Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Abdelhakim Sefrioui

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Abdelhakim Sefrioui
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Nationalité
Activités
Autres informations
Religion
Membre de
Conseil des imams de France(d)Voir et modifier les données sur Wikidata

modifier -modifier le code -modifier WikidataDocumentation du modèle

Abdelhakim Sefrioui (enarabe :عبد الحكيم صفريوي), né le àFès (Maroc)[1], est un criminelfranco-marocain, et imamislamisteintégriste[2], condamné pour association de malfaiteur terroriste dansl’affaire Samuel Paty.

En 2004, il fonde le collectifCheikh-Yassine, un mouvement pro-Hamas, qui est dissous en conseil des ministres le.

Se revendiquant comme un représentant d'un éphémère Conseil des imams de France, il est décrit en 2010 parL'Express comme un adepte du double discours, opposé à l'islam modéré[3]. Il est décrit comme un « vieuxroutard de l'islamisme en France » parBernard Godard, ancien spécialiste de l'islam auministère de l'Intérieur[4].

Le, il est mis en garde à vue après l'assassinat de Samuel Paty, puis mis en examen le 21 octobre pour « complicité d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste ». Le, il est condamné dans le cadre de ceprocès à 15 ans de réclusion criminelle.

Biographie

[modifier |modifier le code]

Arrivée en France

[modifier |modifier le code]

Actif dans le militantisme islamiste enrégion parisienne depuis la fin des années 1980[3],[4], il obtient la nationalité française en se mariant avec une Française convertie à l'islam[5].

Conseil des imams de France

[modifier |modifier le code]

Abdelhakim Sefrioui fait partie des membres fondateurs d’unConseil des imams de France[6], dont il se revendique représentant en 2020 lors de sa campagne contre l'enseignant Samuel Paty. Ce conseil est un groupuscule fondé par Dhaou Meskine en 1992[7] ou 1993[8] et regroupant 13 représentants de mosquées de l'Île-de-France, du Nord et de Saint-Étienne[9]. En 2003, alors que se pose la question de la formation des imams en France, ce groupuscule, qui revendique alors représenter « un tiers des cadres religieux musulmans exerçant en France », est un interlocuteur deNicolas Sarkozy, qui assiste à son quatrième congrès. Il est alors soutenu par le Recteur de laGrande Mosquée de Paris,Dalil Boubakeur[7], lequel juge en 2020 qu'« ils ont été les premiers à se pavaner avec la barbe et à former des gens un petit peu radicaux et très hostiles, un peu comme leGIA, comme ces mouvements dangereux qui ont vécu en Algérie, mais aussi en France », ce qui fait dire au journalMarianne qu'il s'agit d'un groupe radical[10].

L'association est en sommeil depuis quelques années, etLe Figaro juge son audience « confidentielle »[11]. Selon le fondateur et actuel secrétaire général de l'association, si Abdelhakim Sefrioui est toujours officiellement membre du bureau de l'association,« en attendant la restructuration de l’association, qui est en cours », « le Conseil des imams de France n’a pas autorisé M. Sefrioui à parler en son nom. Il y a cinq ans qu’on a arrêté de travailler avec lui. Nous avions des divergences de méthode[12]. »

Éditions et librairie Arrissala

[modifier |modifier le code]

En 2003, dans un entretien au magazineLa Vie, il explique avoir été enseignant en informatique au sein de l'Éducation nationale française pendant quinze ans. Il dirige alors« la maison d'édition Arrissala[note 1], consacrée à l'islam et à la littérature orientale », ainsi que la librairie intégrée situéerue Jean-Pierre-Timbaud (11e arrondissement de Paris) qui sert aussi de salle de prière[13] et d'où« il mène des actions, donnant à ce lieu la réputation de bastion de l'islam rigoriste[14]. » La librairie déménage à un moment à Montreuil[6]. Gérant non associé, il en tire de faibles revenus jusqu'à sa fermeture en 2010[6].

Activisme islamiste

[modifier |modifier le code]

Le 22 mars 2004, jour de l'assassinat du leader duHamasAhmed Yassine, Abdelhakim Sefrioui fonde le mouvement pro-Hamas Collectif Cheikh-Yassine[6]. Ce collectif sans existence légale se positionne constamment contre les personnalités musulmanes jugées trop proches du gouvernement, et présente lacommunauté musulmane française comme systématiquement opprimée[5]. Son épouse joue avec lui un rôle prééminent dans les activités de ce collectif[5].

Bernard Rougier considère Sefrioui comme« sulfureux » et le collectif Cheikh-Yassine (CCY) comme un« groupuscule », dont la« défense du Hamas sert d'utile paravent à de multiples causes[15]. » PourGérard Davet etFabrice Lhomme, c'est un collectif« anti-israélien[16] ». Ce groupuscule gère un temps« le site de l'association cultuelle Ansar al-Haqq, une plateforme de recrutement pour partir faire le jihad[17]. » En 2015, l'ancien policierBernard Godard estimait que les mots d'ordre de ce collectif étaient« nettement antisémites »[18].

Au début des années 2000, il est président de l'association culturelle des musulmans desUlis[10]. Il organise en 2004 des manifestations et lance des appels à la prière sur la voie publique[3], pour obtenir la création d'une mosquée d'une taille un peu plus importante que celle accordée par le maire, n'hésitant pas à mentir aux fidèles sur le contenu des discussions avec la mairie pour mieux les mobiliser. Il perd la confiance de ces fidèles lorsqu'un conseiller municipal fréquentant la salle de prière l'accuse de manipulations lorsqu'il affirme notamment que leurs manifestations sont soutenues par le préfet. Il quitte alors l'association cultuelle[6]. En 2005, il préface le livre du Frère musulmanYoussef al-Qaradâwî, « unFrère musulman extrême » selonHassen Chalghoumi[10].

En 2009, Sefrioui tente d'intimider le recteur de laGrande Mosquée de Paris,Dalil Boubakeur, après des propos de celui-ci appelant à l'amitié envers les juifs. Il organise unsit-in devant la mosquée, provoquant sa fermeture pendant six semaines[19].

C'est autour de cette période de manifestations qu'il rencontre sa future compagne, Ikram H., de 31 ans sa cadette, qui l'accompagnera régulièrement dans ses actions militantes[20], selon la presse qui suit le procès de 2024.

En 2010, il s'oppose violemment à l'imam deDrancy, Hassen Chalghoumi, réputé proche de la communauté juive et qui vient d'approuver une loi limitant le port du voile intégral. Tentant de déstabiliser l'imam Chalghoumi et de le faire destituer de son poste à la mosquée de Drancy, il est brièvement placé en garde à vue pour avoir manifesté et essayé d'organiser des groupes de prière sur le parking adjacent alors que son collectif est interdit de manifestation[19]. L'année suivante, Chalghoumi est placé sous protection policière après des menaces proférées par Sefrioui et ses soutiens. Selon l'imam Chalghoumi,« on aurait dû interdire ses actions il y a bien longtemps[10]. »

Le préfet de Seine-Saint-Denis et le directeur des renseignements généraux tentent alors, sans succès, d'obtenir unedéchéance de nationalité[19].

Il est fiché pour « radicalisation à caractère terroriste » aufichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste[10].

Il entretient pendant quelque temps des relations informelles avec Mohamed Achamlane, le leader deForsane Alizza[19], un groupuscule islamiste nantais dissous en mars 2012[21], avec qui il tente de faire pression en 2011 sur la proviseure du lycée de Saint-Ouen qui veut interdire le port des jupes longues[19].

Le,Emmanuel Macron annonce la dissolution du collectif Cheikh-Yassine, « directement impliqué », selon lui, dans l'assassinat de Samuel Paty[22]. Cette décision est validée en conseil des ministres le 21 octobre[23].

Rapprochement avec les milieux d'extrême droite et négationnistes

[modifier |modifier le code]

En 2005, il se rapproche deDieudonné, qui tente alors de présenter sa candidature à l'élection présidentielle. La même année, il fonde un « Comité sur le génocide en Palestine » avecGinette Hess-Skandrani (qu'il aurait rencontrée lors de manifestations contre laguerre d'Irak) et Mondher Sfar, deux proches des milieux négationnistes[6]. En 2006, il devient membre du bureau de campagne de Dieudonné[3],[10], bureau auquel participent« des militants d’extrême droite, desnégationnistes et des islamistes radicaux[24] » et pour lequel il est chargé des « liens arabo-musulmans »[25]. Il l'introduit notamment au congrès de l'UOIF[26].

En 2009, il se trouve« aux côtés du siteconspirationniste d’extrême droite Alter-info, poursuivi devant le tribunal pourantisémitisme[24]. » Secrétaire d'Alter-info[27], il prend la défense du responsable du site[28] dont il justifie les publications devant les caméras d'Arte, en criant« Est-ce que les juifs n'ont pas de mauvais ? Si[10] ! » La même année, il tente de se joindre à la manifestation du10 janvier protestant contre l'opération Plomb durci, mais lui et son collectif Cheick Yassine sont rejetés du cortège officiel en raison de leur « réputation sulfureuse ». Il forme donc un cortège à part, aux côtés de Dieudonné et de deux membres duFront national,Frédéric Chatillon etAxel Loustau, où ils protestent contre le « génocide palestinien »[6]. Sefrioui finit par s'éloigner de l'humoriste lors de sa campagne pour les élections européennes. Ses raisons diffèrent selon les versions : d'après les auteurs du livreLa Galaxie Dieudonné, ce serait par stratégie, Sefrioui ayant jugé qu'une alliance avec d'anciens membres du FN n'était pas pertinente vis-à-vis de son public. D'après un militant ayant côtoyé Sefrioui à cette époque contacté parMediapart, il aurait en fait été écarté de la liste au profit deYahia Gouasmi[6].

Assassinat de Samuel Paty

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Assassinat de Samuel Paty.

Prise de position contre l'enseignant

[modifier |modifier le code]

Abdelhakim Sefrioui a été mis en examen pour « complicité d'assassinat » après l'assassinat commis le contre le professeur d'histoire-géographie du collège de Conflans-Sainte-Honorine Samuel Paty puis pour « association de malfaiteurs terroriste ».

Onze jours avant, le, en référence auprocès des attentats de janvier 2015, Samuel Paty, utilise deuxcaricatures de Mahomet dans le cadre du cours d'enseignement moral et civique (EMC)[29] sur laliberté d'expression[30], thème au programme national[31]. Il prévient ses élèves que tous ceux qui le souhaitent peuvent détourner le regard s'ils le préfèrent, sans avoir à donner de motif, par exemple s'ils se sentent choqués[32]. Selon d'anciens élèves, il illustrait ce cours chaque année de manière identique[33] sans que cela ait provoqué une quelconque réaction chez les élèves ou les parents[34].

Trois jours après, le, un parent d'élève, Brahim Chnina publie surFacebook un texte qui calomnie le professeur d'histoire-géographie[35], et exhorte ses « frères et sœurs »[36] à se plaindre[36] au collège, à l'inspection académique, au ministre de l’éducation, à la présidence de la République et auCCIF[36], dont il laisse le numéro de téléphone.

Abdelhakim Sefrioui et le parent d'élève obtiennent une entrevue avec la principale du collège[37] au cours de laquelle ils lui demandent de congédier l'enseignant « sous peine de manifestations »[37]. Les deux hommes font fortement pression durant plusieurs jours, afin que l’enseignant soit limogé de l'Éducation nationale[38], venant à de multiples reprises devant le collège pour essayer de mobiliser d'autres parents contre Samuel Paty[35].

Au moins deux vidéos sont diffusées sur Internet, traitant le professeur, entre autres, de « voyou » et de « malade »[35]. L'une d'entre elles provient du père de famille qui condamne l'utilisation de ces caricatures en traitant ensuite le professeur de « voyou ». Il accuse Samuel Paty d'avoir présenté aux élèves « la photo » d'un homme nu. Le, la vidéo est diffusée sur les réseaux sociaux, entre autres, par la Grande Mosquée de Pantin sur son siteFacebook. Son responsable, Mohammed Henniche, indique qu'elle « est déjà virale dans les milieux musulmans » et très relayée surWhatsApp[39]. L'autre vidéo est enregistrée et diffusée par Sefrioui qui fait tout d'abord témoigner la fille du parent d'élève, qui dit combien elle a été choquée à la vue des « photos » alors qu'en réalité elle n'a pas assisté à ce cours. Il s'exprime ensuite face caméra[35],[40] et parle d'un comportement « irresponsable et agressif » du professeur, conséquence selon lui de « l’appel du président de la République à haïr les musulmans ».« Ça fait cinq-six ans, explique-t-il, que des enfants de 12-13 ans, des musulmans, sont choqués, sont agressés, sont humiliés devant leurs camarades[11]. » Selon LCI, sur les commentaires vidéos sont indiqués le nom du professeur et l’adresse de l’établissement[35].

Le parent d'élève polémiste porte ensuite plainte à la police pour« diffusion d'images pornographiques »[41]. Il est avec sa fille qui ment en affirmant aux policiers avoir assisté au cours[35],[42]. Alertée sur ce conflit, l'inspection académique conforte l'enseignant[43].

Le, auditionné par la police, Samuel Paty porte plainte à son tour « pour diffamation et dénonciation calomnieuse » mais, indiqueBFMTV, « pas pour violences ou menace »[44].

Accusation d'association de malfaiteurs terroristes

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Procès de l'assassinat de Samuel Paty.

Le, le lendemain de l'assassinat de Samuel Paty, Abdelhakim Sefrioui est mis en garde à vue pour 96 heures, afin de déterminer son rôle lors de l'enquête ouverte pour « assassinat en relation avec une entreprise terroriste » et « association de malfaiteurs terroriste criminelle »[12].

Il est mis en examen à l'issue de la garde à vue pour « complicité d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste »[6]. Son avocateÉlise Arfi dénonce un« régime carcéral inhumain »[45].

En, Sefrioui fait partie des huit majeurs et six adolescents qui seront jugés pour l'assassinat de Samuel Paty, mais l'accusation de complicité est retirée au bénéfice de la seule « association de malfaiteurs terroristes », par laquelle il risque trente ans de prison[46]. Les audiences débutent en novembre 2024 devant laCour d'assises spéciale deParis. Il y clame son innocence et se dit victime d'une « injustice implacable ». PourFrancis Szpiner, avocat de la famille Paty, « lorsque vous dites que quelqu'un a blasphémé, et que vous êtes un militant aguerri, avec une culture islamiste comme M. Sefrioui, vous savez que vous prononcez une condamnation à mort. Vous ne savez pas quand elle sera exécutée, par qui elle sera exécutée, mais vous savez qu'elle sera prononcée »[47].

Le, le parquet requiert douze années de détention à son encontre : « La force des mots, cela fait des années qu’il en éprouve et en maîtrise les contours. Il joue avec le feu pendant vingt ans et, le jour de l’incendie, il explique à tous qu’il ignorait que le feu pouvait bruler »[48]. Pour l'accusation, en « allumant des milliers de mèches numériques », il établissait « un lien certain entre leur comportement et un crime terroriste à venir ». Le, la Cour d'assises va au-delà des réquisitions et le condamne à quinze années de réclusion criminelle[49].

Notes et références

[modifier |modifier le code]

Notes

[modifier |modifier le code]
  1. Ou La Rissala, selon les sources

Références

[modifier |modifier le code]
  1. Willy Le Devin, « Conflans : Abdelhakim Sefrioui, un militant islamiste aux racines de l'engrenage », surliberation.fr,(consulté le).
  2. Mikael Corre et Anne-Bénédicte Hoffner, « L’islamisme, une « déclinaison identitaire de l’islam » », surla-croix.com,.
  3. abc etd« L'islamiste qui mène la fronde », surlexpress.fr,(consulté le).
  4. a etb« Attentat de Conflans : Abdelhakim Sefrioui, « un vieux routard de l’islamisme » connu des renseignements »,lemonde.fr,‎(lire en ligne, consulté le).
  5. ab etc(en) Mohamed Ali-Adraoui, « Radical Milieus and Salafis Movements in France: Ideologies, Practices, Relationships with Society and Political Visions », surEuropean University Institute,.
  6. abcdefgh etiPascale Pascariello, Yann Philippin, Antton Rouget, Matthieu Suc et MarineTurchi, « Attentat de Conflans : révélations sur l’imam Sefrioui », surMediapart,(consulté le).
  7. a etb« M. Sarkozy rappelle aux imams l'importance de leur formation en France »,lemonde.fr,‎(lire en ligne, consulté le).
  8. Selon lesarchives nationales du ministère de la Culture, il a été créé le 18 novembre 1993.
  9. ChristianeCheyron, « Novembre-décembre 1993 en France : Chronologie »,Hommes & Migrations,vol. 1172,no 1,‎,p. 111-113(lire en ligne, consulté le).
  10. abcdef etgÉtienne Girard et Paul Conge, « Frère musulman, pro-Hamas : Sefrioui, le prédicateur à l'origine de la fronde contre l'enseignant décapité », surmarianne.net(consulté le).
  11. a etbJeanChichizola, « Comment Abdelhakim Sefrioui, radicalisé notoire, catalyse les haines en toute impunité sur le sol français », surLe Figaro.fr,(consulté le).
  12. a etb« Attentat de Conflans : ce que l’on sait de l’enquête après le meurtre brutal de Samuel Paty »,Le Monde.fr,‎(lire en ligne, consulté le).
  13. La Viemagazine, « La Vie – Actualité, Débat, Christianisme, Idées, Débats, Spiritualité », surlavie.fr(consulté le).
  14. Voir surlci.fr.
  15. Sous la direction deBernard Rougier,Les Territoires conquis de l'islamisme, Paris, éd.Presses universitaires de France, janvier 2020.
  16. Inch'allah : l'islamisation à visage découvert, sous la direction de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, Paris, éd. Fayard, 2018.
  17. « Professeur décapité : qui est Abdelhakim Sefrioui, cet islamiste radical placé en garde à vue ? », surLCI(consulté le).
  18. Bernard Godard,La Question musulmane en France, Paris, éd. Fayard, 2015.
  19. abcd eteAzizZemouri, « Conflans : le rôle d'un agitateur radicalisé pointé du doigt », surLe Point,(consulté le).
  20. « Assassinat de Samuel Paty: un accusé aux deux visages », surL'Express,(consulté le)
  21. WillyLe Devin et DominiqueAlbertini,« Antisémitisme : deux groupes propalestiniens dans le viseur »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), surlibération.fr,(consulté le).
  22. Islamisme radical : Macron annonce la dissolution du collectif propalestinien Cheikh Yassine,Europe1, 20 octobre 2020.
  23. « Qu’est-ce que le collectif Cheikh Yassine, dissout ce mercredi en conseil des ministres ? », surL'Obs(consulté le).
  24. a etbVoir surouest-france.fr.
  25. « Un groupuscule recruté à l'extrême gauche », surleparisien.fr,(consulté le).
  26. Xavier Ternisien, « Les discriminations au cœur du congrès de l'UOIF », surlemonde.fr,(consulté le).
  27. « Charlie Hebdo : qui sont ces sites qui vous parlent de complot ? », surnouvelobs.com,(consulté le).
  28. « 1 jour, 1 combat : 2 avril 2009 - Le nouvel antisémitisme à la barre », surLicra - Antiraciste depuis 1927,(consulté le).
  29. « C’était sûr que ça allait mal finir », sur20min.ch,.
  30. « Ce que l'on sait de l'attaque terroriste contre un professeur, décapité à Conflans-Sainte-Honorine », surFrance Info,(consulté le).
  31. « Conflans Saint-Honorine : un enseignant décapité pour avoir montré les caricatures de Mahomet en classe », surLa Voix du Nord,(consulté le).
  32. « Attentat de Conflans : neuf personnes en garde à vue, dont des parents d’élèves et des proches du meurtrier »,Le Monde.fr,‎(lire en ligne, consulté le).
  33. « Professeur d'histoire décapité : qui était Samuel Paty, quadragénaire "à fond dans son métier" ? » surparismatch.com (consulté le 17 octobre 2020).
  34. « Le père qui avait diffusé la vidéo hostile au professeur d'histoire en garde à vue »,Le Point.fr,‎(lire en ligne, consulté le).
  35. abcde etf« Assassinat de Samuel Paty : un parent d'élève au cœur d'un engrenage islamiste ? », surLCI,(consulté le).
  36. ab etc« Après l'attentat de Conflans, Gérald Darmanin veut dissoudre le Collectif contre l’islamophobie en France »,Le Monde.fr,‎(lire en ligne, consulté le).
  37. a etb« Conflans: Des caricatures montrées par Samuel Paty à l'attentat, ce qu'il s'est passé »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), suryahoo.com(consulté le).
  38. FrédéricFatoux, « Enseignant décapité à Conflans-Sainte-Honorine : un parent d’élève s'était plaint de l’enseignant sur YouTube », surLa Dépêche du Midi,(consulté le).
  39. BernadetteSauvaget, « Attentat de Conflans-Sainte-Honorine : la mosquée de Pantin reconnaît avoir diffusé la vidéo du père de famille », surLibération.fr,(consulté le).
  40. Étienne Girard et Paul Conge, « Frère musulman, pro-Hamas : Sefrioui, le prédicateur à l'origine de la fronde contre l'enseignant décapité », surmarianne.net(consulté le).
  41. « Professeur décapité à Conflans-Sainte-Honorine : que sait-on du cours qui a fait polémique chez certains parents d'élèves ? », surFranceinfo,(consulté le).
  42. « Attentat de Conflans : qui sont les onze gardés à vue ? », surleparisien.fr,(consulté le).
  43. Pauline Moullot, « Samuel Paty était-il sur le point d'être sanctionné par la rectrice de l'académie de Versailles ? », surliberation.fr,(consulté le).
  44. « D’un cours sur le liberté d'expression à un assassinat : les 10 jours qui ont précédé l'attentat de Conflans »,BFMTV.com, 17 octobre 2020.
  45. Thomas Prouteau, « Assassinat Samuel Paty : Abelhakim Sefrioui demande l'annulation de sa mise en examen », surRTL,(consulté le).
  46. « Assassinat de Samuel Paty : le renvoi de 14 personnes confirmé en appel »,lefigaro.fr, 13 septembre 2023.
  47. Procès en direct - journo 4 surtf1info.fr, le 6 novembre 2024
  48. Assassinat de Samuel Paty : Le parquet requiert des peines de un à seize ans de prison suractu-juridique.fr, le 17 décembre 2024
  49. « Procès de l'assassinat de Samuel Paty : les deux amis du tueur condamnés à 16 ans de prison, 13 et 15 ans pour les auteurs de la "campagne de haine" », surFranceinfo,(consulté le)

Liens externes

[modifier |modifier le code]

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Abdelhakim_Sefrioui&oldid=225520769 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp