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Adoro te devote

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L’Adoro te devote est une poésie chrétienne[hs 1] (rhythmus dans le manuscrit) dont on attribue en général la composition àThomas d'Aquin. Si l'on peut considérer que l'usage fut, à l'origine, personnel, c'est un chef-d'œuvre duMoyen Âge, qui exprime le mystère de l'union avec le Dieu dans l'Eucharistie[1].

Le texte

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latinfrançais

(I)Adoro te devote, latens Deitas,
quæ sub his figuris vere latitas:
tibi se cor meum totum subjicit,
quia te contemplans totum deficit.

(II)Visus, tactus, gustus in te fallitur,
sed auditu solo tuto creditur ;
credo quidquid dixit Dei Fílius :
nil hoc verbo veritatis verius.

(III)In cruce latebat sola Deitas,
At hic latet simul et humanitas:
Ambo tamen credens atque confitens,
Peto quod petivit latro pœnitens.

(IV)Plagas, sicut Thomas, non intueor,
Deum tamen meum te confiteor.
Fac me tibi semper magis credere,
In te spem habere, te diligere.

(V)O memoriale mortis Domini !
Panis vivus, vitam præstans homini !
Præsta meæ menti de te vivere,
Et te illi semper dulce sapere.

(VI)Pie pellicane, Jesu Domine,
Me immundum munda tuo sanguine,
Cujus una stilla salvum faceret,
Totum mundum quit ab omni scelere.

(VII)Jesu, quem velatum nunc aspicio,
Oro fiat illud, quod tam sitio ;
Ut, te revelata cernens facie,
Visu sim beatus tuæ gloriæ. Amen[2],[3].

Je t'adore dévotement, Dieu caché
Qui sous ces apparences vraiment prends corps,
À Toi, mon cœur tout entier se soumet
Parce qu'à te contempler, tout entier il s'abandonne.

La vue, le goût, le toucher, en toi font ici défaut,
Mais t'écouter seulement fonde la certitude de foi.
Je crois tout ce qu'a dit le Fils de Dieu.
Il n'est rien de plus vrai que cette Parole de vérité.

Sur la Croix, se cachait ta seule divinité,
Mais ici, en même temps, se cache aussi ton humanité.
Toutes les deux, cependant, je les crois et les confesse,
Je demande ce qu'a demandé le larron pénitent.

Tes plaies, tel Thomas, moi je ne les vois pas,
Mon Dieu, cependant, Tu es, je le confesse,
Fais que, toujours davantage, en toi je crois,
Je place mon espérance, je t'aime.

O mémorial de la mort du Seigneur,
Pain vivant qui procure la vie à l'homme,
Procure à mon esprit de ne vivre que de toi
Et de toujours savourer ta douceur.

Pieux pélican, Jésus mon Seigneur,
Moi qui suis impur, purifie-moi par ton Sang
Dont une seule goutte aurait suffi à sauver
Le monde entier de toute faute.

Jésus, que sous un voile, à présent, je regarde
Je t'en prie, que se réalise ce dont j'ai tant soif,
Te contempler, la face dévoilée,
Que je sois bienheureux, à la vue de ta Gloire. Amen[3].

L'édition critique, qui présente quelques variantes mineures, fut établie par Robert Wielockx (1998), et se trouve dansJ.-P. Torrell,Recherches thomasiennes, Vrin, 2000, p. 368.

Traduction française pour chanter

1. Je T'adore agenouillé(e), Ta divinité,
qui sous ces figures vraiment est voilée:
mon cœur se soumet à Toi, en Te contemplant,
grâce à Ta présence dans ce sacrement.
2. La vue, le toucher, le goût se méprennent en Toi,
seule l'ouïe est fiable, pour trouver la foi.
Je crois Ta parole, c'est la vérité,
car Tu es le Fils de Dieu et rien n'est plus vrai.
3. Sur la croix était cachée Ta divinité,
mais ici se cache aussi Ton humanité.
Toutes les deux en croyant et en confessant,
je Te supplie comme le larron pénitent.
4. Tes plaies, comme Thomas, je ne les vois pas,
je confesse cependant, Seigneur, Dieu, c'est Toi!
Fais moi davantage croire en Toi, toujours!
En Toi est mon seul salut, ma foi, mon amour.
5. O mémorial d'amour, Sacrifice de Dieu,
Pain vivant pour l'homme, Pain du haut des cieux.
Que mon âme vive, de Toi, mon Sauveur,
et qu'elle savoure toujours Ta douceur.
6. Jésus toi, mon Seigneur, le pieux pélican,
purifie en moi l'impur, par Ton précieux Sang,
dont la moindre goutte suffit à sauver,
de toutes les fautes, notre monde entier.
7. Jésus, sous un voile je Te vois ici,
que Tu réalises mon vœu je t'en prie:
Que je voie Ta gloire révélée enfin,
le bonheur de cette vue est mon seul destin !

 

Partition

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Partition en quatre lignes
 

Caractéristique de texte

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Denis Sureau résume le caractère de cette poésie chrétienne[1] :« L’Adoro te ne fait pas partie de l'Office du Très Saint-Sacrement. On a pu souligner la différence de ton entre cette poésie liturgique et les compositions de l'office, ici plus simple et pénétrant, là plus doctrinal et solennel ». C'est pourquoi l'auteur sélectionna cette forme littéraire.

La composition en septstrophes est expliquée par Dom Eugene Vandeur de l'abbaye de Maredsous, dont Denis Sureau cite le texte[1] :« en sept strophes et comme en gradation, les sept mouvements de l'âme en soif d'union avec le Dieu de l'Eucharistie : l'adoration de Dieu, l'adhésion à Dieu, la confession de Dieu, l'abandon à Dieu, la faim de Dieu, la purification par Dieu, la félicité en Dieu. C'est dire que le mystère de foi reste l'instrument capital de la sainteté, de celle qui transforme en Jésus-Christ »[4]. Il s'agit donc d'une composition par excellence, de la main d'un auteur de qualité.

Historique

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Origine

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Parmi les écritures de saintThomas d'Aquin, l'attribution de l'Adoro te devote était souvent doutée ou contestée[5],[jt 1].

En fait, l'usage des textes de Thomas d'Aquin dans lerite romain ne fut établi, en dépit des confirmations et recommandations de plusieurs papes, qu'auXVe siècle, notamment après celles deSixte IV († 1484), et surtout c'était le cas de laséquenceLauda Sion destinée à laFête-Dieu. D'où il existe une difficulté considérable à identifier l'auteur par les manuscrits. Faute d'autographes de ceDocteur de l'Église, cet attachement était effectué avec la tradition textuelle et littéraire des manuscrits ainsi que la comparaison avec les doctrines présentées dans ses œuvres théologiques[ag 1]. Dans ce contexte, en 1929, Dom Henri-Marie-André Wilmalt ayant étudié en détail ce poème ne donna pas sa conclusion[ag 2]. L'année suivante,Auguste Gaudel insista que la pensée de l'auteur de l'Adoro te dans la deuxième stropheVisus, tactus était étrange de celle que Thomas d'Aquin présentait dans laSomme théologique Tertia pars[ag 2].

Contrairement à ce que Wilmalt et Gaudel pensaient,Jean-Pierre Torell, spécialiste de Thomas d'Aquin, considère de nos jours que ce Dominicain est tout à fait l'auteur :

  1. Le texte complet se trouve dans la quatrième version de l’Ystoria sacti Thome (Histoire de saint Thomas) de Guillaume Tocco, pluscritique[jt 1]. Il s'agit de la première biographie de ce théologien.
  2. À la différence des hymnes de ce Docteur de l'Église, ce poème était mentionné dans un manuscrit duXIVe siècle qui présentait que cette prière était prononcée parfrère Thomas sur son lit de mort[jt 2].
  3. Un poème deJacopone da Todi, daté entre 1280 et 1294, contient des mêmes vocabulaires de la prière de l’Adoro te, selon lequel on peut considérer comme paraphrase[jt 2].
  4. L'expression particulièreune seule goutte (strophe VI) se trouve dans d'autres œuvres de ce Docteur[jt 3].

Henk J. M. Schoot précisa encore, en 2016, que la plupart des 51 manuscrits les plus anciens mentionnaient le nom de Thomas d'Aquin ainsi qu'aucun document ne présentait autre nom comme auteur[hs 2]. Ces manuscrits étaient très souvent liés auxDominicains et/ou àNaples[6] (À Naples où saint Thomas était étudiant, naquit sa première vocation dominicaine ; il priait beaucoup à la chapelle Saint-Nicola de Naples jusqu'à la fin de sa vie[7]). Le théologien remarquait aussi que le texte exprime latranssubstantiation et non transformation[hs 3]. Le dogme de cette transsubstantiation avait été déterminé, pour la première fois, par lequatrième concile du Latran, tenu sous le pontificat d'Innocent III en 1215. La composition par Thomas d'Aquin avec ce dogme reste, donc chronologiquement, raisonnable. D'après Schoot, il est probable que l’Adoro te devote était, à l'origine, la prière personnelle de ce Docteur de l'Église[hs 4]. D'ailleurs dans un dictionnaire, la composition est supposée vers 1260 à Paris, lorsque Thomas d'Aquin se consacrait aux études de l'eucharistie[6]. Ce point de vue, théologie de Thomas sur l'eucharistie qui est présentée dans l’Adoro te, est soutenu par plusieurs chercheurs, depuis l'étude deMartin Grabmann[8].

En admettant que laCommission léonine ait décidé de supprimer cette pièce dans sonédition critique en préparation, mais sans présenter sa raison[hs 2], les avis des théologiens de nos jours préfèrent Thomas d'Aquin, ditdoctor eucharisticus[hs 5], comme auteur. D'ailleurs, il n'est pas facile à trouver un autre personnage qui était capable de satisfaire la qualité de cette œuvre et la circonstance. D'où en 2016, le théologien Henk Schoot lui aussi conclut qu'il estquasiment certainement l'auteur[hs 6]. LaBibliothèque nationale de France garde sa détermination semblable : « Attribué à : Thomas d'Aquin[9]. »

Encore faut-il restaurer le texte, si celui qui reste en usage est le texte critique de Dom André Wilmart. En effet, les syllabes et accents du premier verset manquent de cohérence avec d'autres[hs 7],[10]. Comme il est peu probable que Thomas d'Aquin ait commis ce type d'erreur, Schoot propose le versetTe devote laudo, latens veritas, en tant que strophe restauré[hs 7]. Car, une modification de texte aurait été effectuée tardivement, après le trépas de Thomas d'Aquin.

Adoro te Domine en tant que prière de l'Adoration de la Croix

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Il faut remarquer qu'avant que ce texte ne soit composé, la prièreAdoro te existait déjà, avec de nombreuses variations, par exempleAdoro te domine Iesu Christe in cruce ascendentem[hs 8],[11]. L'origine remonte à l'époque carolingienne, auIXe siècle. Son usage était réservé, selon ce texte, à l'Adoration de la Croix, à savoir du Christ crucifié, et notamment auVendredi saint[11]. À partir duXIIIe siècle, cette prière pour la Croix était intégrée à celle de l'élévation, c'est-à-dire l'utilisation devint commune. Aussi, sous influence de l’Adoro te Domine, l'usage de l’Adoro te devote pour l'adoration fut-il établi[hs 8].

À la Renaissance

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La trace de cette poésie restait, auXIVe siècle, très faible.Jean-Pierre Torrell ne comptait en 2015 que seuls trois manuscrits[8]. Il fallait attendre le siècle suivant de sorte qu'elle soit diffusée.

À partir de la fin duXVe siècle, l'usage de l'hymne fut diversifié dans la célébration alors qu'auparavant, l’Ave verum corpus était en multiusage. L’Adoro te devote entra de plus en plus dans le répertoire, et, avec l'O salutaris Hostia, laPanis angelicus et d'autres, était utilisée tant pour la prière de dévotion que pour l'élévation[5]. Aussi l'usage pour leSaint-Sacrement devint-il habituel jusqu'aujourd'hui.

Après la Contre-Réforme

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À la suite duconcile de Trente, l'Église catholique fit réformer sa liturgie. Dans leMissel romain, publié en 1570 sous le pontificat dePie V, lequel était le premier dans son histoire, l'hymneAdoro te devote fut ajoutée. Jamais officielle dans la messe auparavant, elle se plaça, en tant que prière de célébrant, à la fin du Missel pour l'action de grâce[12],[13],[hs 9]. Si la tradition disait que Pie V lui-même fit insérer cette hymne[12], on ne sait pas quel document précisait cette attribution. Ce qui reste probable est que laContre-Réforme fit retrouver et favoriser cette hymne oubliée. En 1872, William Edward Scudamore écrivit qu'il n'avait trouvé aucun missel, publié avant 1570, et qui contenait l'Adoro te devote[14]. Cela confirme l'approbation formelle par le Saint-Siège.

Composition musicale

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Quant à la composition musicale, le répertoire de cette hymne restait vraiment modeste, à la différence d'autres motets pour l'élévation. On compte peu de grands compositeurs, et comprend que le texte réservé aux célébrants empêchât d'intéresser les musiciens. Dans certains cas, l'usage était précisé par les compositeurs, pour l'élévation, car le célébrant ne chante paspost missam.

À laRenaissance, une œuvre fut composée, celle qui reste seule exemplaire que l'on connaisse. Il s'agit d'unmotet deGregor Aichinger, publié en 1607[15]. Le premier verset n'est pas identique à celui du Missel romain :Adoro te supplex, latens Deitas[15],[1].

Sous le règne du roi de FranceLouis XIV, trois musiciens en service écrivirent cependant leur motetAdoro te devote,Henry Du Mont,Pierre Robert etGuillaume-Gabriel Nivers. Mais niMarc-Antoine Charpentier niMichel-Richard de Lalande ne s'intéressèrent, quoique ces deux aient créé de nombreux motets.

De même phénomène est constaté pour leXIXe siècle où un grand nombre d'organistes français écrivirent les motets de l'élévation et du Saint-Sacrement.

Après le concile Vatican II

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La réforme liturgique selon leconcile Vatican II donna, dans la célébration, un rôle plus important à l'hymne. Auparavant chantée à la fin, cette dernière est désormais chantée au début de la célébration, afin de présenter l'intention ou le sujet de chaque office. D'où, pour la première fois, le textecritique de l'hymne fut établi par le Vatican. En ce qui concerne l'Adoro te devote qui comptait plusieurs variations, le texte critique de Dom André Wilmart, publié en 1932[8], fut officiellement adopté[16].

Toutefois, l'hymne n'est attribuée, dans le rite romain, à aucune fête religieuse ni à la célébration liturgique particulière[2]. Dans leMissel romain approuvé par le papeJean XXIII (1962), l'Adore te devote est affectée aux prières de l'indulgence[17]. Si cet usage est le premier cas officiel dans le rite romain, on voit la suppression de cette poésie dans celui de 1969[13].

En revanche, elle intéresse encore des organistes. Il s'agit tant de la pièce d'orgue que du motet accompagné de l'orgue. À la fin de sa vie,Olivier Messiaen plaça sa pièce pour l'orgue à la tête duLivre du Saint-Sacrement sorti en 1984[18].

Par ailleurs, le 24 décembre 2004, le papeJean-Paul II donna sonhomélie lors de sa dernièremesse de minuit, avec le texte de l'Adoro te devote, latens Deitas[19].

Catéchisme de l'Église catholique

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Les strophes I et II sont citées par leCatéchisme de l'Église catholique, afin d'expliquer, théologiquement et poétiquement, le mystère de l'eucharistie :[lire en ligne](II. 2. 1. 3.Le sacrement de l'eucharistie, v.Le sacrifice sacramentel : action de grâce, mémorial, présence, n° 1381).

Usage dans la liturgie

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L'usage de l'Adoro te devote demeure particulier : celle-ci était, à l'origine, conçue et décrétée en faveur de la fin de la liturgie[20]. Cet usage pour le célébrant se trouve tant dans lerite romain que lerite ambrosien ainsi que lerite gallican, en tant quegratiarum actio post missalm (action de grâce). L'utilisation commepræparatio ad missam (préparation de messe) n'était pas habituelle.

Henk Schoot, qui examina les manuscrits les plus anciens, a un avis différent. Selon lui, la poésie était d'abord réservée auviatique[hs 10], ce qui n'est pas la liturgie mais l'un des sacrements (eucharistie) et l'indulgence pour celui qui est en train de mourir.

Un certain nombre de compositions musicales témoignent que leur usage était réservé à l'élévation ou à l'honneur duSaint-Sacrement.

Il est à noter qu'historiquement, en 1893 sous le pontificat deLéon XIII, juste avant la réforme liturgique de saintPie X, cette prière était en usage selon le rite romano-lyonnais approuvé parPie IX, à la fin de la célébration de laFête-Dieu et après la rentrée duSaint-Sacrement enprocession[21].

AuXIXe siècle au Royaume-Uni aussi, à la suite de la traduction en anglais parGerard Manley Hopkins, qui était passionné de cette poésie, l'usage était préféré par ses collaborateurs, Jésuites, en faveur de la procession de la Fête-Dieu, également, et de l'adoration du Saint-Sacrement[22]. À cette époque-là, cette dernière était devenue phénomène en Angleterre.

En résumé, l'usage liturgique de l’Adoro te devote était et est :
- dans le rite romain officiel

  1. prière de célébrant après la messe et la célébration (action de grâce ; à partir de 1570)
  2. indulgence (après leconcile Vatican II)

- dans d'autres rites et usage facultatif

  1. viatique
  2. élévation
  3. salut du Saint-Sacrement
  4. procession de laFête-Dieu
  5. prière de dévotion

Il est encore à remarquer que le chant fut chanté à labasilique Saint-Pierre du Vatican, le 14 juin 2020. La messe solennelle de laFête-Dieu, que le papeFrançois présida, fut suivi des adoration et bénédiction de l'Eucharistie. L’Adoro te devote annonça le début de cette célébration dont la fonction se consacrait au salut du Saint-Sacrement, et sans doute à la place de procession, qui n'eut pas lieu ce jour-là[54] (p. 45 - 47).

Mis en musique

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À la Renaissance

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  • Gregor Aichinger (vers 1564 - † 1628) : motet à 4 voixAdoro te supplex, latens Deitas dans lesCantiones Ecclesiasticæ (1607)[15]

Musique baroque

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Musique classique

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  • Caspar Ett (1788 - † 1847) : motet à 4 voix accompagné d'orgue, dans lesChants liturgiques en l'honneur du T. S. Sacrement (1857)[30],[31]
  • Louis-James-Alfred Lefébure-Wély (1817 - † 1869) : motet pour chœur d'hommes et orgue (vers 1860)[32]
  • Jacopo Tomadini (1820 - † 1883) : motet à 3 voix accompagné d'orgue, dans laMusic a sacra (publication posthume 1964)[33]
  • Georges Schmitt (1821 - † 1900) : motet pour chœur à l'unisson et orgue en faveur de la bénédiction du Très Saint-Sacrement (1861)[34]
  • Louis-Lazare Perruchot (1852 - † 1930) : œuvre pour soprano et alto accompagnée d'orgue, dans lesÉditions musicales au Noël[35]
  • Francis De Zulueta (1853 - † 1937) : motet à une voix avec orgue[36]

Musique contemporaine

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MesseAdoro te devote

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  • Joseph Bovet (1879 - † 1951) :Messe adoro te y compris hymneAdoro Te pour chœur à 4 voix et orgue, en faveur du chœur de lacathédrale Saint-Nicolas de Fribourg[43]
  • Richard Proulx (1937 - † 2010) :Corpus Christi Mass Adoro te devote pour chœur à 4 voix, selon la mélodie de processionAdoro te devote dans lebréviaire d'un diocèse français daté de 1697 (1992, texte révisé 2011)[44]

Œuvre instrumentale

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Voir aussi

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Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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Exemple deRhythmus Sancti Thomæ Aquinatis

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Missale romanum (rite romain)

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  • Orationes post celebrationem et communionem dicendæ / rubriqueRhythmus sancti Thomæ ad sacrem Eucharistiam (1827)[lire en ligne]
  • Expositio litteralis et mystica totius missæ eiusque ritus et ordo accedunt præparatio et gratiarum actio et aliæ orationes /Aliæ orationes dicendæ post celebrat. missæ /Rhythmus sancti Thomæ ad sacram Eucharistiam (1875)[lire en ligne]
  • rubriqueIndulgentia quinque annorum toties quoties (1962/2005)[lire en ligne]

Santa messa in rito ambrosiano (rite ambrosien)

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  • Præparatio ad missam et gratiarum action post missam ad usum sacerdotum / rubriqueConclusio exercitiorum post missam /Rhythmus s. Thomæ ad s. Eucharistiam (1844)[lire en ligne]
  • Gratiarum actio post missam / rubriqueRhythmus S. Thomæ Aquinatus (1902)[lire en ligne]

Memoriale Vitæ Sacerdotalis a sacerdote gallicano, diœcesis linconensis exule redactum (rite gallican)

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  • Gratiarum / rubriqueRhythmus Sancti Thomæ ad seacram Eucharistiam (1795)[lire en ligne]

Præparatio ad missam

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Eucharistie

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  • Adoro te, traduit et paraphrasé en vers français, ou Cantique à Jésus dans l'Eucharistie, par l'abbé Demaison, Imprimerie-Librairie de l'œuvre de Saint-Paul Soussens et Ce, Paris 1881[lire en ligne]

Recueil

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  • Philippus Rovenius[52],Het gulden wieroockvat (Encensoir d'or) selon la Contre-Réforme, Anvers 1636[lire en ligne]

Notes et références

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Références bibliographiques

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  • Auguste Gaudel,A propos de la controverse touchant l'attribution de l'Adoro te à saint Thomas, dans laRevue des sciences religieuses, tome 10-2, 1930, p. 258 - 260[lire en ligne]
  1. p. 258
  2. a etbp. 259
  1. a etbp. 80
  2. a etbp. 81
  3. p. 82
  1. p. 77
  2. a etbp. 69, note n° 4
  3. p. 70, note n° 5
  4. p. 67
  5. p. 68, note n° 2
  6. p. 69
  7. a etbp. 68, note n° 1
  8. a etbp. 71, note n° 6
  9. p. 78, note n° 15 ; Schoot n'est pas d'accord pour cette attribution, car selon lui, la prière était recitée lors deViaticum[1] dans quelques manuscrits les plus anciens.
  10. p. 78

Autres références

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  1. abc etdDenis Sureau,Prières devant le Saint-Sacrement, p. 77, 2002[2]
  2. a etb Site de l'Académie de chant grégorien[3]
  3. a etbSite de l'ordre d'Ursulines[4]
  4. LivreAdoro te,Éditions Desclée de Brouwer 1939
  5. a etbWarren Drake (éd.),Ottaviano Petrucci, Motetti de Passione, de Cruce, de Sacramento, de Beata Virgine, p. 19 - 21, 2002[5]
  6. a etbÉditions Canterbury Press(en)[6]
  7. Benoît XVI, audience générale du 2 juin 2010[7]
  8. ab etcJean-Pierre Torrell,Initiation à saint Thomas, p. 132, 2015[8]
  9. Data Bnf[9]
  10. Paul Hammond,Milton's Complex Words, p. 334,Oxford University Press 2017(en)[10]
  11. a etbSimon Keynes,Anglo-Saxon England, tome XXVI, p. 123,Cambridge University Press 1998(en)[11]
  12. a etbMichael J. Ortiz,Like the First Morning : The Morning Offering as a Daily Renewal, p. 75, 2015(en)[12]
  13. a etbSynopsis Ritus Romanus de 1962 (issu de 1570) et de 1969,Orationes, Gratiarum actio post Missam p. 6 de 12[13]
  14. William Edward Scudamore,Notitia Eucharistica, p. 839, note n° 1, 1872[14]
  15. ab etcA-R Éditions[15](en)[16]
  16. Annibale Bugnini et le reste,La réforme de la liturgie (1948 - 1975), p. 667, note n° 1049, 2015[17]
  17. Missale romanum ex decreto SS. concilii Tridentini restitutum (1962/2005)[18]
  18. a etbNotice Bnf[19]
  19. Site du Vatican, le 24 décembre 2004[20]
  20. André Wilmart,La tradition littéraire et textuelle de " L'Adoro te devote ", dans la revueRecherches de théologie ancienne et médiévale, tome I, janvier 1929, p. 21[21]
  21. Paroissien complet ou Heures à l'usage du diocèse de Lyon selon le rit (sic) romano-lyonnais approuvé par Notre Saint-Père le Pape Pie IX, imprimé par ordre de S. G. MonseigneurCoullié, Archevêque de Lyon et de Vienne p. 361, 1893[22]
  22. Martin Dubois,Gerard Manley Hopkins and the Poetry of Religious Experience, p. 55,Cambridge University Press 2017(en)[23]
  23. Notice CMBV[24]
  24. Notice Bnf[25]
  25. Notice Bnf[26]
  26. Notice CMBV[27]
  27. Notice Bnf[28]
  28. Notice Bnf[29]
  29. Notice Bnf[30]
  30. Bibliothèque musicale de l'Union Sainte-Cécile[31]
  31. Caecilienvereinsorgan (revue demouvement cécilien), 1891, p. 35(de)[32]
  32. Notice Bnf[33]
  33. Notice Bnf[34]
  34. Notice Bnf[35]
  35. Notice Bnf[36]
  36. T. E. Muir,Roman Catholic Church Music in England, 1791 - 1914, p. 121 - 122, 2016(en)[37]
  37. Notice Bnf[38]
  38. Éditions de laSchola Cantorum de Bâle[39]
  39. Notice Bnf[40]
  40. Association Gaston Litaize[41]
  41. Notice Bnf[42]
  42. ÉditionsOxford University Press(en)[43]
  43. Éditions Labatiaz[44]
  44. Édition GIA Publications(en)[45]
  45. Wayne Leupold,The Organ Music of Alexandre Guilmant, tome I, p. xxxiii, 1999[46]
  46. Data Bnf[47]
  47. Michel Fischer,Itinéraires du cantus firmus, p. 182, Presse Paris Sorbonne 1994[48]
  48. Édition Peters[49]
  49. Corliss Richard Arnold,Organ Literature : Historical Survey, p. 233, 1995[50]
  50. Site Augsburgfortress[51]
  51. Notice Bnf[52]
  52. Data Bnf[53]
v ·m
Prières liturgiques (messe)Emblem of the Papacy
Prièresmariales
Quatreantiennes mariales
Litanies
Chapelets etneuvaines
Salut du Saint-Sacrement
Liturgie des Heures
Séquence
Office des morts
Autres prières
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