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Aghlabides

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Aghlabides
(ar) Banu al-Aghlab (بنو الأغلب)

800909

Description de cette image, également commentée ci-après
Étendue maximale de la dynastie Aghlabide[note 1]
Informations générales
StatutÉmirat semi-indépendant, nominalement vassal ou sujet des abbassides, mais indépendantde facto depuis 801[1],[2]
CapitaleKairouan
Langue(s)Arabe
ReligionIslam
MonnaieDinar aghlabide[3]
Histoire et événements
800Ibrahim ibn al-Aghlab est nommé émir de l'Ifriqiya par le pouvoir abbasside
801Indépendance vis-à-vis desabbassides
827-902Conquête de la Sicile
909Conquête et chute de la dynastie par les Fatimides
Émirs
(1er)800-812Ibrahim ibn al-Aghlab
(Der)903-909Ziyadat Allah III

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LesAghlabides (enarabe :الأغالبة) ouBanu al-Aghlab (enarabe :بنو الأغلب) sont une dynastie d'émirs de latribu arabe desBanu Tamim[4], qui gouvernent, depuisKairouan, l'Ifriqiya (actuelleTunisie, leconstantinois en Algérie actuelle et laTripolitaine dans l'actuelle Libye) nominalement, au nom ducalifeabbasside, à partir de800, puis laSicile, après saconquête, jusqu'à son renversement par le nouveau pouvoir desFatimides, en909.

Histoire

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Contexte

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La naissance de l’émirat aghlabide enIfriqiya intervient au terme d’un demi-siècle de troubles politiques et religieux consécutifs à lagrande révolte berbère de 740. En 750, lecalifat omeyyade s’effondre, et la nouvelle dynastie desAbbassides deBagdad ne parvient pas à établir d’une manière permanente leur autorité sur la province d'Ifriqiya. La dynastie des gouverneursMouhallabides, fidèles aux nouveaux califes abbassides, doit affronter les révoltes des contingents arabes (jund).

Fondation

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Dinar d'or de 4,2 g d'Ibrahim ibn al-Aghlab, anonyme (mais un motto dynastique « Ghalab » est visible sur le revers), nom dudifférent inconnu (probablement àKairouan), frappé en 807-808. Préservé auMusée national d'art islamique de Raqqada.

En 800, le calife abbassideHaroun ar-Rachid nommeIbrahim ibn al-Aghlab, fils d'un commandant arabe dukhorasan[5] de la tribu desBanu Tamim[4], comme émir héréditaire de l'Ifriqiya en réponse à l'anarchie qui a régné dans la province à la suite de la chute des Mouhallabides. À cette époque, il y a peut-être entre 100 000 et 250 000 Arabes vivant en Ifriqiya, bien que lesBerbères constituent toujours la grande majorité de ses habitants[6].

Ibrahim doit contrôler une zone qui englobait l'Est de l'Algérie, laTunisie et laTripolitaine[7] avecKairouan comme capitale[8]. Bien qu'indépendante dans tous les domaines, la dynastie n'a jamais cessé de reconnaître nominalement la suprématie abbasside. Les Aghlabides payent un tribut annuel au calife abbasside et leur suzeraineté est référencée dans lakhutba, lors desprières du vendredi[9].

Après la pacification du pays, les émirs Aghlabides s’installèrent d’abord à Al Abbassiya, dans les environs immédiats deKairouan, puis ils fondèrent la cité deRaqqada à neuf kilomètres au sud-ouest. Elle est fondée en dehors deKairouan, en partie pour prendre ses distances avec l'opposition des juristes et théologiensmalékites, qui condamnent ce qu'ils ont observé comme la luxueuse vie des Aghlabides (pour ne pas mentionner le fait que les Aghlabides sontMutazilites en théologie et fiqh hanafite en jurisprudence), et n'apprécient pas le traitement inégal envers les Berbères musulmans. En outre, des défenses frontalières (ribat) sont mises en place àSousse et àMonastir. Les Aghlabides développent également l'irrigation et améliorent les bâtiments publics et les mosquées[7].

Conquête aghlabide de la Sicile

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Article connexe :Conquête musulmane de la Sicile.

Une caractéristique majeure des Aghlabides est que, malgré les différences politiques et les rivalités présentes entre les Aghlabides, les Abbassides, et l'Émirat de Cordoue, les musulmans d'Espagne sont transportés par voie maritime, également sous le règne d'Asba ibn Wakil, pour aider à laconquête aghlabide de la Sicile.Ibn Kathir rapporte qu'une force conjointe de 300 navires omeyyades et aghlabides est présente[10]. La garnison aghlabide de Mineo réussit à entrer en contact avec les Omeyyades d'Andalousie qui acceptèrent immédiatement l'alliance, à condition qu'Asbagh soit reconnu comme commandant général et, avec de nouvelles troupes d'Ifriqiya, ils marchèrent sur Mineo. Théodotus se retira à Enna et le siège de Mineo fut brisé (en juillet ou)[11],[12],[13]. L'armée combinée Ifriqiyenne et andalouse incendie ensuiteMineo et assiège une autre ville, peut-être Calloniana (actuelleBarrafranca). Cependant, une peste éclate dans leur camp causant la mort d'Asbagh et de beaucoup d'autres. La ville tombe plus tard, en automne, mais le nombre d'Arabes s'est réduit considérablement. Par la suite, ils doivent l'abandonner et se retirent à l'ouest. Théodotus s'est lancé à leur poursuite, et leur inflige de lourdes pertes, de sorte que la plupart des Andalous ont quitté l'île. Cependant, Théodotus est également tué à ce moment-là, peut-être dans l'une de ces escarmouches[14],[15].

Sous le règne de Ziyadat AllahIer (817-838), éclate en 824 une révolte des troupes arabes, qui n'est pas étouffée avant 836, avec l'aide des Berbères. Laconquête musulmane de la Sicile de 827 sousAssad ibn al-Furat est une tentative de garder les troupes indisciplinées sous contrôle - la conquête s'achève lentement, et seulement en 902, est pris le dernier avant-poste byzantin. Des raids de pillage enItalie continentale, qui comprennent lesac des basiliques romaines en 846[16], ont lieu jusqu'auxe siècle. Rome fut attaquée par une force musulmane en 846, bien qu'il ne soit pas certain que les pillards soient venus du territoire aghlabide[17](p26),[18](p122) Une autre attaque contre Rome eut lieu en 849, conduisant à une grande bataille navale près d'Ostie au cours de laquelle une flotte de navires musulmans fut détruite, marquant l'arrêt des avancées musulmanes sur la péninsule[17](p35),[19] Peu à peu, les Aghlabides perdent le contrôle des forces arabes en Sicile et une nouvelle dynastie, celle lesKalbides, y émerge.

Apogée

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Le royaume aghlabide atteint son apogée sous le règne d'Ahmed ibn Mohammed al-Aghlabi (856-863). L'Ifriqiya est une puissance économique importante grâce à son agriculture fertile, aidée par l'expansion du système d'irrigation romain. Elle devient le point focal du commerce entre le monde islamique et Byzance et l'Italie, en particulier la lucrative traite des esclaves. Kairouan devient le centre d'apprentissage le plus important auMaghreb, notamment dans le domaine de la théologie et du droit, et un lieu de rassemblement pour les poètes. Les émirs aghlabides patronnent également des projets de construction, notamment la reconstruction de lamosquée d'Oqba et le royaume développe un style architectural qui combine l'architecture abbasside etbyzantine[20].

Déclin et chute

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Le déclin de la dynastie commence sousIbrahim II (875-902). Une attaque desToulounides d'Égypte doit être repoussée et une révolte des Berbères est étouffée au prix de lourdes pertes humaines pour les forces aghlabides. En outre, en 893, la missionismaélite dirigée parAbou Abdallah al-Chii prend racine chez les berbèresKetamas. En 902,Obeïd Allah al-Mahdi et sa troupe Kutama fanatisée prennent les villes de Kairouan etRaqqada et obtiennent un serment d'allégeance du peuple. Le succès des Fatimides est fulgurant et le dernier émir aghlabide, Ziyadat Allah III, s’enfuit vers l’Orient en 909. En conséquence, la dynastie aghlabide est renversée et remplacée par les Fatimides[21].

Culture

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Bassins des Aghlabides (actuelleKairouan, enTunisie).

Sous le règne des Aghlabides, lagrande mosquée de Kairouan et laZitouna deTunis deviennent des centres d'enseignement fort réputés par la valeur desoulémas qui y professent ledroit musulman.

Moyennant le payement d'un impôt appelékharaj et l'observation de certaines restrictions sociales, leschrétiens et lesjuifs restés en Ifriqya après la conquête musulmane parviennent à conserver leur religion et leurs lieux de culte. À cette époque, il existe une communauté chrétienne à Tunis, Kairouan et desarchevêchés existent notamment àTozeur,Mahdia etCarthage. Vers893, unschisme divise lesévêques d'Afrique qui envoient des délégués àRome pour soumettre leur différend aupape.

Bien que la présencearabe enIfriqiya remonte à laconquête musulmane du Maghreb, elle demeura initialement essentiellement militaire. Toutefois, sous la dynastie Aghlabide, l'immigrationarabe en provenance duMoyen-Orient s’intensifia et se diversifia, marquant une transformation profonde de la région. De nombreux fonctionnaires, commerçants, artisans et religieux s'établirent alors dans les principaux centres urbains de l'époque. Leur installation joua un rôle déterminant dans l'arabisation culturelle et linguistique de la région[22].

Politique et administration

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La gouvernance Aghlabide, siégeant àKairouan, s'inspire largement de celle desCalifes Abbassides àBagdad. Elle reposait sur desdiwans, assimilables à des offices, chacun en charge d'un domaine spécifique, et sous le contrôle de l'émir, qui était assisté par unvizir, deuxième personnage de l'émirat.

Le pouvoir judiciaire, basé sur ledroit musulman, était confiée auxcadis. Le cadi de Kairouan, nommé directement par l'émir, occupait une position prééminente et désignait, à son tour, les autres cadis sur l'ensemble du territoire.

Pour ce qui concerne l'ordre public, l'émirat s'appuyait sur le corps desmuhtasib, des fonctionnaires chargés de veiller au respect des lois, en particulier du droit commercial.

L'administration territoriale de l'émirat se composait de circonscriptions civiles (kura , pl.kuwar ) et de districts militaires (jund , pl.ajnad )[23],[24].

Architecture et patrimoine

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Grande mosquée de Kairouan.

Les Aghlabides furent de grands bâtisseurs qui embellirent beaucoup de villes de leurémirat, comme lamédina de Kairouan, lamédina de Tunis, lamédina de Sousse ou encore lamédina de Sfax. C'est notamment sous leur règne que lamosquée Zitouna est achevée dans sa totalité et que lagrande mosquée de Kairouan connaît de grands travaux de réfection et d'agrandissement qui lui donnent sa physionomie définitive[25].

Parmi les monuments construits ou agrandis lors de la dynastie Aghlabide, on peut également citer lagrande mosquée de Sousse, lagrande mosquée de Sfax, lamosquée des Trois Portes, lamosquée Bou Ftata, leribat de Sousse, leribat de Monastir et lebassins des Aghlabides[26].

Dynastie

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Généalogie des émirs d'Ifriqiya de la dynastie des Aghlabides
 
 
 
 
 
 
 
Ikal El Tamimi
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Salim
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
El Aghlab
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
IbrahimIer
800-812
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
AbdullahIer
812-817
 
Ziyadat AllahIer
817-838[27]
 
Aboul Affan
838-841
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Aboul AbbasIer
841-856[28]
 
Ahmed
 
Mohamed
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Aboul Ibrahim
856-863
 
 
 
 
 
Ziyadat Allah II
863
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Aboul Gharaniq
863-875
 
 
 
 
 
Ibrahim II
875-902[29]
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Aboul Ikal
 
 
Abdullah II
902-903[30]
 
 
 
Ziyadat Allah III
903-909[31]
 
 
 
 

Notes et références

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Notes

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  1. The occupation ofSardinia by the Aghlabids is debated among historians. See article for details.

Références

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  1. (en) Greville Stewart ParkerFreeman-Grenville et Stuart ChristopherMunro-Hay,Islam: An Illustrated History, Bloomsbury Publishing USA,(ISBN 9781441165336,lire en ligne),p. 57
  2. (en) AnthonyHam,Libya. Ediz. Inglese, Lonely Planet,(ISBN 9781740594936,lire en ligne),p. 33
  3. (en) John H.Pryor,Logistics of Warfare in the Age of the Crusades: Proceedings of a Workshop Held at the Centre for Medieval Studies, University of Sydney, 30 September to 4 October 2002, Ashgate Publishing, Ltd.,(ISBN 9780754651970,lire en ligne),p. 187
  4. a etb(en) C.E. Bosworth,The New Islamic Dynasties, Columbia University Press,,p. 31
  5. C. EdmundBosworth,« 2. Additions to The New Islamic Dynasties », dansLiving Islamic History, Edinburgh University Press,(lire en ligne),p. 14–31
  6. (en) Charles AndréJulien et Roger LeTourneau,Histoire de L'Afrique du Nord, Praeger,(lire en ligne),p. 42
  7. a etbArthurGoldschmidt,A concise history of the Middle East, Boulder, Colorado, Westview Press,, 79 p.(ISBN 0-8133-3885-9)
  8. AndréBasset, « Les Aghlabides et l'Ifriqiya »,Journal des Savants,vol. 6,no 1,‎,p. 251–256(lire en ligne, consulté le)
  9. (en) Laroui,The History of the Maghrib, (1re éd. 1977),p. 116
  10. Idris, RavaneEl Hareir, Mbaye,The Spread of Islam Throughout the World,UNESCO,(ISBN 9231041533,lire en ligne),p. 441
  11. Bury (1912), p. 304
  12. Treadgold (1988), p. 273-274
  13. Vasiliev (1935), p. 127-128
  14. Treadgold (1988), p. 274
  15. Vasiliev (1935), p. 128-129
  16. (en) Barbara M. Kreutz.,Before the Normans: Southern Italy in the Ninth and Tenth Centuries, University of Pennsylvania Press,,p. 57
  17. a etb(en) Barbara M.Kreutz,Before the Normans: Southern Italy in the Ninth and Tenth Centuries, University of Pennsylvania Press,(ISBN 978-0-8122-0543-5,lire en ligne)
  18. (en) SarahDavis-Secord,Where Three Worlds Met: Sicily in the Early Medieval Mediterranean, Cornell University Press,(ISBN 978-1-5017-1258-6,lire en ligne)
  19. SibylleMazot,Islam: Art and Architecture, h.f.ullmann,, 131 p.(ISBN 978-3848003808), « The History of the Aghlabids »
  20. (en) « Aghlabids »,Dictionary of Islamic Architecture,‎(lire en ligne)
  21. AkbarNajeebabadi,The History of Islam V.3, Riyadh, Darussalam,, 235 p.(ISBN 978-9960-89293-1)
  22. (en) MouniraChapoutot-Remadi,« Comment les Aghlabides ont-ils gouverné l’Ifriqiya ? », dansThe Aghlabids and their Neighbors, Brill,, 49–75 p.(ISBN 978-90-04-35604-7,lire en ligne)
  23. (en) MouniraChapoutot-Remadi,« Comment les Aghlabides ont-ils gouverné l’Ifriqiya ? », dansThe Aghlabids and their Neighbors, Brill,, 49–75 p.(ISBN 978-90-04-35604-7,lire en ligne)
  24. PhilippeSénac et PatriceCressier, « Chapitre 6. L’émirat Aghlabide »,Cursus,‎,p. 66–76(DOI 10.3917/arco.senac.2012.01.0066,lire en ligne, consulté le)
  25. M'hamed Hassine Fantar,De Carthage à Kairouan : 2 000 ans d'art et d'histoire en Tunisie, Paris, Agence française d'action artistique,,p. 23
  26. « Les monuments Aghlabides en Tunisie », surZaher Kammoun,(consulté le)
  27. Il entreprend la conquête de la Sicile.
  28. Il assiège Rome qu'il occupe deux mois et regagne Kairouan avec un fabuleux butin.
  29. La fin de son règne est marquée par le despotisme et de nombreux assassinats. Pris de remords, il abdique et finit sa vie en Sicile.
  30. Fils du précédent, il est marqué par la violence de son père. Adhérant au soufisme, il renonce au luxe de ses palais. Il est assassiné dans son sommeil par des partisans de son fils qu'il a voulu emprisonner à cause de la liberté de ses mœurs.
  31. Il ne peut empêcher la poursuite du déclin de sa dynastie. Alors que son armée est écrasée, il abdique et s'enfuit à Bagdad avant de s'établir en Palestine.

Annexes

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Bibliographie

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  • Y. B., « Les Aghlabides (800-909) »,Qantara,‎(lire en ligne)
  • Jacques Godrechot,Histoire de Malte, éd. Presses universitaires de France, coll. Que sais-je ?, Paris, 1970.
  • Alexandre Lézine,Architecture de l'Ifriqiya, recherches sur les monuments aghlabides, éd. Klincksieck, Paris, 1966.
  • John Samut Tagliaferro,Malte. Archéologie et histoire, éd. Casa Editrice Plurigraf, Narni (Italie)/Miller Distributors Ltd, Luqa (Malte), 2000.
  • Mohamed Talbi,L'émirat aghlabide : 184-296, 800-909, éd. Librairie d'Amérique et d'Orient, Paris, 1966.
  • Glaire D. Anderson et al.,The Aghlabids and their Neighbors - Art and Material Culture in Ninth-Century North Africa, éd. Brill, nov 2017.
  • Maurice Vonderheyden,La Berbérie orientale sous la dynastie des Benoû l-Aṛlab, 800-909, Paris: Geuthner, 1927.

Articles connexes

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Liens externes

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