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Carte de 1935 de l'Allemand Georg Westermann représentant le Tibet en 1415 à côté de l'empire de ladynastie Ming en jaune. On voit leMaryul à l'ouest du dBus et leDokham à l'est du gTsang.
À la chute de l'Empire tibétain, à la suite de l'assassinat en 841 ou 842, par un ermite bouddhiste deLangdarma, empereur opposé aubouddhisme. Commence alors l'Ère de la fragmentation dans laquelle ses deux fils se battent pour sa succession.Ösung dont les successeurs hériterons duroyaume de Gugé, correspondant auNgari, etYumtän, dont les descendants contrôlent l'Ü[3].
Les Mongols détruisirent la quasi-totalité des établissementsKagyu (bka' brgyud pa) dans les régions centrales du pays ou les transformèrent en établissementGélugpa (dGe lugs pa)[7].Chöying Dorje (1604 — 1674),10ekarmapa, a bénéficié de patronage du roi du Tsang, Karma Tenkyong Wangpo (kar ma bsTan skyong dbang po), alors en guerre ouverte avec les autorités de l'Ü qui appuyaient les l'école Gélugpa et les Mongols. Il fut alors contraint à l'exil pour sauver sa vie[8].
Karma Tenkyong Wangpo est défait par lesMongolsqoshots vers la fin de l'année 1642 au fort deShimbatsé (capitale du Tsang)[9]. Güshi khan ordonne de l’exécuter, ainsi que ses ministres, Dronyer Bongong et Gangzukpa. Il est enfermé dans un sac de peau et jeté dans la rivièreTsangpo près de Neu[10],[11],[12].
↑(Gelek 2003)« In traditional Tibetan cultural geography, Tibet is divided into three regions: West Tibet or Upper Tibet, called To Ngari Korsum in Tibetan; the middle area of Tibet-Tsang (Bur Dbus Gtsang Ru-zhi) including the central Tibet cities and valleys of Lhasa, Yarlung, Shigatse, and Gyantse; and East Tibet or Lower Tibet-Dokham (Amdo and Kham, Smad Mdo Kham Sgang Drug). Eastern Tibet is traditionally divided into the regions of Kham and Amdo, and these are now are incorporated into parts of Qinghai, Sichuan, Gansu, and Yunnan provinces. »
↑(Cüpperset al. p-107)« This was from the time of Tsha-na Ye-shes rgyal-mtshan (fl. end of 10th / beginning of 11th C.), the widely respected mnga’ bdag of bSam yas, in whose term the “dark period” of Central Tibet ended. It is an indication that in the history of the revolt the idea of the spu rgyal throne was actually never questioned. »
Ya Hanzhang, Chen Guansheng et Li Peizhuan,Biographies of the Tibetan Spiritual Leaders Panchen Erdenis, Pékin, Foreign Languages Press,, 415 p.(ISBN978-7-119-01687-0,OCLC35743089)