainier III etGrace de Monaco,Arthur Rubinstein,Fernandel,Marcel Pagnol,Gérard de Villiers,Loris Azzaro,Daniel Hechter, le coiffeurJacques Dessange[7] ou des chefs d'État moyen-orientaux (le roiSalmane ben Abdelaziz Al Saoud) ou africains (Mobutu). Que le lieu soit dépourvu de commerces et d'activité ne dérange pas les résidents fortunés, qui en prisent le calme[8].

L'avenue prend son nom actuel par l'arrêté du[1].

Sous l'occupation allemande de Paris, l'endroit est surnommé « avenue Boche », les forces allemandes réquisitionnant plusieurs immeubles. Un officier gradé s'installe aupalais Rose, auno 31 bis se trouvent les Affaires juives et auno 84, il y a laGestapo (oùPierre Brossolette est torturé)[8]. Une pelouse de l'avenue porte depuis le nom de ce résistant, pour lui rendre hommage

L'avenue Foch en 1962.

Le, le producteur de cinéma et éditeurGérard Lebovici est assassiné dans un parking de l'avenue Foch[8].

En, un projet présenté par la candidatePS à la mairie de ParisAnne Hidalgo propose de créer unecoulée verte dans la partie ouest de l'avenue et de construire sur la moitié est de vastes immeubles de commerces, logements et bureaux, grâce à la suppression de la voie de circulation centrale[9],[10]. La circulation automobile doit se faire alors sur les contre-allées. Une association de riverains se constitue pour s'opposer au projet, son président dénonce la pollution automobile et les bouchons se concentrant alors juste sous les fenêtres des habitants[8]. Le maire du16e arrondissement,Claude Goasguen, juge pour sa part le projet « abracadabrantesque ». Ce projet donne lieu à une polémique dont l'un des promoteurs concernés est lié à lagauche et cité dans l'affaire de la MNEF[11].

À l'approche dubois de Boulogne, l'avenue Foch a longtemps vu déborder sur ses allées les activités de prostitution qui s'y déroulent (côté porte Dauphine, les échangistes et les homosexuels ; sur le côté pair de l'avenue, la prostitution de luxe). Le phénomène diminue à partir des années 2000, sous l'action conjuguée deNicolas Sarkozy et du maire de ParisBertrand Delanoë, ainsi qu'avec le développement des sites web spécialisés[8].

En 2024, la place de la Concorde s'apprêtant à accueillir plusieurs compétitions desJeux olympiques qui débutent quelques jours plus tard, l'avenue Foch accueille ledéfilé militaire du 14 Juillet en remplacement de l'avenue des Champs-Élysées[12].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

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Plaque auno 7.

Durant les années 1960-1970, de nombreux hôtels particuliers qui bordaient l'avenue sont détruits pour faire place à des immeubles modernes. Plusieurs ont néanmoins subsisté, comme auno 19 (ambassade d'Angola), auno 72 (résidence parisienne privée duprince sultan Ben Abdul Aziz) et auno 42, oùTeodoro Nguema Obiang Mangué, surnommé Teodorin, possédait également un hôtel particulier (confisqué en 2021 par la justice).

Bâtiments détruits

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Façade du palais Rose lors de sa destruction.

Dans la culture

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Contre-allée nord.
  • Tout le romanLes Années Foch, de Jean-Pierre Montal (Pierre-Guillaume de Roux, 2015[80]), se déroule dans les contre-allées de l'avenue Foch, dans les années 1990, 2010 et 2020.
  • Plusieurs personnages de l'écrivainMarcel Proust fréquentent l'avenue : sur le conseil deCharles Swann,Odette y fait régulièrement son footing car c'est un endroit chic, où il faut être vu. Après la guerre, l'avenue devient l'adresse du prince de Guermantes[81].
  • En 1950,Maurice Chevalier interprète une chanson intituléeSur l'avenue Foch[8].

Notes et références

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Notes

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  1. Plaque informative à l'entrée des jardins.
  2. Certains ont démenti par la suite, comme le milliardaire américainBill Gates, s'être rendus avenue Foch.

Références

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  1. abcd ete« Dénomination : Avenue Foch », surNomenclature officielle des voies(consulté le).
  2. « Voirie : chiffres clés », surMairie de Paris(version du surInternet Archive).
  3. Henri Corbel,Petite histoire du bois de Boulogne, Albin Michel, 1931,p. 120.
  4. Jacques Hillairet,Dictionnaire historique des rues de Paris,Les Éditions de minuit, septième édition, 1963,t. 2 (« L-Z »), « Rue du Ranelagh »,p. 318.
  5. « Le Pays : journal des volontés de la France », surGallica,(consulté le).
  6. Exelsior du 8 janvier 1919 : Carte et liste officielles des bombes d'avions et de zeppelins lancées sur Paris et la banlieue et numérotées suivant leur ordre et leur date de chute
  7. Élise Karlin,« Coupes modernes, franchises et grande distribution : Jacques Dessange et Jean-Louis David, les seigneurs des ciseaux »,Le Monde, 3 avril 2020.
  8. abcdefghijkl etmVanina Prélat L'Hermitier et Jean-Baptiste Roques, « Splendeurs et misères de l'avenue Foch »,Vanity Fair,no 38, août 2016,p. 96-103.
  9. « Paris : un projet de coulée verte sur l'avenue Foch »,lemonde.fr (consulté le 19 janvier 2014).
  10. « Paris : l'avenue Foch pourrait radicalement changer de visage », surLe Figaro,(consulté le).
  11. François Labrouillère et David Le Bailly, « Des anciens de la Mnef à l'assaut de l'avenue Foch »,Paris Match, 21 janvier 2014.
  12. « 14 Juillet : avant les JO de Paris, un défilé « inédit » sur l’avenue Foch »,lepoint.fr (consulté le 14 juillet 2024).
  13. Patrick Mahé,« Gérard de Villiers, l'aventure est finie »,Paris Match, semaine du 7 au 13 novembre 2013, p. 68-73.
  14. « Cinéma Terminal Foch à Paris », salles-cinema.com, 11 septembre 2021.
  15. « 9, avenue Foch », surpss-archi.eu.
  16. « Avis de décès : Edmond Bartissol » [jpg], surArchives nationales,(consulté le).
  17. Tout Paris 1938.
  18. Arnaud Leparmentier,« Jeffrey Epstein, itinéraire d'un prédateur sexuel »,Le Monde, 20 août 2019.
  19. « Salle de massage, photos de jeunes filles, pièces vastes et luxueuses… À quoi ressemblait l'appartement parisien de Jeffrey Epstein ? »,francetvinfo.fr, 5 octobre 2019.
  20. Théo Hetsch,« Dans l'appartement parisien d'Epstein : massages, dîners mondains et photos de jeunes filles… », surfranceinter.fr, 4 octobre 2019.
  21. a etb« Legaciones y Oficinas de Pasaportes »,La Semaine à Paris, 21 novembre 1924, p. IV, surGallica.
  22. Sites et monuments, bulletin de la Société pour la protection des paysages et de l’esthétique générale de la France,1er octobre 1975.
  23. « Hotel Blumenthal-Montmorency, Paris », tdclassicist.blogspot.com, 28 août 2013.
  24. Gérard Rousset-Charny,Les Palais parisiens de la Belle Époque, Paris, Délégation à l'action artistique de la Ville de Paris, 1990,p. 146-149.
  25. David Bensoussan,« Un célèbre hôtel de l’avenue Foch vendu 46,5 millions d’euros »,Challenges, 13 février 2024.
  26. Andrée Bachoud etGenevieve Dreyfus-Armand,« Des Espagnols aussi divers que nombreux, Paris 1945-1975 », inAntoine Marès etPierre Milza :Le Paris des étrangers depuis 1945, Paris, éditions de la Sorbonne, 1995, p. 55-76.
  27. Luc Mathieu,« Rifaat al-Assad mis en examen »,Libération, 28 juin 2016.
  28. Benjamin Barthe,« La justice française condamne Rifaat Al-Assad, bourreau syrien en exil »,Le Monde, 18 juin 2020.
  29. « Square Henry-Bataille », surparis.fr(consulté le).
  30. Protections patrimoniales,16e arrondissement, Ville de Paris, Règlement du PLU, tome 2, annexe VI,p. 340 à 432.
  31. « Biens mal acquis : le fils du président Obiang proteste contre la saisie dans son hôtel particulier »,Le Monde, 15 février 2012.
  32. « Biens mal acquis : Teodorin Obiang, vice-président de la Guinée équatoriale, définitivement condamné par la justice française »,Le Monde, 28 juillet 2021.
  33. « Le retour à Paris du Président du Conseil et deMme Doumergue »,L'Intransigeant, 5 avril 1934, surRetroNews.
  34. Annuaire diplomatique et consulaire de la République française, Berger-Levrault, 1907, p. 483.
  35. Catherine Venot,Fernandel : Maria Callas l'a rendu fou !, France Dimanche,,https://www.francedimanche.fr/actualites/fernandel-maria-callas-l-a-rendu-fou.
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  37. « 53, avenue Foch », surpss.archi.eu.
  38. L'Intransigeant,4e colonne, 9 mai 1929, surGallica.
  39. Max Schiavon,Gamelin, 2021.
  40. Pierre Le Goyet,Le mystère Gamelin, 1975.
  41. (en) Mary Frances Coasy,Georges and Pauline Vanier: Portrait of a Couple, 2011,p. 142.
  42. « Collision d'autos »,Paris-midi, 25 septembre 1933, surGallica.
  43. « Mme Pierre Wertheimer est victime d'un accident d'auto »,Le Journal, 9 juin 1934, surRetroNews.
  44. Raphaëlle Bacqué etVanessa Schneider, « La lignée très secrète des Wertheimer, propriétaires de Chanel », surlemonde.fr,(consulté le).
  45. « Histoire du musée d'Ennery », Musée national des arts asiatiques Guimet.
  46. « Le musée d'Ennery »,La Vie illustrée, 13 avril 1899, surbibliotheques-specialisees.paris.fr.
  47. « M. Vincent Auriol a inauguré le nouveau Musée arménien »,Paris-presse, L’Intransigeant, 10 octobre 1953, surretronews.fr.
  48. « Cote LH/84/31 »,base Léonore,ministère français de la Culture.
  49. « Prince, son histoire d'amour avec Paris »,Le Journal du dimanche, 24 avril 2016.
  50. Jean-Marc Larbodière,L'Architecture de Paris des origines à aujourd'hui, Les Essentiels du patrimoine, Massin, 2015(ISBN 978-2-7072-0915-3).
  51. « Donation de la princesse Louis de Croÿ ».
  52. Le Figaro, 30 août 1932, surretronews.fr.
  53. Paris-Hachette,1er janvier 1897, surretronews.fr.
  54. Le Matin : derniers télégrammes de la nuit, 24 novembre 1931, surgallica.bnf.fr.
  55. « Lieux de mémoire américains à Paris », surusembassy.gov(consulté le).
  56. (en) Steven Lehrer,Wartimes in Paris, 1939-1945, SF Tafel Publishers, New York, 2013.
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  59. Aude Bariéty,« Paris : une princesse saoudienne condamnée à dix mois de prison avec sursis »,Le Figaro, 12 septembre 2019.
  60. Le Matin, 23 décembre 1934, surretronews.fr.
  61. Larry Collins,Fortitude, Robert Laffont, Paris, 1985,p. 84.
  62. « Demeures d'Octave Mirbeau »,Dictionnaire Octave Mirbeau.
  63. Ève Ruggieri,La Callas, Michel Lafon, 2017(ISBN 978-2749933399).
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  65. David Bensoussan,« Immobilier : à qui appartient l'avenue Foch ? »,Challenges, 11 juillet 2014.
  66. a etbAude Terray,Les derniers jours de Drieu la Rochelle (6 août 1944 - 15 mars 1945), Grasset, 2016(ISBN 978-2-246-85504-0).
  67. Sites et monuments, 1979.
  68. Laurent Izard,La France vendue à la découpe, L'Artilleur, 2019(ISBN 978-2-81000-859-9).
  69. Demandes de permis de construire parisiens, volume 6,Archives départementales de Paris.
  70. « Échos et nouvelles »,Le Parisien, 16 novembre 1897, surRetroNews.
  71. Jacques Hillairet,Dictionnaire historique des rues de Paris,Les Éditions de minuit, septième édition, 1963,t. 1 (« A-K »), « Avenue Foch »,p. 532-533.
  72. Jacques Hillairet,Dictionnaire historique des rues de Paris,Les Éditions de minuit, septième édition, 1963,t. 2 (« L-Z »), « Avenue Raymond-Poincaré »,p. 322.
  73. Jacques Hillairet,Dictionnaire historique des rues de Paris,Les Éditions de minuit, septième édition, 1963,t. 2 (« L-Z »), « Rue de Lasteyrie »,p. 24.
  74. Paris-soir, 27 juin 1933, surretronews.fr.
  75. LeXIXe siècle, 22 avril 1876, surRetroNews.
  76. Anna Madœuf,Divertissements et loisirs dans les sociétés urbaines à l’époque moderne et contemporaine, Presses universitaires François-Rabelais, 2013.
  77. (en) Lucy Paquette,The Hammock: A novel based on the true story of French painter James Tissot, 2012.
  78. (en) Il en existe une photographie reproduite dans le catalogue de l'exposition « James Tissot: Fashion and Faith » (12 octobre 2019 - 9 février 2020), organisée par leCalifornia Palace of the Legion of Honor,San Francisco.
  79. Sommier des biens immobiliers (1879), DQ18 900, Archives départementales de Paris.
  80. (ISBN 978-2363711298).
  81. Michel Erman,Le bottin des lieux proustiens, La Table Ronde, 2011.

Voir aussi

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Bibliographie

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Presse

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Articles connexes

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Liens externes

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